Cela a toujours été un problème de réaliser des sources de lumière blanche avec des LED. Diverses solutions existent, soit directement fournies par les fabricants de LED, soit réalisées par les fabricants de sources de lumière à partir de diverses LED commercialisées par les premiers. Chaque solution possède ses avantages et ses inconvénients, mais aucune n’est parfaite. Quoi qu’il en soit, la plus grande force des LED provient de leur souplesse de commande, tant en intensité qu’en variation de couleur.
Depuis les premières LED blanches fabriquées par l’américain Cree, le public s’est fait à l’idée que les LED blanches sont disponibles et aptes à remplacer les lampes conventionnelles. En réalité, elles souffrent d’imperfections dans la qualité de la lumière émise, qui ne permettent pas de les considérer comme directement équivalentes aux meilleures lampes utilisées en éclairage scénique et architectural. L’équilibre de couleur obtenu n’est habituellement guère satisfaisant. On a donc le plus souvent recours à des assemblages de LED un peu hétéroclites, de manière à rééquilibrer l’ensemble. L’obtention d’un « blanc » de qualités parfaitement déterminées nécessite une calibration à l’aide d’instruments de mesure, réalisée par le fabricant de la source. Ainsi, divers types de « blancs » peuvent être obtenus à la demande en réponse à certaines valeurs de codes DMX envoyés à l’appareil.
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Le blanc c’est quoi ?
Comme on sait, le blanc n’est pas à proprement parler une couleur. Les infographistes, les techniciens de prise de vue et photographes sont sensibilisés à l’influence du « blanc » sur leurs résultats et sont bien conscients que la qualité du « blanc » est un paramètre important.
Dans le domaine technique, deux situations typiques mènent à s’intéresser aux caractéristiques du « blanc »: