Locmat sur le terrain, avis vérifiés des utilisateurs

Locmat, ce puissant logiciel de gestion de parc de location est utilisé en France par plus de 150 sociétés de prestation pour gérer aussi bien leurs locations, ventes et prestations, avec dans sa version la plus sophistiquée, les déclarations directes à l’URSSAF du personnel.

Ce progiciel évolue régulièrement grâce aux demandes incessantes des utilisateurs. Mais qui sont-ils et que pensent-ils de leur précieux outil et de l’équipe – Lauren Massart, Yann Boudet et Christian Morasin – de la petite entreprise française qui le développe ? C’est ce que nous allons découvrir avec étonnement dans les lignes qui suivent.


Locmat, SoundLightUp en parle depuis quelques années déjà pour annoncer ses évolutions. Cette année, nous avons décidé de recueillir l’avis de ses utilisateurs en leur soumettant par téléphone un questionnaire. 4 dirigeants fondateurs de sociétés de prestation dans des domaines divers aux 4 coins de la France ont bien voulu nous consacrer un peu de leur temps dans cette période de rush. Nous les en remercions.

Si votre entreprise se développe au point de lâcher votre tableur Excel, ou si vous n’êtes pas satisfait de votre système de gestion de parc, il se pourrait que leurs avis vous soient précieux. Attention, certains sont très bavards.


AGETECH

Maxime Ohayon, gérant, fondateur d’Agetech en 1998

Activités : Prestataire technique scénique et événementiel – son, éclairage, vidéo, structure, chapiteaux. Location comptoir et vente.
Région : Provence-Alpes-Côte d’Azur – Marseille

Site : http://www.agetech.fr – Mail : [email protected]

6 licences Locmat Vision+ (avec gestion du personnel et déclaration à l’URSSAF)


SLU : Depuis combien de temps utilisez-vous Locmat ?

Maxime Ohayon : je vais vous faire sourire. J’utilise Locmat depuis qu’il a été pensé par le fondateur en 2012. Quand j’ai créé ma société en 1998, on avait développé en interne un logiciel de gestion de location parce qu’à l’époque les logiciels n’étaient pas du tout adaptés à notre activité. Tous nos voisins travaillaient sur des fichiers Excel imprimés et marqués au stabilo pour signaler les blocages de matériel.

Maxime Ohayon, gérant fondateur d’Agetech

SLU : Pourquoi avoir choisi ce logiciel et non pas la concurrence ?

Maxime Ohayon : Un jour j’ai rencontré un monsieur qui avait développé Locmat sur Mac, on travaillait sur Mac, à une époque où tous les logiciels tournaient sur PC. Il était vraiment à l’écoute de nos besoins, donc le développement s’est fait dans ce sens.
Quelques années après, la société Locmat a été reprise par de nouveaux gestionnaires et ils ont mis en place une force technique qui nous a permis, dans les 2 ans qui ont suivi, d’avoir une adaptation totale du produit à nos besoins avec même de la personnalisation.
C’est inestimable comparé aux autres logiciels que nous connaissons par l’intermédiaire de nos confrères, qui sont sans cesse bloqués sur des problèmes de-ci de-là. Avec Locmat on a un interlocuteur au bout de la ligne qui prend la main sur notre machine et adapte le logiciel à nos besoins. Il y a Lauren et Yann, des développeurs en face de nous.

Il m’est arrivé d’avoir des plantages suite à un gros orage, la foudre qui tombe sur l’entreprise et l’ordi qui ne redémarre pas. J’ai appelé et une demi-heure après ils ont tout réinstallé, récupéré mes données, tout fonctionnait. C’est un service très très rare aujourd’hui. Si j’essaye de joindre Locmat, parfois le matin à 7 h 00, ils ne répondent pas bien sûr car ils ouvrent à 9 h 00 mais à 9 h 02 ils me rappellent. C’est un vrai prestataire de services et puis le produit a vraiment évolué et il fait partie des logiciels, je pense, que beaucoup d’entreprises suivent dès qu’elles ont commencé à y goûter.

SLU : Pour quelles activités utilisez-vous Locmat ? Location, Prestation, Vente ?

Maxime Ohayon : Tout passe par Locmat à l’exception des mails entrants, et encore. Il nous arrive de les copier dans les fichiers de suivi clients de manière à pouvoir tout centraliser. L’avantage de Locmat sur les versions en ligne c’est aussi que vous pouvez continuer à travailler même en cas de coupure d’Internet. Et ça me rassure d’avoir mes données chez moi.

©Agetech

SLU : Avez-vous avez téléchargé la nouvelle version d’interface ? 

Maxime Ohayon : Elle n’est pas encore disponible pour la version Vision+. Ils ont prévu de la sortir en fin d’année et de toute manière on n’aurait pas basculé avant l’été, pour éviter une catastrophe – on a quand même géré plus de 180 opérations au mois d’avril. Ca aurait impliqué de former tous les opérateurs au moment où on rentre dans un rush de travail. Dès que la saison sera plus calme on appellera Christian Morasin et on basculera sur la nouvelle version tranquillement.
Sinon on utilise toutes les interfaces. L’interface affaire, l’interface achat, l’interface personnel, l’interface planning. Pour répondre à des questions qui pourraient être posées par des utilisateurs, l’interface planning aujourd’hui n’est pas interfacée avec des applications via internet puisque c’est un élément qui est en réflexion si je ne m’abuse chez Locmat. On a mis en place des solutions et aujourd’hui le planning est disponible sur un PC chez nous et nos opérateurs ont accès à cette machine pour le consulter à distance.

SLU : Donc vous vous connectez à distance ?

Maxime Ohayon : Oui, chaque personne de l’entreprise a un ordinateur et/ou une tablette et peut se connecter sur cette machine pour consulter les plannings, la disponibilité, modifier un bon de livraison. On fait même signer les bons de livraison sur tablette à l’extérieur sur le terrain. On a des tablettes avec GSM embarqué. On fait imprimer et on fait signer le client et il reçoit un mail direct en live. C’est la tendance.


©Agetech

SLU : Est-ce que l’expertise de terrain de Locmat liée à sa proximité avec impact Evénement, puisqu’ils sont dans le même groupe, est un avantage pour vous ou un inconvénient ?

Maxime Ohayon : (Rire) Je vais être tout à fait transparent. Quand une entreprise de la taille d’Impact s’équipe avec Locmat, vous comprenez bien que les équipes vont être lourdement sollicitées pour fournir un produit qui se développe vite et puisse être maintenu.
Avant la reprise par ce groupe, nous avions l’inquiétude que la société disparaisse, Locmat serait alors devenu obsolète au bout en 2 ans. Aujourd’hui on sait qu’il y a une grosse machine en support qui fait en sorte de continuer le développement.

Par contre on avait bien l’inquiétude que nos données soient diffusées à droite à gauche. Honnêtement, je pense maintenant que ce sont vraiment 2 identités étanches avec des équipes séparées. Aujourd’hui j’ai trois interlocuteurs chez Locmat qui sont les développeurs Lauren et Yann et Christian le directeur commercial et ça se passe très bien, je n’ai pas d’inquiétude.

SLU : Avez-vous identifié des défauts à Locmat ?

Maxime Ohayon : Il y a un seul défaut sur Locmat, mais il a été généré par les utilisateurs. Avec la force justement d’avoir des gens derrière qui sont à l’écoute, chaque utilisateur a demandé à le personnaliser par rapport son utilisation et à l’adapter à son mode de fonctionnement.
Il en résulte un logiciel qui aujourd’hui a d’énormes avantages, parce que vous profitez des évolutions que d’autres ont demandées, sauf que vous donnez la possibilité à votre personnel d’avoir plusieurs manières de travailler et parfois de s’écarter du process de l’entreprise. Il est peut-être un peu trop personnalisable, c’est le revers de la souplesse.

J’ai des collaborateurs qui ont créé des modèles de courriers spécifiques et parfois c’est déroutant. Je reconnais que je leur ai donné la possibilité de le faire, j’aurais effectivement pu les bloquer car j’ai accès à tous les blocages imaginables. Ca c’est quelque chose d’exceptionnel pour gérer les autorisations aux membres de l’équipe en fonction de leur position dans l’entreprise.
On peut mettre n’importe qui derrière Locmat sans avoir d’inquiétude, même un stagiaire affecté à de la saisie sans risque qu’il n’efface des devis ou des affaires. Je pense qu’il n’y a pas beaucoup de logiciels sécurisés à ce point. La souplesse est aussi une vraie qualité. Quand vous affichez votre liste d’affaires, vous pouvez la configurer comme vous le souhaitez, y laisser apparaître ce que vous voulez alors que d’autres logiciels n’ont qu’une fenêtre type.

Ils ont même développé un module “Salle” pour louer des espaces. Dans mon 2e métier j’ai acquis un hôtel que j’ai équipé de Locmat. Dans le module Salle, je crée mes 42 chambres, toutes les salles plénières et les espaces extérieurs, avec du matériel dedans, les temps d’immobilisation. Je peux tout faire, j’ai des jongleries énormes.

©Agetech

Autre exemple de souplesse, on leur a demandé il y a dix ans de développer un module de sérialisation, c’est-à-dire de pouvoir identifier les produits par numéro avec génération de code-barres. Ca suppose beaucoup de rigueur et de temps car le préparateur doit identifier chaque produit avec sa vraie référence et son numéro de série mais ça procure un suivi des produits exceptionnel.

Locmat a une particularité que n’ont pas les autres, en tout cas je ne l’ai pas trouvée ailleurs, c’est que si vous avez des retours de prestation mélangés, ça arrive fréquemment en sortie de week-end, à la lecture du code-barres du produit, automatiquement Locmat va aller le chercher dans toutes les affaires et valider son retour. Vous savez aussi instantanément de quelle affaire il s’agit en cas de dégradation du matériel. Tous les produits ne sont pas sérialisés par code-barres encore chez Agetech mais les grosses pièces le sont.

SLU : Vous préféreriez utiliser les puces RFID ?

Maxime Ohayon : On en a discuté longuement avant le développement des code-barres sur Locmat. L’inconvénient du RFID dans nos métiers c’est que l’on a beaucoup de matériel métallique et le RFID aujourd’hui ne permet pas de faire une lecture à l’intérieur d’une caisse sans risque d’erreur. Ca fonctionne pour les gros éléments, les pièces complètes mais pas pour les accessoires qui sont à l’intérieur des caisses.


©Agetech

SLU : Ils ont un coût ces développements personnalisés ?

Maxime Ohayon : Non. La volonté de l’équipe étant d’optimiser le logiciel pour l’ensemble de ses clients, quelque part c’est un échange. Ils analysent votre besoin de fonctionnement, et si d’autres clients peuvent avoir le même, il n’y a pas de facturation.

SLU : Combien vous coûte la maintenance de Locmat par an ?

Maxime Ohayon : 1500 € par an, une misère, et on gagne énormément de temps.

SLU : Comment voyez-vous l’avenir avec Locmat ?

Maxime Ohayon : Je n’ai pas d’inquiétude, sauf s’ils arrêtent ce que je ne pense pas. C’est une entreprise sérieuse, c’est ça qui est important. Locmat c’est à la fois un logiciel puissant et fiable et une équipe qui nous accompagne comme si on faisait partie de leur groupe, suivant une démarche qui ressemble à celle de mon entreprise. Aujourd’hui c’est un service hélas qui se perd.

C’est un logiciel fiable, qui tourne chez nous 24 heures sur 24, avec des utilisateurs qui se connectent de l’intérieur de l’extérieur… Il peut arriver qu’il plante ou, quand il y a un gros orage, que l’ordinateur s’éteigne. Comme pour tous les logiciels, vous redémarrez et c’est réglé. Je conseillerai Locmat à tous les gens qui veulent être accompagnés dans la gestion de leur métier.
Ce logiciel est très évolutif et va permettre aux petites entreprises de démarrer tranquillement et d‘évoluer sereinement. Je ne pense pas que de grosses entreprises puissent être frustrées de travailler avec Locmat, bien au contraire.


ARTEMUS EVENEMENT

Nicolas Flahaut, gérant, fondateur d’Artemus Evénement en 2004

Activités : Prestataire de services – soirées événementielles – prestation
Région : Nord-Pas-de-Calais – Escaudœuvres
3 licences Vision

Site : https://artemus-evenement.com – Mail : [email protected]


SLU : Quelle est votre activité ?

Nicolas Flahaut : Je fais surtout de la prestation globale qui comprend le matériel et les animateurs pour des soirées événementielles à thème avec des jeux d’animation de toute sorte : jeux anciens, jeux forains, jeux gonflables, tables de casino, de la décoration et aussi de la restauration. J’ai fait des olympiades ou des Koh-Lanta ou d’autres opérations pour des groupes de 300, 400, 600 personnes donc j’ai également obligatoirement aussi du son, des pendrillons, de la structure, du pied, de la lumière mais je ne suis pas prestataire de concerts.

Nicolas Flahaut, gérant fondateur d’Artemus Evénement.

SLU : Depuis combien de temps utilisez-vous Locmat ?

Nicolas Flahaut : Depuis 2011

SLU : Comment l’avez-vous connu ?

Nicolas Flahaut : J’avais déjà développé une base de données sur 4D pour mes besoins professionnels. Puis je suis parti dans une société qui n’avait pas de base de données et c’était compliqué d’adapter la mienne. J’ai donc utilisé un logiciel officiel mais qui ne gérait que de la vente, je ne disposais ni du locatif ni de la gestion de calendrier.
J’ai pris la décision à un moment donné de me remettre à développer un outil sur 4D, mais c’est quand même une tuerie ! En appelant 4D, ils m’ont envoyé sur Locmat. J’ai contacté Christian Morasin (le directeur commercial de Locmat). Il est venu me présenter le logiciel qui correspondait parfaitement à ce dont j’avais besoin.

SLU : Vous êtes-vous posé la question d’un produit concurrent ?

Nicolas Flahaut : Non, 4D me convenait très bien car je le maîtrise parfaitement.

SLU : Locmat est une société française avec des acteurs français. C’était important pour vous ?

Nicolas Flahaut : Pas particulièrement mais pour être franc, ça m’arrangeait. Je ne suis pas persuadé que j’aurais pu travailler avec une boîte d’un autre pays parce qu’il y a toujours un problème de langage. Effectivement le fait que Locmat soit en France, que l’équipe soit venue me voir pour me présenter le logiciel a aidé à me décider. J’aime bien mon pays mais mon premier objectif est d’utiliser un produit qui me convienne.


©Artemus-Evenement

SLU : Avez-vous téléchargé la nouvelle interface ?

Nicolas Flahaut : Non

SLU : Est-ce que l’expertise de terrain de Locmat liée à sa proximité avec impact Evénement, puisqu’ils sont dans le même groupe, est un avantage pour vous ou un inconvénient ?

Nicolas Flahaut : Je n’en savais rien mais ça ne me pose pas de problème. L’événementiel est un monde excessivement large. On peut se retrouver sur les mêmes dossiers mais je n’ai pas de problème par rapport à ça.

SLU : Vous avez combien de commerciaux chez Artemus Événement ?

Nicolas Flahaut : Je n’ai plus de salariés, je suis revenu tout seul depuis le COVID. On était 7 au total mais j’étais le seul commercial. J’ai tenté de recruter 2 personnes en début d’année mais ça n’a pas été comme je le voulais. Donc pour l’instant je travaille seul, et normalement le prochain salarié chez moi sera mon fils.

SLU : Quel est votre chiffre d’affaires ?

Nicolas Flahaut : 500 000 €. Sur le mois de juin par exemple, j’ai réalisé 36 événements.

Les produits les plus populaires d’Artemus Evenement.

SLU : Est-ce que vous ressentez la proximité de l’équipe Locmat ?

Nicolas Flahaut : Ce que j’aime bien quand j’ai un souci, c’est que j’appelle Yann et il me répond en direct. Je ne passe pas par 12 personnes, par des répondeurs interminables. C’est ce que je fais moi-même avec mes clients. Et ça c’est précieux quand toute l’activité repose sur le fonctionnement du logiciel.

SLU : Est-ce que vous leur demandez des développements particuliers quand vous avez une idée d’optimisation ?

Nicolas Flahaut : De temps en temps effectivement j’ai des demandes et j’obtiens satisfaction.

SLU : Ca a un coût élevé ?

Nicolas Flahaut : Ca n’a pas de coût si ça peut profiter à l’ensemble des clients.

SLU : Quel est votre coût de la maintenance ?

Nicolas Flahaut : 1 100 € par an

SLU : Quels sont les défauts du logiciel ?

Nicolas Flahaut : Je ne vois rien à signaler à mon niveau.

SLU : Est-ce que vous travaillez à distance avec Locmat ?

Nicolas Flahaut : Oui, je travaille avec le bureau à distance et ça fonctionne super bien. C’est vraiment comme si j’étais devant l’ordinateur original. J’ai l’application fournie par Windows de bureau à distance et je me connecte depuis mon ordinateur distant sur mon serveur qui est en local. Je travaille ainsi sans aucune latence

SLU : Comment voyez-vous l’avenir avec Locmat ?

Nicolas Flahaut : Ca fait 12 ans que je suis avec eux et a priori c’est une société pérenne. Je n’ai pas l’impression qu’ils aient l’intention d’arrêter, et ça m’arrange.


FOX SLV

Eric Lambertin, président, fondateur de Fox SLV en 2010

Activités : Prestataire de services technique pour le spectacle – location, prestation, vente – Son, éclairage, vidéo

Région : Provence-Alpes-Côte d’Azur – Châteaurenard

6 licences Vision


Site : https://foxslv.com – Mail : [email protected]


SLU : Depuis combien de temps utilisez-vous Locmat ?

Eric Lambertin : On a commencé avec Locmat en 2013, nous étions un de leurs premiers clients. Avant on utilisait un logiciel que nous avions développé nous-mêmes sur 4D pour nos Macintosh. J’étais associé à l’époque avec des informaticiens donc on avait développé une base de données et quand on a découvert Locmat on s’est tout de suite retrouvé chez nous.

Eric Lambertin, président fondateur de Fox SLV.

SLU : Comment les avez-vous connus ?

Eric Lambertin : Ils sont venus nous démarcher me semble-t-il, et leur logiciel qui tournait aussi sur Mac était beaucoup plus en avance et performant que notre solution maison. On n’a pas hésité une fraction de seconde.

SLU : Locmat est une société française avec des acteurs français. C’était important pour vous ?

Eric Lambertin : Nous sommes très fiers que ce soit une boîte française mais je ne vais pas faire de chauvinisme et toute mon équipe parle couramment anglais. Ce qui compte c’est que Locmat soit de taille humaine, quelle que soit son origine. On aime les réseaux courts, on aime les réseaux français, mais ce n’était pas ma priorité.

C’est surtout que l’équipe est excessivement disponible. On peut les appeler à n’importe quel moment. Ils sont ouverts, on peut faire remonter les bugs, les avancées potentielles. Ils peuvent faire des corrections. Ils prennent la main à distance sur nos machines… C’est hyper pratique. Je ne connais pas bien la société mais j’ai 3 interlocuteurs, Lauren, Yann Christian, et on ne reste pas une journée en panne et d’abord on n’est jamais en panne.

SLU : De combien de postes disposez-vous ?

Eric Lambertin : On a six postes, 6 utilisateurs et en manque toujours un.

SLU : Donc si vous en achetez un 7e, il en manquera encore un ? (rire)

Eric Lambertin : Evidemment, c’est pareil pour les salariés. Chaque fois que vous embauchez un salarié c’est super parce que vous étiez en sous-effectif, et du coup vous passez en sureffectif mais ça donne de l’oxygène.

SLU : Pour quelles activités utilisez-vous Locmat ?

Eric Lambertin : Pour la prestation, la location, la vente. Locmat gère absolument tout, les stocks surtout, c’est très très important pour nous.

SLU : Avez-vous téléchargé la nouvelle interface sortie l’année dernière ?

Eric Lambertin : Hélas oui et cette nouvelle interface nous a complètement déstabilisés. On l’a téléchargée au mauvais moment, c’est-à-dire en pleine saison. On avait tellement l’habitude de l’autre que ça nous a retardés mais vraiment Locmat n’y est pour rien. Sur l’ancienne version j’allais très très vite pour faire des devis, et j’ai l’impression maintenant de de ne pas arrêter de lâcher ma souris de lâcher mon clavier.

J’ai l’impression de faire des nœuds, mais une fois encore, je suis très franc, ce n’est pas de leur faute. Je pense qu’il faut qu’on s’habitue un peu plus et surtout que l’on télécharge la toute dernière version. Il y a beaucoup de choses qui ont changé en un an. Cette fois on va attendre l’automne quand on aura un peu plus de temps, car pendant l’été ce n’est pas possible. On ne fait pas que du théâtre, on fait aussi de la prestation.

On a tellement pris l’habitude de travailler sur Locmat et surtout sur la gestion des stocks qui nous donnent des disponibilités dans le hangar que ce logiciel est devenu notre Bible. Il nous permet de travailler correctement. Tous nos gars sont formés. On modifie les devis, on modifie les bons de livraisons. On commence à faire des devis en janvier pour la saison d’été, donc on travaille avec le statut option plus qui est très très bien parce qu’il nous gère les stocks, et nous permet de faire tourner beaucoup plus efficacement notre parc.


© Fox SLV

SLU : Utilisez-vous la nouvelle interface Affaires ?

Eric Lambertin : Bien sûr obligé, on fait notre facturation dessus et on est allé même beaucoup plus loin en utilisant Movinmotion pour gérer les emplois d’intermittents. On ne fait plus appel à un cabinet comptable pour les bulletins de payes et on utilise le nouveau logiciel de comptabilité Agicap qui est très performant et je crois qu’il existe un pont entre Locmat et Agicap. On facture sur Locmat et ça va directement sur Agicap.

SLU : Est-ce que l’expertise de terrain de Locmat liée à sa proximité avec impact Evénement, puisqu’ils sont dans le même groupe, est un avantage pour vous ou un inconvénient ?

Eric Lambertin : Ca ne me dérange pas du tout. J’y vois même un avantage parce que je sais que c’est un groupe solide. Je ne suis pas un chef d’entreprise qui refuse d’acheter à son concurrent. Pour moi ce sont des partenaires.

SLU : Avez-vous complètement confiance dans l’équipe ? Ils prennent la main sur vos ordinateurs ?

Eric Lambertin : Ah oui, pour faire les mises à jour ou des choses compliquées, Yann ou Lauren prennent la main sur nos machines via Teamviewer. Yann est déjà venu nous former plusieurs fois. C’est-à-dire qu’on est demandeur et on ne se contente pas d’utiliser Locmat simplement. De temps en temps, une fois tous les 2 ou 3 ans, on fait venir Yann, il reforme tout le personnel et on envisage des personnalisations.
Il nous apprend aussi certaines astuces. Et environ 2 ou 3 fois par an, ils prennent la main sur nos ordinateurs pour vérifier que tout se passe bien, que les mises à jour sont bien faites, que les back-up fonctionnent car nous avons deux types de backup : le 4D backup et des Time machines sur nos Mac.

SLU : Quels sont les défauts de Locmat ?

Eric Lambertin : C’est toujours pareil, les défauts de Locmat c’est qu’on en demande toujours plus à un logiciel, à partir du moment où on commence à s’habituer à travailler avec. Pour moi il n’a pas de défaut. Qu’est-ce que l’on demande à un logiciel ? Qu’il soit stable, qu’il nous facilite la vie, qu’il ne se trompe pas. Et c’est le cas de Locmat.
Il y a bien quelques détails qui nous dérangent mais qui ne sont peut-être pas des défauts pour d’autres. On a par exemple du mal à lire les alertes et les plannings d’alerte quand le matériel n’est pas disponible, mais on ne l’a jamais dit à Christian ou à Yann. Effectivement à chaque fois qu’on change de page il faut rafraîchir la page, donc ça nous embête, mais peut-être que pour d’autres utilisateurs c’est nécessaire, donc je ne peux pas critiquer.

Fox n’est pas la seule société à utiliser Locmat. Je ne lui trouve pas réellement de défauts. Ca va vite, c’est stable, ça ne plante pas sauf parfois quand on fait une erreur de manipulation on crache un peu tout, mais depuis 13 ans on n’est pas resté un seul jour sans Locmat.


©Fox SLV

SLU : Est-ce que vous l’utilisez à distance ?

Eric Lambertin : Oui, alors ça par contre les pauvres n’y sont pour rien non plus mais comme on est sur Mac et que MAC ne gère pas la prise à distance on ne peut pas prendre le bureau à distance directement. Par contre j’ai acheté un PC, je l’ai connecté sur mon réseau local, je l’ai relié à internet, et on a téléchargé le logiciel Remote Desktop sur MAC, qui est gratuit, et qui nous permet, depuis un Macintosh, de prendre la main sur le PC.
Je l’ai essayé dans le monde entier et dans le monde entier ça marche très bien, il suffit d’une connexion internet pour se connecter sur le PC du bureau.

SLU : La maintenance de Locmat vous coûte combien ?

Eric Lambertin : Je n’ai pas exactement le montant en tête mais c’est très abordable. Une fois que l’on a acheté les licences, c’est environ 1300 € par an je crois. Mais il ne faut pas leur dire, ils pourraient être tentés d’augmenter les prix (Rire !).

SLU : Comment envisagez-vous l’avenir avec Locmat ?

Eric Lambertin : C’est toujours pareil, on aime que nos clients soient fidèles. Fox travaille avec des acteurs historiques. On travaille avec les Chorégies d’Orange depuis que Fox existe et même avant. On travaille avec l’Opéra d’Avignon, avec le Festival de Vaison Danses, on est partenaire du Mucem depuis sa création, donc 2013 Marseille Capitale Européenne de la culture.
Les appels d’offres sont renouvelés à chaque fois en confiance parce qu’on essaie de faire du mieux qu’on peut. Tant que Locmat fera du bon boulot, je n’ai aucune raison de ne pas les garder. Les conditions de départ seraient que le logiciel ne soit plus développé, qu’il fonctionne mal ou que les prix deviennent exorbitants, ce qui n’est absolument pas le cas donc je ne changerai pas, même si je trouvais moins cher et plus performant. Ca s’appelle de la conscience et de la loyauté. Donc je suis fidèle à Locmat.


NESTOR FACTORY

Mathieu Cauvin, président, fondateur de Nestor Factory en 2014

Activités : Fabricant, loueur de matériel régie pour les tournages

Région : Ile de France – Noisy-le-Sec

15 licences Vision


Site : https://www.nestorfactory.com – mail : [email protected]


SLU : Quelle est votre activité

Mathieu Cauvin : Fabricant et loueur de matériel régie, principalement à destination des tournages de fiction, donc des tables, des chaises, du déroulant, des groupes électrogènes et aussi tout ce qui est lié au confort du tournage, donc des chauffages des talkies-walkies, des frigos, des glaces maquillage…
Autrement dit, nous fournissons toute la dimension logistique et organisationnelle autour des tournages. Nous travaillons principalement en Ile de France, mais comme nous sommes assez peu de prestataires dans ce domaine d’activité, on a également des projets aux 4 coins de la France.

Mathieu Cauvin, président fondateur de Nestor Factory.

SLU : Vous avez créé la société Nestor en quelle année ?

Mathieu Cauvin : Nestor Factory existe depuis 2014. Historiquement j’étais régisseur donc j’ai travaillé une dizaine d’années sur les plateaux. J’étais en quelque sorte mon propre client au début. Je consacre maintenant mon énergie à la société qui s’est vraiment développée depuis 5 ans et nous allons fêter nos 10 ans l’année prochaine.

SLU : Depuis combien de temps utilisez-vous Locmat ?

Mathieu Cauvin : La société existe depuis 2014, mais elle n’a commencé à salarier du monde qu’en 2017 au moment où j’ai arrêté d’être régisseur pour y travailler à plein temps. On a utilisé pendant un an des tableurs Excel, et assez vite on s’est arraché la tête.
On perdait beaucoup de temps à gérer le planning car nous avons beaucoup de petites références. On a rapidement décidé de s’équiper d’un outil de gestion, suffisamment tôt pour accompagner notre croissance. On a dû acheter nos 2 premières licences en 2018.

SLU : Pourquoi avez-vous choisi ce logiciel et non pas la concurrence ?

Mathieu Cauvin : Avant de signer avec Locmat, nous avions contacté aussi d’autres sociétés. Je n’avais pas beaucoup d’argent à l’époque. Je savais que les gros prestataires utilisaient MCS mais c’était une solution à au moins 4 zéros. J’avais donc rencontré les 4 sociétés qui étaient on va dire à moins de 5 000 € et Locmat m’avait paru le plus facile d’accès en tout cas pour un usage basique, et surtout me permettait de formater et générer des bons de livraison de la forme que je souhaitais. C’était un peu une usine à gaz mais l’équipe de Locmat m’avait aidé et c’est ce qui a été décisif.


Une des glaces de maquillage proposées à la location. © Nestor Factory

SLU : Vous avez mis longtemps à vous acclimater à ce progiciel ?

Mathieu Cauvin : On a très vite assimilé la gestion du quotidien. Faire des devis, des bons de livraison des bons de retours a été assez rapide avec un bon accompagnement de Locmat. Ensuite je dirais que c’est une évolution constante en compétences sur 5 ans parce que c’est un logiciel à tiroirs. Tous les six mois on utilise une nouvelle fonctionnalité, soit que l’on ne connaissait pas, soit qui vient d’être développée, soit dont nous n’avions pas encore besoin.
Au début on n’utilisait pas par exemple le système de fiches d’intervention et puis au bout de 2 ans on a compris que ça pouvait être utile. Nous avons appelé Locmat qui nous en a expliqué le fonctionnement, et puis petit à petit on a fait modifier quelques paramètres. Ils nous ont expliqué quel était le process normal et on a intégré la gestion des points d’intervention. Aujourd’hui on doit utiliser 70 à 80 % des possibilités du logiciel en sachant qu’il y a encore des fonctionnalités intéressantes à explorer.

SLU : Vous avez combien de postes ?

Mathieu Cauvin : Aujourd’hui on en possède 15 postes Vision. On a dû commencer avec la Focus et assez vite on a eu besoin de plus pour mon associé, un premier commercial et moi. Il a fallu aussi mettre un ordi à l’accueil clients pour les bons de livraison, etc. Petit à petit nous sommes montés en gamme avec Vision pour que tous les départements de la société puissent avoir accès au logiciel.
Il y a une gestion de droits d’autorisation en fonction du poste de chacun. Les commerciaux n’ont pas accès à certaines données de l’atelier, et l’atelier n’a pas accès à certaines options des commerciaux. On a aussi un département SAV assez important pour entretenir et réparer le matériel. Il interagit dans les affaires directement pour facturer la casse, facturer des réparations gérer des stocks de pièces détachées. Tout est géré sur Locmat

: Instagrid, une unité de stockage d’énergie mobile très légère (20 kg) et compacte. ©Nestor Factory

SLU : Utilisez-vous la nouvelle interface Affaires ?

Mathieu Cauvin : Oui, bien sûr, depuis 6 mois. On aime bien mettre un peu les mains dans le cambouis et dès qu’il y a une nouvelle version on la teste en profondeur. On échange beaucoup avec Yann, et dès qu’il y a un une nouveauté, on l’utilise, en faisant attention aux effets induits.
C’est d’ailleurs toujours pour moi un argument vraiment décisif, ils sont très à l’écoute de nos besoins et il y a beaucoup de paramètres qu’ils ont développés ou ajustés suite à nos suggestions. On travaille vraiment main dans la main. Dans l’interface Affaires justement, il y avait un détail qui ne nous convenait pas, et ils ont réussi à adapter l’outil à notre système de fonctionnement.

On doit faire un entre 1 000 et 2 000 affaires et entre 10 000 et 20 000 devis par an, donc c’est hyper important d’avoir quelqu’un qui nous suit et qui est disponible pour nous aider à gérer ce flux. Note spécificité c’est d’entrer beaucoup d’affaires à plus de 100 devis, ce qui n’est pas forcément la manière la plus courante d’utiliser Locmat, c’est même visiblement rarissime ! Les clients généralement rentrent de 1 à 10 devis dans une affaire.
Du coup on a eu un peu de mal à s’approprier cette version dans le sens où l’accès à une grande quantité de devis était un peu moins évident. Mais je trouve que l’on a gagné quand même en ergonomie et la nouvelle fenêtre est plus intuitive. C’est là que l’équipe de Locmat est intelligente, et du coup ils ont réussi à faire des ajustements pour nous permettre de travailler avec cette nouvelle interface.

SLU : Cette personnalisation est-elle facturée ou fait-elle partie du contrat de maintenance ?

Mathieu Cauvin : Je sais que dans les suggestions que j’ai pu soumettre, il y a pas mal de développements qui n’ont pas été facturés et qui ont été intégrés au logiciel parce qu’ils semblaient pertinents pour l’ensemble des clients. Par contre, le développement d’un format de bon de préparation spécifique à notre manière de travailler nous a été facturé car les autres clients n’en auront jamais besoin. C’est déterminé en bonne intelligence et ça dépend vraiment des cas de figure.

On a aussi beaucoup travaillé pour créer des interconnexions entre notre site internet et Locmat. Notre site est capable aujourd’hui de lire ma base de données et de fournir aux clients des informations en temps réel sur les devis, sur une disponibilité de matériel sur une quantité de stock ou sur un tarif. L’équipe de Locmat nous a donné les clés et les chemins à suivre pour créer ces ponts. Ca fonctionne parfaitement et ça n’a pas été facturé parce qu’à mon sens c’est quelque chose qui peut bénéficier à tous de créer des interconnexions entre les outils web et l’outil de gestion.

Tables de régie roulantes ©Nestor Factory

SLU : Vous utilisez Locmat à distance ?

Mathieu Cauvin : On peut. Il existe une vraie solution avec un système de bureau à distance donc ça fonctionne mais ça reste perfectible dans le sens où il faut prendre la main sur un ordinateur qui est physiquement au bureau. J’en ai longuement parlé avec Christian. Ils ont déjà beaucoup travaillé et ça fonctionne. Je sais qu’ils y travaillent encore parce que le télétravail fait partie des sujets d’actualité.

SLU : Quel est le coût de Locmat ?

Mathieu Cauvin : L’achat des licences Vision et ensuite la maintenance annuelle par poste sont d’un coût raisonnable. On a une quinzaine de licences donc forcément, plus on augmente le nombre de postes plus ça grimpe mais comparé à d’autres logiciels on reste vraiment à un tarif raisonnable par rapport au service fourni. Pour Nestor, le coût de la maintenance annuelle ne dépasse pas 3 000 €. Pour le niveau supérieur il faudrait ajouter je pense un zéro.

SLU : Est-ce que l’expertise de terrain de Locmat, liée à sa proximité avec impact Evénement, est un avantage pour vous ou un inconvénient ?

Mathieu Cauvin : Je n’ai pas d’avis tranché sur la question. Que cette société soit rattachée à une grosse structure comme Impact est plutôt rassurant. Ca veut dire que le programme ne peut pas disparaître du jour au lendemain car Impact a trop besoin de Locmat.
Qu’ils aient accès à l’ensemble de notre base de données, parce que dès qu’il y a un pépin je leur envoie toute la base pour qu’ils puissent la dépanner, ne m’inquiète pas. J’ai plutôt confiance dans leur gestion des données et en plus on est sur des territoires assez différents avec Impact. A mon sens c’est plutôt un point positif. De plus, comme le dit Christian Morasin, les produits sont d’abord testés par impact avant d’être envoyés au plus grand nombre. C’est plutôt un avantage.

La transporteuse ©Nestor Factory

SLU : Avez-vous identifié des défauts à ce logiciel

Mathieu Cauvin : Je ne dirais pas des défauts, Il y a 1 000 améliorations à faire parce que je suis un psychopathe des process d’organisation et que nous gérons énormément de petits matériels : des couteaux à pain, des serpillières… Plein de petites choses.
On a des manières de travailler qui ne sont pas forcément celle des gros loueurs et donc oui, pour Nestor, il y a des sujets à améliorer que l’on soumet régulièrement à Locmat. On cherche toujours à améliorer le temps de traitement des retours, le temps de traitement des devis.

On cherche toujours à optimiser, à avoir plus de statistiques. Dans les exemples un peu tout bêtes, je sais que Locmat offre la possibilité de gérer la lecture des codes-barres et j’adorerais travailler avec des puces RFID.

SLU : Vous avez l’intention de mettre des puces RFID sur vos produits ?

Mathieu Cauvin : C’est une étude que j’ai envie de faire vu le volume de notre activité. Il y a peut-être 500 produits qui sortent et qui rentrent chez nous chaque jour d’où l’idée de gagner du temps, une qualité de traçabilité et puis aussi d’éviter à mes gars de remplir des listings de matériel. Je pense que tout le monde serait gagnant. Je connais toutes les contraintes du RFID mais ça fait partie des évolutions qui pourraient être envisagées.

SLU : Comment voyez-vous l’avenir avec Locmat ?

Mathieu Cauvin : J’ai plutôt envie de croire que ce produit va durer. C’est pour cette raison que je prends le temps de parler avec vous aujourd’hui et que je prends le temps d’échanger avec Lauren qui assure le développement et avec Yann qui s’occupe de l’intégration. J’ai soulevé plein de bugs du logiciel parce que l’intérêt c’est de travailler en équipe. Travailler en bonne intelligence c’est aussi s’entraider.


C’est incroyable (mais vrai) comme cette petite équipe a réussi à s’intégrer à toutes ces entreprises, à personnaliser les contacts et finalement être considérée comme membres de leur personnel. Pari gagné pour Locmat, les clients sont investis au plus haut niveau parce qu’il n’y a pas de problème sans solution, qu’ils gagnent un temps fou dans l’exercice de leur métier et que les tarifs sont raisonnables. Ils n’ont apparemment qu’un souhait : que Locmat poursuive ses développements longtemps.

Plus d’infos sur le site Locmat

 

Crédits -

Texte MC

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