Lamourette, un amour de lampe décorative autonome signée Obélie

Axée sur l’éclairage festif, aussi bien Corporate que privé, la marque toulousaine Obélie propose un modèle de centre de table, pilotable à distance y compris point par point, déjà remarqué chez des prestataires comme Novelty Toulouse, typiquement dans des congrès et autres regroupements « Corporate ».


Lamourette peut être utilisée pour diviser la salle en plusieurs camps colorés lors de jeux d’équipes, ou même pour lancer à volonté un chaser sur toutes les tables, et s’arrêter en strobe sur celle dont l’un des convives doit être mis en valeur (gagnant d’un challenge, anniversaire, tous les scénarios sont permis). On contrôlera indépendamment la puissante couronne de leds en blanc chaud destinée à éclairer la nappe et des diodes RGB qui colorent l’abat-jour.
Du coup, au vu de la multitude d’opérateurs (serveur, traiteur, etc.) amenés à devoir utiliser ce modèle, l’adressage DMX512 sans fil se fait très simplement au fur et à mesure que vous retirez les appareils du flight-case/chargeur : le premier prend par défaut l’adresse 1, le second 5, etc. Cette adresse peut se modifier par la suite, mais au prix d’un dévissage de la tête formant abat-jour.

A noter qu’une partie du site du constructeur vous propose de combiner visuellement pied, tige et abat-jour dans différentes finitions (chrome, couleur, bois, etc.) dans une page qui rappelle de façon amusante des jeux de cartes pour enfants.
La recharge se fait par induction, provoquant moins d’usure dans le temps que les contacts de charge « en dur » habituels dans le domaine de l’éclairage sans fil, avec également une rapidité appréciable de rangement/installation.

Tarifs publics hors taxes Lampes Obélie :

  • Lampe seule sans DMX HF (pilotage IR ou manuel en local) : 453 € HT (chargeur à induction non compris)
  • Lampe seule avec DMX HF : 535 € (chargeur à induction non compris)
  • Chargeur/flight-case à induction : N.C.

Plus d’infos sur le site du distributeur Eclalux et sur le site Obélie

 

Crédits -

Texte : Bruno P. Souchaud

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