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Prolight + Sound 2026 rattaché à Light + Building

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Messe Frankfurt développe actuellement un concept qui offrira aux exposants de Prolight + Sound, le salon des technologies de l’événementiel et du divertissement, un nouvel espace au sein de Light + Building, le salon mondial de référence pour l’éclairage et la technologie du bâtiment. L’objectif est de proposer une solution aux entreprises pouvant bénéficier d’une synergie avec Light + Building.

Messe Frankfurt réagit ainsi aux défis actuels rencontrés par Prolight + Sound, découlant du nombre d’inscriptions après la fin de la période de préinscription anticipée (« early bird ») et des retours au sein du secteur. Dans ce contexte, il n’est pas possible d’organiser un événement autonome satisfaisant pour toutes les parties prenantes.

À 63 %, la technologie d’éclairage a été le thème ayant suscité le plus d’intérêt de la part des visiteurs à Prolight + Sound 2025. / © Jochen Guenther

Prolight + Sound se tient à Francfort depuis plus de 30 ans. Cependant, à la fin de la période de préinscription fin septembre 2025, les retours des exposants pour l’édition de mars 2026 n’ont pas été suffisants pour garantir le déroulement satisfaisant du salon. Pour cette raison, Messe Frankfurt a décidé de ne pas organiser l’événement sous forme indépendante. À la place, un nouveau scénario a été élaboré, proposant aux exposants pouvant bénéficier de synergies avec Light + Building.
Ce dernier aura lieu du 8 au 13 mars 2026, soit moins de deux semaines avant la date initialement prévue pour Prolight + Sound (24 au 26 mars 2026). L’accent est mis particulièrement sur les exposants et visiteurs professionnels issus des secteurs de l’éclairage, de la signalétique numérique (digital signage) et des technologies de sécurité. De nouvelles idées pourront ainsi émerger pour tous. Dans ce cadre, tous les groupes profiteront du caractère fortement international de Light + Building.

Wolfgang Marzin, PDG de Messe Frankfurt, explique : « Avec cette décision, nous répondons de manière pragmatique aux inscriptions des fabricants. En tant qu’entreprise, nous devons agir de manière responsable dans l’intérêt de nos exposants et visiteurs. Il était important pour nous de prendre cette décision le plus tôt possible afin d’éviter des investissements inutiles de la part de nos clients. La marque Prolight + Sound reste d’une importance stratégique dans le portefeuille de Messe Frankfurt, et nous continuerons d’y investir. La semaine dernière encore, nous avons annoncé la création de Prolight + Sound Bangkok, en Thaïlande, à partir de 2026. »
En offrant aux exposants concernés la possibilité de présenter leurs produits dans une zone dédiée au sein de Light + Building, ils pourront toucher de nouveaux groupes de clients et explorer de nouveaux potentiels commerciaux. Une gamme de formules de stands de haute qualité sera proposée, avec différentes tailles, pour assurer la meilleure mise en valeur possible de leurs solutions.

Programme d’accompagnement sur mesure pour une valeur ajoutée
Messe Frankfurt prévoit également un programme d’accompagnement spécialement conçu et des visites guidées pour les visiteurs. La zone thématique bénéficiera d’un emplacement central, sur le côté est du parc des expositions, au cœur du vaste secteur dédié à l’éclairage de Light + Building. Des informations complémentaires sur la mise en œuvre de ce nouveau concept seront publiées dans les semaines à venir.

Informations sur Light + Building et Prolight+Sound

Light + Building est le salon mondial de référence pour les technologies de l’éclairage et du bâtiment. L’événement se tiendra du 8 au 13 mars 2026 à Francfort-sur-le-Main.
👉 www.light-building.com

Messe Frankfurt organise une série de salons professionnels dédiés à l’éclairage et aux technologies du bâtiment en Asie, Argentine, Chine, Émirats arabes unis et États-Unis. Plus d’informations sur la marque internationale Light + Building sont disponibles sur :
👉 www.light-building.com/brand

Réseaux sociaux :
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Plus d’informations sur Prolight + Sound :
👉 www.prolight-sound.com

Chauvet Strike Saber 10, brillant d’ambre et d’or en barre

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Chauvet Strike Saber 10 installé verticalement sur un pied.

Le “Sunstrip”, barre d’un mètre, équipée très basiquement de 10 lampes dichroïques graduables individuellement est devenu un standard de l’éclairage. Simple et pratique, il a été utilisé à toutes les sauces ces 20 dernières années et chaque jour, des éclairagistes trouvent de nouvelles idées pour les impliquer dans leur conception.

Evolution et disparition des ampoules halogènes obligent, de nombreux fabricants l’ont envisagé en version LED. Voici une de ces versions, présentée par Chauvet, sous la référence Strike Saber 10, dans une nouvelle mouture IP65 cette fois-ci, et elle nous réserve de bien belles surprises. Nous l’avons essayée dans le studio de La BS.

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En lumière

Question lumière, elle répond au principe du “Sunstrip” avec émulation halogène de ses sources. La lumière est basée sur du blanc chaud d’un peu moins de 3 000 K, présentant un IRC de 91, avec la simulation du rougissement de filament par l’ajout de leds ambrées. Il ne sera pas possible de mesurer la température de couleur la plus basse, on est clairement sur un « orangé foncé. » C’est une teinte, pas un blanc.

Variation des températures de couleur, du plus bas au plus haut.

Chaque module de LED consomme environ 18 Watts à pleine puissance, ce qui donne une consommation globale d’environ 180 W pour l’ensemble de la barre.

Les sources avec leurs diffusant et réflecteurs.

Les leds sont cachées par un petit diffusant et entourées d’un réflecteur dont les facettes disposées en lignes courbes finement morcelées créent un halo très fin, le tout avec l’aspect général d’une lampe dichroïque.
Les LEDS ambrées peuvent être gérées de différentes façons suivant le mode de fonctionnement choisi. Elles peuvent intervenir automatiquement en fonction de la graduation des sources (et donc émuler purement et simplement les effets d’une source halogène), ou alors être pilotées directement par l’opérateur qui va en gérer le niveau à sa guise. Dans l’absolu, elles peuvent aussi jouer seules.

Effet blanc 2 900 K.

7 modes de contrôle sont prévus pour piloter le Strike Saber 10, d’un seul canal, jusqu’à 26 dans des modes étendus et pour lesquels on dispose de patterns de programmes internes. Je regrette seulement qu’aucun mode ne propose de piloter l’engin en 10 canaux, à la façon du Sunstrip, ou de simples canaux de trad, sans rien de plus…

Le mode qui s’en rapproche le plus est le 13 canaux, qui comporte en plus des 10 dimmers, un master en 16 bits et un canal « control ». En cas de remplacement de Sunstrip par ces appareils, il faudra donc revoir les paramètres du show, ils ne seront donc pas simplement interchangeables.

Effet de chaser défilant.

Changement important par rapport à la lumière produite par les sources halogènes dont on peut avoir l’habitude sur ce type d’engin, l’angle du faisceau de ses sources est beaucoup plus fermé. Le fabricant annonce un faisceau de 20°. Nos mesures révèlent un angle global d’une trentaine de degrés, pour un faisceau de 17°.

La façon dont la lumière est répartie dans le faisceau met en avant le fait que la subtilité entre l’émission de lumière à i/10 (intensité au centre divisée par 10, la plus large) et celle du « faisceau » (à i/2) est surtout très marquée à proximité de la source. L’ensemble s’homogénéise un peu en quelques mètres. La différence se mesure bien sûr, mais à l’œil, on n’observe pas deux faisceaux différents, sauf sur le premier mètre.

Vu à 90° du faisceau, on voit son ouverture, et sa diffusion.

Dimmer

Le Strike Saber 10 dispose de 4 courbes de dimmers. Elles sont très propres et adaptées à l’usage de ce type de projecteur, notamment la courbe en « S » dont l’amorti est plus raide que pour un PC ou une découpe, mais pour de l’éclairage d’effet dont la source est l’un des aspects directement visibles, c’est très bien.

Courbe de dimmer Square de 0 à 10 %.
Courbe de dimmer Square de 0 à 100 %.

Le fait que les faisceaux soient assez serrés n’est pas franchement un inconvénient, même si ça peut pour le coup déstabiliser l’utilisateur habitué au Sunstrip. C’est un des éléments qui fait du Strike Saber 10 une proposition un peu différente qu’il conviendra d’envisager comme telle.
Par cette caractéristique, cet appareil offre un effet qui peut se rapprocher de certains strips de faisceaux LED assez serrés produisant des volumes de lumière linéaires dans l’espace. On n’est clairement pas sur du faisceau serré, mais la directivité de la lumière a ça d’intéressant que l’on pourra en faire des choses différentes que simplement des points lumineux à intensité variable, du plus faible jusqu’à l’aveuglant.
On peut envisager de simples effets de « herses », en passant par des effets de blinders, jusqu’aux assemblages pour du pixel mapping puisque chaque source peut être contrôlée sur deux couleurs, en 16 bits. A tout ceci, s’ajoute un effet strobe assez percutant que nul halogène ne pourrait générer !

L’effet halogène

Par ses sources en blanc chaud, et ambre, le Strike Saber 10 propose clairement l’effet d’un projecteur de type « halogène ». en commençant par la chaleur de la lumière des sources, pour terminer par les « défauts » qu’elles présentaient et que cherchent à recréer les éclairagistes nostalgiques. Ils y reconnaîtront une connexion avec leurs habitudes et les sentiments qu’ils éprouvent depuis des lustres face au comportement de ces projecteurs.

Effets de chasers avec blanc chaud et ambré.

Le rougeoiement du filament sous alimenté, accentué au fur et à mesure que diminue l’intensité lumineuse, tout comme l’inertie du filament pouvant durer parfois plus d’une seconde quand on coupait au « cut » le projecteur, (curieusement, cette inertie qui, justement, ne se retrouvait pas sur les Sunstrip, mais sur leurs ancêtres, les T8 / T10 dont on ne pouvait pas contrôler les lampes de manière indépendante !!!).
Le Strike Saber 10 propose donc de simuler cet aspect de l’halogène, avec sa configuration possible du dimmer en mode « traditionnal », reproduisant les réactions d’une lampe à filament MR16.

Techniquement, ça dit quoi ?

Les accessoires de fixation, ici en mode accroche verticale avec un crochet CR50.

L’appareil se présente très pratiquement sous la forme d’une barre de section très carrée, d’un mètre de long, avec une excroissance pour contenir l’électronique de commande et les connecteurs sur le centre de l’arrière.
La construction est solide, bien plus que les modèles originaux, toutes marques confondues, qui étaient un assemblage de tôles fines assez calamiteux et qui finissait tôt ou tard broyées quelque part…
En revanche il est un chouïa plus lourd puisqu’il pèse 8 kg mais, détail de taille, il est IP65 ! Ça change tout ! Du coup ce n’est pas un frêle engin fragile à tout, mais une machine costaude capable d’affronter les intempéries et les conditions environnementales hostiles !

Vue de l’appareil en fonctionnement, installé verticalement sur un pied.

Le Strike Saber 10 n’est pas ventilé. Le refroidissement des sources est réalisé par convection naturelle, l’ensemble de la structure externe de l’appareil servant de radiateur. On peut en mettre 200 dans un kit, elles ne produiront pas un poil de bruit…

Le profilé en fonte d’aluminium dont il est majoritairement constitué intègre une glissière à l’arrière de l’appareil (interrompue par le boîtier contenant l’électronique au centre bien entendu) dans laquelle peuvent venir se clipser deux accessoires de fixation permettant soit de poser la barre au sol, soit de l’accrocher dans quelle que position qu’il vous plaira.

Ils se verrouillent sur la longueur du Strike Saber 10 à l’endroit voulu et dans le sens voulu, (parallèlement ou perpendiculairement à l’appareil), il suffit de les faire circuler, et de serrer ensuite la manette de verrouillage au bon endroit. Ces deux accessoires de fixation, orientables à souhait sur 90°, permettront donc de positionner l’appareil dans toutes les inclinaisons possibles. Si c’est au sol par exemple, il pourra s’orienter de la verticale jusqu’à l’horizontale, avec toutes les angulations intermédiaires.

La technique pour connecter les appareils entre eux.

Ces accessoires peuvent recevoir soit un crochet ou clamp directement, mais aussi des oméga si cette méthode d’accroche vous convient davantage (les oméga sont en option). Un port d’accroche pour une élingue est présent à l’arrière de l’appareil.

A l’une des extrémités de chaque barre, se trouve un système de raccordement afin d’assembler les Strike Saber 10 pour former une « ligne » continue. Un petit ergot mobile peut donc sortir à l’aide de son loquet, et se glisser dans l’un orifice du luminaire à assembler. Une goupille à ressort tenue par une petite élingue fixée sur l’arrière viendra verrouiller l’assemblage.

Sur chaque côté du boîtier d’électronique, on trouve les connexions d’alimentation et DMX. D’un côté l’entrée alimentation (en PowerKon Seetronic) et l’entrée DMX (en XLR5 comme il se doit), tandis que de l’autre, on a la sortie recopie alimentation (pour linker plusieurs barres ensemble, notamment avec des câbles hybrides le cas échéant) et la sortie DMX.

Les connecteurs avec leur capot étanche en caoutchouc.

Sur l’arrière, non loin de l’écran de configuration, on trouve un port USB pour effectuer des mises à jour du software, ainsi qu’une valve permettant d’évacuer toute trace de condensation éventuelle à l’intérieur de l’appareil. Chaque connecteur est installé sur une embase avec capot caoutchouc pour garantir l’étanchéité complète.


Fonctionnement

Pour accéder aux fonctions de l’appareil, on a l’écran de contrôle (OLED) avec ses 4 boutons de navigation. Il faut un « mot de passe » d’une combinaison d’appui sur les touches pour en déverrouiller l’accès, ce qui est très pénible lorsque vous devez paramétrer un certain nombre de machines. Heureusement cette fonction est neutralisable (dans le menu) et vous évitera de piquer une crise ! Ce verrouillage peut être pratique dans certains cas pour être certain que rien ne vienne perturber les configurations de l’engin.

L’écran OLED et les 4 boutons de contrôle.

Le menu est simple et clair. Lumineux en blanc sur fond noir, il permet la configuration de l’appareil, dont ses paramètres DMX, mais aussi toutes les options possibles sur les courbes de dimmer, la simulation halogène ou non, etc.
L’engin est RDM mais on pourra tout de même contrôler nombre de ses fonctions directement par le canal « control », afin de pouvoir, en quelques secondes et sans manipulation particulière, même une fois que tout le kit est monté, mettre tout ou partie des machines avec les mêmes courbes de gradation ou les mêmes modes de réaction.

Pratiquement ça marche très bien

Une source de Strike Saber 10 projetée à 5 mètres produit un éclairement au centre de 1600 lux ce qui est tout à fait suffisant pour l’usage qui va en être fait. C’est un produit d’effet, qui n’est pas destiné à éclairer des surfaces ou des sujets, bien que dans l’absolu rien ne l’en empêche. Il pourra satisfaire très tranquillement pour des effets de nez de scène, des « herses – bains de pieds » artistes, etc.
Dans certains modes de contrôle, des canaux sont affectés pour envoyer des patterns de défilement d’effets internes et permettront d’en gérer la vitesse. Certains concernent des effets uniquement « blancs chauds », et d’autres intègrent du blanc chaud et de l’ambré. Ils ne sont pas nombreux, on aimerait que cette collection soit un peu plus étoffée mais ce n’est pas un drame, sachant que la plupart du temps, on va utiliser ces appareils soit avec un générateur d’effets externe, soit en leur envoyant un flux de mapping.
Sa réaction à la réception de flux ou simplement d’un chase est remarquable et peut prendre bien des aspects en fonction de la courbe de dimmer que l’utilisateur aura choisie pour les sources. J’aime beaucoup le côté « faisceau un peu serré » qui va prendre toute sa valeur dès qu’on voudra l’incliner dans différentes directions et qui va permettre, en disposant de plusieurs unités, de générer des effets en volumes tout à fait séduisants.

Vidéo de présentation

Conclusion

Le Strike Saber 10 est une proposition tout à fait intéressante pour de l’effet lumineux scénique typé « halogène » de grande qualité. Il présente des caractéristiques qui lui offrent de nombreuses possibilités parfois bien différentes de ce qu’on a toujours pu envisager avec ce type de « barres à lampes ».
Sa construction IP et ses possibilités d’accroche et d’assemblage finissent de mettre tout le monde d’accord sur son efficacité. Un bien bel appareil !


J’aime :

  • Les faisceaux
  • La qualité de fabrication

Je regrette :

  • Le manque d’effets internes en mode réduit

Tableau général

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CODA Audio France lance les « Rencontres Techniques » !

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CODA Audio France lance les « Rencontres Techniques » ! Des journées gratuites de découverte et d’échanges autour de leurs systèmes de sonorisation.

Pensées pour les techniciens, régisseurs, ingénieurs système et directeurs techniques, ces Rencontres Techniques sont l’occasion de découvrir la marque, d’écouter les produits, et d’échanger avec les équipes France sur leurs technologies et outils (LINUS Control, System Optimiser, protocole Linet).
Une journée conviviale, rythmée par des écoutes, des démonstrations, des discussions entre pairs avec en prime quelques moments de pause partagés.

Ci-dessous toutes les informations pratiques et les liens d’inscription pour les deux premières dates.


Rencontre Technique #1 – PFL Events (Bavans) – 4 novembre 2025

Première étape des Rencontres Techniques chez PFL Events à deux pas de Besançon. Une journée pour échanger entre pros et écouter les systèmes CODA dans des conditions réelles. 20 places maximum.

Inscrivez-vous ici


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Rencontre Technique #2 – Perfect Live (Crissey) – 5 novembre 2025

Deuxième étape des Rencontres Techniques, cette fois chez Perfect Live, près de Chalon-sur-Saône. Une nouvelle occasion d’échanger entre professionnels et d’écouter les systèmes CODA dans des conditions réelles. 20 places maximum.

Inscrivez-vous ici

Nouveau cap pour MID : GLP entre en scène

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(de gauche à droite) Nicolas Granval Directeur associé de MID, John Artonne éclairagiste et Yohan Ory, chef produit lumière chez MID.

Mid (Musique Industrie Développement) diversifies ses activités en prenant en distribution la carte GLP.
Le recrutement de Yohan Ory comme chef produit lumière et aujourd’hui l’inauguration d’un tout nouveau Showroom basé au Parc de l’Événement à Longjumeau sont les premières pierres d’un projet de développement de long terme comme l’explique Nicolas Granval son PDG :
« Notre ADN vient du milieu de l’audio. Il y a quelques années est arrivée chez nous la partie vidéo du fait d’une prise de conscience des convergences des technologies qui se poursuit avec la lumière »

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Les prestataires et éclairagistes de renom sont présents pour l’inauguration du nouveau showroom dédié à GLP, preuve de l’intérêt des pros pour cette marque européenne.

SLU : Quand GLP vous a approché pour vous proposer la distribution en France, quelle a été votre réflexion ?

Nicolas Granval : Pour nous, distribuer de la lumière a été vu comme un nouveau challenge. Nous avons constitué une équipe avec Yohan Ory notamment qui est un ancien de chez Martin. C’est un super mec qui nous fait l’honneur de nous rejoindre.
Pour gagner en crédibilité, il fallait que l’on puisse présenter les machines d’où la création de ce showroom au Parc de l’Événement, ce qui a du sens car beaucoup de prestataires qui connaissent déjà bien la marque sont proches géographiquement. Ça nous permet de mettre un pied dans le business de manière intelligente.

Les espaces sont visuellement ouverts grâce à leurs cloisons de verre élégantes et modernes.

SLU : Avez-vous pour objectif de développer votre offre lumière dans le futur ?

Nicolas Granval : Tout dépend de ce que tu appelles le futur. A court terme nous avons déjà un gros bébé qui s’appelle GLP et qui nous prend beaucoup d’énergie et de temps. On est toujours ouvert aux propositions portées notamment par les jeunes qui travaillent chez MID et auxquel je dis souvent oui parce que je suis faible face aux bonnes idées (rire). Mais maintenant il va falloir se concentrer pour développer GLP et construire une image qui soit fidèle à la qualité premium de la marque. Il y aura certainement d’autres développements mais c’est bien d’avancer par étapes.

SLU : Aujourd’hui les plus gros prestataires sont invités, comment avez-vous prévu l’événement ?

Nicolas Granval : C’est toujours compliqué de faire un gâteau pour Pierre Hermé (rire). Le show a été confié à John Artonne, éclairagiste de Barbara Pravi, d’Hervé et ami de Yohan qui a été séduit par le projet.

Il explique « C’est bonne ambiance, c’est fun et on a des super gammes de produits, ce qui fait qu’on s’amuse beaucoup. Hors plan, nous avons passé trois jours d’encodage sur place pour créer un show plutôt orienté live qui dure 8 minutes au total. On voulait proposer un showroom qui soit hybride entre démonstration et plan de feu de tournée. »

Yohan Ory chef produit lumière de MID explique : « Les projecteurs GLP sont très réputés et situés dans le haut de gamme à côté de Martin, Robe ou Ayrton et en termes de prix aussi. Ces dernières années, GLP était moins actif en France que dans d’autres pays et le but de MID est de relancer la marque en France avec les nouveaux modèles.

Du fait de son installation en intérieur, le Sky tracer à LED Mad Maxx ne joue ici qu’à 20% de sa puissance mais à full, il peut projeter jusqu’à 5 km Un gros bébé de 200kg qui ne laissera personne indifférent et surtout pas Baptiste Moissant opérateur grandMA3.

SLU : Quelle est la réaction du public pour le Mad Maxx ?

Yohan Ory : A la base, la conception de ce produit visait à montrer de quoi est capable GLP en concevant la machine la plus puissante au monde, comme une image de marque. On n’espérait pas de gros volumes de ventes mais finalement sa source LED et non laser lui permet d’éviter de nombreuses contraintes et les utilisateurs y sont sensibles. Nos essais prouvent que le faisceau peut porter jusqu’à 5 kilomètres facilement.


Yohan Ory chef produit lumière chez Mid. Il pourra répondre à vos questions les plus osées sur la gamme GLP.

SLU : Yohan, où est installé ton bureau

Yohan Ory : Je suis principalement à Longjumeau mais je vais me déplacer partout en France pour aller à la rencontre des éclairagistes et des prestataires et leur présenter les produits. J’ai déjà démarré et de gros projets se dessinent ce qui est motivant.
Ce qui est génial, c’est qu’on ne concurrence pas des marques existantes mais on vient les complémenter car pour moi GLP est principalement une marque de projecteurs à effets ce qui nous nous donne une valeur ajoutée en France.

Avec l’inauguration d’un showroom dédié à la lumière permettant de présenter les projecteurs GLP dont il est le nouveau distributeur en France, MID confirme son ambition de repousser les frontières entre son, lumière et vidéo.
En s’entourant de talents comme Yohan Ory et de partenaires techniques d’envergure, l’entreprise inscrit son développement dans une dynamique de progression intelligente. Une nouvelle étape comme un avant-goût des possibles avec GLP comme partenaire de création.

D’autres informations sur le site GLP et sur le site MID

Grace for the World s’appuie sur les consoles DiGiCo pour diffuser un message mondial de fraternité

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Le 13 septembre 2025, la Cité du Vatican à Rome a accueilli Grace for the World, le tout premier concert organisé sur la place Saint-Pierre, qui aurait attiré plus de 250 000 personnes sur cette place vénérable.
Cet événement, accompagné d’un spectaculaire vol de drones au-dessus de la chapelle Sixtine, a clôturé la « Rencontre mondiale sur la fraternité humaine 2025 », un rassemblement de deux jours qui a réuni des personnes du monde entier pour réfléchir à l’humanité à une époque marquée par des défis sociaux et environnementaux, ainsi que par des progrès technologiques rapides.

L’ingé son Kyle Hamilton mixe l’événement à la face sur une Quantum852. Remarquez aussi sa paire de moniteurs Neumann KH 310. Le défunt pape François est représenté par un large ensemble de drones au-dessus de la chapelle Sixtine.

Également diffusé en direct sur Disney+, Hulu et ABC, un large public additionnel s’est connecté pour assister aux messages musicaux inspirants délivrés par une brochette de stars, dont les co-directeurs Andrea Bocelli et Pharrell Williams, ainsi que John Legend, Jennifer Hudson, Jelly Roll, Karol G et bien d’autres. Pour garantir une qualité sonore irréprochable lors de cet événement historique, deux consoles DiGiCo Quantum852, fournies par le filiale berlinoise de Clair Global, ont été utilisées pour la face et les retours.

« C’était plus qu’un concert, c’était un véritable événement, et la diffusion l’a placé au même niveau qu’une cérémonie de remise de prix de classe mondiale », observe Jeremy Peters, qui travaille au bureau de Sound Image, filiale de Clair Global, à Escondido, en Californie, et qui a été co-concepteur audio de l’événement avec le superviseur audio Michael Abbott. « C’était littéralement l’équivalent d’une retransmission des Grammy Awards, mais sur la place Saint-Pierre, comme si c’était à Las Vegas ! Il a fallu un véritable travail d’équipe pour y parvenir en si peu de temps, mais tout s’est vraiment très bien passé. »

Jeremy Peters, qui a mixé les retours pour les artistes se produisant dans le spectacle, comme il le fait depuis des années pour Pharrell Williams lors de ses tournées, explique que le projet semblait au départ assez classique « Au début, je pensais simplement : « C’est un show normal de Pharrell avec quelques invités, nous allons monter un système audio avec quelques micros et écouteurs supplémentaires, et le tour est joué. » Mais ce n’était pas du tout le cas », dit-il en riant.

Jeremy Peters aux commandes de la Quantum852 pour cet événement musical complexe.

C’est pourquoi Peters dit avoir opté pour la Quantum852, la console que lui et l’ingéFOH Kyle Hamilton utilisent religieusement depuis son lancement. « Je l’ai utilisée avec Doja Cat à Coachella, avec Usher et avec Stevie Wonder, c’est donc ma console de prédilection quand je dois travailler », explique-t-il. Il apprécie son aspect analogique, mais aussi le fait qu’elle mette autant d’informations à sa disposition.

« Pour les retours d’un spectacle comme celui-ci, c’est essentiel », dit-il, soulignant que le nombre de sorties de monitoring était presque maximal. Et cela avec toute la gamme de retours possibles : IEM, wedges d&b et L-Acoustics, subwoofers, Butt-Kicker et couverture pour un chœur de 350 voix. « J’avais bien plus de 90 aux, des centaines et des centaines de voies, six SD-Racks et une interface Orange Box pour les E/S du virtual. Kyle et moi partageons normalement les racks, nous avons donc utilisé plusieurs matrices audio multiformat Prodigy MX pour sortir des racks de scène et envoyer tous ces flux au car régie via MADI », explique-t-il.

Bien qu’il soit fan du traitement Quantum, en particulier de Mustard, Peters affirme que c’est la flexibilité de la console qui a permis de faire fonctionner le tout. « Ce spectacle comportait beaucoup plus d’entrées et de sorties que je n’avais jamais eu à gérer. Normalement, lors d’un événement comme celui-ci, vous avez deux ingés aux retours, deux ingés à la face, un mixeur pour les talks, etc. Mais ici, il n’y avait qu’un seul mixeur à la face et tout le reste passait par moi sur scène. Mais il n’y a aucune autre console sur laquelle je voudrais travailler pour faire ce spectacle. La flexibilité de la Quantum852, la surface de travail… Il n’y a rien de comparable. »

La place Saint-Pierre avec la basilique servant de décor, la photo étant prise depuis la régie FOH. La scène est au niveau du sol. Dos à la basilique on aperçoit l’immense chœur.

Kyle Hamilton, ingé FOH de Grace for the World, est également fan du traitement Mustard, en particulier de ses capacités de gate, de compresseur et d’égalisation. Mais, comme son collègue du monde du monitoring, sa première préoccupation était de savoir comment gérer près de 300 entrées avec une grande variété d’artistes sur scène. « Entre l’orchestre de 90 musiciens et la chorale, ils ont dit que le nombre total d’entrées serait proche de 500 », se souvient-il. « Je sais juste qu’il y avait une foule de gens sur scène, sans compter le groupe principal lui-même. »

La Quantum852 lui a offert la puissance de traitement dont il avait besoin pour gérer tous les instruments captés individuellement sur scène, ce qui a particulièrement aidé à contrôler l’impact des percussions dans cet espace réverbérant. En fait, selon lui, tout était une question de gestion.
« La Quantum852 a été à la hauteur, à 100 % », dit-il. « Les multiples layers de la surface, la flexibilité du routage… tout cela nous a permis de maîtriser cette infrastructure gigantesque. Le workflow nous a permis de faire plusieurs choses en même temps, car chacun avait des besoins différents, souvent en même temps ! Cette flexibilité était donc énorme. Aucune autre console n’aurait pu gérer cela. »

Une chose dont Hamilton n’avait pas besoin parmi les nombreuses fonctionnalités de traitement intégrées au Quantum852 était la réverbération. « Nous étions sur la place Saint-Pierre, mec », dit-il, émerveillé par ce souvenir sonore. « Toutes ces pierres et ce verre. Nous avions une réverbération qui aurait coûté des milliers d’euros dans un studio d’enregistrement. On pourrait dire que c’était paradisiaque. »

D’autres informations sur :

– Grace for the World
– Clair Global
– DV2 DiGiCo

MAXO-LOCATION recherche un.e Responsable Lumière et Vidéo H/F

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Implantée depuis plus de 10 ans en Guadeloupe, la société MAXO-LOCATION est leader dans la location de matériel audio-visuel et l’organisation de prestations dans l’événementiel. Parce que chaque client est unique MAXO-LOCATION s’engage à réaliser des prestations de qualité et personnalisées !
Nous recherchons un.e Responsable Lumière et Vidéo h/f pour encadrer une équipe de techniciens et réaliser la programmation lumière ainsi que la gestion des dispositifs vidéo (écrans LED, moniteurs, vidéoprojecteurs, etc.).

Cliquez sur l’image de l’annonce ci-dessous pour y accéder :

Ayrton lance MagicDot Neo : une nouvelle sphère créative

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Ayrton MagicDot Neo

Ayrton lance le MagicDot Neo, la dernière évolution de sa gamme MagicDot et le dernier né de sa série Creative IP65. Extrêmement compact, léger, ultra-rapide et puissant, le MagicDot Neo est un luminaire cylindrique conçu pour un maximum de precision et doté d’une lentille de 100 mm intégrée dans sa tête sphérique.

Ayrton MagicDot Neo

Miniaturisation extrême
Les performances du MagicDot Neo reposent en grande partie sur sa miniaturisation et sa forme cylindrique minimaliste. Il mesure seulement 35 cm et bénéficie d’une double rotation continue sur les axes pan et tilt.
Les luminaires peuvent être regroupés avec un espace minimal entre eux, pour créer des matrices ultra-compactes mais aussi des cercles concentriques dans lesquels les appareils semblent comme fusionnés.

Une variété ultime
Équipé d’une toute nouvelle source LED multi-puces RGB-L de 120 W associée à une optique haute efficacité de 100 mm, le MagicDot Neo produit un flux de 3 000 lumens pour une consommation électrique globale de seulement 160 watts, et un éclairement de 16 000 lux à 5 m.
Le MagicDot Neo peut passer instantanément du mode Beam au mode Wash, offre un rapport de zoom de 10:1, un angle de faisceau allant de 3° à 30° et un faisceau lumineux uniforme ainsi que des couleurs riches, saturées et pastel. Son indice de protection IP65 étend sa polyvalence à l’éclairage de scène pour une utilisation en intérieur et en extérieur, et convient même aux environnements salins.

LiquidEffect™ haute définition
Pour la toute première fois, MagicDot Neo est équipé du LiquidEffect™ d’Ayrton, qui utilise 60 LED RGB sur le pourtour de son faisceau. Ce projecteur est donc capable de créer des effets multicolores étonnants, des d’éclairage organiques et des effets volumétriques complexes pour des représentations scéniques inédites.

Refroidissement sur mesure
La puissance élevée de cette source LED est gérée efficacement par la solution de refroidissement sur mesure d’Ayrton, basée sur une technologie à caloducs.

Légèreté
Grâce à une réduction drastique de l’épaisseur des composants en aluminium, à l’optimisation du système de refroidissement, à la simplification des montures de lentilles et à l’intégration de pièces optiques à faible densité, le poids du MagicDot Neo a été considérablement réduit à 6,6 kg, ce qui le rend plus rapide que jamais.


Vidéo officielle de lancement du MagicDot Neo

En conclusion

Projecteur élégant et méticuleusement conçu, doté d’une signature visuelle unique, le MagicDot Neo est un concentré de technologie dans un boîtier compact, capable de produire des effets scéniques spectaculaires.

Plus d’informations sur Ayrton et sa gamme complète de produits LED et laser ayrton.eu et sur le site Axente

Robe Lighting France fête ses 10 ans et inaugure ses nouveaux locaux

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L’entrée de Robe Lighting France donne le ton avec une mise en valeur des marques et des innovations du groupe.

Pour marquer ses 10 ans d’existence, Robe Lighting France a ouvert les portes de ses tout nouveaux locaux situés à Villepinte, lors de soirée exclusive les 24 et 25 septembre derniers.
L’événement, pensé comme une parenthèse chaleureuse, a rassemblé partenaires, collaborateurs et invités pour célébrer une décennie de passion autour de la lumière et de l’innovation.

Bruno Garros prends la parole et une partie de l’équipe France, accompagnée de Josef Valchar, écoutent le déroulé du développement de la succursale avec attention.
Trois mois après l’ouverture de la filiale France, Dushow signe un bon de commande pour 44 BMFL destinés à éclairer la tournée de Johnny Hallyday dont l’éclairagiste était Dimitri Vassiliu. Une étape symbolique raconte Bruno Garros.

Josef Valchar, CEO du groupe Robe monde.

Les invités ont pu découvrir un espace flambant neuf, incluant un showroom dédié aux essais de projecteurs, un studio d’enregistrement vidéo, ainsi que des espaces de bureaux conviviaux aux couleurs emblématiques de la marque.
Un soin particulier a été apporté aux zones de service après-vente, pour offrir un support encore plus efficace et professionnel aux techniciens évoluant dans ce service.

Les bureaux des techniciens SAV ont été repensés pour intégrer un outillage au top afin de satisfaire au mieux les demandes des clients.
(En haut) Une nouvelle salle de réunion grande capacité et toute équipée permet à l’équipe d’accéder à un véritable confort de travail. (En bas) Les couloirs larges et lumineux retracent l’histoire de Robe.
Une décoration rouge et noir évoque les couleurs de Robe pour une ambiance particulièrement accueillante dans les espaces communs.

En bref, ces deux soirées ont été l’occasion de célébrer une belle étape, et de remercier tous ceux qui font briller l’aventure Robe depuis 10 ans déjà.

(En haut) L’équipe technique et commerciale de Robe Lighting France prend la pose. (En bas) Les pionniers du milieu sont présents avec à gauche Frederic « Aldo » Fayard le PDG de Concept K et à sa droite, Eric Alvergnat, le fondateur du prestataire Dushow aujourd’hui intégré au groupe Novelty.
(En haut) l’équipe SAV de Robe France au grand complet. (En bas) l’équipe en charge de l’organiation de ce superbe événement emmené par Tom Marchandiau (au centre) le nouveau responsable communication.

(A gauche) JJ Valchar, le fils de Josef, Directeur de l’usine Robe depuis 2015 (à droite) un public de professionnels attentifs aux évolutions d’une marque qui les a toujours écouté.

Amadeus intensifie sa stratégie de R&D avec l’arrivée de nouveaux talents

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Amadeus, pionnier dans la conception d’enceintes acoustiques haut de gamme et de solutions électroacoustiques sur-mesure, annonce une nouvelle étape de croissance marquée par l’expansion de son équipe R&D et un engagement accru en faveur de l’innovation et du développement de nouveaux produits.

Face à la demande croissante de solutions audio sur mesure dans les domaines du spectacle vivant, de l’architecture et des installations immersives, Amadeus investit à la fois dans les talents et dans l’innovation technologique afin de continuer à façonner l’avenir du son.
Dans un contexte de demande croissante pour des solutions audio sur mesure du spectacle vivant au corporate, en passant par le luxe, l’hôtellerie, les sites culturels emblématiques et les installations immersives, Amadeus investit à la fois dans les talents et dans l’innovation technologique pour continuer à façonner l’avenir du son.

L’entreprise a le plaisir d’accueillir de nouveaux ingénieurs et chercheurs dont l’expertise témoigne d’un engagement commun envers l’excellence en électroacoustique, en traitement du signal et dans les applications acoustiques concrètes.

Adrien De Giovanni

À la tête de ce nouveau chapitre, Adrien De Giovanni, Ph.D., rejoint Amadeus en tant que nouveau Directeur de la Recherche et Développement. Son parcours académique débute en classe préparatoire physique, technologie et sciences de l’ingénieur (PTSI) à Versailles, suivi d’un diplôme d’ingénieur de l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers, puis d’un Master en Ingénierie Acoustique à l’ENSTA (Institut Polytechnique de Paris). Il obtient ensuite un doctorat en systèmes de physique couplés à l’Université Grenoble Alpes, où ses recherches portent sur les micro-actionneurs piézoélectriques appliqués aux écouteurs à conduction cartilagineuse.

Chez Amadeus, Adrien De Giovanni supervise le développement de systèmes de haut-parleurs avancés et de solutions acoustiques de nouvelle génération, guidé par la conviction que la physique doit être au service d’expériences sonores réelles et sensibles.
Il s’attache à poursuivre la vision technologique de l’entreprise avec la même exigence de qualité sonore qui a marqué les 33 années d’héritage R&D de Michel Deluc.

Michel Deluc

Pour De Giovanni, l’évolution actuelle du marché ne se résume pas à la recherche de systèmes plus compacts et efficaces, mais ouvre surtout l’opportunité de repenser la gestion de la dispersion, en particulier dans les basses fréquences, et de développer de nouvelles stratégies pour façonner le son avec précision et contrôle.
Ses recherches s’étendent de l’optimisation de la directivité des haut-parleurs et de la gestion active de l’acoustique des salles, à la réduction de la pollution sonore grâce à des technologies innovantes, le tout dans le but de créer une relation harmonieuse entre les systèmes de diffusion et leurs environnements acoustiques, plutôt que de les laisser agir en opposition.
Pour répondre à la demande croissante de développements sur mesure, reflet de la philosophie artisanale d’Amadeus, il rationalise également les processus de conception grâce à des outils de modélisation, de simulation et de validation expérimentale de pointe.

De Giovanni explique : “La série de haut-parleurs NUMAX constitue une première étape en ce sens, combinant une section grave avec rejet arrière contrôlé, et une section médium-aigu intégrant un guide d’ondes original qui charge à la fois un moteur à compression et un transducteur médium à cône. Le résultat est un système offrant un contrôle de directivité cohérent sur presque tout le spectre audible.
À l’avenir, développer des haut-parleurs de basses fréquences accordés à l’impédance de l’air pourrait considérablement réduire les besoins en puissance sans compromettre le niveau ou la qualité sonore. Notre série de subwoofers MAESTRO illustre déjà cette philosophie et continuera d’évoluer vers des formats plus compacts. Enfin, à mesure que l’audio spatial en temps réel se développe, les haut-parleurs doivent être conçus avec une excellente réponse hors axe pour pleinement soutenir les technologies immersives. ”

Adrien De Giovanni dirige également plusieurs programmes d’innovation deep tech chez Amadeus – pour la plupart confidentiels – incluant des méthodes de conception paramétrique appliquées aux guides d’ondes moyennes/hautes fréquences.
“Nous développons activement des outils basés sur de la simulation par éléments finis pour la conception paramétrique de guides d’ondes moyennes et hautes fréquences. En exploitant des simulations de couverture et de réponse impulsionnelle, il est possible de générer automatiquement des géométries de guides d’ondes optimisées pour des enceintes destinées aux contextes d’installation fixe.
La capacité de façonner algorithmiquement la directivité d’un système – à partir de réponses acoustiques simulées ou mesurées in situ – représente l’ultime prolongement de notre héritage ‘Haute Couture’, où chaque guide d’ondes peut être conçu comme une réponse véritablement sur-mesure aux contraintes architecturales et acoustiques d’un espace donné ”, explique Adrien De Giovanni.

Numa Galipot

Contribue également à cette dynamique Numa Galipot, Ingénieur électroacousticien diplômé d’un Master en Acoustique et Vibrations de l’École Nationale d’Ingénieur du Mans. Depuis trois ans, il participe activement au développement de modèles Amadeus tels que le C 3, C 4, CX 15 R et DIVA M² SUB NEO. Il intervient sur l’ensemble du cycle de vie des produits de la R&D à la fabrication et assure régulièrement la calibration des systèmes in situ dans des lieux prestigieux, garantissant une performance sonore optimale dans chaque espace.

Numa Galipot évoque Piano Rubato, son premier projet chez Amadeus, comme l’un des plus inspirants. Conçu par les artistes Mélissa Von Vépy et Stéphan Oliva, ce dispositif scénique met en scène un piano de concert niché dans l’épave d’un navire, surmonté d’un mât oscillant pointé vers le ciel. Cet instrument sculptural et mobile nécessitait un système de diffusion sur mesure capable de reproduire le comportement acoustique d’un piano à travers les réflexions, les effets de baffle et les résonances.
“Le voir prendre vie sur scène relevait de la magie pure ”, se souvient Numa Galipot. “Ce que j’apprécie le plus chez Amadeus, c’est de pouvoir m’impliquer du concept à la livraison, et de travailler main dans la main avec l’équipe pour façonner chaque projet avec soin et précision. ”

Hector Teyssier

Rejoint également cette équipe dynamique Hector Teyssier, doctorant CIFRE dont le parcours académique s’étend de l’Université McGill à Queen Mary University of London, en passant par Audiokinetic. Depuis janvier 2025, il mène une thèse co-encadrée par l’IRCAM, l’équipe R&D d’Amadeus et HOLOPHONIX. Ses recherches portent sur la prédiction et l’optimisation des performances des systèmes de spatialisation sonore en fonction des contextes de reproduction — en combinant simulation acoustique, modélisation perceptive et stratégies d’optimisation avancées.
“Mon objectif est de développer des outils qui permettent aux créateurs et aux professionnels de façonner le son immersif de manière intuitive mais scientifiquement fondée ”, explique-t-il. “Grâce à ma thèse menée conjointement avec Amadeus et le laboratoire EAC de l’IRCAM, j’ai la chance d’évoluer à l’intersection de la recherche académique et de la pratique industrielle, là où l’ambition créative rencontre la précision technique.
Notre but est de rendre les technologies immersives plus transparentes, ajustables et déployables. Parmi les défis à venir figurent la modélisation de la perception auditive humaine et l’optimisation des configurations de haut-parleurs afin d’élargir la zone immersive idéale, là où l’expérience est la plus juste et la plus marquante. ”

Axel Jougleux

Axel Jougleux, actuellement en Master international d’Électroacoustique à l’Université du Mans, apporte une formation pluridisciplinaire en ingénierie, traitement du signal et acoustique. Diplômé de l’Université de Technologie de Compiègne et de l’Université de Chalmers en Suède, ses recherches chez Amadeus portent sur l’absorption acoustique active, le contrôle des haut-parleurs et l’implémentation temps réel de DSP. En 2026, il entamera une thèse de doctorat en partenariat avec Amadeus.

“Ce qui me passionne, c’est de comprendre profondément la théorie, de savoir d’où viennent les équations et les phénomènes. Mais ce qui compte tout autant pour moi, c’est de relier cette théorie au réel : comment les idées expliquent ce que nous observons et comment elles nous aident à améliorer les systèmes. Chez Amadeus, j’ai l’opportunité de mettre cet état d’esprit en pratique : transformer des principes abstraits en outils acoustiques tangibles et performants ”, explique Axel Jougleux.


Yassine Zaim

Portant la croissance internationale de la société Amadeus, Yassine Zaim, Directeur des Ventes Internationales, met à profit plus de dix ans d’expérience à l’intersection de la musique, de la technologie et du développement des affaires. Multi-instrumentiste diplômé de grandes institutions en France, aux États-Unis et au Brésil, il a occupé des postes stratégiques chez Roon Labs et Devialet. Chez Amadeus, il s’attache à bâtir des partenariats solides et à promouvoir les solutions audio innovantes de l’entreprise à travers le monde.

“Chez Amadeus, nous considérons l’innovation comme une responsabilité : anticiper les défis artistiques et techniques de demain et y répondre avec précision, élégance et sens. Ce qui nous distingue, c’est notre exigence d’excellence, notre compréhension des environnements complexes, et notre conviction que le son, lorsqu’il est pensé avec soin, peut sublimer chaque dimension d’un projet ”, dit Yassine Zaim.


Helen Karam

Contribuant à l’évolution de l’image de marque d’Amadeus, Helen Karam, Brand Content Creator, met au service de l’entreprise son approche multidisciplinaire de la narration visuelle. Titulaire d’un Master en Photographie et Art Contemporain (Université Paris 8), elle a forgé son expérience dans les secteurs du luxe, du lifestyle et de l’hôtellerie.
Chez Amadeus, elle conçoit et coordonne la stratégie de contenus, en pilotant la production photo, vidéo, social media et communication presse. Son objectif : traduire la complexité des systèmes sonores en récits accessibles et émotionnellement résonants.

L’arrivée de ces nouveaux talents illustre la conviction profonde d’Amadeus : les systèmes sonores les plus novateurs naissent de la rencontre entre l’art, la science et la précision de l’ingénierie.


Gaëtan Byk

“Constituer une équipe capable d’honorer l’héritage façonné par Michel Deluc n’a pas été une tâche aisée. Michel était une figure unique alliant expertise en électronique, acoustique et électroacoustique, oreille exceptionnelle et sensibilité musicale, avec l’âme d’un contrebassiste de jazz. Il m’a fallu près de deux ans pour réunir des personnalités partageant cette même passion, cette même fascination pour l’intersection de l’art et de la technologie, et ce même désir de créer des outils au service de l’expression artistique ”, explique Gaetan Byk, actionnaire majoritaire et Président de la société Amadeus. “Avec de tels talents, aussi humbles que brillants, je n’ai aucun doute qu’Amadeus entre dans un chapitre audacieux, plus avant-gardiste et disruptif que jamais, tout en restant fidèle à l’ADN insufflé par ceux qui nous ont précédés ”, poursuit-il.

“Cette nouvelle équipe, dirigée par Adrien de Giovanni, nous permet d’explorer des domaines de recherche de pointe qui me passionnent depuis longtemps : le contrôle ultra-précis de la directivité par beamforming tridimensionnel, le développement d’absorbeurs actifs et de métamatériaux, la simulation complexe de systèmes immersifs en champ libre comme en environnements réverbérants enrichie de critères perceptifs, et bien d’autres encore. Ces explorations témoignent de notre volonté de façonner l’avenir de l’acoustique et de l’électroacoustique. Notre collaboration étroite avec les équipes de recherche de l’IRCAM et notre société sœur HOLOPHONIX alimente des synergies uniques entre science, art et ingénierie ”, conclut Gaetan Byk.

Plus d’informations sur Amadeus

La comédie musical Maybe Happy Ending brille avec 58 projecteurs Ayrton Diablo S

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La comédie musical Maybe Happy Ending brille avec 58 projecteurs Ayrton Diablo S. L’éclairagiste Ben Stanton, nommé cinq fois aux Tony Awards, a choisi 58 projecteurs Ayrton Diablo S pour Maybe Happy Ending, la comédie musicale sud-coréenne racontant l’histoire de robots humanoïdes assistants qui développent une relation.

Maybe Happy Ending a été créée à Séoul en 2016 et a participé à de nombreuses tournées internationales avant d’arriver au Belasco Theatre de Broadway en septembre 2024. La production, largement saluée, a récemment remporté six Tony Awards, dont celui du Meilleur Musical, tandis que Stanton a reçu une nomination pour sa conception lumière.

Avant Maybe Happy Ending, Stanton avait utilisé divers projecteurs Ayrton pour des tournées de concerts, mais jamais pour des productions théâtrales. Pour ce spectacle, il avait besoin « d’un projecteur très petit mais puissant, capable de devenir un atout majeur pour le design », et le Diablo a parfaitement répondu à ces exigences.

« J’avais besoin d’un projecteur qui puisse s’adapter aux rampes de balcon du magnifique Belasco Theatre, ainsi qu’à de très petits espaces au-dessus de la scène, » se souvient-il. « L’électricien en chef, Justin Freeman, m’a recommandé d’examiner les Diablo, car c’est un projecteur compact qui s’intègre parfaitement aux positions FOH (front of house). »


Ayrton Diablo S

Stanton précise que la taille n’a pas été le seul facteur déterminant dans le choix des Diablo : « Leur qualité de couleur, leurs optiques et leur puissance ont aussi joué un rôle important, » dit-il.
PRG a fourni à Stanton 54 projecteurs Diablo S actifs et 4 de rechange. Certains sont montés sur la rampe de balcon, où ils servent principalement de lumières de face. Il utilise le système de volets du Diablo pour modeler la lumière selon les ouvertures des portails mobiles du décor, une tâche pour laquelle il les juge « fiables et précis ».
D’autres Diablo sont suspendus au-dessus de la scène sur des structures de 30 cm (12 pouces), servant de lumières latérales et arrière. « Nous pouvons aussi abaisser ces projecteurs entre les dalles du plafond vidéo pour éclairer certaines zones de la scène, » souligne Stanton.

« Les Diablo ont dépassé nos attentes. Pour leur taille, leur puissance est impressionnante et la qualité des couleurs est vraiment magnifique. L’un des éléments marquants de ce design est la façon dont nous utilisons la couleur. Une grande partie de la comédie musicale se déroule dans de petites pièces blanches ressemblant à des appartements, et une grande partie de la narration de Maybe Happy Ending repose sur l’utilisation de couleurs saturées dans ces espaces. Le mélange de couleurs de ce projecteur nous a permis de créer de très beaux champs colorés. Associé aux volets, gobos et optiques, le Diablo était le projecteur idéal pour cette production. »

PRG a également fourni à la production des générateurs de brume MDG ATMe ainsi que des générateurs de brouillard MDG MAX 3000 APS. ACT Entertainment est aussi le distributeur exclusif de la marque MDG en Amérique du Nord. « Je spécifie les effets atmosphériques MDG pour tous les projets où je le peux ; ce sont de loin les meilleures machines pour les productions théâtrales, » explique Stanton.
« La brume à base de CO₂ est beaucoup plus fine et homogène que les autres types d’atmosphères. L’ATMe fonctionne durant la majeure partie du spectacle, tandis que le générateur de brouillard est utilisé pour les effets spéciaux plus intenses vers la fin. »

Pour cette production, Ken Elliott est le concepteur lumière associé, Kat Morrill est l’assistante conceptrice lumière responsable des poursuites, et Ron Schwier est l’électricien de production.

Plus d’informations sur leur site www.ayrton.eu et sur le site Axente

L-Acoustics crée une division immobilière mondiale afin de soutenir sa croissance stratégique et son innovation

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L-R - Gérald Yven, Global Real Estate Director de L-Acoustics, Christian Heil, Président et fondateur de L-Acoustics, et Anne Hamlet, Chief People Officer L-Acoustics lors de l'inauguration du nouveau siège social de L-Acoustics à Massy, en France.

L-Acoustics a créé une nouvelle division immobilière mondiale sous la direction de Gérald Yven son directeur. Cette initiative stratégique garantit que les installations de L-Acoustics sont à la hauteur de l’excellence de ses technologies audio, créant des environnements inspirants qui favorisent l’innovation et la collaboration pour les professionnels du son, les partenaires commerciaux, les membres de l’équipe et les artistes invités dans le cadre des activités internationales en pleine expansion de l’entreprise.

L-R – Gérald Yven, Global Real Estate Director de L-Acoustics, Christian Heil, Président et fondateur de L-Acoustics, et Anne Hamlet, Chief People Officer L-Acoustics lors de l’inauguration du nouveau siège social de L-Acoustics à Massy, en France.

La division Immobilier supervisera les investissements significatifs de L-Acoustics dans son portefeuille immobilier mondial, tant commercial qu’industriel, en coordonnant les projets majeurs, de l’acquisition et la rénovation de sites à la conception et la construction d’espaces spécialisés L-Acoustics tels que les studios de création et les showrooms. Cette approche centralisée garantit une mise en œuvre cohérente de l’identité de marque et des normes opérationnelles de L-Acoustics dans tous ses sites à travers le monde.

Hervé Guillaume, co-CEO de L-Acoustics.

« La création de la division Immobilier mondiale représente une étape cruciale dans l’accompagnement de notre trajectoire de croissance », a déclaré Hervé Guillaume, co-PDG de L-Acoustics. « En centralisant notre stratégie immobilière, nous pouvons garantir que chaque espace, de notre siège social à nos studios internationaux, reflète notre engagement en faveur de l’innovation et offre un environnement optimal à nos équipes pour fournir des solutions exceptionnelles à nos clients. »

Le mandat de cette nouvelle division va au-delà de la gestion traditionnelle des lieux et bâtiments et englobe désormais la sélection stratégique des sites et leur développement sur les marchés mondiaux. En normalisant les pratiques de gestion des espaces, l’équipe garantit une cohérence opérationnelle qui profite en fin de compte au réseau mondial de partenaires et de clients de L-Acoustics grâce à une amélioration de la prestation de services et d’accompagnement.

Parmi les récentes réalisations de la nouvelle division, citons la création du nouveau siège social de L-Acoustics à Massy, en France, qui a libéré de l’espace au siège social initial de Marcoussis afin de se concentrer sur les activités de R&D, et la création d’un studio créatif L-Acoustics à Rock Lititz, où les ingénieurs du son peuvent apprendre et perfectionner leurs techniques de mixage à l’aide de la technologie immersive L-ISA de L-Acoustics.
L’équipe a également supervisé l’agrandissement des bâtiments de production en France et en Allemagne, ainsi que l’ouverture d’un deuxième centre d’innovation L-Acoustics à Londres, sans oublier les améliorations apportées au siège mondial de Westlake Village afin d’en accroître le confort et l’efficacité. De plus, des panneaux solaires sont en cours d’installation sur tous les bâtiments appartenant à l’entreprise en France, dans le but d’atteindre une balance énergétique nette de zéro.

Vue extérieure du nouveau siège social de L-Acoustics à Massy, en France.

Gérald Yven apporte à son poste une vaste expertise en finance et en gestion de projets, grâce à son expérience antérieure dans la gestion immobilière chez Generali et Unibail-Rodamco-Westfield. Son équipe comprend Nassieba Adref, responsable des opérations de maintenance, qui assure le bon fonctionnement quotidien des structures dans le monde entier avec des équipes internes et des partenaires locaux de gestion immobilière, et Camille Bertrand, chef de projet immobilier, qui pilote les grands projets de rénovation et le développement de nouveaux espaces lorsque L-Acoustics acquiert ou loue de nouveaux sites.

Salle de réunion au centre d’innovation de L-Acoustics à Kentish Town, Londres.

Notre stratégie immobilière centralisée nous permet de créer des espaces qui favorisent la collaboration, l’innovation et le bien-être de nos équipes, ce qui se traduit directement par un meilleur service et un meilleur support pour nos clients et partenaires », a déclaré M. Yven.

« Nous nous engageons également à gérer notre parc de manière responsable, en minimisant les déchets et en optimisant les dépenses, afin que chaque décision que nous prenons en matière immobilière soit guidée à la fois par la durabilité et par la manière dont elle permet à L-Acoustics de mieux servir la communauté audio mondiale. »

À l’avenir, la division Immobilier continuera à créer des espaces inspirants qui accueilleront les partenaires et les clients de L-Acoustics du monde entier. Des studios spécialisés où les ingénieurs peuvent découvrir en direct les technologies audio de pointe aux espaces collaboratifs qui favorisent l’innovation, chaque site L-Acoustics est conçu en vue de renforcer la communauté audio mondiale et faire progresser l’art et la science du son.

Pour plus d’informations sur L-Acoustics

Morgane, la nouvelle poursuite LED de Robert Juliat, met sa magie à la portée de tous

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Robert Juliat annonce le lancement officiel de Morgane, sa toute nouvelle poursuite LED 825 W 13°–24°, désormais disponible à la livraison dans le monde entier. Pensée pour accompagner les productions scéniques actuelles, Morgane est le fruit du savoir-faire de Robert Juliat et d’une approche moderne en matière de performances et de design, offrant une solution polyvalente et à maintenance réduite.

A l’instar de son aînée, Morgane se distingue par un flux et un rendement lumineux nettement accrus grâce à sa source LED 825 W disponible en blanc variable ou en blanc froid fixe, offrant des performances capables de rivaliser avec les poursuites traditionnelles courte et moyenne portée.

Morgane (réf. 1489) vient compléter la gamme Compacte aux côtés de son grand frère Tristan (réf. 1189), le modèle longue portée (7°-14,5°) lancé en 2024. Ensemble, ces deux poursuites compactes et puissantes sont appelées à remplacer les modèles traditionnels MSR 1800 W de la marque.

Nouvelles fonctionnalités

Morgane est équipée d’un iris motorisé à fermeture totale qui permet la création de préréglages et d’ajuster ainsi la taille du faisceau avec précision. Parmi les autres nouveautés figurent une gamme d’accessoires et d’options, à savoir un afficheur déporté qui peut être placé en différents points sur la poursuite pour avoir une vue simultanée de la scène et des valeurs de l’iris et de l’intensité lumineuse ; des boîtiers de commande à distance déportés, placés à l’arrière ou sur le côté de la poursuite permettant de contrôler certaines fonctions ; et une version optionnelle avec commandes à gauche pour le contrôle iris, gradation, filtre dépoli et changeur de couleurs.

Des qualités emblématiques

Morgane conserve toutes les qualités attendues d’une poursuite Robert Juliat, à savoir faisceau plat et homogène, conception ergonomique, gradation électronique fluide et pilotable d’une seule main, contrôle à distance par DMX, filtres dépoli et couleur, changeur 6 couleurs, et IRC supérieur à 90 assurant un éclairage optimal des artistes sans besoin de filtre correcteur.

Polyvalence d’utilisation

La version LED blanc variable apporte une plus grande flexibilité et dispense d’utiliser des filtres de correction et par conséquent permet de réduire les coûts de consommables. La température de couleur peut être ajustée en temps réel depuis la console.
Morgane est équipée d’une alimentation électronique intégrée sans scintillement et est compatible avec les protocoles DMX – RDM, Ethernet, ArtNet et sACN. Elle dispose également de fonctions Node Ethernet avancées compatibles avec les protocoles RDM, LLRP et zeroconf.
Très compacte (moins d’un mètre de long), puissante, silencieuse, dotée d’une gradation fluide et d’une source LED, Morgane est idéale pour les positions face, pont ou contre dans les théâtres, studios TV, défilés de mode ou concerts.

Une nouvelle légende en devenir

Nouvelles figures héroïques de la gamme Compacte des poursuites Robert Juliat, Tristan et Morgane offrent les mêmes performances, angles de faisceau et caractéristiques que des modèles de plus grande taille, mais dans un format réduit et à consommation énergétique inférieure. À l’image de leurs figures mythiques, le chevalier Tristan et l’enchanteresse Morgane sont promis à un avenir légendaire dans l’histoire des poursuites.

Conçues et fabriquées en France, Morgane et Tristan incarnent plus d’un siècle de développements technologiques chez Robert Juliat qui maintient sans relâche sa position de précurseur sur le marché.

Plus d’informations sur les systèmes de poursuite LED Robert Juliat sur www.robertjuliat.com

OXO ColorZoom 420, un PARLED puissant

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Le « PARLED » comme on l’appelle encore par abus de langage, est l’un des instruments les plus polyvalents et utilisés dans nos métiers de l’audiovisuel pour la scène live et l’événementiel, et par les prestataires de toutes envergures. C’est « la source à tout faire » pratique et simple à déployer dans de multiples circonstances et pour des usages variés.

C’est souvent un projecteur de petite taille et de puissance modeste. L’évolution des technologies LED lui permet d’être capable de prouesses de lumière tant en termes d’impact lumineux que de qualités techniques. Certaines machines sortent du lot, mais elles ne sont pas nombreuses.
En voici un qui promet de faire de belles choses et qui annonce une puissance de 420 watts de LED RGBL dans une carcasse étanche. OXO, comme à son habitude, sort un projecteur efficace et percutant baptisé ColorZoom 420. Voyons ce qu’il a dans les tripes, confortablement installés dans le studio de LA BS.

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L’aspect de l’engin et ce qu’il propose

D’entrée de jeu, on sent le matériel de qualité : un design soigné, de l’élégance, du style. Le projecteur est assez compact puisqu’il mesure 32 cm de long, pour un diamètre d’environ 25 cm, son poids total est d’un peu plus de 8 kg. Il n’est pas ultra-léger, mais il s’agit d’un appareil étanche classé IP65. C’est bien. Sa construction solide lui assure de pouvoir être utilisé en usage prolongé par tout temps, dans toutes conditions. Côté lumière, il dispose de 7 sources LED multicouleurs de 60 W.

Aspect de l’optique avec les mélanges de couleurs en faisceau serré.
Aspect de l’optique avec les mélanges de couleurs en faisceau 30°.

Alors la consommation maximum annoncée est de 320 Watts pour l’ensemble de la machine, malgré les 420 watts de LED. Oxo nous explique que les sources ne sont jamais sollicitées « à fond » quelles que soient les configurations de blancs et de couleurs. Les teintes natives de chaque source sont RGBL (Rouge, Vert, Bleu, et Lime (un jaune verdâtre assez chaud)). Le faisceau de lumière peut varier de 5° à 60° grâce à son zoom motorisé.

Ouverture de zoom à 5 m.

Il existe en version « ColorZoom 420 W » (W pour « wireless »), équipé de base d’un système de contrôle sans fil W-DX compatible Lumen Radio et W-DMX.

Comment c’est fait ? Un tour de l’engin et un peu de démontage…


L’étrier avec ses fixations pour l’Oméga (optionnel).

La construction est très solide, les finitions techniques de très belle facture. Le projecteur est tenu par un double étrier dont le serrage permet de le jouer accroché, ou posé comme sur un tréteau, en maintenant un écartement entre les deux éléments. L’étrier est costaud, le serrage est franc, c’est impeccable.
L’accroche se fera par un crochet classique installé au centre de la lyre principale, mais il sera possible aussi d’y installer un omega (en option), dont les fixations camlock sont prévues. Un petit arceau ovale est à disposition sur le côté de l’appareil pour y accrocher une élingue de sécurité.

Les lentilles sur leur train optique.

Sur le devant se trouve une large lentille de 16 cm de diamètre derrière laquelle circule le chariot comportant les 7 optiques formant le faisceau de lumière.

La manipulation du projecteur est pratique, tout est bien pensé, et on remarque aussi la présence de 4 petits patins en caoutchouc qui entourent la lentille, ce qui évite au projecteur d’être esquinté quand on le pose tête en bas pour le stocker. Très bien vu !


Le panneau de connecteurs avec ses capuchons d’étanchéité.

Sur l’arrière se trouvent les connecteurs avec leurs petits capuchons caoutchouc (étanchéité oblige !).
Une entrée et sortie pour l’alimentation sur Powerkon IP65 (avec donc une recopie pour les câblages hybrides alim /DMX) et une entrée et sortie en XLR 5 points pour le DMX.
Au milieu siège l’afficheur de contrôle et ses 4 boutons tactiles.


L’appareil démonté, on voit au centre la partie refroidissement, et la partie optique sur le dessus.

Grosso modo, l’engin peut être présenté comme constitué de 3 parties. L’arrière comportant l’alim et l’électronique, l’avant, comportant les leds et l’optique, et au centre, un gros radiateur refroidissant les deux extrémités avec de la ventilation.

L’appareil est étanche donc pas spécialement prévu pour être démonté toutes les 5 minutes, mais on y arrive très bien en ôtant 6 vis torx de chaque côté qui maintiennent les carters avant et arrière. Ils sont serrés sur du joint de part et d’autre de la partie centrale. Voilà comment on ouvre les deux côtés.
A l’arrière, on trouve le bloc d’alim relié à la carte électronique qui reçoit l’afficheur (et ses boutons), les connecteurs et faisceaux de câbles partant vers la tête le tout contre le gros radiateur central.

L’arrière, avec l’électronique de l’afficheur.

Là, un petit ventilateur doit offrir une petite circulation d’air en interne puisque cet espace n’est pas relié à une quelconque voie d’échange avec l’air extérieur, si ça n’est par l’intermédiaire du radiateur central.


Le train optique avec les colonnes en vis sans fin, et au-dessous, les guides de lumière qui acheminent le flux des leds vers l’optique.

De l’autre côté du radiateur, une carte électronique reçoit les sources LED. Celles-ci sont chacune associées à un guide de lumière qui assure le mixage des couleurs et dirige le flux vers le chariot de lentilles.
Ce dernier circule d’avant en arrière avec 4 tringles de vis sans fin motorisées, venant ouvrir ou fermer le faisceau par la variation de la distance aux sources.


Mettons tout ça en route… Menu et paramétrages

Les boutons tactiles peuvent parfois, lors d’usages prolongés en extérieur être amenés à être « manipulés » par erreur par des éléments naturels divers et variés. C’est pour cette raison qu’OXO a prévu le verrouillage de l’accès par un code, un appui dans le bon ordre sur les 4 touches de contrôle.
Si vous n’avez pas besoin de ça, il vous suffit de désactiver ce verrouillage dans le menu (parce que oui, si c’est pratique quand vous laissez le projecteur dehors pendant 3 mois, c’est vite insupportable de devoir refaire ce fichu code toutes les 30 secondes si vous avez un certain nombre de bécanes à régler…).

L’afficheur avec ses 4 boutons tactiles.

L’accès et simple et logique, l’affichage est clair et facile à lire. Tout est en sobriété et dans la classe ! 5 modes de contrôles sont disponibles en DMX (de 4 à 17 canaux) suivant vos souhaits et méthodes de travail.
Du mode le plus simple de gestion de chaque couleur + dimmer + zoom, jusqu’à des modes plus étendus avec des émulations de palettes de couleurs, des gestions de corrections des verts, une émulation de blancs calibrés, bref, il y en a pour tous les goûts et tous les usages, avec aussi le contrôle en RDM.

On peut configurer 3 modes de ventilation. Un mode automatique qui gère la ventilation en fonction de la température des composants, un mode ventilation continue au max pour assurer un refroidissement maximum, et un mode « studio », où la machine est totalement silencieuse, au prix d’une réduction d’un peu de flux si on sollicite beaucoup les sources.

La lumière

Eh bien c’est justement un des points forts de ce splendide ColorZoom 420. Il envoie ! Et c’est précisément ce qu’on attend en 2025 d’un projecteur comme celui-ci. On a eu longtemps un peu tout et n’importe quoi en matière de « PARLED », dans toutes les marques, dans toutes les puissances, avec tous les types de sources, mais finalement très peu proposaient une puissance suffisante pour prétendre à jouer autre chose qu’un rôle « secondaire » dans l’éclairage d’une scène, ou dans l’événementiel… (j’en ai vu de nombreux qui servaient juste à éclairer les marches pour monter sur scène et éviter que le chanteur ne se casse la figure dans le noir !)

Et c’est vers cette tendance qu’on devrait s’orienter à présent, et fort heureusement ! Comme pour les lyres wash, où l’arrivée de la LED a permis aux constructeurs d’envisager des machines qui pesaient trois fois rien et qui tenaient dans la main, maintenant on cherche des projecteurs qui ont de la lumière dans les tripes. Si c’est compact et léger c’est cool, mais ce n’est pas l’unique préoccupation.
Ici, avec ce ColorZoom 420, la lumière permettra d’envisager du contre-jour, des faces, des latéraux, des douches, des colorisations d’éléments de décors, de l’architectural, ou que sais-je encore, avec des vraies performances d’éclairement, bref, on a une puissance plus qu’exploitable !

Les mesures


Derating

Pour un blanc calibré à 5 600 K, le mode de ventilation “Auto” nous démarrons les mesures par le tracé de la courbe de derating. Le projecteur est froid, nous l’allumons au max et mesurons l’éclairement au centre toutes les 5 minutes L’atténuation de la lumière ne dépasse pas 6 % ce qui est très bon.


L’éclairement ainsi stabilisé nous pouvons attaquer les mesures photométriques à 5 mètres de notre cible.

Faisceau serré

Au plus serré, nous mesurons un angle de faisceau de 8,5° à i/10 (éclairement au centre divisé par 10) et 5,2° à i/2. L’éclairement au centre atteint 13 100 lux après derating (13 910 à froid) et le flux est de 2 540 lumens (2 700 lm à froid). La courbe d’intensité lumineuse montre un point chaud qui favorise l’impact du faisceau

Faisceau 20°

Pour un faisceau calé à 20° à i/10, l’éclairement au centre passe à 2 770 lux (2 940 lux à froid) et le flux atteint 3 750 lumens (3 980 lm à froid). La courbe d’intensité lumineuse est régulière

Faisceau large

Nous mesurons un éclairement au centre après derating de 470 lux (500 lux à froid) et un flux de 5 500 lumens après derating (5 840 lm à froid). L’angle frôle les 60° à i/10, 58,5° exactement. C’est vraiment pas mal du tout !
Le faisceau est vraiment très sympa. Serré, il est assez abrupt, assez « net » si on peut dire, et plus on ouvre le faisceau, plus le bord devient doux. La douceur du faisceau à ouverture large va être un bel avantage pour la colorisation de surfaces et permettra des raccordements particulièrement efficaces.

Le dimmer

Courbe du dimmer en mode square de 0 à 10 %.
Courbe du dimmer en mode square de 0 à 100 %.

Nous avons tracé deux courbes de dimmer, la linéaire et la square (celle de nos mesures). Le dimmer est assez régulier mais on ne sent pas très bien les aplatis de la montée et du haut de flux mais ça reste propre et sans problème à l’utilisation. Dans l’exercice de ce genre de tests, on a tendance aussi à chipoter (mais on voit à peu près tout dans le détail, c’est le jeu !) mais ça permet aussi d’avoir en tête tous les aspects, même pour les applications exigeantes.


Les couleurs

Les couleurs sont belles et propres à toutes les ouvertures, notamment en faisceau serré, ce qui n’est pourtant pas toujours évident avec du multisource. Les mélanges sont splendides, à part le Congo très profond qui est de toute façon très difficile à obtenir avec de la LED, toutes les teintes sont équilibrées et faciles à obtenir. L’équilibre des sources RGB avec le Lime est très bon, et la gestion software de l’emploi de la puissance des différentes sources se fait pour le mieux pour le respect de cet équilibre.

Remarquables mélanges de couleurs avec zoom ouvert et zoom fermé.
Les couleurs natives.

Le canal de gestion des blancs est aussi un élément très important de ce projecteur. Son action permet de travailler en blancs calibrés à différentes températures de couleur : de 1700 K jusqu’à un peu moins de 10 000 K avec une linéarité exemplaire.

Le blanc calibré variable de 1 700 k à 8 800 k.
Aspect du faisceau à différentes ouvertures de zoom.

C’est très pratique et très facile à utiliser. S’il y avait besoin de raccorder avec des projecteurs traditionnels, ou de retrouver des teintes de blancs purement « halogènes » aucun souci ! Entre 1 700 K et 2 200 K l’IRC se situe vers 65, mais à partir de 2200 K il arrive aux alentours de 82/83 jusqu’au froid le plus glacial, C’est vraiment très bien.

Un canal de gestion « green shift » permet de régler l’impact des teintes vertes pour une captation ou une prise de vue. On bénéficie d’un réglage linéaire tant vers le « minus green » que vers le « plus green », suivant que l’on veut soit pour éliminer le verdâtre, soit raccorder les ColorZoom 420 avec d’autres machines.

Conclusion

Le ColorZoom 420 est un projecteur tout à fait remarquable dans sa catégorie. Sa puissance lumineuse le place d’entrée de jeu bien au-delà de ce dont on se contente par défaut avec des PARLEDs, et on peut vraiment l’envisager pour des applications beaucoup plus intéressantes que des emplois de deuxième ordre.
Sa puissance lumineuse, associée à ses performances en matière de couleur, de qualité de lumière, de plage de zoom, sans parler de son étanchéité, en font sans nul doute un choix judicieux pour les prestataires soucieux de voir figurer dans leurs parcs des appareils qui pourront répondre aux demandes de tous les projets, aussi variés soient-ils : live, théâtre, événementiel, architectural, tournage…

En tant qu’éclairagiste, je peux vous dire que c’est précisément ce genre d’engin que je convoite quand je demande du « PARLED » qui va faire le job de manière indiscutable. C’est une machine à laquelle il faut s’intéresser, car elle a tout pour plaire !


J’aime :

  • La puissance
  • La qualité du mélange des couleurs

Je regrette :

  • RAS

Tableau général

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Deux nouveautés Klotz, un câble enceintes 16 canaux et un câble hybride Cat7 et secteur

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Les dernières technologies de renforcement sonore professionnel telles que le son immersif 3D, d&b Soundscape, L-Acoustics L-ISA, les séries S d’Adamson, exigent des solutions de câblage adaptées pour ces systèmes.

Le LP164XY1S, câble multicore pour enceintes pré-assemblé à 16 canaux, proposé par KLOTZ, a été spécifiquement conçu pour les systèmes multi-amplificateurs. Il est 100 % compatible avec tous les câbles multicore pour enceintes dotés de connecteurs Socapex.
Grâce à sa construction soignée, ce câble figure parmi les solutions haut de gamme dans le câblage d’enceintes professionnelles. Il garantit une transmission du signal fiable dans une qualité optimale, même sur de longues distances, et peut remplacer jusqu’à deux câbles de haut-parleurs 8 canaux, réduisant ainsi considérablement les temps de montage et de démontage.

Le,câble multicore pour enceintes pré-assemblé LP164XY1S.

Avec le LSC1640YS, KLOTZ propose probablement le câble multicore 16 canaux de la plus haute qualité et le plus robuste pour les utilisations live intensives.
Ce multicore sert de base à la nouvelle série LP164XY1S. Il est constitué de 16 conducteurs en cuivre nu (classe 6, VDE 0295), chacun avec une section de conducteur de 4,0 mm², et d’une gaine extérieure en PVC ultra résistante au froid.

La gaine en PVC est stabilisée par une tresse textile en Vectran™, assurant une résistance maximale à la traction, même dans des conditions extrêmes jusqu’à −40 °C.

Les connecteurs multipin robustes RMP419AR du LP164XY1S disposent de contacts argentés, versions mâle/femelle, conçus pour résister aux contraintes les plus sévères en environnement live. Pour une identification facile en tant que câble multicore audio, ce connecteur RMP est doté d’un insert spécial indiquant clairement l’affectation des broches et l’usage du câble d’un simple regard. Pour les extensions, la partie mâle du RMP419AR est équipée d’un anneau de verrouillage à vis.
Le LP164XY1S est également conçu pour une utilisation mobile : une solide protection de traction en plastique assure une haute résistance à la traction pendant les opérations de scène. Les deux extrémités de chaque câble sont munies d’un manchon thermorétractable transparent pour un marquage libre.

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Le nouveau câble hybride compact HC71PC25.

Les câbles hybrides combinant lignes de données et d’alimentation dans un seul câble sont aujourd’hui utilisés dans de nombreuses applications modernes.

Le nouveau câble hybride compact KLOTZ HC71PC25 a été spécialement développé pour les usages mobiles. Il dispose d’une gaine extérieure en PVC souple, robuste et hautement flexible, ce qui le rend idéal pour connecter des équipements et systèmes informatisés, aussi bien dans des environnements live exigeants que dans des installations fixes.

Le câble CAT7 flexible permet de connecter des composants de réseaux audio numériques tels que le Dante™, ou de transmettre des signaux de contrôle DMX basés sur les protocoles ArtNet®, MA-Net ou Pathport. Le HC71PC25 convient également aux applications informatiques, lorsqu’une connexion réseau et une alimentation électrique sont requises.

Grâce à son double blindage (feuille d’aluminium + tresse de cuivre dense), le câble CAT7 assure une transmission sans interférences de débits de données élevés jusqu’à 10 Gbit/s, même sur de longues distances et dans des environnements électromagnétiquement perturbés.
La ligne d’alimentation est composée de trois conducteurs en cuivre nu, multibrins, conformément à la norme IEC 60228, chacun ayant une section de 2,5 mm². Les conducteurs sont isolés avec un PVC de haute qualité, garantissant de bonnes propriétés électriques et une résistance mécanique fiable.

Lorsque l’on utilise un connecteur combiné pour l’alimentation et la ligne de données CAT7 lors de l’assemblage du HC71PC25, il n’est pas nécessaire de gainer séparément les trois conducteurs d’alimentation. Cela simplifie considérablement l’intégration dans des systèmes de tambours de câbles hybrides, réduit le temps de traitement et diminue le diamètre total du câble, permettant ainsi d’augmenter la longueur maximale du câble par tambour.

Pour plus de renseignements, visitez le site Klotz AIS

Guillaume Trapp, le nouveau technicien support technique de RCF et TT+ Audio

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RCF France a le plaisir d’annoncer l’arrivée de Guillaume Trapp au sein de son équipe support technique RCF et TT+ Audio.

Âgé de 35 ans, Guillaume est un ingénieur système expérimenté qui a collaboré avec de nombreux prestataires de renom et participé à des tournées internationales d’envergure, déployant des systèmes de diffusion complexes et innovants.

Reconnu pour son expertise en conception, calibration et optimisation de systèmes de diffusion, il est également formateur auprès d’écoles spécialisées et d’organismes professionnels. Ses compétences couvrent un large éventail de technologies de sonorisation moderne, complétées par de nombreuses certifications.

Avec son arrivée, RCF renforce la proximité et la qualité de son support technique afin d’accompagner encore mieux prestataires, intégrateurs et utilisateurs des solutions RCF et TT+ Audio en France.

Ses coordonnées : [email protected] – Tél : + 33 (6) 32 90 06 47