Robert Juliat est heureux d’annoncer que tous ses appareils RDM sont compatibles avec le logiciel MADRIX RADAR et présente cette solution à ses clients pour leur permettre de les superviser à distance et de manière intelligente.
François Juliat, directeur général de Robert Juliat, Christian Hertel, responsable du développement commercial chez MADRIX et Thierry Dupont, le responsable du service clientèle de Robert Juliat.
Le logiciel MADRIX original étant déjà bien établi en dehors du secteur du divertissement, MADRIX RADAR, lancé en 2020 est spécialement adapté et perfectionné pour les marchés du théâtre et de l’architainment. Il est conçu pour gérer, configurer et la surveiller à distance des éclairages compatibles avec le protocole RDM (Remote Device Management).
De nombreux luminaires DMX sont déjà équipés du protocole RDM qui permet une communication bidirectionnelle, non seulement pour envoyer des instructions sur les réseaux, mais aussi pour recevoir des données en retour d’un appareil. Ce logiciel utilise le protocole RDM pour exploiter automatiquement et efficacement les données, supervisant tous les luminaires dans un seul logiciel.
Les avantages de MADRIX RADAR en termes de temps et de coût :
– Configuration rapide, facile et pratique des appareils à distance à partir d’un seul ordinateur. – Patchage automatique des appareils RDM par simple glisser-déposer. – Historique des données et rapports avec accès à tous les enregistrements. – Surveillance entièrement automatique des appareils 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, avec notifications automatiques par e-mail.
Tous les projecteurs RDM ROBERT JULIAT sont compatibles
Les projecteurs Robert Juliat peuvent être entièrement configurés, contrôlés et surveillés, sur tous les paramètres, à l’aide du logiciel RADAR fonctionnant sur un seul ordinateur. Cela signifie que toute configuration peut être effectuée facilement à partir d’un ordinateur, sans avoir besoin d’accéder directement aux appareils eux-mêmes, par exemple dans les ponts.
De plus, chaque projecteur RJ compatible RDM agira comme un dongle pour débloquer toutes les fonctionnalités et tous les avantages du logiciel. Ainsi, les clients qui achètent de nouveaux projecteurs Robert Juliat RDM bénéficient automatiquement et gratuitement de ces avantages.
Bien que RADAR puisse également reconnaître des projecteurs d’autres marques et permettre de régler certains paramètres (par exemple, le mode et l’adresse DMX), les fonctionnalités avancées de surveillance, de mise à jour du firmware ou d’envoi de fichiers ne sont pas accessibles sans licence. L’achat d’une licence permet de débloquer les fonctionnalités du logiciel pour tout autre type de projecteur.
ROBERT JULIAT agréé pour la licence du logiciel RADAR
Les licences permettant d’étendre un système d’éclairage au-delà des produits RJ RDM peuvent désormais être obtenues directement auprès de Robert Juliat sur www.robertjuliat.com et auprès de tous ses revendeurs.
« Le RDM est établi depuis longtemps », explique Thierry Dupont, responsable du service clientèle chez Robert Juliat. « MADRIX RADAR passe à la vitesse supérieure avec un adressage facile des appareils, une surveillance entièrement automatique 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pendant le fonctionnement et des notifications automatiques. De nouvelles fonctionnalités basées sur le Firmware Transfer Control (FTC) permettront aux utilisateurs de tirer encore davantage parti des normes existantes, garantissant ainsi des flux de travail fluides et réduisant les temps d’arrêt. »
Christian Hertel, responsable du développement commercial chez MADRIX, se montre très enthousiaste à propos de ce nouvel accord : « Nous sommes ravis de cette coopération et convaincus qu’elle apportera une valeur ajoutée considérable à nos clients. Grâce aux toutes nouvelles fonctions FTC, les utilisateurs peuvent désormais télécharger des micrologiciels vers des appareils et dispositifs RDM directement via RADAR en utilisant la technologie RDM standard. C’est une véritable révolution : un seul logiciel qui peut tout gérer. Les normes industrielles telles que le RDM sont faites pour notre secteur. »
Robert Katheras, développeur principal de RADAR, conclut : « Je suis très heureux que nous ayons trouvé en Robert Juliat un partenaire solide et fiable, une équipe qui partage et soutient notre vision et notre engagement en faveur de technologies ouvertes et pérennes. Je me réjouis vraiment de combiner nos forces techniques pour développer un système fluide mais puissant.
« Nous travaillons en étroite collaboration pour assurer la meilleure intégration possible du matériel et des logiciels afin que tous les utilisateurs puissent profiter pleinement des capacités du protocole RDM.
En coordonnant nos implémentations, en les validant par rapport à des configurations de test partagées et en nous concentrant sur une communication claire et conforme aux normes, nous visons à faciliter la configuration et la surveillance des équipements RDM. »
Pour plus d’informations sur Robert Juliat, les détails sur les licences MADRIX RADAR et la gamme complète de solutions d’éclairage de RJ, rendez-vous sur www.robertjuliat.com
Pour plus d’informations sur MADRIX RADAR, rendez-vous sur www.MADRIX.com
La société Sennheiser vient de fêter son 80e anniversaire et souhaite le faire savoir. Pour marquer l’occasion, elle a ouvert les portes de son centre technique à Wedemark, où tout a commencé dans une modeste maison. Aujourd’hui, presque tous les produits professionnels de Sennheiser sont designés, testés et fabriqués dans cette usine, qui a accueilli pour l’occasion des dizaines de journalistes venus du monde entier.
Avant ces trois jours de visites et de séminaires, SoundLightUp et quelques autres magazines ont eu le plaisir d’être choisis pour interviewer les dirigeants de l’entreprise. L’interview est disponible ci-dessous. Nous publierons prochainement un reportage sur ces trois jours intenses passés à Wedemark et Berlin.
SLU : Tout d’abord, nous tenons à vous remercier, Daniel et Andreas, pour le temps que vous nous consacrez, ce qui est rare et très apprécié, et aussi pour vos réponses à nos questions. Comment se porte Sennheiser depuis qu’elle a vendu sa division grand public et s’est recentrée sur ses racines professionnelles ?
Daniel : Eh bien, cette année, nous célébrons les 80 ans de Sennheiser. Et au cours de ces 80 années, nous avons vécu de nombreuses histoires, de nombreux événements qui ont façonné l’avenir de l’audio dans ce que nous avons accompli. L’une de ces réussites remonte à 1968, avec la création du premier casque ouvert au monde, le HD 414, le casque supra oral le plus vendu de tous les temps, qui a donné vie à ce secteur et qui continue de le faire aujourd’hui, après toutes ces années.
Le HD414 n’est pas le casque le plus confortable ni le plus résistant, avec ses coussinets plutôt fragiles, mais il est facile à porter et, aujourd’hui encore, on peut se procurer les coussinets en mousse jaune qui ont fait sa renommée.
Il faut toujours réfléchir à ce que l’on peut concevoir. Nous inventons tellement de nouvelles choses que parfois, il faut prendre du recul et se demander quelle est la meilleure stratégie à adopter pour l’avenir. C’est ce que nous avons fait pour toutes nos divisions à l’époque, à savoir la division grand public, la division communication, la division audio professionnelle, ainsi que Neumann. Nous avons élaboré des stratégies individuelles pour ces quatre domaines et nous avons réalisé que nous étions très performants dans trois d’entre eux.
Pour la division grand public, qui est passée d’un marché de niche à un marché beaucoup plus grand public, nous avons pensé qu’une entreprise plus grande serait mieux placée pour mettre en œuvre cette stratégie. Nous avons donc vendu la division grand public à la société suisse Sonova et nous nous sommes concentrés spécifiquement sur les stratégies de notre division professionnelle. Nous avons ainsi connu une forte croissance, mais aussi une explosion d’innovations que nous avons mises sur le marché.
SLU : Je suppose que le WMAS et Spectera vous ont aidé à vous concentrer davantage sur cette technologie et ses produits révolutionnaires…
Andreas : Le développement de Spectera et de sa technologie clé WMAS remonte à plus de 10 ans. Nous avons donc pris très tôt la décision radicale de réinventer le monde du sans-fil avec une approche totalement nouvelle, estimant qu’il était temps de repenser complètement ce secteur.
Ce qui nous a bien sûr aidés après nous être concentrés sur le secteur professionnel, c’est que nous avons pu disposer de plus de fonds pour accélérer tout ce qui concernait le secteur professionnel et, en même temps, d’une grande attention de la part de la direction pour donner vie à ce nouvel écosystème. Mais il ne s’agissait pas uniquement de Spectera à ce moment-là, même si c’est certainement l’une des innovations les plus importantes que nous avons apportées à nos clients à partir de cette année.
Spectera, avec le pack faisant office à la fois d’émetteur et de récepteur numériques. Nous avons eu la chance d’utiliser le tout nouveau micro main Spectera et de l’écouter à l’aide du récepteur ; une liaison numérique 100 % Spectera. Le moins que l’on puisse dire, c’est que c’était incroyable. Plus d’informations dans le reportage a venir sur le 80e anniversaire de Sennheiser.
SLU : Avec Spectera vous avez choisi de rompre avec le passé, sans vous soucier de la compatibilité avec votre gamme actuelle, et cela semble être une décision judicieuse, même si les prestataires devront remplacer la quasi-totalité de leur stock HF. La France a dit oui, mais qu’en est-il des États-Unis, par exemple ?
Daniel : Nous disposons toujours d’un portefeuille de produits très vaste et très performant, avec le D6000, l’EW DX, l’EW DP, sans parler de la série XS Wireless. Nous proposons donc un grand nombre de systèmesHF sans fil numériques classiques très performants, ainsi que l’AVX et le SpeechLine Wireless pour les universités et les entreprises. Nous proposons d’excellentes solutions qui fonctionnent très bien et sont compatibles avec tout ce que nous avons fait par le passé.
En même temps, si vous proposez quelque chose de très différent, vous devez également sortir des sentiers battus et dire : « Hé, ça marche ! ». C’est un tout autre concept. D’un point de vue matériel, il n’est pas possible de le rendre compatible. Pendant un certain temps, nous aurons les deux technologies en parallèle.
Nous n’avons pas encore décidé si nous allons abandonner la technologie HF classique ou si nous allons tout passer vers Spectera, mais Spectera est sans aucun doute un système moins coûteux, plus flexible et tout simplement meilleur pour les installations de grande envergure, car il permet d’investir une seule fois dans une station de base et de disposer d’un système bidirectionnel à 64 voies offrant une telle flexibilité que la compatibilité n’est même plus un problème.
Andreas : Pour compléter votre question sur ceux qui l’apprécient, ce n’est pas seulement la France. Aux États-Unis, nous avons de grands prestataires implantés dans différents endroits et la mise en place d’un système aussi simple que Spectera réduit bien sûr considérablement leurs efforts. Le fait de ne pas avoir à acheminer d’énormes racks d’équipements à travers le monde facilite grandement leur logistique. Tout le monde l’apprécie donc vraiment.
Il existe une grande possibilité de coexistence de différentes technologies en même temps. Nous voyons très souvent Spectera être utilisé en parallèle avec nos liaisons HF traditionnelles. C’est comme si vous aviez des voitures électriques et des voitures thermiques dans la même rue, et cela fonctionne parfaitement, mais personne ne se plaint de ne pas pouvoir recharger sa voiture électrique chez le pompiste. Spectera a juste une longueur d’avance.
Oubliez les câbles coaxiaux : les antennes Spectera utilisent un câble RJ45 CAT5 pouvant atteindre 100 m de long et se connectent aux 4 ports d’antenne de la Base Station. Car quatre c’est mieux que deux !
SLU : A plus long terme, qu’adviendra-t-il de votre gamme actuelle ? Allez-vous créer une nouvelle gamme de produits WMAS plus abordables destinés aux musiciens, aux entreprises ou même au cinéma, en utilisant par exemple une porteuse HF plus petite ?
Daniel : Eh bien, voyons ce que l’avenir nous réserve, mais pour l’instant, nous pensons qu’il y a une place importante pour Evolution Wireless Digital et EWDX. Il existe également un nouveau segment du marché haut de gamme que nous pouvons conquérir avec Spectera, et les deux systèmes peuvent coexister. Pour un petit système à quatre voies, vous ne voudrez probablement pas Spectera, du moins pas aujourd’hui. Peut-être qu’à l’avenir, lorsque les chipsets et le reste du hardware seront devenus nettement moins chers, cela pourrait être une option. L’utilisateur amateur n’a pas besoin de se soucier de la technologie qui se cache derrière. Il doit simplement s’agir d’un système Sennheiser qui fonctionne, que cela ait lieu via des systèmes à bande étroite ou avec la technologie WMAS.
SLU : Alors, quelles sont les nouveautés intéressantes apportées à Spectera par les mises à jour du firmware, et qu’en est-il du micro main ? Est-il sur le point d’être lancé ? En résumé, qu’est-ce qui se prépare ? ( Note de la rédaction. L’engouement pour Spectera a été tel que l’émetteur main peut être commandé dès maintenant et sera disponible début 2026.)
Andreas : Le logiciel est développé à partir d’un backlog que nous recevons sous forme de commentaires de nos utilisateurs. Nous disposons donc de différents sites de commentaires, soit via Discord, soit via notre site web My.Sennheiser. En fait, le backlog est classé par ordre de priorité en fonction des commentaires des utilisateurs.
Et comme tout est défini par logiciel, il est très facile pour nous de répondre à ces demandes. Nous avons déjà annoncé que nous travaillons sur différentes fonctionnalités pour le port Cascade afin de pouvoir y connecter davantage d’antennes, d’avoir plus de redondance, voire même d’atteindre à terme une redondance hot-swap. C’est donc là que se concentre le développement du firmware actuellement.
Le Neumann MT 48, un boîtier très, très intelligent fabriqué par Merging, désormais un vrai couteau suisse… allemand.
SLU : Sennheiser, propriétaire de Neumann, a décidé de se concentrer entièrement sur le segment analogique et d’arrêter la production de sa gamme de micros numériques. En tant qu’utilisateur de ces bijoux technologiques, je ne peux m’empêcher de me demander si les micros « bleus » feront un jour leur retour.
Daniel : Vous disposez aujourd’hui d’une très bonne solution avec le Neumann MT 48, qui est, je dirais, un préamplificateur et un convertisseur vraiment haut de gamme, et en même temps, les légendaires micros Neumann ou Sennheiser que vous pouvez y brancher. Il s’agit donc d’une solution de micros numériques, qui est un peu plus modulaire et polyvalente que ce que nous avions auparavant, et surtout, elle est multiformat, vous pouvez donc la brancher en USB, vous pouvez utiliser l’A67, et elle est compatible Dante. Toutes ces possibilités sont désormais possibles. Vous disposez d’un système numérique que vous pouvez commander. Si vous avez besoin d’un système plus complexe, plus multicanal, vous pouvez également utiliser un Anubis ou un HAPI de Merging qui vous permettent de traiter beaucoup plus de voies de micros.
Trop en avance sur son temps, trop parfaite et pourtant inachevée, trop étrange pour beaucoup, la gamme Neumann Digital a été définitivement abandonnée, mais les micros resteront réparables, à l’exception de la composante logicielle.
SLU : Mais vous allez continuer à assurer le SAV de ces micros comme vous le faites pour ceux analogiques ?
Andreas : L’un des points forts de Neumann est de prolonger la durée de vie de ses produits au-delà de ce que les utilisateurs peuvent généralement en tirer. Et si vous regardez tous les U47 qui existent encore dans le monde et qui ont été les acteurs de séances mémorables, ils sont la preuve que Neumann accorde beaucoup d’importance à ses capacités de réparation et de maintenance. Il est parfois difficile de trouver certaines pièces, mais si quelqu’un peut les obtenir, c’est bien nous, donc il n’y a aucune raison de s’inquiéter pour nos produits.
SLU : Quels sont vos projets en matière de croissance ? Vous avez fait un excellent travail avec Neumann, Klein + Hummel, Ambeo et, plus récemment, Merging. Quelle pourrait être la prochaine étape ?
Andreas : Pour stimuler la croissance, nous nous asseyons avec nos clients et essayons de comprendre quelle est la prochaine étape dans leur domaine, ce qui les empêche de produire un contenu plus facile et plus créatif, quel est le prochain défi dans la diffusion sportive ou ce que l’avenir réserve aux spectacles immersifs à Broadway.
C’est vraiment ainsi que nous fonctionnons lorsqu’il s’agit d’alimenter notre pipeline d’innovation et, en fin de compte, de stimuler la croissance de notre entreprise : en étant proches de nos clients, en écoutant ce qu’ils veulent cela nous amène à un flux inépuisable d’idées et d’innovations que nous devons ensuite hiérarchiser. Nous avons généralement plus d’idées que de fonds, ce qui est une bonne chose.
Daniel : Plus précisément, nous pensons qu’Ambeo et les formats immersifs seront un moteur pour l’avenir, car nous sommes enfin sortis du cercle vicieux où tout le monde se renvoyait la balle entre diffuseur et créateurs. Les productions immersives sont désormais omniprésentes, car des plateformes telles qu’Apple Music et Netflix, pour ne citer que deux exemples, utilisent toutes des formats immersifs pour offrir aux utilisateurs des productions audio plus émotionnelles et plus riches de sens.
SLU : Peut-on donc imaginer que de nouveaux microphones conçus pour l’audio immersif seront développés ?
Andreas : Pour un enregistrement immersif, vous n’avez pas nécessairement besoin de beaucoup de nouveaux types de micros. Nous avons bien sûr notre micro VR, qui est un modèle ambisonique, mais pour capturer les sensations d’un studio en direct, d’une performance live, il s’agit plutôt de savoir où placer les micros, comment faire le mixage et comment faire le post-traitement de tout cela, afin que la lecture offre une expérience vraiment immersive.
Il s’agit donc vraiment de collaborer avec les ingénieurs du son, les maisons d’édition et les sociétés de production, tous les maillons de la chaîne, pour finalement offrir aux gens chez eux, par exemple, un match de NFL vraiment immersif. Il ne s’agit donc pas seulement d’un micro, mais de l’ensemble du processus et du savoir-faire.
Une discussion amicale entre le créateur et l’utilisateur sur la question de savoir si les casques Neumann et Rime peuvent remplacer un studio immersif et toutes ses enceintes.
Daniel : C’est une combinaison de tout cela, et l’un des nouveaux éléments que nous venons de lancer est Rime, un plug-in qui permet de recréer un studio immersif virtuel à l’aide d’un casque Neumann. Il fonctionne extrêmement bien pour travailler et écouter, pour créer une immersion et donc faciliter considérablement la production de tels formats. Nous voulons vous permettre d’utiliser l’audio immersif même si vous ne disposez pas d’un équipement complet.
Nous continuons de penser que si vous créez une piste immersive, vous travaillez probablement dans un studio équipé, par exemple, d’enceintes Neumann tout autour de vous dans une configuration immersive Ambeo ou Atmos. Mais d’un autre côté, si vous avez un client qui écoute, par exemple, la bande originale d’un film de manière immersive, il peut utiliser Rime pour une écoute critique de votre travail . Vous pouvez ainsi le modifier à la volée, ce qui vous évite d’avoir à emporter votre studio avec vous, car vous l’avez sur votre MacBook.
SLU : Merci beaucoup pour ces minutes qui ont passé à toute vitesse et pour vos réponses détaillées. Et joyeux anniversaire à Sennheiser, à ses 80 ans d’innovation et, surtout, à ses produits créés par des passionnés du son pour des passionnés du son.
Daniel & Andreas : Merci à vous aussi, c’est toujours agréable de discuter avec quelqu’un qui comprend vraiment ce que nous faisons. À bientôt !
Depuis cet entretien, un communiqué de presse a annoncé un changement dans la gouvernance du groupe Sennheiser. Après 12 ans de direction conjointe et à compter du 1er janvier 2026, Daniel Sennheiser deviendra président du conseil d’administration, tandis que le Dr Andreas Sennheiser continuera d’exercer les fonctions de PDG, supervisant les activités opérationnelles de l’entreprise familiale.
Vous trouverez ci-dessous un message de Daniel et Andreas Sennheiser.
Chers clients, partenaires et amis,
Après plus d’une décennie passée à diriger avec succès le groupe Sennheiser aux côtés de mon frère Andreas en tant que co-PDG, j’ai décidé d’assumer un nouveau rôle au sein du groupe Sennheiser. À compter du 1er janvier 2026, je rejoindrai le conseil d’administration en tant que président, tandis qu’Andreas continuera à diriger les activités opérationnelles de l’entreprise en tant que PDG.
Dans le cadre de mes nouvelles fonctions au sein du conseil d’administration, je me concentrerai sur l’orientation stratégique du groupe Sennheiser et piloterai le développement à long terme de l’entreprise, en étroite collaboration avec mon frère. Andreas continuera à gérer les activités opérationnelles de l’entreprise main dans la main avec le comité de direction. Cette nouvelle structure nous permet d’atteindre un équilibre idéal entre les activités quotidiennes et la vision stratégique, deux éléments essentiels pour le succès futur du groupe Sennheiser dans un environnement de plus en plus dynamique. Gérer et renforcer les relations avec nos clients importants resteront également une responsabilité partagée entre Andreas et moi-même.
Notre modèle de co-direction avec partage des responsabilités est vraiment unique : notre relation de confiance et nos visions complémentaires nous ont permis de diriger l’entreprise avec succès pendant plus de 10 ans, même dans les moments difficiles. Cela restera la base de notre collaboration future. Nous continuerons à travailler en étroite collaboration l’un avec l’autre et avec le comité de direction.
Nous nous réjouissons de ce nouveau chapitre de notre entreprise familiale, qui a connu une évolution réussie au fil de trois générations. Pour nous, le progrès signifie façonner le changement de manière positive, tant pour nous-mêmes dans nos nouvelles fonctions que pour Sennheiser en tant qu’entreprise.
Ce qui reste intact, c’est notre engagement commun envers notre projet : construire l’avenir de l’audio. Ensemble – Andreas et moi-même, le conseil d’administration et l’ensemble de l’EMB – nous continuons à placer nos clients au centre de toutes nos actions afin d’assurer la croissance durable et indépendante du groupe Sennheiser.
Enfin, Andreas et moi-même tenons à remercier M. Dornbracht pour son travail dévoué et son précieux support en tant que président du conseil d’administration au cours des quatre dernières années. Nous sommes ravis qu’il reste membre du conseil d’administration et continue à nous faire bénéficier de son expertise.
Le Dataflash 5000, avec et sans son dôme réflecteur.
Dans la gamme High End Systems, ETC lance le Dataflash 5000, un puissant projecteur strob dont le flux dépasse 52 000 lumens. Avec une source de lumière blanche variable de 3 200 K à 7 500 K, entourée de matrices de leds RGB, le Dataflash offre des couleurs vives éclatantes et des effets colorés dynamiques.
Son classement IP65 le protège des contraintes climatiques sur tous types de productions, concerts, plateaux de TV, cinéma, événementiel en extérieur.
Présentation vidéo
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Le Dataflash 5000 est équipé d’un moteur LED qui s’allume en continu, contrairement au Dataflash original lancé en 1987 auquel il rend hommage, et qui ne produisait que du Strobe. Son centre de lumière en blanc variable et les LED RGB périphériques assurent des effets stroboscopiques intenses et puissants, passant du froid au chaud, tout en inondant la scène de couleurs vives.
La matrice de leds RGB contrôlable sur 8 zones.
Sa matrice de leds RGB est contrôlable en pixel mapping sur les 8 zones et le projecteur intègre une large gamme de modes stroboscopiques et de macros préprogrammées.
Le dôme transparent EC optimise la dynamique des effets.
Deux dômes à fixation rapide sont livrés avec le Dataflash 5000, lui assurant encore plus de polyvalence.
– Le Dôme Réflecteur, ouvert en son centre, laisse passer le flux produit par les LED blanches pour des strobes à forts impacts et diffuse par l’arrière les couronnes de leds RGB pour produire un effet wash autour du projecteur. – Le dôme transparent Eye Candy (EC), va mettre en valeur les effets éclatants du projecteur.
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Matt Stoner, Chef Produits Automatiques chez ETC, explique : « Avec sa face ronde distinctive et ses capacités de couleurs dynamiques, le Dataflash 5000 va apporter beaucoup d’intérêt visuel aux productions qui cherchent à créer des moments très énergiques. »
Tania Lesage, Responsable Marketing chez ETC, ajoute : « Le Dataflash 5000 sera un outil puissant dans n’importe quel contexte. Nous sommes ravis que l’indice de protection IP65 permette aux productions de profiter en extérieur de cet outil à fort impact. »
Le spectacle « Marvels of Saudi Tour », interprété par l’Orchestre national et le Chœur national d’Arabie Saoudite, s’est produit au Château de Versailles en septembre 2025. Le spectacle comprenait un chœur de 64 personnes, avec plus de 250 voies au patch, et a été retransmis en direct.
Trois DiGiCo Quantum 852 ont été déployés à la face, aux retours et au broadcast. Les ingés son ont pu compter sur des fonctionnalités intégrées telles que le Mustard Source Expander (MSE) et la surface facilement personnalisable pour garantir un accès ultra-rapide à chaque voie.
Créé en 2021 afin de renforcer les liens culturels entre l’Arabie Saoudite et le reste du monde, l’orchestre s’est produit dans plusieurs salles prestigieuses. En 2024, il a donné des concerts avec le Royal Philharmonic à Londres, au Metropolitan Opera House de New York et à l’Opera City de Tokyo. Cette expérience musicale vise à créer un pont culturel entre l’Arabie Saoudite et le pays hôte.
Chaque spectacle est unique au pays où il est donné, fusionnant véritablement les styles de chaque pays. À l’Opéra Royal du Château de Versailles, il y avait deux chefs d’orchestre et les musiciens jouaient un mélange d’instruments traditionnels arabes tels que l’oud, aux côtés d’instruments classiques français comme l’accordéon, et le chœur de 64 personnes comprenait 16 chanteurs français et 48 chanteurs saoudiens.
Le matériel audio a été fourni par MPM, tandis que les ingés son ont été fournis par Loud N Clear, une société spécialisée dans les solutions audio qui collabore depuis longtemps avec l’orchestre. Loud N Clear a été intégrée au projet par Benchmark, l’organisateur et producteur de la tournée Marvels of Saudi, l’une des sociétés événementielles les plus respectées d’Arabie Saoudite.
Les deux sociétés travaillent en étroite collaboration avec Marvels of Saudi Tour depuis ses débuts. Fondée en 1985 par Roger Bou Farhat, Loud N Clear s’est rapidement fait un nom en fournissant un son impeccable pour tous types d’applications professionnelles, tout en proposant des formations et des expériences pratiques aux ingénieurs. La société possède plusieurs consoles DiGiCo, notamment des SD8, SD10, Quantum 338, Quantum 7 et deux Quantum 852.
« Quel que soit le style musical, les consoles DiGiCo s’adaptent, c’est ce que nous apprécions le plus chez elles », explique Farhat. « Un soir, nous pouvons mixer un groupe de rock, le lendemain un festival électronique ou un concert classique. Les consoles DiGiCo nous offrent les outils nécessaires pour tout gérer sans compromis. Elles sont flexibles, fiables et offrent toujours la qualité sonore attendue par nos clients. C’est pourquoi cette marque convient si bien à la diversité des spectacles que nous organisons. »
Ellie Itief, qui travaille avec Farhat depuis 24 ans sur divers projets, était en charge du mixage sonore de la diffusion du spectacle au château de Versailles, tandis qu’Erick Deeb était en charge de la face. Tous deux expliquent que, bien que les spectacles soient très variés, leurs méthodes restent similaires grâce à la flexibilité des consoles DiGiCo. Comme le dit Deeb, participer à ce projet a été source de nombreuses satisfactions, et visiter le Château de Versailles a été un rêve devenu réalité, tant sur le plan personnel que professionnel.
« J’ai utilisé de nombreuses consoles DiGiCo et ce sont sans aucun doute mes préférées. Lorsque nous sommes en tournée, nous pouvons facilement charger notre spectacle sur n’importe laquelle d’entre elles et la qualité sonore est toujours la même », se souvient-il. « Je veux que le public ressente l’acoustique de la salle et de l’orchestre, donc la diffusion doit se faire oublier.
Grâce aux consoles DiGiCo, je peux aller dans les moindres détails, afin que le son soit aussi naturel que possible. Je peux me préparer avec le logiciel hors ligne, car il est similaire à la surface de contrôle. Comme je voyage beaucoup, je peux facilement créer mes sessions entre les spectacles, ce qui est un réel avantage. »
Pour Itief, diffuser le son consiste à recréer l’ambiance qui règne dans la salle. Le spectacle de Versailles comptait 16 caméras dans l’Opéra Royal, elle a donc également apprécié de pouvoir se plonger dans les détails du mixage broadcast afin de partager pleinement l’expérience avec un public distant.
« L’acoustique de cette salle est incroyable, nous sommes tous les deux très honorés de travailler ici », ajoute-t-elle. « Nous avons énormément d’entrées, donc pouvoir configurer la Quantum 852 exactement comme nous le souhaitons est un avantage considérable. Nous n’avons besoin d’aucun équipement externe, nous pouvons compter sur le traitement intégré, les égaliseurs, les réverbérations et les délais. Cette tournée nous a permis de découvrir des salles magnifiques, beaucoup d’ingénieurs rêveraient d’y participer ! »
Prendre part à la tournée Marvels of Saudi a été une expérience marquante pour toutes les personnes impliquées et, comme le conclut Farhat, la fiabilité à toute épreuve et la qualité sonore constante des consoles DiGiCo ont donné aux ingénieurs la confiance nécessaire pour donner le meilleur d’eux-mêmes, malgré le caractère intimidant et historique des lieux.
« Les consoles DiGiCo ont vraiment fait leurs preuves lors de cette tournée et, pour une boîte comme la nôtre, elles sont incontournables. Elles sont fiables, flexibles et les ingés leur font vraiment confiance. Que ce soit pour un petit show ou une production internationale, on sait que le son sera toujours top », conclut-il. « La flexibilité rend la gestion d’un orchestre beaucoup plus facile, et la fiabilité permet à tout le monde d’avoir l’esprit tranquille. Pour une tournée de cette envergure, c’est exactement ce dont nous avons besoin.
La tournée a été formidable, la relation solide et la confiance que nous partageons avec Benchmark sont un privilège, et voir l’orchestre entrer en contact avec le public pour la 1ère fois donne vie à tout le travail de préparation et de technique effectué en coulisses. C’est inoubliable et nous rappelle pourquoi nous aimons tant notre travail. »
Après le Wash NEO FX ultra-polyvalent et IP65 lancé en début d’année, la marque Allemande ROXX propose un nouveau petit projecteur LED, NEO Lite, toujours IP65, avec 10 sources, alimentée par secteur et par batterie.
Ces deux projecteurs sont ici présentés par Bruno Souchaud, directeur de ROXX France
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Les diffuseurs sont magnétiques et les volets utilisent une fixation mécanique.
NEO Lite, n’accuse que 8,9 kg batterie incluse sur la balance et ses 10 sources RGB + lime de 20 Watts, produisent un faisceau énergique de 8°, qui peut s’élargir à 80° grâce à un des panneaux diffuseurs magnétisés proposés, circulaires ou elliptiques.
Des volets figurent aussi dans la liste des accessoires. L’appareil peut fonctionner sur secteur ou sur batteries intégrées (en option) lui assurant une autonomie de 24 heures et une charge rapide.
Radiateurs à caloducs, écran incliné pour le confort de paramétrage, large poignée, molette graduée pour régler précisément le tilt… Neo Lite est mécaniquement très bien pensée.
Pour une autonomie totale, NEO lite intègre un récepteur CRMX et un module Bluetooth qui dialogue avec l’application ROXX.APP et la technologie NFC pour la configuration, l’adressage et le contrôle via l’appli ROXX.NFC même si les projecteur LED sont déconnectées de l’alimentation.
Les performances de ce projecteur LED (36,8 x 26,2 x 6,9 cm) légère (7,4 kg sans batterie, 8,9 kg avec batterie) sont remarquables : 9 000 lumens de flux, 12 000 lux d’éclairement à 5 mètres avec un IRC et TLCI qui peut attendre 85.
La première saison de la nouvelle émission de télé-réalité roumaine The Ticket a été diffusé en septembre et est enregistrée aux studios Castel, juste à l’extérieur de Bucarest. Elle est produite par Imagic et Antena 1 et son éclairagiste / directeur de la photographie Dan Andrei accompagné du directeur d’éclairage Marius Matyas ont utilisé un gros kit de projecteurs Robe appartenant au groupe Antena TV.
L’émission met en avant le talent des artistes et la qualité et le professionnalisme de leur mise en scène, qui sont évalués en fonction de leur créativité, de leur valeur divertissante et de leur capacité à captiver le public. Ils sont jugés à la fois par un jury composé de célébrités et par le public, qui vote via une application sur le prix qu’il serait prêt à payer pour voir cet artiste en live. Chacune des 14 épreuves se termine par la désignation d’un gagnant qui se qualifie pour la finale en décembre.
Marius Matyas, directeur de l’éclairage.
C’est un environnement très dynamique et plein d’énergie, explique Marius, qui travaille en étroite collaboration avec Dan sur l’émission. Les numéros peuvent être très variés, allant d’une chorale d’enfants ou d’un groupe de pop à un groupe de scientifiques cherchant le moyen le plus efficace de créer un effet de rouleau de papier toilette ondulant dans le vent. Il y a donc beaucoup de plaisir et de folie !
Pour éclairer un tel spectacle, il est essentiel de disposer d’un large choix de sources lumineuses polyvalentes. Dan et Marius étaient donc ravis de travailler avec les produits Robe.
Le rig comprend 24 projecteurs Spiider Wash, 18 T1 Profile, 11 BMFL Blade, 12 LEDBeam 150, 22 LEDWash 600, 18 LEDWash 800 et 48 Pointe, ainsi que deux rangées de 16 MegaPointe à l’arrière… entre autres appareils.
Peter Talea a créé un décor sphérique élégant, comprenant des cadres en bambou stylisés et un grand écran LED incurvé à l’arrière, avec le public assis devant, également dans une configuration circulaire, ce qui a servi de point de départ à la conception de l’éclairage. Dan a commencé par élaborer le concept créatif initial, puis Marius l’a affiné dans WYSIWYG. Ils ont tous deux développé le look à partir de là et ont commencé à préprogrammer les éléments de base.
« Nous travaillons beaucoup avec les produits Robe, car Antena 1 en a en stock », explique Marius, qui est aujourd’hui concepteur/directeur lumière indépendant, mais qui a auparavant travaillé à plein temps pour le diffuseur pendant 24 ans. Au cours des deux dernières années, Antena 1 a régulièrement augmenté son stock de produits Robe, livrés par le distributeur roumain Senia Music.
Des Spiiders, des LEDWash 600 et des LEDWash 800 ont été placés dans la structure suspendue pour éclairer la scène et ajouter de la couleur au décor. Dan a qualifié le mélange des couleurs d’« excellent », tout comme la gamme de couleurs.
Les BMFL Blades ont été utilisés pour l’éclairage de contre, perçant devant l’écran LED avec une puissance et des effets supplémentaires lorsque cela était nécessaire, soutenues par les Pointes installées sur des échelles à l’arrière.
Les autres lumières sont disposées autour d’une poutre circulaire centrale au-dessus de la scène, de poutres semi-circulaires à l’arrière-scène et de deux poutres horizontales à l’avant, dont la forme incurvée en miroir suit les contours avant et arrière de la scène. Dan décrit le style d’éclairage comme « principalement lumineux, audacieux, coloré et un peu excentrique », mais l’essentiel était de pouvoir créer des bascules vers un style dramatique, sombre et théâtral lorsque cela était nécessaire.
Les T1 Profiles ont été utilisés pour l’éclairage avant et principal. « Nous apprécions vraiment leur IRC élevé, leur faisceau plat et uniforme, la qualité et la cohérence de la lumière, et bien sûr toutes leurs caractéristiques adaptées à la caméra », a-t-il souligné.
Marius travaille régulièrement avec les produits Robe depuis environ 4 ans. Avant qu’Antena 1 n’achète ses propres appareils, elle les louait régulièrement selon ses besoins. Bien qu’ils n’en aient pas pour cette émission, il cite les T2 et les Forte parmi ses appareils Robe préférés, en plus des T1 et des BMFL Blades.
« Ils sont tous très esthétiques à l’écran, et il est évident que Robe a mis beaucoup de réflexion et d’innovation dans leur conception et leurs fonctionnalités, en tenant compte des environnements dans lesquels ils seront utilisés. »
Les épisodes hebdomadaires de The Ticket sont filmés sur trois jours et diffusés le samedi. Les journées de tournage sont longues dans l’ensemble, mais Dan et Marius ne disposent que d’environ 20 minutes pour ajuster l’éclairage de chaque candidat. Ils doivent donc réfléchir rapidement, prendre des décisions et agir « au pied levé ». Ils utilisent le même équipement d’éclairage pour chaque épisode, mais certains réglages doivent être réajustés entre les prises.
Le chef éclairagiste de la série est Alexander Sora (Axl), et le régisseur est Eddie (Edi) Balteanu. The Ticket est réalisé par Zoran Caramazan et produit par Imagic et Antena1. Mona Segall est la productrice générale, Robert Lionte est le producteur exécutif, et jusqu’à présent, l’émission connaît un grand succès.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.robe.cz
Algam Enterprise, structure de distribution d’équipements audio professionnels, de vidéo et d’éclairage, est articulée autour de divisions spécialisées. Entièrement dédiée aux prestataires techniques live et événementiel, aux intégrateurs audiovisuels, aux sociétés de broadcast et aux studios, elle recherche un(e) Brand Manager audiovisuel.
Cliquez sur l’image de l’annonce ci-dessous pour y accéder :
Jacob Sealey, technicien système ; Wayne Pauley, ingénieur FOH ; et Michael Lawrence, ingénieur systèmes RCF.
Lee Brice se produit au Fargodome de Fargo, dans le Dakota du Nord, avec son nouveau système TT+ AUDIO GTX.
La star de la musique country Lee Brice atteint de nouveaux sommets en matière de son live grâce à un système RCF TT+ AUDIO GTX renforcer pour sa tournée avec son groupe au complet.
Brice utilise sa plus grande configuration GTX à ce jour, designé pour offrir une puissance, une couverture et une clarté maximales dans les salles et les lieux en plein air.
Le système GTX au complet. Chaque enceinte est visible, y compris les quatre HL 6 accrochées en douche au-dessus du public et les subwoofers, empilés en six groupes de deux, sous le nez de scène.
Le système principal comporte 16 enceintes GTX 12 et 12 boîtes GTX 10 de chaque côté, complété par 12 subs GTS 29 à double haut-parleur de 19“, ainsi que quatre enceintes HL 6 en tant que renfort central et huit enceintes HL 6 en tant que lip fills.
La moitié de la salle des machines XPS !
Au total, 15 contrôleurs amplifiés XPS 16K DSP de chaque côté offrent une marge dynamique suffisante ainsi que des fonctions de processing et de commande.
Brice a découvert le GTX pour la première fois à Jeep Beach 2024, puis l’a utilisé lors de sa tournée solo « You, Me & My Guitar », où la cohérence du système sur toutes la plage dynamique a impressionné tant l’artiste que l’ingénieur.
« Lee et Wayne Pauley, ingénieur FOH de longue date, sont convaincus par le GTX depuis leur première expérience avec ce système », a déclaré Tarik Solangi, vice-président de RCF USA.
Jacob Sealey, technicien système ; Wayne Pauley, ingénieur FOH ; et Michael Lawrence, ingénieur systèmes RCF.
« Le fait qu’il ait désormais opté pour un système complet afin de l’accompagner en formation complète témoigne de l’évolutivité du GTX et de sa capacité à offrir la même signature sonore, que ce soit dans une salle intimiste ou dans un stade. »
Lionel Richie vient de conclure sa dernière résidence à l’Encore Theater de l’Hôtel Wynn à Las Vegas, pour lequel Crossfade Design a créé un éclairage dynamique mettant en valeur la scène grâce à 48 projecteurs Ayrton Kyalami à source laser ultra-compacts.
Le légendaire auteur-compositeur-interprète, lauréat d’un Grammy, d’un Golden Globe et d’un Oscar, donne plusieurs séries de concerts pendant deux semaines chaque année lors de ses résidences au Wynn, un rythme qui se poursuivra en 2026. Éric Wade, l’un des associés et Senior Designer chez Crossfade Design, entretient avec l’artiste une relation professionnelle et artistique indéfectible. Il était d’ailleurs l’éclairagiste de sa résidence 2025 en collaboration avec le directeur artistique de Richie, Brian Burke.
Cette année pour le spectacle « Lionel Richie – King of Hearts », Éric a repensé le mur vidéo à Led de 40 pieds qui servait de décor.
« Nous avons supprimé la structure en l’air et au sol pour entourer l’écran de projecteurs Kyalami afin d’obtenir un rendu monumental, plus imposant qu’auparavant », explique-t-il.
Le mur vidéo LED diffusait un contenu mêlant médias personnalisés, IMAG et effets visuels créés par Brian Burke.
Crossfade Design, avec des bureaux à Garland (Texas) et New Albany (Indiana), dispose d’un vaste parc de projecteurs Ayrton, incluant des Kyalami, des NandoBeam S9, des Veloce et des Mamba. « Mon package de conception standard pour Lionel utilise exclusivement du Ayrton », précise Wade.
« Aaron Hubbard chez ACT Entertainment m’a présenté le Kyalami il y a quelque temps, et c’était exactement ce que nous recherchions. Nous en avons 120 en installation permanente pour les Cleveland Cavaliers à la Rocket Arena. Et nous en avons acheté 60 de plus pour notre parc de location ce printemps. Depuis, ils n’ont pas arrêté de tourner, notamment sur une structure circulaire imaginée pour Janet Jackson. Leur rendu est d’une intensité incroyable, avec des couleurs exceptionnellement saturées. »
L’une des caractéristiques du Kyalami qu’Éric apprécie tout particulièrement est que « les mouvements restent à l’intérieur de son boîtier, ce qui permet de placer les projecteurs très proches les uns des autres sans qu’ils se touchent. J’en ai installé quelques-uns l’autre jour avec à peine 1,2 cm d’écart, et ça fonctionnaient parfaitement. C’est vraiment cool ! »
Éric apprécie « la parfaite intégration entre zactrack et Ayrton : la rotation panoramique et l’inclinaison à 360º du Kyalami permettent de ne pas devoir retourner les appareils lorsque l’on suit un artiste. J’espère pouvoir accompagner une tournée qui passera dans 36 villes l’été prochain avec Lionel et Earth, Wind & Fire, et je pense que zactrack serait idéal car Lionel se déplace beaucoup sur scène. Je prévois d’utiliser les Kyalami également sur ces projets. »
Éric a aussi utilisé les consoles grandMA3 de Crossfade Design pour la résidence du Wynn. « Sam Brown et Brandon Wade ont passé trois à quatre semaines à reprogrammer le spectacle sur le logiciel MA3 en utilisant trois de nos consoles grandMA3 full-size dans notre studio à Dallas », explique Wade.
« Ils ont fait un travail remarquable et maximisé les performances du logiciel MA3. Au Wynn, nous avions deux systèmes full-size et quatre unités de traitement NPU L pour le contrôle lumière. » ACT Entertainment est également le distributeur exclusif en Amérique du Nord des marques zactrack et MA Lighting.
« ACT a toujours été à 100 % derrière chacun de nos projets », note Éric. « Ils font partie de l’équipe, s’assurant que nous ayons tout ce dont nous avons besoin. Leur soutien et leur service sont optimaux. »
Chez Crossfade Design, Brandon Wade était Systems Tech et Programmeur, Keith Hoagland était Chef d’équipe pour la résidence de Richie, Justin Kemmerer était Technicien Dimmer et Tucker Wheatley Technicien Lumière.
Plus d’informations sur Ayrton Kyalami et l’ensemble de la gamme de produits LED et laser innovants d’Ayrton sont disponibles sur www.ayrton.eu
Construite en 1975 et anciennement connue sous le nom Les Arènes de l’Agora, les Arènes de Grand Paris Sud ont été transformées en un lieu culturel et sportif ultramoderne à l’issue d’une rénovation complète de cinq ans, d’un coût de 35 millions d’euros. S’inscrivant dans le cadre de l’ambitieux projet Grand Paris visant à créer de nouveaux emplois et opportunités culturelles dans la banlieue parisienne, ce remarquable lieu très moderne est désormais la principale salle de concert et de sport du sud de Paris, pouvant accueillir jusqu’à 3 000 spectateurs.
Cette salle s’est rapidement imposée comme un espace polyvalent novateur, conçu comme un lieu de spectacle flexible qui se transforme régulièrement en théâtre avec des sièges, en salle de concert debout, en salle de sport ou en arène centrale pour les sports électroniques.
Jérémie Kokot, cofondateur de Fleik.
Plus important encore, lorsqu’il a été choisi comme lieu résident de la principale équipe française d’e-sport, Karmine Corp, il est devenu la première arène en Europe à accueillir officiellement une équipe d’e-sport. Cette diversité de programmation, qui couvre la musique live, le théâtre, les arts martiaux, les conférences et les compétitions numériques, exigeait un système audio professionnel capable de s’adapter instantanément à chaque configuration.
La direction s’est tournée vers les consultants audiovisuels Concept K pour relever ce défi. Afin de garantir un design et une mise en œuvre sans faille du système audio, Concept K a fait appel à Fleik, un partenaire de confiance spécialisé dans le conseil en intégration audiovisuelle et à Potar pour l’intégration du système.
« La polyvalence et la modularité ont été nos principes directeurs dès le début », explique Jérémie Kokot, cofondateur de Fleik.
« Le site avait besoin d’une solution audio capable de fournir un son bien distribué et de haute qualité dans des configurations très différentes, que ce soit pour un concert symphonique, un concert de rock, un match de basket-ball ou une compétition d’e-sport très intense. »
La ligne-source flexible L2 conquiert les architectures complexes
Le principal défi sur ce site était d’assurer une couverture parfaite dans un espace conçu pour être reconfiguré rapidement. L’architecture modulaire de la salle exigeait une solution à la fois puissante et discrète, performante mais sans compromettre la visibilité. Les contraintes de montage imposaient au système de s’intégrer harmonieusement à la géométrie du bâtiment tout en offrant une adaptabilité rapide à de multiples configurations scéniques.
Pour répondre à ces exigences, Fleik et Concept K ont spécifié un système centré sur la ligne-source L2 de L-Acoustics. « Les systèmes L-Acoustics offrent des outils puissants tels que Dmin/Dmax qui permettent de régler précisément le niveau sonore en fonction de la configuration de l’événement. Cela nous a apporté une grande flexibilité avec une couverture sonore parfaitement maîtrisée, que la salle accueille un concert intimiste ou une compétition d’e-sport à grande échelle.
La compacité de L2 a également été un facteur déterminant dans le choix final », explique Jérémie Kokot. « La structure du toit et l’emplacement des gradins exigeaient un système pouvant être accroché relativement bas sans obstruer la vue. La forme et la puissance sonore de L2 en faisaient le choix idéal. »
L’équipe a utilisé Soundvision de L-Acoustics pour optimiser les performances bien avant que l’intégrateur ne mette en œuvre le système. Les zones destinées au public ont d’abord été définies dans Vectorworks avant d’être exportées vers Soundvision, où plusieurs scénarii ont été simulés. « Soundvision nous a permis d’anticiper les défis acoustiques et d’ajuster la dispersion », explique Kokot. « Cela a simplifié le calibrage et réduit les risques, rendant le déploiement beaucoup plus efficace. »
Première salle officielle dédiée à une équipe d’e-sport en Europe, Arènes de Grand Paris Sud dispose deux L2 et deux L2D, ainsi que quatre KS28 en configuration cardioïde.
Le design final prévoit deux modules L2 pour couvrir les rangées supérieures, complétés par deux modules L2D pour assurer une couverture uniforme des niveaux inférieurs. Quatre subs KS28 accrochés en configuration cardioïde à côté de L2 offrent des basses puissantes mais néanmoins maîtrisées. Un cluster central de deux A15 Focus apporte un renfort aux premiers rangs, tandis qu’une A15 associée à une X12 de chaque côté assurent les renforts latéraux.
Pour les tout premiers rangs, huit X8 apportent définition et équilibre, s’intégrant parfaitement à L2. Les retours sont assurés par six enceintes coaxiales X12. La gestion du système est assurée par un processeur P1, qui garantit une connectivité flexible avec la console de mixage Yamaha DM7 de la salle ou toute autre console accueillie, tout en assurant fiabilité et simplification du flux de travail. Le traitement et la puissance sont assurés par quatre LA7.16i, deux LA12X et cinq LA4X.
L’intégration réseau Milan-AVB garantit la pérennité du site
Un autre choix majeur du design a été l’intégration complète dans un réseau audiovisuel unifié. Concept K a recommandé une infrastructure basée sur Luminex, supportant Milan-AVB avec une redondance entre les réseaux primaire et secondaire. Cette intégration transporte les systèmes audio, éclairage, vidéo et intercom, offrant une synchronisation robuste et à faible latence entre toutes les technologies, tout en garantissant la rentabilité et l’évolutivité pour les besoins futurs. Tous les équipements électroniques L-Acoustics utilisent le Milan-AVB, garantissant une intégration transparente dans l’ensemble du système.
Le partenariat avec L-Acoustics garantit des performances optimales
Tout au long du processus de design, Fleik a établi une communication étroite avec l’équipe d’applications de L-Acoustics. « Leur support a été inestimable pour définir le meilleur déploiement possible », fait remarquer Kokot. « Ce véritable partenariat a permis au système de répondre exactement aux besoins de la salle. »
Adoption rapide et résultats remarquables
Étant donné que la salle fait appel à des intermittents déjà familiarisés avec les workflows L-Acoustics, la prise en main a été rapide. Les opérateurs se sont facilement adaptés au nouveau système, tirant parti du LA Network Manager et des outils associés pour rationaliser leur utilisation quotidienne.
Les premières réactions des productions et des artistes ont été extrêmement positives. Le directeur de la salle, Lucas Paez, s’est déclaré satisfait de l’installation : « Le système offre une précision et une dispesion exceptionnelles. Qu’il s’agisse d’accueillir des tournois d’e-sport avec Valorant RIOT Games, un match de Karmine Corp ou un concert en tournée, le son a été unanimement salué. Il s’adapte parfaitement à toutes les configurations. »
Le système L2 transforme les opérations et garantit le succès futur
La souplesse de la solution basée sur L2 a déjà amélioré l’efficacité opérationnelle de la salle. En réduisant au minimum le temps d’installation et de calage entre les productions, le système permet un roulement plus rapide et une plus grande flexibilité dans la programmation. Cela se traduit par un gain de temps pour les équipes techniques et des changements plus fluides entre les spectacles.
Plus important encore, l’équipement positionne les Arènes de Grand Paris Sud comme un lieu prêt pour l’avenir. « Ce système audio permet à la salle d’accueillir les productions les plus exigeantes tout en restant adaptable aux normes audiovisuelles en constante évolution », explique Jérémie Kokot. « Il consolide la réputation du lieu en tant que destination de choix pour la culture, le sport et le divertissement numérique dans la région parisienne. »
La filiale ROBE Lighting France comprenant les marques Robe, Avolites et Anolis, est ravie d’annoncer que LSC Control Systems viendra compléter son offre à la fin de l’année. L’entreprise LSC a été rachetée par ROBE début 2024 et connaît depuis une croissance significative à travers l’Europe.
« La gamme LSC nous permet désormais d’offrir une solution complète de systèmes d’éclairage, d’alimentation et de contrôle à partir d’une source unique. Nous sommes très enthousiastes à l’idée de cette nouvelle acquisition qui est tout à fait logique, puisque nous faisons partie de la même famille. » a commenté Bruno Garros, directeur général de Robe France.
Développée et fabriquée en Australie, la gamme LSC propose des solutions intelligentes de contrôle et de distribution d’énergie à tous les secteurs de l’industrie du divertissement, notamment l’éclairage, la vidéo et l’audio.
Pete Floyd, directeur des ventes internationales de LSC, a déclaré : « Nous avons hate d’entamer ce nouveau chapitre et sommes impatients de poursuivre le travail fantastique accompli par ESL au fil des ans pour développer la marque dans toute la France.
Cependant, suite à l’acquisition de LSC Control Systems par le groupe Robe, il est logique que les ventes sur ce marché clé soient gérées par ROBE Lighting France, filiale du groupe Robe. »
Retrouvez l’équipe et toute la gamme LSC aux JTSE, dans les boîtes noires 3 & 4 de Robe Lighting France.
A notre arrivée sur le lieu du rendez-vous, la surprise est de taille…mais petite. La Palais des Sports André Brouat paraît presque modeste, enchâssé en plein centre-ville de Toulouse, cerné d’immeubles qui jouent à touche-touche avec sa coupole végétalisée et sa circonférence vitrée. On verra plus loin que cette proximité et ces choix architecturaux lui jouent des tours.
Sortie de terre en 1983 puis reconstruite après l’explosion d’AZF de 2001 avec une réouverture effective en 2006, cette salle de 4 400 places accueille majoritairement du sport avec trois équipes résidentes, les Spacers pour le volley-ball, les Fenix pour le hand et l’UJS Toulouse pour le futsal et parfois de l’événementiel.
Stéphane Brocard, directeur commercial NEXO pour le sud de la France.
Au bout de 20 ans de service, il a été décidé de renouveler la sonorisation résidente à haute impédance jugée insuffisante en termes de couverture et d’intelligibilité par les utilisateurs de la salle. C’est Groupe Gamba, un bureau acoustique national né en 1976 à Toulouse qui, après étude, a rédigé le cahier des charges du potentiel nouveau système sonore.
Stéphane Brocard, directeur commercial NEXO pour le sud de la France continue :
Stéphane Brocard : Différentes marques et modèles d’enceintes ont été étudiés sur tous les critères habituels comme un champ acoustique homogène, une bande passante large et tenant dans un gabarit donné et un STI mesuré salle vide au-dessus de 0,5 dans la zone des tribunes. Le critère prix, taille et durabilité du système ont bien évidemment aussi été considérés et c’est NEXO qui a été choisi avec la tête GEO M10 et le sub L15.
SLU : Pourquoi spécifiquement la M10 ?
Stéphane Brocard : On a hésité avec d’autres références dont la S12 spécifiquement conçue pour les stades, mais ne serait-ce qu’à cause de la charge admissible du Palais des Sports, on a fait le plus léger possible et pour ça, des enceintes en polyuréthane c’est l’idéal. La M10 ne pèse que 21 kilos. Le choix du sub L15 est aussi le fruit de ce besoin de faire léger, deux L15 dans leur étrier, ne pèsent que 95 kg, mais surtout tiennent dans un budget serré…
Un des huit stacks de GEO M10, avec ici un panachage de 7 têtes M1012 et M1025 pour un poids total de seulement 164 kg. A côté, deux subs L15, totalisant, ferrures inclues, 95 kg.
SLU : Qui a fait rentrer NEXO dans la danse ?
Stéphane Brocard : C’est Vincent Nallet à l’époque Chargé d’affaires de Novelty qui nous a contactés, sans doute aussi parce qu’ayant travaillé chez Texen, il a été au contact de nos produis que ce gros prestataire/ intégrateur aixois apprécie et utilise.
De gauche à droite Christophe Ouradou, Stéphane Brocard, Thibaud Morand et François Durroux.
SLU : C’est donc Novelty qui a intégré le système ?
Stéphane Brocard : Oui, ils ont fait un excellent travail et pour revenir à Vincent Nallet, il est désormais chez ClayPaky. Le flambeau a été repris par Christophe Ouradou qui est un régisseur son collaborant beaucoup avec Novelty et, dernièrement, par Thibaud Morand qui est assistant commercial de Novelty pour la région Occitanie et François Durroux qui est Chargé d’affaires pour Novelty.
La DM3, fausse « petite » console issue de la gamme DM de Yamaha, disposant d’une somme très importante de ressources DSP et de 16 entrées et sorties Dante.
SLU : Dis donc Christophe, il me semble que Novelty via Euroson a encore de l’Alpha, le vrai, le vieux, et il sort toujours (rires)
Christophe Ouradou : Il sort par exemple pour des événements qui demandent une grosse patate comme les feux d’artifice…
SLU : Le système et les amplis sont en passerelle, comment monte le signal ?
Christophe Ouradou : En Dante et chaque NXAMP dispose d’une carte Dante. On a une boucle sur le primaire qui les alimente au départ de la régie où se trouve le switch maitre. Des arrêts en plus sont prévus dont un en face de la table de marque et un autre là où se place l’animateur/DJ en charge de l’ambiance sportive.
La régie est entre autres équipée d’une DM3 Yamaha qui remplace l’ancienne 01V qui ne disposait pas de sorties Dante.
SLU : Stéphane tu nous détailles le système ?
La distribution du niveau de pression à 1 et 4 kHz.
Stéphane Brocard : La salle de forme ovoïde est couverte par un ensemble de 8 points de diffusion, 8 clusters composés, pour les quatre virages, de 3x GEOM1012 et 3x GEOM1025.
Pour les deux gradins longs, de 2x GEOM1012 et 5x GEOM1025. Enfin pour les deux gradins courts, de 3x GEOM1012 et 4x GEOM1025, soit 52x M10 en tout.
Les M1012 ont une ouverture verticale nominale de 12° et conviennent là où il y a une distance plus importante à couvrir. Les 1025 qui ouvrent à 25°, diluent la pression vis-à-vis d’un public placé plus près. L’emploi des deux modèles a permis de constituer des arrays dont la courbure atteint et dépasse les 100°.
Les deux têtes ont une dispersion horizontale identique et variable entre la valeur par défaut 80° et celle de 120° obtenue grâce à des déflecteurs magnétiques ou flanges, placés dans le guide d’ondes.
Un des 8 clusters vu depuis la passerelle.
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Un des deux racks de puissance et de contrôle, avec deux NXAMP4X2 MK2 pour 4 clusters de M10 et un pour 8 Subs L15.
Pour ce projet les M10 du haut gardent la dispersion native à 80° là où les M10 du bas, optent, distance avec la cible oblige, pour le flange à 120°. Pour étendre et reproduire le grave et l’infra, à chaque cluster est juxtaposé un assemblage de deux subs L15, soit 16 subs en tout.
L’ensemble des têtes et subs est contrôlé et amplifié par six NXAMP4X2 MK2, quatre pour les têtes et deux pour les subs, tous équipés d’une carte Dante/AES. Ils prennent place dans deux racks placés sur la passerelle qui porte aussi les huit points de diffusion.
La salle étant libre et à notre disposition, nous avons pu, micro HF en main, faire le tour complet depuis les gradins du bas jusqu’à ceux les plus distants du terrain de jeu, en écoutant soigneusement les raccords inter boîtes et inter clusters.
Le TR de la salle, de quoi faire du bon travail.
Rien à dire pour les premiers, le passage d’une boîte à l’autre est totalement inaudible, les seules différences très limitées s’entendent à certains sièges placés dans des zones interférentes à cheval entre deux lignes, sans que cela n’impacte la compréhension des paroles. La salle qui ne dispose d’aucun traitement spécifique, offre un temps de réverbération assez sain sur le spectre de la parole.
La qualité du design, le choix des enceintes et le calage de l’ensemble permettent l’obtention d’un STI en phase de projet de 0,53 et, à la mesure, de 0,55 en moyenne avec, sur les 25 sièges répartis dans toute la salle, un seul à 0,48. Le SPL Max avec l’ensemble du système ouvert, et en moyenne salle, atteint 103,2 dBA, autant dire que l’utilisateur final a déclaré être très satisfait du résultat et du bond qualitatif par rapport à l’installation précédente.
Le STI projeté, déjà bon, à la mesure atteint une moyenne de 0,55.L’implantation des 8 points de diffusion, la garantie de ne jamais être bien loin d’une source sonore.
Revenons maintenant sur un paramètre important. Comme déjà dit plus haut, cette salle souffre de problèmes d’émergences liés à son âge. La structure même du bâti comporte beaucoup de verre en périphérie et un toit certes végétalisé mais trop léger pour bien stopper les fréquences basses. Enfin quelques ouvrants proches des habitations avoisinantes s’avèrent insuffisamment étanches.
Le SNA70-3, le redresseur de torts d’AMIX capable d’intervenir par octaves entre 63 Hz et 4 kHz pour refreiner la bande coupable. Ce que la linéarité y perd, la sérénité y gagne.
Une étude d’impact acoustique a donc préconisé l’emploi d’un limiteur multibande pour maintenir la diffusion dans un gabarit global de 93 dBA et à des niveaux précis à certaines fréquences afin de garantir une exploitation paisible quel que soit le sport ou l’événement accueilli, sans porter atteinte au voisinage immédiat et dans le respect du décret du 7 août 2017.
Nous avons pu écouter le système en mode « débridé » et apprécié le rendu clair et dynamique de M10 et le bas chaud et profond apporté par le L15, mais même avec le limiteur enclenché, le son reste pertinent, parfaitement distribué et intelligible, un résultat à mettre à l’actif de NEXO et de Novelty dont l’intégration très bien exécutée, prouve le savoir-faire des équipes locales.
Bien sûr le bruit généré par les bandas, les gros tambours de tifo et les cris des milliers de spectateurs qui se pressent dans les gradins une soixantaine de fois par saison, dépassent largement les limites imposées au déploiement électroacoustique, mais la proximité, la qualité et le nombre d’enceintes, apportent malgré tout, un nouveau confort sonore au Palais des Sports. À fond le STI, tout doux le SPL !
La cohabitation, c’est possible, et pas qu’en politique ;0)
Barre de leds noires intégrant une carte de réception NovaStar, la Pulse présente des facilités de contrôle et de montage inédites, indoor et outdoor, et diffuse des images nettes, de haute densité.
Pulse est conçue pour se fondre dans son environnement, et rester invisible jusqu’à sa mise sous tension. Sa surface noire, composée de LED noires, son boîtier et ses accessoires, tous de couleur noire, minimisent les reflets et maximisent la concentration visuelle tout en offrant une luminosité de plus de 7 500 nits.
Présentation vidéo
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L’innovation réside en deux points. Outre les diodes noires qui diffusent des visuels exceptionnels, la rampe Pulse, proposée en deux versions, Q100 (1 m de long – 4 x 128 pixels) et la Q50 (50 cm – 4 x 64 pixels), intègre des trous de montage M10 et des glissières qui s’adaptent à une gamme d’accessoires. Des angles, des platines et barres de jonctions assurent une grande variété de montages.
Les accessoires de montage.Les accessoires assurent aux équipes de création une grande liberté scénographique.
Les coupleurs se verrouillent solidement et les glissières s’insèrent dans le profilé, sans vis ni matériel supplémentaire. Ce double système hyper sécurisé, permet de réduire par 4 le temps nécessaire à l’installation.
Avec un design robuste mais léger, ces rampes vidéo LED offrent la fiabilité et la durabilité nécessaires pour les environnements exigeants (IP65).
L’autre innovation concerne les équipes création. Chaque rampe est un boîtier entièrement autonome, équipé de sa carte de réception NovaStar. Grâce à sa compatibilité avec la nouvelle plateforme NovaStar COEX, Pulse est compatible avec la technologie VMP.
Elle permet un mappage facile par glisser-déposer et prend en charge par défaut l’identification, la rotation et le réglage de chaque rampe. La rampe Pulse offre des images nettes et de haute densité tout en conservant un système léger. Basé sur le protocole NovaStar, ces rampes tirent pleinement parti du matériel de contrôle contemporain.
Bénéficiant du savoir-faire du fabricant FRAMELED™, spécialiste des écrans LED, pensées à la fois pour les équipes de montage et les équipes de création, les rampes Pulse s’intègrent facilement aux concepts scéniques et d’éclairage, ajoutant rythme, structure et atmosphère sans nécessairement dominer l’espace grâce à ses leds noires.
Utilisées avec parcimonie ou à grande échelle, elles apportent une sensation de profondeur et d’intention à n’importe quelle installation. La rapidité et facilité d’installation sauront définitivement séduire tous les acteurs du marché.
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Tarif Public : À partir de 345 €HT la rampe de 50 cm et 20 €HT en location
Distribuée par Nova-Tech Distribution (Stand 208 du doc Pullman aux JTSE les 26 et 27 novembre).
Caractéristiques
Carte de réception : Novastar MX custom, VMP compatible
Pitch : 7,8 mm
Type de led : Blackled Nationstar 2727 goldwire SMD
Driving IC : ICND2153S
Taux de rafraichissement : 5 100 Hz
Luminosité : 7 500 nits
Indice de protection : IP65
Certification : CE LVD EMC
Alimentation – Type : 750 W 48 V Meanwell
Indice de protection : IP65
Dimensions : L 44 cm x l 20 cm x P 6,5 cm
Nombre maxi d’unités par alimentation : 16 x Q100 – 40 m de câble
DTS lance son premier projecteur Scanner à source laser, le V-Snap CS.
Le V-Snap CS tout nouveau Scanner laser, IP65, à miroir motorisé, beam et strobe, tout droit issu de l’imaginaire de Minecraft, sort en grande pompe chez la marque italienne DTS pour le bonheur des éclairagistes de tout bord.
Un miroir rotatif à haute vitesse permet de donner au beam qui s’échappe de ce projecteur un effet hors du commun particulièrement hypnotique.
DTS se démarque en cette fin d’année avec le lancement d’un projecteur Scanner laser à miroir motorisé, le V-Snap CS, appartenant à un nouveau concept de projecteurs : le « moving beam » qui nous a plus que bluffés.
Avec une attention toute particulière portée sur la vitesse, ce nouvel appareil se présente comme le beam le plus rapide du marché avec un contrôle et une réactivité très poussée.
Le résultat est hypnotisant mais aussi un peu effrayant car assez inédit en termes de rendu. La vitesse du projecteur est particulièrement bien adaptée aux réverbs de la musique électronique. Un projecteur que l’on imagine donc parfaitement en boîte de nuit ou dans un kit de concert live pour composer un mur de fond de scène.
Davide Tonini, Product Manager et Roberto Donato, Managing Director, nous présentent ce tout nouveau projecteur dans une interview vidéo
Un superbe mur de 9 x 6 unités a été déployé dans le showroom de la marque. Nous avons pu découvrir les capacités inédites de ce projecteur lors d’un show incroyable qui a duré 45 minutes.
Les transitions possibles par cet appareil sont extrêmement rapides et la fonction split color permet de mélanger ou séparer deux couleurs dans la même projection en ajustant leur proportion afin de choisir entre une transition nette et douce.
Le projecteur se démarque grâce à plusieurs caractéristiques que nous allons passer en revue. Son PAN couvre 180° en seulement 0,33 s, soit une vélocité de 540°/s, tandis que le TILT file sur 70° en 0,24 s (290°/s), garantissant des repositionnements instantanés et une précision chirurgicale grâce à une programmation en 16 bits.
Propulsé par un module laser à diode solid-state de 120 W, ce système est associé à une roue de phosphore lui permettant de générer un faisceau blanc de forte intensité et offrant une excellente homogénéité chromatique ainsi qu’une efficacité optique remarquable. Le flux atteint 4 000 lumens pour une température de couleur de 10 000 K et produit 68 000 lux à 20 mètres.
Sa plage de zoom s’étend de 0,5° (minimum) à 1,6° (ouvert/gobo), extensible jusqu’à 3,3° via un filtre frost. La gestion PWM (Pulse Width Modulation) jusqu’à 20 kHz garantit une modulation sans scintillement, en prise de vue vidéo. L’effet strobe peut monter à 33 Hz.
Le PWM sert à réguler l’intensité lumineuse en allumant et éteignant la source très rapidement, tellement vite que l’œil humain ne perçoit pas ces micro-coupures. Ce système à haute fréquence permet un dimming propre, stable et compatible pour la vidéo afin d’éviter des bandes noires ou des battements visibles sur les caméras.
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Deux lignes de leds sont intégrées sur la partie basse du projecteur.
Une roue dédiée accueille deux filtres de conversion : CTD (Converted To Daylight), température de couleur 6 000 K, et CTH (Converted To Halogen), température de couleur 3 000 K. La roue de gobos fixes propose 24 positions. La roue de couleurs intègre 12 filtres et introduit une fonction de strobe blanc/couleur disponible sur 10 d’entre eux rouge, vert, bleu, jaune, magenta, violet, ambre, cyan, vert jade et rose clair.
Présentation vidéo
Le système optique combine deux prismes circulaires statiques à 4 et 8 facettes non rotatifs, et trois prismes dynamiques : un prisme linéaire à 4 facettes, un prisme circulaire à 8 facettes et un prisme circulaire à 15 facettes composé de 5 facettes internes et 10 externes réparties sur deux niveaux.
Les prismes dynamiques sont indexables, rotatifs et dotés d’un contrôle d’insertion via le système Dyna Move. L’ouverture de l’effet est ajustable grâce à un ratio de zoom 2:1 (de 6,5° à 13°), permettant de passer de faisceaux superposés à des rayons largement espacés : c’est l’effet Dyna Prism.
Différents assemblages sont possibles à l’aide d’un simple tournevis.Les unités sont assemblées bord à bord grâce au système de rail très fin fixé sur la boîte du projecteur.En bloc de 2 unités il remplit parfaitement l’espace d’un panneau de Led (…)En arche on créé une forme qui sort de l’ordinaire.
Une unité mesure 247 × 498 × 320 mm et pèse 20 kg. Son format compact permet de jumeler deux appareils dans un espace standard de panneau de Led (50 × 50 cm), assurant une intégration parfaite entre beam et vidéo. Le système FAD (Fast Array Design) permet d’assembler plusieurs unités en lignes continues ou décalées, avec un décalage de 25 cm et sans accessoires additionnels.
PowerCON True1 In/Out, DMX/RDM 5 broches avec capuchons étanches. Art-Net disponible via un accessoire optionnel.
La fixation s’effectue via deux étriers arrière réglables ou des attaches fast-lock présentes sur trois côtés. Son revêtement extérieur, sobre, lui donne par ailleurs un style industriel très sympathique.
Entièrement compatible DMX/RDM, l’ensemble s’intègre sans contrainte dans un réseau lumière classique.
Du point de vue de la sécurité photobiologique, la norme EN 62471 définie par l’Union Européenne s’applique. Elle classifie ce projecteur dans le groupe 2 ce qui signifie que l’exposition peut être dangereuse pour les yeux si l’on regarde la source trop longtemps.
La distance permettant de fixer la source en toute sécurité est définie à 118 mètres. La source n’est donc pas dangereuse pour un regard bref et involontaire mais pas plus.
Indice de protection : IP65. Interface : écran LCD avec quatre touches tactiles capacitives.
Les distributeurs DTS du monde entier étaient présents lors de ce lancement produit très fort en émotion : Le Japon, le Brésil, Les pays européens comme l’Allemagne, les Pays Bas, la Suède, l’Italie, le Grèce, l’Angleterre, etc.
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On salue le caractère innovant de la marque qui n’hésite pas à investir dans une technologie encore peu présente afin de répondre à la demande croissante des utilisateurs d’avoir accès à de nouveaux outils pour leurs créations lumière.
De plus, DTS est la dernière société italienne à avoir conservé sa chaîne de production dans leur usine de San Clemente dans la région de Rimini en Italie.
La société NOVA-TECH DISTRIBUTION a pris officiellement en charge l’importation, la distribution et la revente en France du portefeuille de marques jusque-là assuré par LEDBOX Company. Cette dernière continue ses activités d’intégration, de prestation technique et de location de solutions Led.
Une plateforme unique
L’offre de Nova-Tech Distribution est à retrouver sur une plateforme de vente en ligne unique : nova-tech.shop
Un outil complet à disposition des professionnels : site internet, informatisation logistique, outils d’information en temps réel – tarifs, remises pros, délais, suivi de commandes, drop-shipping, codes avantages, e-catalogue…
Ce changement marque la volonté de clarifier la position des marques distribuées sur le marché français. Chaque entité assure son métier auprès de ses clients. Désormais, la société NOVA-TECH DISTRIBUTION offre aux entreprises des secteurs de la production audiovisuelle, de l’événementiel, du spectacle vivant, de l’architecture, de la muséologie, de la scénographie l’accès à des luminaires à leds de haute qualité, innovantes, fiables et adaptées à des usages intensifs.
L’équipe – Direction exploitation / CP Led : Matthieu GAUCHER – Tél : 06 10 49 24 16 – [email protected] – Direction / CP écran Led : Jean-Marie BEAUZON – Tél : 06 69 54 05 50 – [email protected] – Administration des ventes : Axel EIBL – Tél : 06 02 41 97 01 – [email protected]
Contact – Siège : Nova-Tech Distribution – 7 avenue Christian Doppler 77700 Serris – Stock (600 m2) : Nova-Tech Distribution – 28 avenue Amilcar Cabral 93210 La Plaine Saint Denis
Marques de Nova-Tech en distribution exclusive pour la France
181 – Fabricant Hollandais de solutions Creative Led (intérieurs et extérieurs)
181 (OneEightyOne) une large gamme de produits d’éclairage dynamique : des solutions personnalisées et des luminaires prêts à poser.
DIGIDOT – Fabricant Hollandais de driver pour les Led matricée
Digidot C4 : driver très compact piloté en SPI pour interfacer et contrôler des pixels LED et même d’autres luminaires du kit en DMX, Art-Net ou sACN.
EREIMUL LIGHTING – Fabricant Français de Luminaires miniatures (distributeur en Ile de France)
Le PixElidy S Ereimul ultra-compact, utilise une source led blanche de haute qualité et une lentille de 10° qui produit un faisceau fin pour un éclairage ponctuel précis.
FRAMELED – Fabriquant Belge de rampes Creative Led et écrans Led
Frameled Pulse, est la première rampe vidéo composée de leds noires, équipée de sa carte de réception et offrant une multitude de possibilités d’installation.
GRIVEN ESSENTIALS – Spécialiste Italien de l’éclairage de Jardins & abords
La collection Griven Essentials apporte des solutions pour les projets urbains, résidentiels et paysagers de petite à moyenne envergure. De par leurs performances et leur polyvalence, ces luminaires sont adaptés à la mise en lumière de nombreux environnements.
La gamme POI Beam, IP66, de puissance étagée de 15 W à 250 W, mono et multisources leds RGBW combinées à une optique de 7,5° s’associe à une large gamme d’accessoires de mise en forme du faisceau.
Marques du portefeuille de revente
EGOLUCE – Fabricant Italien de Luminaires architecturaux (intérieurs et extérieurs)