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TAF LED Frame 4 : nouvelle structure de support LED

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TAF présente le LED FRAME 4, le support LED le plus grand et le plus renforcé de sa gamme Conçu pour supporter des écrans LED jusqu’à 10 × 8 mètres et une charge maximale de 3500 kg.
Résistant à des vitesses de vent allant jusqu’à 54 km/h, cette structure robuste offre une solidité maximale, une stabilité sans compromis même lors des événements les plus exigeants en intérieur comme en extérieur.

Tous les éléments de structure sont équipés du système de connexion Quicklock de TAF, et l’ensemble du matériel de fixation nécessaire est fourni de série afin de garantir un montage rapide et efficace.

Des festivals de musique de grande envergure aux arènes en plein air, en passant par les lieux intérieurs à fort impact visuel, le LED Frame 4 de TAF est conçu pour sublimer vos écrans LED et assurer leur stabilité du début à la fin.

En savoir plus sur le nouveau LED Frame 4

Pour contactez TAF pour vos besoins en support d’écran LED, demander un devis ou obtenir plus d’informations : [email protected] – +420 730 893 969

Algam Enterprise, recherche un(e) Responsable Commercial(e) Lumière et Vidéo

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Algam Enterprise (Business Unit du Groupe Algam), structure de distribution d’équipements audio professionnels, de vidéo et d’éclairage, recherche un(e) Responsable Commercial(e) Lumière et Vidéo.
Votre mission comprend aussi bien la prospection de nouveaux comptes clients lumière et Vidéo, que le suivi et le développement de clients existants.

Cliquez sur l’image de l’annonce ci-dessous pour y accéder :

Entre éclats et nuances, le design lumineux d’Adrien Alibert contrôlé en Avolites D9-215

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LEDBeam350 et Q40 jouent de concert sous les faders d’Adrien Alibert pour ce tableau nuancé et subtil.

Adrien Alibert signe pour la deuxième fois le design lumineux du Chœur du Nord avec cette année la présence d’Hélène Ségara. Un show programmé sur Avolites et dont le prestataire est Cynergie Sonorisation Live.
Adrien que nous avions déjà rencontré pour le design du Chœur du Nord l’année dernière (voir article ici), transforme ici l’essai avec une succession de trois dates au Splendide, au cabaret le K et au Zénith d’Amiens. Avec Hélène Ségara en vedette, ce show a été intégralement programmé et contrôlé sur Avolites.

Il nous en dit plus dans une interview vidéo détaillée :

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Architecture lumineuse à géométrie visuelle

L’implantation du gril comprend deux ponts de 10 mètres chacun, partant du centre pour se déployer sur les côtés. Ils sont prolongés par deux ponts plus petits de 4 mètres. Les premiers supportent 8 Robe Painte et 3 Chauvet Professional COLORado Panel Q40 et les seconds 4 x Painte et 2 x Q40. Cette forme en V est complétée par une matrice en fond de scène de 14 x Q40 et 13 x Robe LEDBeam350.

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A la face, Adrien s’est doté d’un système de poursuite RoboSpot pour détacher les artistes selon la conduite mise en place avec son poursuiteur et assistant lumière, Arthur Combacon. Le pont de face est par ailleurs doté de 12 Robe Esprite et de 12 Chauvet Strike Array 2 qu’Adrien utilise pour marquer les pêches et dynamiser l’ambiance en salle.

Un superbe faisceau de contre en Esprite pourfend la scène pour éclairer magistralement le ou la cheffe de chœur qui se relaient. En latéral, 3 x LEDBeam350 rattrapent les choristes dont un est positionné en nez de scène.

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Les Robe Painte présents sur les ponts centraux créent une superbe forme géométrique sur scène et structurent l’espace avec élégance.

SLU : Quelle a été ta réflexion lors de la conception du de fond de scène ?

Adrien Alibert : Je voulais une forme pyramidale créée avec des échelles et un contre en wash puissant pour contraster les choristes et avoir un bon rendu quand je coupe la face par exemple. Cette idée a évolué mais le parti pris de créer de la géométrie sur scène avec une forme en V est resté. Cette année je joue beaucoup en strobe pixélisé avec les Q40 de chez Chauvet. Je les trouve super à utiliser. Avec les 24 unités présentes sur le plan de feu, je peux créer des effets intéressants.

Stéphane Charitakis emmène ses 400 choristes avec énergie et passion durant ce show mémorable.

SLU : Pour toi c’est donc plus intéressant de washer les choristes que de les détacher?

Adrien Alibert : Les Robe LEDBeam350 washent les choristes mais du fait de leur puissance on ne les joue qu’à 15 % de leur capacité en se réservant le max pour marquer des pêches ou déclencher un effet waouh.
Deux viennent raser le nez de scène et quatre me permettent de rattraper les choristes sur les hauteurs pour être serein sur mon éclairage. Je viens ensuite casser ce wash avec les panels Q40.

Les Chauvet Professionnel Strike Array 2C sont installés sur le pont de face avec les Esprite.

SLU : En parlant de pêche, cette année tu t’es fait plaisir car je vois que tu as spécifié des blinders à LED Strike Array 2C Chauvet. Que penses-tu de ces projecteurs ?

Adrien Alibert : Ils sont super sympas et puissants pour éclairer le public depuis le pont FOH. Je m’en sers pour marquer les pêches à la main et je les utilise à certains moments de noir sur scène pour éclairer le public. C’est une alternative que j’apprécie de temps en temps.

SLU : Est-ce que tu les joues en couleurs ?

Adrien Alibert : Non, ils sont en mode un canal pour la lumière ce qui me permet de tamiser pendant la première partie quand Vigon chauffe la salle et que le rideau est fermé et pour préparer le « reveal » des choristes quand ça se lance.

Le show d’Adrien était particulièrement riche en effets facilités par le côté intuitif de la D9 comme en témoigne ce joli tableau en chenillard multi couleurs.

SLU : Sur le pont FOH on trouve 12 x Esprite. Comment les utilises-tu ?

Adrien Alibert : J’ai découpé la scène en deux grosses parties dans mon design. Une qui éclaire les choristes et concerne 80 % de l’espace scénique et le reste qui se focalise sur la face musiciens et utilise deux Esprite. Cela permet à la fois de les isoler lors de moments précis pour renforcer la poursuite et ça apporte également de la couleur. Cette année, petite nouveauté, je l’utilise en défilements de couleurs pour rendre le spectacle encore plus vivant. Ça m’arrive aussi de colorier les choristes tout en gardant une couleur prédominante en blanc, en CTO ou en CTB pour renforcer le tout.

SLU : L’Esprite est-il assez puissant en couleur avec sa trichromie soustractive ?

Adrien Alibert : Je suis bluffé et c’est ce que j’apprécie chez Robe. Leurs projecteurs sont puissants. Que ce soit le LEDBeam350 ou l’Esprite avec ses 27 000 lumens. Même quand il n’est pas ouvert à fond on ne perd pas trop de flux et c’est utile en couleur.

Avec leur forte puissance, les LEDBeam350 rattrapent Hélène Ségara et les choristes en latéral.

Sur les tableaux d’Hélène Ségara où j’essaie de tamiser pour la faire ressortir, je vais dans des bleus profonds et là on garde une constance et une belle couleur aussi. Avec la technicité du poursuiteur Arthur Combacon qui travaille aussi sur Chimène Badi, c’est très fluide.

SLU : Quel a été le travail d’Arthur sur ce show ?

Adrien Alibert : On a créé une conduite poursuite complète. Le projet est costaud car il est seul et il y a des passages entre chanteur et musicien qui se font rapidement. Les trois dates étaient concernées par différentes configurations. Au Splendide il a joué sur une poursuite traditionnelle. Au Cabaret Le K, on a créé une poursuite avec un Diablo et une Command Wing qu’il gérait à la souris sur le 3D. Et là, il est dans de bonnes conditions avec un beau RoboSpot en motion camera.

SLU : Que penses-tu du RoboSpot ?

Adrien Alibert : C’est la première fois que je l’utilise. L’an dernier cela m’a manqué et je ne me voyais pas sans avec une tête d’affiche comme Hélène Ségara. Sans compter que la suivre moi-même me semblait compliqué. Par ailleurs sur un Zenith, le faisceau d’une poursuite traditionnelle peut gêner le spectateur alors qu’un Esprite positionné depuis le pont FOH contrôlé par RoboSpot n’influe pas sur la visibilité ce qui est plus agréable et immersif.

Avolites aux commandes du show

Avolites D9 se décline en deux versions : la D9-330 (version complète) et la D9-215 (version compacte). Lancée en 2021, la Avolites Diamond 9 – 215 a été conçue pour répondre aux besoins des éclairagistes avec une attention particulière portée à l’intuitivité dans son utilisation.

Adrien est en communication avec son poursuiteur Arthur Combacon tout au long du show pour gérer ensemble la conduite lumière.

Avec une consommation maximale d’environ 380 W, pour 54 kg, elle possède un onduleur intégré garantissant jusqu’à 4 cycles de 4 minutes en cas de panne de courant. Du point de vue du design, ses dimensions (995×640×445 mm) lui permettent de s’intégrer dans la plupart des régies lumière.

Un châssis robuste usiné dans une seule plaque d’aluminium, associé à un assemblage de finition haut de gamme et des écrans tactiles entièrement intégrés, avec une articulation hydraulique pour une inclinaison de 18° à 68°, garantissent un confort de travail pour les utilisateurs. Elle est dotée de 30 faders motorisés, sensibles au toucher. Chaque fader est accompagné d’un indicateur de niveau LED RGB en 11 segments.

Côté OS, Avolites s’est tourné vers un Windows 10 Enterprise LTSC 64 bit. En hardware, son processeur est un Intel i7-9700K, elle possède 16 Go de RAM et un GPU AMD Radeon Pro WX-5100. Sa capacité peut monter jusqu’à 16 384 canaux de sortie DMX (32 univers) et les protocoles pris en charge sont DMX-512, Art-Net, sACN, MIDI, et SMPTE pour synchroniser lumière, son, vidéo, pyrotechnie, etc.

Les Painte sont particulièrement performants sur ce tableau où les choristes sont mis en valeur dans un sublime contre.

Une bête de course qui a particulièrement plu à Adrien

SLU : Sur quelle console as-tu démarré ?

Adrien Alibert : J’ai mis la main sur une grandMA 2 quand j’avais 15 ans puis j’ai commencé à travailler en camping et à apprendre la lumière avec un logiciel Sunlite. Quand j’ai démarré chez Cocktail de Nuit, je suis passé sur une Avolites Tiger Touch 2. Avec, je créais les nouveaux tableaux de la saison estivale à venir.
Aujourd’hui j’utilise une grandMA3 et il m’arrive de travailler sur ChamSys. Je trouve ça intéressant de savoir utiliser différentes consoles. Ça me permet de m’adapter aux sociétés de prestation ou aux lieux même si, en grande majorité, mes connaissances sont sur GrandMA. A la maison j’ai une grandMA 2 Wing, une grandMA 3 OnPC command Wing et une Avolites T3 Wing.

SLU : Sur ce projet tu as bénéficié d’une aide matérielle de la part d’Avolites est-ce que tu as un mot à leur faire passer ?

Adrien Alibert : Cette année j’ai proposé à Terry Di Isernia (responsable d’Avolites en France) d’utiliser une Avolites D9 sur ce nouveau spectacle du Chœur du Nord avec Hélène Ségara car je trouvais que le projet s’y prêtait bien et je remercie chaleureusement Avolites et Robe de leur confiance et de leur soutien. De plus cela a été une expérience très intéressante de passer de la position d’utilisateur à celle de pouvoir proposer des améliorations et j’espère que cette collaboration pourra se poursuivre.

Les Robe Esprite et les Painte s’accordent très bien sur ce tableau dans les tons bleuté et blanc froid.

SLU : Et donc quel est ton retour d’expérience sur cette D9 ?

Adrien Alibert : Je l’ai reçue en janvier, il y a donc six mois quasiment. C’est une console intuitive. La philosophie d’Avolites est d’avoir accès à l’essentiel. Par exemple sur une page on trouve les couleurs, des éléments de gobo, de prismes, de strobes, la roue d’animation ou les scrolls. J’y trouve mes différents groupes et les positions du spectacle pour obtenir par exemple une vue globale pour les Painte, les Washs LEDBeam et les Esprite. Cet accès à l’essentiel me permet d’encoder rapidement avec tout à portée de main.

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Adrien envoie Le Chœur Du Nord dans l’espace avec ce tableau aux couleurs blanc chaud et bleu glacier.

SLU : Aujourd’hui, c’est la dernière date d’un triptyque qui vous a menés successivement au Splendide, au Cabaret Le K et au Zenith D’Amiens. Comment as-tu vécu la retape de ton show sur Avo ?

Adrien Alibert : L’Exchange Mapping est une fonctionnalité qui m’a beaucoup aidé car elle permet d’échanger un projecteur avec une autre marque tout en conservant les attributs DMX (pan, tilt, gobos). On a souvent le problème de librairie DMX différente d’une marque de projecteur à une autre, les roues de gobo en 1 ou en 2 par exemple peuvent changer de position, ce qui cause des soucis.
Mais cette fonctionnalité permet de dire que le Gobo 1 s’est transformé en Gobo 2 et ainsi de suite. Même si cette fonctionnalité n’est pas inédite, je trouve qu’Avolites en a fait quelque chose de très intuitif. Sur les différentes dates j’ai par exemple dû passer de strobe à pixels, avec de la couleur et du dimmer, à du Sunstrip et du Par 64. Et j’étais agréablement surpris de voir que l’Exchange Mapping a réussi à ressortir à peu près mes effets de Pixel Mapper que j’ai ensuite ajustés par quelques retouches.

SLU : As-tu identifié des problèmes de stabilité lors de la programmation ?

Adrien Alibert : Non, cette console tourne extrêmement bien, même si j’ai identifié quelques pistes de développement que j’ai fait remonter auprès de Terry pour aller encore plus vite. Je passe d’un kit avec une centaine de machines vers un théâtre avec une quarantaine et je voulais éviter une retape qui me prenne trop de temps. J’ai notamment évoqué l’idée de ramener la fonction d’autoload dans la mémoire seule et non pas uniquement dans la cue list. Ça permettrait également d’accéder facilement à la gestion des Move In Dark et au tracking. Cela étant dit je trouve que cette console a beaucoup de potentiel.

Les Painte s’associent aux Q40 pour washer les choristes dans un mauve intense tandis qu’un Esprite envoie un puissant faisceau sur la cheffe de choeur.

SLU : Est-ce qu’il y a d’autres fonctions que tu affectionnes ?

Adrien Alibert : L’Overlap qui, si je veux faire un allumage du centre vers les extérieurs, me permet de décider de l’ordre des machines, comment elles s’allument, en même temps ou en partant du centre vers l’extérieur, en précisant quelle sera la première, la deuxième, la troisième, etc. Il y a la capacité des keyframes shapes aussi, qui permet de créer des effets de mouvements avec des positions, et donc d’ajuster facilement en changeant ces positions. Ça permet de sortir du traditionnel pan, tilt et cercle.
Et enfin il y a le time code qui pour moi est un incontournable. Sur ce show il est géré par le clavier dont le signal m’est envoyé par Charles Lagueritte, l’ingé son. Grâce à cela, je ne touche pas la console du début du spectacle jusqu’à la fin hormis pour un talk ou si les musiciens se décalent et où il faut reprendre la main. C’est très confortable et ça me permet de me libérer pour communiquer avec mon poursuiteur ou être réactif si besoin.

SLU : Sur ce show tu n’as pas utilisé la fonctionnalité Prism mais qu’en penses-tu ?

Adrien Alibert : Effectivement comme il n’y a pas d’écran vidéo et même si les Q40 sont pixelmapables, je n’en voyais pas l’utilité comme pour d’autres projecteurs avec plus de définition. Par contre j’ai déjà utilisé Prism et même si je trouve que c’est assez compliqué actuellement, je pense que ça va devenir plus intuitif avec le temps.
Je trouve qu’il manque cet aspect de sélection facile des médias et de restitution dans l’encodage. Mais Prism est quand même une belle solution car intégré dans la console et donc sans problème de mémoire RAM en utilisation. Si le réseau est bien construit, ça fonctionne instantanément.

Avec ce nouveau spectacle, Adrien Alibert poursuit sa collaboration avec Le Chœur du Nord en proposant un design lumineux structuré autour de projecteurs polyvalents comme les Q40, les Strike Array 2C, les Esprite, les Painte ou encore les LEDBeam350. Il n’en fallait pas moins pour accueillir une invitée de marque comme Hélène Ségara dont le poursuiteur Arthur Combacon ne manque pas un geste avec sa poursuite Esprite contrôlée en RoboSpot.
La programmation du show réalisé avec une console Avolites D9-215 a permis à Adrien de tester une nouvelle logique très intuitive et d’optimiser son flux de travail, notamment grâce à l’Exchange Mapping et au time code. Une expérience qui illustre autant l’évolution de son approche technique que la continuité de son approche artistique. Nul doute que nous le recroiserons pour de nouvelles aventures pros 😉

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Robe pour De Roma

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De Roma (anciennement Kinema Roma) est l’une des salles de concert les plus populaire d’Anvers. Elle a récemment acquis de nouveaux projecteurs à tête automatisée Robe avec 12 LEDBeam 150, 12 LEDBeam 350 et 24 TX1 PosiProfile. Tous ont été spécifiés par les techniciens lumière Hans Lodewijckx et Roy Nonneman, et fournis par Controllux, le distributeur Robe pour le Benelux.

@Louise Stickland

Le fabuleux bâtiment Art déco de la salle, situé dans le quartier animé de Borgerhout, a été conçu par Alphonse Pauwels et construit en 1927. D’abord imaginé comme un cinéma de 2 000 places, son entrée a été rénovée en 1958 par l’architecte Rie Haan pour accompagner sa transition vers une salle de concert prisée dans les années 1970, avant de fermer ses portes en 1982. Vingt ans plus tard, le bâtiment classé monument historique réouvre en mai 2003 et devient un centre culturel et une salle de spectacle suite à une première restauration réalisée par des bénévoles.

(de gauche à droite) Roy Nonneman de De Roma, Philip Spittael de Controllux et Hans Lodewijckx.

Hans et Roy travaillent pour De Roma à temps plein. Hans a pris la décision de moderniser l’éclairage scénique en 2022 en passant à des sources LED. Lorsqu’ils ont cherché des projecteurs de remplacement, Hans et Roy visaient une marque réputée pour sa fiabilité et capable de flexibilité pour satisfaire les artistes accueillis. Philip Spittael, responsable de compte chez Controllux, leur a présenté la gamme Robe qui s’est révélée être le meilleur choix suite à des essais de marque concurrente.


Les TX1 PosiProfile de Robe positionnés à l’avant, offrent une source alternative de haute qualité et flexible, avec un rendement important et un IRC élevé pour l’éclairage principal. « Les couleurs sont parfaites », commente Hans. « Même si nous ne faisons pas beaucoup de théâtre, les concepteurs qui travaillent dans ce secteur sont généralement assez réticents à passer à la LED, mais avec le TX1, tous ceux qui ont travaillé ici en sont très satisfaits ! »
Les LEDBeam, tant les 150 que les 350, font tous partie du rider de De Roma. La plupart des concepteurs lumière qui travaillent ici arrivent avec un groupe ou un spectacle en tournée et veulent des projecteurs wash et Beam de bonne qualité et faciles à intégrer dans leur plan de feu. Les LEDBeam sont donc un choix idéal.

@Nisran Azouaghe

Ces nouveaux projecteurs font déjà une énorme différence dans le rendu global des shows et les réactions des productions accueillies ont été très positives. Les gens adorent la luminosité et la qualité du rendu du TX1. D’ailleurs deux appareils suffisent pour éclairer la scène.
En ce qui concerne la marque Robe, Hans estime que les produits sont globalement stables et fiables, avec des couleurs garanties. « Vous savez que vous obtiendrez un bon rendu avec un équipement Robe ».

@Mathias Verchueren

De Roma produit environ 20 à 25 spectacles par mois, ce qui implique un chiffre d’affaires élevé et une grande variété de programmation. De plus, ils organisent régulièrement des projections de films.
La salle est située au cœur des activités sociales et culturelles de Borgerhout et propose des concerts de rock, de pop, de jazz et d’autres genres musicaux avec des artistes locaux et internationaux.
Elle dispose également d’un restaurant et d’une salle annexe permettant d’accueillir 50 à 100 personnes de manière plus intime ainsi qu’un foyer d’une capacité de 300 personnes si nécessaire. La jauge maximale de la salle principale est de 2 000 personnes debout et 1 250 personnes assises.

La qualité de la production est au cœur des valeurs défendues par De Roma, qui se positionne comme l’une des salles de concert principales en Belgique. Tous les free-lances et artistes sont les bienvenus, et l’équipe s’engage à promouvoir une atmosphère de tolérance, d’inclusion et de diversité pour toutes les personnes impliquées dans cet espace de divertissement innovant et révolutionnaire.

Pour plus d’informations sur la gamme de luminaire Robe

Messe Frankfurt lance un partenariat avec Frost & Sullivan

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Messe Frankfurt renforce son engagement de promouvoir la connaissance, la croissance et l’innovation dans le domaine des technologies intelligentes et durables destiné à l’éclairage architectural. En collaboration avec Frost & Sullivan, le centre de contenu de Messe Frankfurt « Building. Technology. Solutions. » noue un partenariat stratégique qui profitera également aux deux salons internationaux de premier plan : Light + Building et ISH (le grand salon mondial dédié au comfort intérieur et à la gestion durable des resources).

L’objectif est de fournir aux exposants, aux participants et à la communauté professionnelle internationale des informations fiables et pratiques sur les thèmes clés de l’avenir. Ce partenariat permettra de proposer des contenus sélectionnés sur des thèmes essentiels tels que la durabilité, les infrastructures intelligentes, la décarbonation, les technologies de construction numériques et les nouveaux modèles commerciaux, tant dans le cadre des salons que via le site Internet « Building. Technology. Solutions. »

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Johannes Möller, directeur du groupe Building Technologies Shows chez Messe Frankfurt, a déclaré : « Nous sommes impatients de travailler avec Frost & Sullivan et de tirer parti de leur vaste expertise du secteur, en particulier sur les thèmes clés qui façonnent l’environnement bâti, tant pour Light + Building que pour ISH. Leurs connaissances des tendances émergentes, des cadres politiques et des moteurs de l’innovation fourniront à nos exposants et visiteurs une orientation stratégique précieuse.
Cette contribution jouera un rôle essentiel dans l’orientation future de ces deux salons internationaux. Les informations recueillies seront également disponibles tout au long de l’année sur Building. Technology. Solutions., la plateforme d’information de Messe Frankfurt dédiée aux technologies intelligentes pour le bâtiment. »

Kamal Shah, associé et directeur de la région DACH (regroupement Allemagne, Autriche, Suisse) chez Frost & Sullivan, a ajouté : « Une infrastructure durable et connectée n’est plus une option, c’est désormais la norme. Grâce à ce partenariat, nous voulons aider les entreprises à comprendre les forces macroéconomiques qui transforment leurs secteurs pour prendre des décisions plus intelligentes et plus rapides.
En combinant l’expertise analytique mondiale de Frost & Sullivan avec la portée de Light + Building dans les domaines de l’éclairage, des technologies des services du bâtiment et de la sécurité connectée, ainsi que l’expertise de l’ISH en matière d’eau, de chauffage et d’air, nous créons une plateforme de partage des connaissances qui enrichira le débat et catalysera la croissance future. »

La transition vers des bâtiments neutres en carbone, une gestion intelligente de l’énergie et un mode de vie connecté transforment des secteurs entiers, de la construction à la domotique. Porté par l’innovation et la durabilité, le domaine des bâtiments intelligents connaît une progression rapide. L’IA, l’IoT et l’analyse des données permettent la mise en place de systèmes intégrés et économes en énergie.
Les nouvelles technologies et la collaboration intersectorielle redéfinissent l’environnement bâti, rendant les bâtiments plus intelligents, écologiques et connectés. Frost & Sullivan estime que le marché mondial des bâtiments intelligents dépassera les 50 milliards de dollars américains d’ici 2030.

Offre exclusive

Frost & Sullivan offre aux participants et partenaires de Light + Building et de l’ISH une remise de 20 % sur une sélection d’analyses des opportunités de croissance dans les domaines de l’énergie et de l’environnement et des bâtiments intelligents via la boutique en ligne de la société.

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Vous pouvez visiter :

– Building. Technology. Solutions.
– Light + Building
– light-building.com/facebook
– light-building.com/youtube
– light-building.com/linkedin
– light-building.com/instagram

GLP WILDBAR 16 : puissance maximale et IP65

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GLP WildBar 16

La GLP WildBar 16 est une barre LED classée IP65 pour résister aux intempéries. Son rendement lumineux et son flux élevés, sa grande flexibilité et sa construction robuste, la destinent à s’intégrer dans les kits de festivals, de stades, de clubs et salles de concerts pour participer à des shows spectaculaires. Avec 16 LED RGBL de 40 watts, la WildBar 16 produit un flux pouvant atteindre 10 300 lumens. Une puissance lumineuse qui en fait un outil idéal pour l’éclairage de spectacles.

GLP WildBar 16

Rideau lumineux ou wash : La WildBar 16 combine un tilt motorisé de 200° et une plage de zoom qui s’étend de 4° à 44° pour créer soit un rideau lumineux de faisceaux ultra-parallèles de 4° avec une longue portée, ou encore un wash uniforme pour éclairer un large espace.

Lignes de pixels infinies : Grâce au pitch de pixels identique entre les sources quand deux barres sont assemblées, des effets homogènes peuvent être reproduits sur des lignes de LEDs infinies pour satisfaire le pixel mapping et les installations à grande échelle.

Rendu des couleurs précis avec iQ.Gamut : La technologie couleur iQ.Gamut, déjà connue de la série X5 de GLP, offre à la fois des couleurs primaires riches et des nuances pastel délicates, ainsi qu’une lumière blanche parfaitement reproductible. Des fonctionnalités telles que les modes ColorMix, l’émulation réaliste du tungstène et la correspondance des couleurs constante simplifient le travail de conception et garantissent une couleur uniforme sur tous les appareils utilisant l’algorithme iQ.Gamut.

Des effets créatifs d’une simple pression sur un bouton : Le moteur FX intégré offre une large gamme d’effets de motifs qui peuvent être combinés de manière flexible avec le tilt et le zoom. Il est ainsi facile de créer des effets fluides comme des pêches rythmiques jusqu’à des visuels volumétriques.

Utilisation simple et contrôle intelligent : Deux modes DMX clairement structurés, Basic et Pixel, permettent un patch facile et rapide. Les protocoles pris en charge comprennent le DMX, le RDM, l’ArtNet, le sACN et GLP iQ.Mesh pour la mise en réseau sans fil. Avec l’application iQ.Service, les mises à jour du firmware, les fonctions de service et la configuration des appareils peuvent être gérées facilement via un smartphone.

Conçu pour l’extérieur : Avec son boîtier métallique robuste et sa certification IP65, la WildBar 16 est protégée contre la pluie, la poussière, le vent, les confettis, les particules pyrotechniques et la boue. Elle est donc parfaitement équipée pour toutes les situations en extérieur.

Compacte et efficace : Avec un poids de seulement 23 kg, la WildBar 16 est facile à installer et peut être déployée en grande quantité sans difficulté.

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Plus d’information sur la gamme de luminaire GLP visitez le site GLP et le site de son distributeur MID

Un superbe mur de Led illumine la tournée Oasis Live ‘25

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Alors que Noel et Liam menaient leur carrière en solo, l’engouement pour le groupe Oasis ne s’est jamais démenti. 16 ans après leur séparation, ils sont de retour avec une setlist qui restera dans l’histoire.
Avec deux monuments de la scène, l’envie de créer un show phénoménal était tout à fait appropriée, et la société de production vidéo primée Universal Pixels (UP) a soutenu cette réunion tant attendue avec une tournée cumulant 41 concerts répartis sur 13 pays en cinq mois.

Le directeur de production Tony Gittins a chargé UP de la création des médias censés accompagner le design de Paul Normandale. Mandaté il y a 12 mois, UP a investi dans une haute qualité d’image avec des murs LED Venus 4,8 mm Absen. Le résultat donne un mur de fond de scène mesurant 1 100 m² et situé à Heaton Park, avec des écrans IMAG inclinés de 10 degrés de chaque côté.

Universal Pixels a fait appel à Brompton Technology pour gérer cette installation vidéo ambitieuse, déployant 16 processeurs vidéo LED 4K Tessera SX40 et 34 unités de distribution de données Tessera XD 10G, choisis pour leur capacité à fournir une redondance totale, une qualité d’image exceptionnelle et une grande précision des couleurs.
À cela s’ajoute la capacité de lecture parfaite des pixels de quatre serveurs multimédia Disguise GX 3 qui alimentaient les graphiques génératifs Notch et le contenu IMAG. Grâce au logiciel Designer de Disguise, le programmateur Anthony Condon pouvait reproduire et synchroniser avec précision les images sur tous les écrans.
Sous la direction du réalisateur vidéo Jon Shrimpton, la toile de fond haute résolution donnait un rendu spectaculaire, diffusant de magnifiques portraits en noir et blanc allant de Hello, jusqu’à des paysages terrestres, urbains et marins qui accompagnaient « Champagne Supernova » deux heures et demie plus tard. Et cette créativité mise à l’honneur a ravi les fans d’Oasis présents à Cardiff.
La tournée Oasis Live ’25 a poursuivi sur sa lancée après un début parfait et une avalanche de critiques cinq étoiles. Tous s’accordaient à dire que la vidéo amplifiait et embellissait le spectacle dans ces immenses salles.

Gareth Manicom, responsable technique chez Universal Pixels, précise : « La collaboration avec Absen, Brompton Technology et Disguise est synonyme d’une installation fluide, d’une fiabilité sans faille et d’images hors du commun, des éléments essentiels pour une tournée que les fans attendent depuis 2009. C’est un plaisir de contribuer à offrir à chaque spectateur une expérience qui restera gravée à jamais dans nos mémoires. »

La tournée « Oasis Live ’25 » s’achèvera le 23 novembre à Sao Paulo, au Brésil.

Liste du matériel :

1 100 m² d’Absen Venus 4,8 mm
16 processeurs Brompton SX40 + 34 unités de distribution de données XD.
4 serveurs Disguise GX 3
Logiciel Disguise Designer
Rack d’enregistrement Blackmagic HyperDeck Studio 4K
8 unités de distribution électrique Stagesmarts XR48
13 caméras Panasonic 4k (UC4000s et UE150s)
3 mélangeurs vidéo ME Grass Valley Kula
2 x Polecam Autopods
Moniteurs CRT Sony 6041PVM

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Plus d’informations sur :

– Absen
– Brompton
– Disguise

NEXO STM une fois encore sur la plage pour Un Violon sur le Sable

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À Royan sur la côte atlantique, Un Violon sur le Sable est un festival gratuit qui se déroule chaque été sur la plage pendant trois jours et attire jusqu’à 50 000 amateurs de musique classique chaque jour depuis sa création en 1987. Les défis combinés d’un public nombreux et particulièrement dispersé et d’un répertoire exigeant une clarté et une gamme dynamique exceptionnelles imposent des exigences très spécifiques en matière de sonorisation.

Jean Claude Marsaud le directeur de Black Line Event (© La Charente Libre)

La société de production Atlantic Sono a donc fait appel, comme à son habitude, à Black Line Event, basée à La Couronne, non loin de là, pour déployer une fois encore un système NEXO STM, comme depuis depuis huit ans.
« Le STM nous offre la puissance, la réserve et l’articulation dont nous avons besoin pour ces concerts symphoniques qui culminent avec de spectaculaires feux d’artifice, ainsi que l’ouverture nécessaire pour couvrir un public réparti sur 100 mètres de profondeur et très dispersé sur la plage », commente Jean Claude Marsaud, directeur général de Black Line Event.

Lors du festival 2025, qui s’est déroulé les 19, 22 et 25 juillet, les lignes principales de chaque côté de la scène étaient composées de 9 modules STM M46 accrochés côte à côte avec 9 modules d’extension de basses STM B112, plus 3 têtes STM M28 supplémentaires en bas de ligne pour le champ proche.

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Arnaud Houpert, aux manettes de la face à Un Violon sur le Sable.

Neuf subwoofers STM S118 étaient empilés au sol sous chaque ligne dans une configuration cardioïde afin de renforcer la réponse grave et d’éloigner les basses fréquences de la scène, tandis que des paires d’enceintes GEO M6 étaient espacées sur la scène en tant que renforts avant. Trois racks NUAR par côté assuraient l’amplification et le traitement.

« Mon expérience avec STM pour un orchestre symphonique me porte à croire qu’il s’agit d’un système très linéaire, que ce soit à faible ou à très haut niveau », rapporte Arnaud Houpert, ingénieur d’enregistrement, de mixage et de mastering très respecté, ingénieur du son FOH pour Un Violon sur le Sable et largement reconnu pour son expertise dans la prise de son classique pour l’enregistrement et les performances live.

« Les timbres de l’orchestre sont respectés, et le système transporte le son jusqu’à 105 mètres de la scène. Je l’adore pour les concerts de musique classique. »


Le Président de Un Violon Sur Le Sable Philippe Tranchet.

Au nom des organisateurs du festival, le président Philippe Tranchet déclare : « Une fois de plus, Black Line Event a fait un excellent travail pour que tous les visiteurs d’Un Violon sur le Sable puissent profiter de nos incroyables concerts symphoniques avec un son de classe mondiale. »

Plus d’informations sur :

– Le STM de NEXO
– Un Violon sur le Sable
– Atlantic Sono
– Black Line Event

Sylvain Thévenard nommé Software Manager de Adamson

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Adamson est un des leaders dans la fabrication et la technologie des enceintes depuis plus de 40 ans. L’entreprise a investi dans une équipe solide d’ingénieurs logiciels qui reconnaissent l’importance de la qualité, de la clarté et de la fidélité du son. Adamson est fier d’annoncer la nomination de Sylvain Thévenard au poste de Software Manager.

Sylvain apporte une vaste expérience dans l’industrie audio, ayant travaillé dans des studios d’enregistrement et dans l’ingénierie du son live, et se consacre à l’amélioration du plaisir d’écoute de la musique.
Son expertise en audio spatial, qu’il a commencé à explorer en 2010, lui a permis de créer des déploiements d’imagerie sonore de très haut niveau.
En tant qu’architecte audio spatial chez Adamson, il a joué un rôle clé dans le développement de la FletcherMachine avec l’équipe européenne de développement logiciel.


Brian Fraser, Head of Product & Technology at Adamson.

Brian Fraser, directeur des produits et technologies chez Adamson, s’est montré très heureux de la promotion de Sylvain Thévenard : « L’évolution de Sylvain au sein de l’entreprise reflète l’engagement d’Adamson à concevoir en interne des technologies exceptionnelles. Nous sommes impatients de développer des logiciels plus conviviaux et à la pointe de la technologie qui transformeront le paysage audio professionnel. »

Pour en savoir plus sur Adamson, rendez-vous sur le site DV2 ou bien sur le site Adamson

Les projecteurs Claypaky au festival Glastonbury 2025

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Les projecteurs Claypaky HY B-EYE K15 Aqua ont illuminé la scène Flying Bus lors du Festival de Glastonbury 2025, qui s’est tenu du 25 au 29 juin et dont Neil Young, Olivia Rodrigo et Rod Stewart faisaient partie des têtes d’affiche.

La scène extérieure Flying Bus était construite à partir de deux bus reliés entre eux, tirés dans le ciel nocturne par des chérubins et une équipe de chevaux ailés. La scène, située dans l’Unfairground du festival, un champ dédié à l’art et à la musique subversive, était un des éléments d’une collection d’œuvres surprenante, de spectacles insolites, de salles de danse nocturnes, d’art de rue et de sculptures. Le Flying Bus a accueilli une soirée de sensibilisation aux voyageurs, une ambiance carnaval et trois nuits de musique électronique pour faire plaisir à des fans enthousiastes.

Pour cette scène, GLX Productions Ltd., leader dans le domaine des solutions clés en main d’éclairage, de sonorisation et de vidéo pour les festivals, les tournées, les événements d’entreprise et les projets spéciaux, a fourni 12 Claypaky HY B-EYE K15 Aqua.

Le HY B-EYE K15 Aqua établit une nouvelle norme en matière de luminosité, tout en garantissant une protection IP66. Avec une lentille frontale rotative et la possibilité de contrôler chaque LED individuellement, le HY B-EYE K15 Aqua permet d’accéder à des projections kaléidoscopiques et des effets visuels captivants. Il fait office à la fois de projecteur à LED haute performance, de projecteur à faisceau et de projecteur à effets visuels inédits.

« Nous avons choisi cet appareil pour ses qualités visuelles exceptionnelles, son indice d’étanchéité et les effets créés par ses lentilles B-EYE », explique Glenn Gridley, de GLX Productions. « Le système de gestion à trois couches a facilité la création d’effets visuels avec un contrôle absolu. La possibilité de diviser l’appareil en deux unités distinctes a considérablement simplifié sa programmation et son fonctionnement. »

Il estime que « les K15 ont apporté une nouvelle dynamique à l’ambiance acid house et techno que The Flying Bus vise chaque année. L’Unfairground lui-même est un endroit qui joue sur les effets visuels. Des spectacles immersifs et décalés, combinés à des messages politiques subtils et grâce à une équipe issue d’horizons très divers, ont contribué à créer l’atmosphère incroyable qui qualifie ce lieu. »

Pour Gridley, « le look B-EYE est intemporel, et le K15 Aqua est une mise à jour parfaite des modèles classiques K10 et K15. Entièrement enfermé dans un boîtier IP66, il fonctionne parfaitement dans tous les environnements. De plus, le boîtier du projecteur est élégant visuellement, ce qui le rend idéal pour les prises de vues et l’esthétique générale. »

Plus d’infos sur le site Dimatec et sur le site Claypaky

Zactrack participe à la magie du spectacle Souk Wonder

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Un système de suivi automatisé zactrack PRO de grande envergure, comprenant 32 trackers actifs, sans doute le plus grand à ce jour, a été utilisé par le concepteur lumière Ben M Rogers de A Loud Minority (ALM) afin de fournir une solution de suivi automatisé pour le spectacle immersif spectaculaire « Souk Wonder » présenté au Mayadeen Venue à Riyad, en Arabie saoudite.

Le système zactrack (serveur, trackers et antennes) a été fourni par la société allemande TrackingPro, spécialiste dans ce domaine, à PRG, le prestataire de l‘équipement lumière de “Souk Wonder”.
Au total, 36 antennes zactrack ont été déployées pour assurer le suivi de l’éclairage sur l’ensemble de la zone de représentation, soit une surface de 80 m2 et un volume d’environ 90 000 m3.
Cette configuration de 36 antennes (certains artistes portant deux balises) dans un seul système a été rendue possible par le fait que toutes les antennes ne pouvaient pas « se voir » simultanément, car elles étaient activées/désactivées afin de maintenir un taux de rafraîchissement élevé.

“Souk Wonder” a été conçu par les producteurs créatifs Dragone, avec Filippo Ferraresi comme directeur artistique et créatif principal. Patrick Larsen a conçu le décor et les éléments scéniques. La production technique globale a été assurée et soutenue par A Loud Minority (ALM), qui a pris en charge la gestion du projet, la conception des installations acrobatiques, la conception lumière par Ben et la conception audio par Calum Robinson. L’équipe ALM était dirigée par Karl Jenkins, également fondateur de la société, en tant que directeur technique de Dragone pour le projet.

C’était la première fois que l’équipe utilisait un système Zactrack de cette envergure, mais Ben était convaincu que c’était la technologie idéale pour atteindre tous les objectifs techniques et créatifs.
TrackingPro s’est chargé de la planification préalable complexe du système, tandis que Jaro Brinkmann et Raphael Doelle, de TrackingPro, étaient sur place pour assurer le support technique.
Souk Wonder a donné trois semaines de représentations, à raison de deux spectacles par jour.

Les visiteurs entraient dans un espace événementiel de 6 400 m2 inspiré des bâtiments traditionnels de Diriyah, qui proposait de nombreux stands de restauration, des boutiques et des installations artistiques. Le spectacle alliait l’effervescence du souk à des performances live de haut niveau, des expériences culinaires, de l’art et des divertissements interactifs.

Quatre scènes distinctes ont été utilisées pour les spectacles live, qui se déroulaient également dans tout le site, avec des numéros aériens et un fil de 30 mètres de haut. Les antennes Zactrack étaient donc nécessaires pour offrir une couverture 3D complète autour des structures en acier de 14 mètres de haut qui faisaient partie du concept scénique immersif de Patrick Larsen.

Les trackers Zactrack étaient principalement fixés aux artistes, à raison de deux par personne, à l’aide d’une gamme de pochettes cousues, de clips imprimés en 3D et de poches, en fonction de leur costume et de leurs mouvements. Un accessoire plus grand a également été équipé d’un tracker afin de permettre un suivi précis lorsqu’il était déplacé dans l’espace par les artistes.
Huit artistes portaient chacun deux trackers. Un deuxième jeu complet de trackers était disponible, ainsi que 16 trackers de rechange pour pouvoir assurer jusqu’à trois spectacles par jour, souvent avec seulement une heure de pause entre chaque spectacle. Au total, 32 trackers étaient donc utilisés, la moitié étant désactivée à chaque spectacle.
Au total, 24 projecteurs mobiles (14 Ayrton Huracán et 10 Ayrton Eurus) ont été utilisés comme projecteurs de poursuite contrôlés par Zactrack, qui avait la capacité d’intégrer d’autres éléments du système d’éclairage si nécessaire.

TrackingPro a méticuleusement créé environ 300 points de fonctions automatiques, afin que chaque artiste puisse entrer sur scène, disparaître dans l’un des bâtiments/tours et se déplacer librement dans toute la zone, avec un fondu automatique à l’entrée et à la sortie.
De nombreuses raisons ont fait de zactrack l’option la plus viable pour cet événement, explique Ben. L’utilisation de projecteurs de poursuite traditionnels était exclue, et un système de repérage à distance basé sur des caméras aurait rencontré des difficultés en raison des angles morts créés par la scénographie.

« Zactrack répondait parfaitement à nos besoins. Il n’y avait aucun autre moyen pratique d’obtenir une couverture à 360 degrés pour cette zone », a expliqué Ben, soulignant que Zactrack est actuellement le seul système capable d’offrir une telle autonomie et une telle flexibilité pour ce type de spectacle.
Il devait également suivre avec précision les artistes se déplaçant rapidement dans l’espace, en rollers ou à vélo. « En raison du déroulement organique du spectacle, j’avais également besoin de lumières disponibles pour les éclairer depuis plusieurs points d’entrée, car le placement des artistes évoluait en fonction du flux du public », a-t-il ajouté.
Pendant ce temps, la vue 2D de la zone de représentation offerte par le système zactrack agissait comme une « carte du Maraudeur » magique, permettant à l’équipe technique de connaître la position exacte des artistes, même lorsqu’ils étaient hors de vue.

L’éclairage du spectacle était géré par une console grandMA3 fonctionnant en mode MA2. Charlie Hickey, l’associé de Ben, a coordonné l’intégration de MA et de zactrack, créant des macros intelligentes et des vues d’ensemble permettant d’identifier très rapidement quels appareils étaient attribués à quelles paires de tracking.
Charlie et Ben ont tous deux travaillé à la programmation de l’éclairage du spectacle. L’ensemble technique (éclairage, audio et vidéo) a été fourni par PRG, tandis que Pitch Black s’est chargé du rigging acrobatique spécialisé.
Souk Wonder a été salué comme une réinvention totale de l’expérience spectatoriale. Ce spectacle ne se contente pas d’émerveiller, il réécrit les règles. Il efface les frontières entre la scène et le public, entre l’espace et l’émotion, entre tradition et innovation. Il ne s’agit pas simplement d’un spectacle à regarder, mais d’un monde dans lequel on se promène, que l’on goûte et que l’on ressent, une approche qui n’avait jamais été tentée à cette échelle auparavant. C’est une déclaration audacieuse selon laquelle le spectacle vivant peut devenir un langage à part entière, où chaque détail contribue à l’histoire.

Plus d’infos sur :

– Le site Axente
– Le site Zactrack
– SoundLightUp : Systeme Zactrack, smart is beautiful

Cameo éclaire Bryan Adams à Malaga

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La tournée « Roll With The Punches » de Bryan Adams a fait étape à Malaga, en Espagne, le 10 juin 2025. À l’Auditorio Municipal Cortijo de Torres devant un public d’environ 12 000 spectateurs, le musicien canadien a donné un concert en plein air alternant titres classiques et chansons tirées de son dernier album.

Le prestataire andalou Algo Suena a été chargé de la conception lumière, qui utilisait notamment des projecteurs Cameo Opus X4 Profile. L’objectif était de créer un concept d’éclairage discret mais expressif, afin de soutenir efficacement l’atmosphère particulière de la soirée.

L’auditorium municipal Cortijo de Torres est l’une des plus grandes salles en plein air du sud de l’Espagne, dotée d’une scène de 50 mètres de large, d’un toit de scène de 55 mètres et d’un espace total de plus de 35 000 m². Une particularité de l’endroit est que, malgré la généreuse surface de la scène, la hauteur est structurellement limitée par le toit en pente.
« Dans de telles situations, des projecteurs comme l’Opus X4 Profile, avec la forte puissance lumineuse de son moteur de leds de 1400 W et sa plage de zoom étendue de 5 à 55°, sont pour ainsi dire indispensables », confirme Serafín Sánchez, PDG d’Algo Suena.

L’équipe lumières a réparti les projecteurs sur les ponts de face, central et arrière afin d’éclairer de manière optimale toute la profondeur de la scène. « L’Opus X4 Profile est puissant, offre une fiabilité à toute épreuve et se révèle d’une extrême précision, même pour des effets de Beams. », souligne Sánchez.

La conception lumières d’Algo Suena s’est basée sur la fiche technique de tournée du concepteur lumière de Bryan Adams, en l’adaptant de façon spécifique : « Un artiste comme Bryan Adams n’a pas besoin d’une avalanche de lumières. Ce qui compte, c’est une conception claire et élégante, en dosant la puissance lumineuse de façon appropriée. »

En choisissant la lyre asservie la plus puissante du catalogue Cameo, Algo Suena a délibérément opté pour une alternative moderne aux systèmes établis utilisés en tournée. « Avec Cameo, nous nous sentons bien pris en charge en tant que prestataire de services, du début à la fin de l’événement », souligne Serafín Sánchez.

La soirée de concert réussie à Malaga souligne une fois de plus le savoir-faire du prestataire de services en matière de technologie événementielle professionnelle et montre que des productions d’éclairage puissantes sont également possibles avec des installations réduites.

Plus d’infos sur les sites Cameo et Brian Adams

ETC lance l’Apex FP, une nouvelle console de la famille Eos

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ETC annonce un nouveau complément à la gamme Eos Apex. L’Apex FP est dotée de la même surface de programmation que l’Apex 5 mais sans écran, ce qui vous laisse libre d’utiliser les vôtres.
Pour cela, ETC a prévu deux emplacements pour spigot 5/8 (16 mm) qui accueilleront les supports de moniteurs, tablettes, ordinateurs portables ou caméras.

Un des deux emplacements pour spigot.

À son design flexible s’ajoute tout une série de fonctionnalités déjà bien connues et appréciées des utilisateurs d’Apex, telles que les touches OLED personnalisables pour une configuration sur mesure, des entrées / sorties reconfigurables, six encodeurs et une rangée de Target Keys rétroéclairées en RGB.
La flexibilité est l’une des composantes essentielles des consoles Apex. Il est par exemple possible de configurer les ports DMX et ceux de Show Control en fonction des besoins de chaque production grâce aux emplacements de connectiques personnalisables, à l’arrière de la console.

Les connectiques etherCON Gigabit standards sont complétées par l’ajout de ports SFP+ compatibles avec les réseaux cuivre et fibres optiques haute vitesse les plus récents. L’Eos Apex FP offre 48 univers DMX (24 576 canaux) en sortie, permettant un contrôle aisé des installations les plus complexes.

L’Eos Apex FP fonctionne avec le logiciel de contrôle Eos. Cela implique que vous profitez des mêmes fonctionnalités que les autres consoles de la gamme Eos, comme des outils colorimétriques de pointe, les Magic Sheets pour la programmation et l’affichage personnalisé, l’environnement de visualisation et de programmation en 3D Augment3d ainsi que de la fonction Virtual Media Server pour gérer le pixel-mapping.

« L’Apex FP répond aux demandes des utilisateurs en quête d’un très haut niveau de contrôle mais confrontés à des contraintes d’espace ou de mobilité et leur offre une nouvelle option au sein de la famille Eos », déclare Nick Gonsman, chef de produit Eos.

Pour plus d’information rendez-vous sur le site ETC

KLANG offre une précision immersive à Ballimaaraan

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Ballimaaraan est un groupe dont la performance est un genre à part entière, où la narration musicale occupe une place centrale. Dirigé par le créatif Piyush Mishra, leur style oscille entre textes, rock, folk et performances théâtrales. Pour Piyush Joshi, KLANG a transformé son approche et est devenu indispensable pour tous les artistes avec lesquels il travaille.
Pour leur dernière tournée, The UdanKhatola Tour, il a utilisé la DiGiCo Quantum 338, avec la carte DMI-KLANG pour fournir des mixages immersifs au groupe. Appréciant les dernières mises à jour, il décrit le workflow DMI-KLANG comme étant totalement intégré à la console.

« Le flux de travail est incroyablement intuitif ; tout, depuis l’affectation des mixages jusqu’au placement spatial, semble naturel. Les commandes immersives de panoramique et de niveau sont entièrement accessibles depuis la console elle-même, sans avoir à passer d’un appareil ou d’un logiciel à l’autre », explique-t-il.
« Pour des artistes comme Ballimaaraan, où chaque détail sonore compte, KLANG est plus qu’une solution technique, c’est un outil créatif. KLANG me permet de créer un espace pour les musiciens qui semble vivant et inspirant, et pas seulement fonctionnel. Ce passage de la résolution de problèmes à l’amélioration de l’expérience est ce qui rend KLANG vraiment spécial. »

Le projet est un hommage au poète ourdou Mirza Ghalib et son nom vient de la rue où il a vécu. Largement considéré comme l’un des plus grands poètes de cette langue, son œuvre a influencé le style et la philosophie du groupe. Joshi travaille avec eux depuis deux ans, fournissant des mixages aux musiciens et à l’équipe technique. Lorsqu’il a rejoint le groupe, ils utilisaient des écouteurs stéréo standard, mais conscient du potentiel de KLANG, il a intégré le système dès qu’il en a eu l’occasion. Pour la tournée UdanKhatola, qui a fait étape dans de nombreuses villes indiennes, avec des concerts à Kolkata, Thane et Lucknow, il est passé au DMI-KLANG, fourni par HiTech Audio.

Joshi derrière sa SD5 équipé d’une carte processeur DMI-KLANG.

« Je gère tous les mixages de retour directement depuis la console, ce qui évite aux artistes d’avoir à intervenir sur leurs niveaux pendant le spectacle », poursuit Joshi. « Pendant les balances, j’utilise l’application KLANG:app pour me déplacer sur scène et travailler en étroite collaboration avec chacun d’entre eux.
Je trouve que c’est un excellent moyen de personnaliser le processus de monitoring et de m’assurer que chaque artiste est vraiment à l’aise avec son mix avant le spectacle. C’est rapide, fiable et cela me permet d’effectuer des réglages précis à la volée, ce qui est particulièrement utile lors de changements ou de balances rapides. »

KLANG a complètement transformé le flux de travail de Joshi, l’améliorant et offrant une expérience nettement meilleure aux musiciens avec lesquels il travaille. Cela est essentiel lorsque les performances sont aussi riches et dynamiques que celles de Ballimaaraan et Piyush Mishra. La setlist regorge de morceaux aux sonorités complexes, qui utilisent plusieurs réverbérations pour renforcer l’atmosphère de chaque chanson.
Joshi fait remarquer qu’avec une configuration stéréo, le placement de ces réverbérations était toujours un défi. Il trouvait souvent qu’elles masquaient ou encombraient les mix retour. Avec KLANG, il peut placer les réverbes là où elles doivent être dans le mix, préservant la profondeur émotionnelle sans compromettre l’intelligibilité, ce qui est un énorme avantage pour l’artiste.

« KLANG gère magnifiquement la complexité. L’espace immersif me permet de placer les éléments plus naturellement, donnant à chaque instrument l’espace nécessaire pour respirer sans masquages », poursuit-il.
« Les mixages sont plus clairs, plus enveloppants et contribuent considérablement à réduire la fatigue auditive des musiciens. Leurs commentaires ont été extrêmement positifs, la première chose qu’ils ont mentionnée était à quel point le son était plus ouvert et naturel. Cela permet à chacun de se concentrer plus facilement sur sa performance sans être submergé. Ils ont également remarqué une forte réduction de la fatigue auditive lors des longs sets et des répétitions, ce qui a changé la donne. Cela a clairement amélioré leur confort et leur confiance sur scène. »

L’utilisation de KLANG lors d’une tournée aussi complexes a permis à Joshi de développer ses compétences en immersion. Il se sent désormais beaucoup plus à l’aisel, ce qui lui a donné la confiance nécessaire pour essayer de nouvelles choses afin de soutenir ses artistes encore mieux. « L’équipe KLANG est toujours disponible pour apporter son aide en matière d’immersion ou simplement pour échanger des idées créatives. Leur support a joué un rôle énorme dans la confiance avec laquelle j’ai pu déployer KLANG lors de tournées exigeantes », conclut-il.
« Pour les musiciens, c’est une question de confort et de performance. Ils ressentent moins de fatigue auditive, bénéficient d’une meilleure séparation et d’une expérience d’écoute beaucoup plus musicale. Pour les ingénieurs, cela améliore considérablement l’efficacité avec laquelle vous pouvez créer un mixage, en particulier lorsque vous êtes pressé par le temps. Une fois que vous avez fait l’expérience du monitoring immersif, vous ne voulez plus revenir à la stéréo. »

Pour plus d’informations sur le fabricant Klang et pour le distributeur DV2

Les tubes Titan d’Astera illuminent le Festival Épidaure 2025

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La conceptrice lumière Christina Thanasoula, du studio de création Creative Lighting basé à Athènes, en Grèce, a un penchant pour l’innovation et la pensée originale dans son travail artistique. Elle a récemment été l’une des principales intervenantes du symposium Showlight 2025 à Dijon, en France.

Le Festival d’Athènes-Épidaure 2025 a été l’occasion pour Christina de démontrer son approche imaginative et d’utiliser les célèbres luminaires Titan Tube d’Astera de manière originale et vivifiante pour deux pièces de théâtre intenses et très différentes : la première mondiale de Blindness, mise en scène par Emily Louizou, et Phenomenon, mise en scène par Katerina Giannopoulou.

Blindness, mise en scène par Emily Louizou.

Christina utilise l’éclairage pour tisser des émotions, du sens et de la profondeur dans un large éventail de récits couvrant des genres tels que l’opéra, le théâtre, la danse et la musique live. Elle considère la lumière comme un outil visuel collaboratif permettant d’améliorer, de peindre et de créer l’atmosphère d’espaces et de lieux.

Blindness

Blindness est basé sur le roman de José Saramago, adapté pour la scène par Simon Stephens, et raconte l’histoire d’une épidémie de cécité très contagieuse qui interroge sans compromis l’esprit et le sens de l’humanité dans des circonstances extrêmement destructrices. Elle a été mise en scène dans une ancienne usine à l’état brut située dans le centre d’Athènes. Le décor principal de la pièce était un service psychiatrique abandonné au milieu de nulle part, avec un éclairage fluorescent cru, brut et inconfortable, caractéristique de tant d’institutions.
Christina avait besoin d’une source lumineuse polyvalente et de haute qualité, offrant une excellente gamme de blancs et quelques couleurs très spécifiques afin de reproduire fidèlement cet environnement inquiétant. Ayant déjà travaillé avec les produits Astera et leur trouvant toujours des applications nouvelles et différentes, elle a inclus 24 Titan Tubes dans la liste du matériel nécessaire à la mise en scène de la pièce.

« La scène devait avoir l’air sale, moisie, délabrée », explique-t-elle. « L’éclairage jouait un rôle clé dans la définition du lieu et l’accompagnement de l’action, et j’avais besoin de luminaires offrant une bonne dispersion de la lumière et un changement de couleur fluide, réaliste et très précis. »
Le Titan Tube ayant un aspect très contemporain, Christina et la scénographe Thalia Melissa ont travaillé en étroite collaboration pour les dissimuler dans des boîtiers scéniques abîmés qui ont contribué à créer l’ambiance austère de l’hôpital psychiatrique, où ils ressemblent désormais à des néons, devenant ainsi un élément fondamental de la scénographie.
Le département décors a fait un travail remarquable en créant des habillages usés et éraflés pour les Titan, qui ont été suspendus au plafond de la salle de spectacle et alimentées par des connexions câblées. Ils constituaient l’élément d’éclairage principal de la production, soutenu par d’autres sources LED et quelques éclairages tungstène. Environ 140 cues ont été programmées dans une console ChamSys MagicQ.

Christina savait que les Titan Tubes conviendraient aux nombreux effets lumineux qu’elle avait imaginés et a souligné que « leur fonctionnement silencieux était également essentiel » en raison de la proximité du public avec la scène et de l’intensité du spectacle. Elle adore la palette de couleurs « impressionnante » du moteur LED Astera Titan, ainsi que le mélange harmonieux des couleurs et la gradation raffinée. Des effets de scintillement et d’oscillation ont été programmés pour ajouter une couche supplémentaire de texture lumineuse, ainsi qu’une série d’effets sales et désagréables de rouge, vert et ambre.

Les Titan Tubes ont été accrochés en lignes qui accentuaient la profondeur de 30 mètres de l’espace, permettant également des effets de mouvement entre les rangées linéaires de lumières suivant l’action rapide et rythmée de la pièce, tout en se synchronisant avec le tempo de la bande-son spécialement créée par Irene Skylakaki.

« Il s’agissait de trouver le juste équilibre entre créer de l’émotion sans submerger le public, en veillant à ce que l’éclairage mette en valeur et soutienne les acteurs, rendant tout plus réaliste tout en stimulant l’imagination de chacun », a-t-elle souligné. Cette production acclamée par la critique a été accueillie avec enthousiasme et toutes les représentations ont affiché complet.

Phenomenon

Deux semaines plus tard, toujours dans le cadre du Festival Épidaure, Christina a éclairé Phenomenon, une étude contemporaine tendue sur la connaissance et le doute, écrite par Greg Liakopoulos et inspirée de l’ouvrage On Certainty de Wittgenstein. La pièce pose des questions dialectiques sur la distinction entre le réel et l’artificiel à une époque où les technologies de rendu et de simulation sont largement accessibles.

De nombreuses scènes se déroulent dans une voiture équipée de caméras en direct et de projections. Christina a travaillé en étroite collaboration avec le décorateur Niki Psyhogiou, qui a également créé les costumes, et le caméraman Yorgos Kyvernitis.

Elle a choisi les tubes Titan, qu’elle a cette fois-ci utilisés sans fil et dans un contexte cinématographique plus classique, pour éclairer l’intérieur de la voiture et mettre en valeur les protagonistes. Les luminaires ont également été utilisés pour mettre en valeur les moments dramatiques et les effets, par exemple lorsqu’un corps apparaît dans le coffre de la voiture.

Les 8 tubes Astera Titan ont dû être soigneusement positionnés et leur couleur équilibrée afin de correspondre aux images filmées en direct des acteurs dans la voiture et au contenu vidéo préenregistré de l’autoroute, avec les voitures qui passent et les feux de signalisation, ce qui a été « particulièrement difficile », a noté Christina.

Un réglage minutieux de la couleur et de l’intensité a permis de garantir que tous les appareils d’éclairage (sources tungstène et LED) apparaissent cohérents et précis à la caméra, tout en offrant une expérience live cohérente au public qui regardait les acteurs sur scène. Leur performance devait rester intéressante et émouvante.
Équilibrer l’image pour les yeux numériques et humains est stimulant, et « les appareils Astera ont été d’une grande aide à cet égard », a déclaré Christina.


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Les Titan Tubes ont également été utilisés directement comme éclairages pratiques portatifs par les acteurs qui les déplaçaient au-dessus de la voiture, créant ainsi l’illusion de lumières passant au-dessus du toit. Légers et faciles à manipuler, sans aucun fil, ils ont été intégrés sans difficulté au spectacle.

Comme il s’agissait d’un environnement filmé, les caractéristiques des Astera, telles que le fonctionnement sans scintillement et le CRI élevé, étaient essentielles, car Christina a utilisé les Titan Tubes de la même manière qu’un chef électricien pour composer l’éclairage des enregistrements télévisés et des prises de vues. L’éclairage de « Phenomenon », y compris tous les effets Astera, a été programmé et piloté à partir d’une console grandMA3 avec environ 80 cues.

Christina est impressionnée par les multiples possibilités offertes par un appareil tel que le Titan Tube, qui peut être utilisé avec la même efficacité pour éclairer deux productions complètement différentes en l’espace de deux semaines. Elle aime utiliser les Titan Tubes de manière non conventionnelle et inattendue, et ne cesse de réfléchir à de nouvelles approches.

Plus d’infos sur le site Axente et sur le site Astera