Beaucoup de choses ont été dites et écrites. Tant de doutes exprimés, de procès d’intention activés par les médias et un certain public avide de sensationnel. Raté. Si l’homme est cabossé, l’artiste est toujours vivant. Il le dit avec humour chaque soir dans des Zéniths acquis à sa poésie : « vous n’êtes tout de même pas venus m’écouter chanter ! »
Justement oui, et comme si le plaisir de revoir Renaud sur scène ne suffisait pas, on a donné au son comme à la lumière du Phénix Tour, la puissance de feu d’un croiseur et des techniciens de concours. Nous avons été à la rencontre de l’un d’eux, mister Stage Left himself, Christophe Génix.

Pour être franc, c’est surtout lui qui vient à notre rencontre à l’entrée technique du Zénith de Paris pour nous y donner accès car la sécurité est montée d’un cran. Malgré le fait qu’il n’est que 15h, de la musique s’échappe de la salle ou un Madje virevoltant profite de la présence de quelques éminences grises de Marcoussis pour détailler son impressionnant design L-ISA dont on reparlera, aujourd’hui nous sommes là pour le côté pile.
Nous commençons avec Christophe par quelques questions avant la visite du plateau, non sans avoir vu en passant une SSL 500 Live brillant comme les Champs Elysées un soir de décembre. Ils ont cassé leur tirelire chez Potar ;0)