
La coopérative immobilière Orpi a fêté ses 50 ans lors d’une grande convention nationale au Palais des Congrès de Paris en réunissant plus de 3500 collaborateurs pour une soirée mise en lumière par Dimitri Gogos faisant partie du collectif Électron libre.

Pour l’occasion c’est un important kit lumière de presque une centaine de projecteurs qui a été déployé par l’éclairagiste, soucieux de rendre ce bel événement marquant et sobre, Tout en valorisant la projection d’images confiée aux nouveaux, vidéo-projecteurs Christie 4K, 30 000 lumens fournis par VLS.
Et c’est d’abord par une rencontre avec Caroline Hubert, directrice de production puis Florence Assal de l’agence Ensemble qui chapeaute le projet, que Dimitri Gogos s’est retrouvé aux commandes de lyres aussi puissantes que :
les BMFL Robe, les Mythos Clay Paky ou les Mac Quantum Wash et Viper Martin Profile pour éclairer l’événement en toute liberté.
Remplir l’espace sans polluer la diffusion vidéo
SLU : Comment as-tu défini ton plan de feu ?
Dimitri Gogos : “ Mon choix des projecteurs s’est réfléchi sur la puissance et la colorimétrie mais aussi sur l’espace en prenant le parti de ne pas poser de lyres dans le champ visuel des invités en salle. Je voulais un kit varié et important afin d’être en harmonie entre l’ensemble des tableaux et les visuels des séquences Orpi projetées.
Pour cela il me fallait remplir l’espace scénique avec des projecteurs puissants et capables d’exister face à des vidéo-projecteurs 30 000 lumens, mais sans pour autant délaver la zone de diffusion vidéo. Ainsi, j’ai Choisi de privilégier tout ce qui était scénique avec les Mac Viper Martin, et d’utiliser les Vari*Lite pour faire de la texture sur le décor et les murs de la salle.
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SLU : Il y a pas moins de 15 BMFL Blade Robe dans ton kit, pourquoi les avoir emmenés en convention ?
Dimitri Gogos : J’aime beaucoup les BMFL, j’ai été très agréablement surpris par ces machines que j’ai découvertes sur la tournée de Johnny utilisées par Dimitri Vassiliu. Je les trouve extraordinaires, que ça soit du point de vue de l’ouverture, du bâton, ou de la qualité de lumière et même de leur encombrement! Je crois qu’avec cet automatique on atteint des performances optimales.
SLU : En les choisissant tu te fais plaisir avant tout?
Dimitri Gogos : J’ai la chance de collaborer ici avec une agence événementielle qui m’écoute et ne bride pas mes choix de projecteurs, mais surtout les BMFL sont indispensables dans ce design pour faire la contrepartie en puissance lumineuse des vidéo projecteurs.
SLU : Comment habille-t-on de lumière une salle comme ça, dans le contexte d’un événement, certes festif, mais tout de même institutionnel ?