« Le Miracle de Berne », une victoire d’équipe avec Clay Paky

Dans le film « Le Miracle de Berne », le réalisateur Sönke Wortmann raconte l’histoire de la victoire inattendue de l’équipe d’Allemagne à la Coupe du Monde 1954 à Berne et, parallèlement, il met l’accent sur les difficultés d’un prisonnier de guerre qui retourne à la maison et n’arrive pas à retrouver à son ancien mode de vie.
Mais avec le succès de l’équipe allemande, l’ancien captif finit par se rapprocher à nouveau de son fils et de sa famille. Stage Entertainment a repris cette histoire et en a fait une comédie musicale, qui a été portée à la scène, pour la première fois, fin 2014 à Hambourg.

Photos : © Stage Entertainment/Brinkhoff-Moegenburg et Stage Entertainment/Morris Mac Matzen

Photos : © Stage Entertainment/Brinkhoff-Moegenburg et Stage Entertainment/Morris Mac Matzen

Parmi les équipements qu’a choisis le concepteur d’éclairage Andreas Fuchs pour cette production, on compte 53 Alpha Profile 1500 ST, 18 Alpha Profile 800 ST et 30 A.leda B-Eye K20, avec une console grandMA2 light, une grandMA2 ultra-light , deux nodes MA à 8 ports, deux unités de traitement réseau MA (NPU) et vingt-six variateurs numériques MA de 12 x 2,3 kVA.

Andreas Fuchs a eu des paroles très positives à propos des A.leda B-Eye K20 de Clay Paky : « Un certain nombre de raisons m’ont amené à choisir les B-EYE K20. En premier lieu leur faible niveau de bruit, ce qui est extrêmement appréciable dans un théâtre.

Photos : © Stage Entertainment/Brinkhoff-Moegenburg et Stage Entertainment/Morris Mac Matzen

Photos : © Stage Entertainment/Brinkhoff-Moegenburg et Stage Entertainment/Morris Mac Matzen

De plus, ces projecteurs mobiles ne prennent que très peu de place sur la plate-forme, ils n’ajoutent que très peu de poids et ils dégagent très peu de chaleur.
En ce qui concerne la conception des éclairages, outre les fonctions wash et beam, ils offrent aussi des effets. Ceux-ci diffèrent des gobos classiques et ouvrent la voie à de nouveaux éléments structurels totalement inédits qui correspondent parfaitement au spectacle.

J’ai également pu utiliser les B-eye pour créer une rupture avec des images plaintives. Il ne faut pas perdre de vue qu’ils fonctionnent aussi de manière remarquable comme générateurs de faisceaux grâce à leur forte luminosité et la possibilité de concentrer leur faisceau dans un angle de 4° ».

Andreas Fuchs a également tenu des propos élogieux envers les découpes Alpha Profile1500 ST et Alpha Profile 800 ST de Clay Paky : « La luminosité de ces deux types de projecteurs est excellente. On peut les focaliser très rapidement et efficacement, même lorsqu’on zoome, sans qu’il y ait trop de distorsions et en conservant des contours rectilignes. J’ai utilisé les têtes motorisées de manière très souple, à la fois comme éclairage de scène pour les acteurs et comme éclairage des décors. Cette polyvalence est un gros atout au théâtre et sur les comédies musicales »

Photos : © Stage Entertainment/Brinkhoff-Moegenburg et Stage Entertainment/Morris Mac Matzen

Photos : © Stage Entertainment/Brinkhoff-Moegenburg et Stage Entertainment/Morris Mac Matzen

A propos de sa conception de l’éclairage, Andreas Fuchs tenait à préciser : « Le plus gros problème, c’était de s’adapter aux situations très différentes qu’on peut rencontrer dans une comédie musicale avec un dispositif d’éclairage très souple. Pour « Le Miracle de Berne », il fallait concevoir un éclairage à la fois pour des actions et des chanteurs de scène conventionnelle et des passages à grand spectacle, par exemple avec un chœur important. Parmi les 54 décors différents, certains ont été complètement transformés au cours des répétitions ».
Techniciens d’éclairage en chef : Mike Neumann et Dimitri Ambokadze
Responsable de la coordination de l’éclairage : Andy Peistrup 

Plus d’infos sur le site : www.claypaky.it

Crédits - Photos : © Stage Entertainment/Brinkhoff-Moegenburg et Stage Entertainment/Morris Mac Matzen

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