Yves Caizergues choisit les Super Sharpy pour illuminer le Pont Schuman

Le Grand Lyon a choisi de mettre en son et en lumières l’inauguration du magnifique pont Schuman (sur la Saône) en confiant la direction artistique du projet à l’agence événementielle Tetro.

Super Sharpy et le Pont Schuman

Aux manettes de ce show impressionnant: Yves Caizergues, concepteur lumière et Christophe Goutes, musicien.
Aux faisceaux: 30 Super Sharpy Clay Paky fournis par le prestataire Magnum et allumés avec talent par le designer lumière.

Super Sharpy et le Pont Schuman Le souhait était de faire savoir aux lyonnais que ce nouveau pont existait en créant un signal fort de mise en valeur de l’édifice.

Yves Caizergues et ses Super Sharpy étaient donc présents pour «magnifier le pont, tout en gardant en tête l’intention architecturale et de faire en sorte que l’événement soit perçu de toute la ville».

Sa collaboration avec Christophe Goutes pour la bande son lui a aussi servi à «trigger» la lumière. En intégrant dans son design l’environnement proche, l’eau et le ciel, il a choisi de donner une   nouvelle dimension à ces éléments grâce à l’éclairage des Super Sharpy directement posés au sol.
Choisis sans hésitations aucunes, les gros Beam répondaient au besoin de «faisceaux lisibles dans l’espace et qui peuvent bouger très vite» du designer.

Super Sharpy et le Pont Schuman

Il souligne ainsi leurs points forts: Une forte intensité de faisceau et une capacité de mouvements ultra rapides, ainsi qu’une presque trichromie «qui permet de faire des fades entre les couleurs ».

Super Sharpy et le Pont Schuman Des qualités qui ont permis au talentueux concepteur de signer une mise en lumière aérienne avec les faisceaux surpuissants des Super Sharpy pointés vers l’eau de la rivière puis vers le ciel, formant vagues et images graphiques au rythme de la musique.

Le dynamisme apporté par le choix des projecteurs comme symbole de ce nouveau pont prenant son envol au dessus de l’agglomération lyonnaise est une réussite!

 

 

 

Crédits -

Photo : Andrea Aubert

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