Première partie : Mix façade et retours

GAD au Palais des Spots…et des boîtes avec Eric Gabler et Guillaume Muhlmann

Franchement, il n’avait pas besoin de ça pour briller. Séducteur en diable, drôle à en avoir mal au bide, Gad Elmaleh a fêté en fanfare ses 20 ans au Palais des Sports de Paris nanti d’une installation au bas mot superlative !
Spécialiste des « comiques » et partenaire de longue date, MPM a offert à cet événement un écrin de son et de rayons que nous avons pu visiter grâce à la complicité de David Nulli.
Matos en exclu, trouvailles en pagaille et franchise à tous les étages, on vous Gad en 2015, à tel point qu’on vous offre ce gros reportage en deux épisodes !

GAD

A peine franchi la porte du mythique Palais, un dôme autoportant bâti tout en alu par la société Eiffel au début des années 60 et qui a vu tant de combats de boxe s’y dérouler, c’est un gros, gros son qui nous colle au tapis, un air connu qui annonce la couleur de l’invité surprise du surlendemain : Johnny. Toute la musique que j’aime résonne fort et clair, joué d’une très belle façon par les musiciens, et des bons, d’un Gad en pleine forme et qui s’escrime dessus. La surprise est de taille même si David nous a prévenus de l’envie de l'artiste de se faire plaisir à lui comme aux presque 100 000 personnes qui sont venues parfois de très loin pour ces 20 représentations exceptionnelles.

Thibaud le Boucher et Eric Gabler

Thibaud le Boucher et Eric Gabler

Nous sommes accueillis par Thibaud Le Boucher qui assiste Eric Gabler à la face. Merci à lui pour la visite guidée. Un passage devant le plateau laisse apercevoir la pression qui y règne.

Deux sides de 6 Kara en douche épaulés par un SB28 au sol par côté ainsi que des Arcs en arrière scène, l’immergent de bonnes ondes à défaut d’être très étanches. Outre ces quelques boîtes dévolues aux retours, ce qui laisse pantois c’est le système.

On est loin du petit bois juste bon à allumer le feu comme dirait un rockeur bien connu, là on a le nécessaire pour un concert, un vrai. Quelques volées de marches et nous arrivons dans la régie du Palais des Sports, très haut perchée mais bénéficiant de ce fait d’une vue imprenable et d’une écoute très « public ».
C’est là qu’on retrouve Eric Gabler en train de finir les répétitions des musiciens et de Gad pour Johnny et aussi en pleine rigolade. Normal, Claudia Tagbo prend possession du plateau. La vue de là-haut est encore plus belle à cause d’un subterfuge qui rappelle furieusement le piano d’un certain Gilbert Bécaud.

Eric Gabler, le patron du son

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci d’avoir lu cet article jusqu'ici. SLU est 100 % gratuit à lire, mais pas à écrire. Dans le plus strict respect du Règlement Général sur la Protection des Données, nous vous proposons de cocher cette case et nous confier votre adresse e-mail pour pouvoir lire la suite de cet article. Cela nous permettra de vous envoyer deux fois par mois notre Newsletter SLU Infos et une moyenne maximum de deux fois par semaine, une newsletter sponsorisée par l’un des annonceurs du site (SLU Flashup), une de nos sources de financement essentielles. Et c’est tout. Pour plus d'informations, lisez notre politique de confidentialité ici. Merci de votre confiance et bonne lecture!