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Nouveau Sixty82 Scaff Deck : Stabilité, Durabilité et Adaptabilité pour les Professionnels

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Dotés de profilés à prise facile, les éléments du Scaff Deck sont faciles à manipuler et à installer.

Le tout nouveau Sixty82 Scaff Deck, une avancée pour les plateformes d’échafaudage. Conçu pour répondre aux exigences du secteur de la location et de l’événementiel, ce plateau se distingue par sa robustesse accrue avec ses coins robustes et soudés, un contreplaqué épais de 15 mm contre 12 mm en général sur le marché, et ce contreplaqué collé au cadre subit moins de torsions et de flexions.
Les éléments sont dotés de gouttières pour faciliter la manipulation et l’installation par les utilisateurs.

Un cadre en aluminium aux coins soudés permet de se passer de rivets.
Pour atténuer les effets rebond au maximum le fabricant n’a pas hésité à épaissir le plateau en contreplaqué.

Par ailleurs une double poutre centrale, très rigide, renforce sa stabilité en réduisant l’effet rebond du plateau par rapport aux systèmes à poutre unique. L’ensemble s’adapte parfaitement aux systèmes d’échafaudage les plus courants avec ou sans la poutre Beam Sixty82, et grâce à ses emplacements pour pieds en option, peut fonctionner de manière indépendante comme élément de scène autoportant.

Des verrous de pieds 48,3 mm ont été prévus pour plus de flexibilité en usage de praticable standard.

La gamme prévoit des tailles pour tous les systèmes et est disponible dans les formats échafaudage 1036/2072 et métrique.

Tous les accessoires pour les éléments standards du Stage82 s’adaptent également au praticable d’échafaudage Scaff Deck82 marquant leur appartenance à un écosystème intelligent et flexible.
Conçu pour résister à une utilisation intensive et répétée, le Scaff Deck garantit des performances fiables dans le temps.

D’autres informations sur :
– Le site Sixty82
– Le site Axente

Un déménagement stratégique pour RégieTek

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En prenant possession de ses nouveaux locaux à Puiseux en France, RégieTek ouvre un nouveau chapitre de son histoire. Ce déménagement stratégique vers un nouveau bâtiment moderne répondant à des normes élevées et construit spécifiquement pour répondre aux besoins futurs de l’entreprise lui permettra de gérer sa croissance.
Une très belle soirée d’inauguration suivant la visite des nouveaux locaux, à laquelle l’ensemble de la profession a largement répondu présent, nous a permis de mesurer l’importance de l’événement.

Bienvenue chez RegieTek.

Le choix du site, dans une nouvelle zone d’activité gérée par Grand Paris Aménagement (GPA), reflète un investissement conséquent.
L’aménageur, en confirmant le projet de construction du groupe RegieTek qui emploie 68 personnes sur place (pour une centaine au total sur l’ensemble de ses agences et filiales à travers la France et l’Europe), répondait à son objectif principal de créer un bassin d’emploi, privilégiant les entreprises d’exploitation ou de services nécessitant de la main-d’œuvre, plutôt que le simple stockage logistique.

Cette localisation, particulièrement recherchée par la rareté de terrains disponibles près de Paris, a imposé le respect des normes de construction actuelles exigées par les collectivités et les aménageurs. Pour RegieTek, ce déménagement est aussi l’occasion d’intégrer dans l’entreprise de nouveaux standards environnementaux particulièrement élevés. Le nouveau bâtiment détient le label Haute Qualité Environnementale (HQE) niveau excellent.

La zone centrale du stock en version clubbing pour quelques heures.

Ce label supporté par un investissement conséquent au sein du projet, impose des exigences strictes concernant l’isolation thermique et phonique, l’éclairage des bureaux, la qualité de l’air et le confort acoustique. Et quand l’obligation locale est d’équiper 30 % de la toiture en panneaux solaires, RegieTek fait le choix d’en prévoir la totalité pour les besoins futurs, assurant ainsi que son autoconsommation prévue correspondrait au minimum requis.
Accompagnement évident pour sa flotte de véhicules comprenant déjà des utilitaires électriques et bientôt des camions, douze bornes de recharge électrique ont été installées. L’entreprise est en cours d’évaluation RSE avec Ecovadis et a pour objectif de passer la certification ISO 20121 en 2026.

Une terrasse bien agréable, avec vue sur la scène montée pour l’occasion.

Le confort et le bien-être des salariés sont aussi prioritaires avec une toiture végétalisée pour une meilleure performance thermique, des bureaux climatisés, un réfectoire doté d’une grande terrasse très agréable, ainsi que des bureaux assis-debout pour améliorer les conditions de travail. La période de transition impliquait toutes les équipes et témoignait d’un fort engagement du personnel.

“Il y a eu un travail colossal de la part de nos équipes pour réussir un déménagement complet en moins de 4 mois.”‘ explique Cédric Duminy, directeur associé du groupe Regietek. “Je tiens vraiment à toutes les remercier pour leur implication. Aujourd’hui, notre dépôt est au cordeau”. D’autres services bénéficient également d’une nouvelle infrastructure de bureau et de nouveaux moyens organisationnels, comme la comptabilité qui en a profité pour numériser plus de 20 ans d’archives, ou l’informatique qui bénéficie d’une toute nouvelle architecture réseau, de contrôle d’accès et de vidéo-surveillance.

En mode “prépa” dans la zone centrale du nouveau site.

Le groupe RegieTek-Newloc-Hocco et ses huit agences en France (Paris, Nantes, Bordeaux, Toulouse, Lyon, Montpellier, Strasbourg, Lille) gèrent leurs opérations via ce nouveau site central. Les fonctions administratives et financières de toutes les filiales du groupe y sont maintenant centralisées.

Un beau lieu pour des conceptions de projets pleine d’inspiration.

Une zone importante de bureaux suit une logique fonctionnelle en accueillant au premier étage le département commercial et au rez-de chaussée l’équipe opérationnelle.
Des zones spécifiques sont dédiées aux fonctions essentielles de support, dont la logistique, le transport et les ressources humaines, incluant le booking des intermittents, et le département de conception des projets qui réalisent les études, plans et devis nécessaires à l’anticipation des opérations complexes.


Ce nouvel entrepôt central de 4 000 m² a été divisé en trois cellules coupe-feu pour optimiser les flux : Backline et Sonorisation, Logistique, Lumière et Vidéo.

“Les deux métiers Backline et Sonorisation travaillent tout le temps ensemble. Il était évident de les rassembler dans une même zone de stockage. Idem pour la Lumière et la Vidéo“ explique Cédric Duminy “Placée au milieu de l’entrepôt, la cellule logistique regroupe les quais ainsi que les zones de départ et de retour. Cette position centrale est essentielle car elle permet aux équipes de rassembler efficacement le matériel des différents pôles pour une prestation donnée.”

La sonorisation qui a l’habitude d’être accrochée… est stockée en mezzanine.
Surprise, un nouveau système Adamson VGt accompagne l‘évolution.

Bienvenue au NewLoc paradise !

Le pôle Backline gère l’un des plus grands parcs d’instruments en Europe (plus de 3 000 fûts de batterie, 1 700 amplis, 1 000 claviers, 360 guitares et basses…), incluant aussi des instruments rares et anciens qui nécessitent des conditions de stockage exigeantes en termes d’humidité et de température. Sa préparation en logistique, rendue complexe par de nombreuses variations de modèles (couleur, profondeur, année) est critique et doit être vérifiée via un système de référence par QR code pour éviter toute erreur de livraison.

Les drums… un univers de variantes, codes QR obligatoires.
N’oublions pas le classique et les instruments rares.

Lumière et vidéo

Lumière et vidéo rassemblées dans la même cellule avec sa zone de test.

“L’inventaire du matériel proposé à la location est immense » poursuit Cedric Duminy lors de la cérémonie d’inauguration “à l’heure où je vous parle, nous avons exactement 165 671 références à gérer avec un rythme opérationnel plutôt intense.
Depuis le début d’année, nous avons réalisé 5 600 opérations toutes agences confondues, plus de 300 festivals cet été à travers la France et nous accompagnons une soixantaine de tournées d’artistes.”

Les chiffres du Pôle Lumière et Vidéo sont tout aussi significatifs avec 73 écrans LED, 667 projecteurs asservis, 3 116 projecteurs LED, 963 projecteurs de théâtre, 109 machines à fumée (fumée, brouillard, FX), 30 grandMA, sans oublier 222 armoires électriques et 417 passages de câbles.

Le SAV dédié maintient la fiabilité du parc comme avec cette console Yamaha le QL à l’air.

D’autres infrastructures spécialisées permettent de stocker différents types d’équipements conçus sur mesure pour certains clients. Elles facilitent également les tests techniques approfondis, la mise à niveau du matériel et les préparations effectuées sur place.
Un SAV dédié intervenant sur l’intégralité des domaines audio, vidéo, lumière et instrument veille à l’entretien et à la réparation du parc d’équipements.

“Cette nouvelle organisation signe un véritable progrès par rapport aux anciens locaux fragmentés et les différentes hauteurs de mezzanines ajoutées au fil des ans.” ajoute Cédric. “Elle permet maintenant de standardiser nos processus logistiques, notamment en passant d’un système de navette circulaire complexe qui dans certains cas pouvait être perfectible à un système de transporteur par contrat-cadre extrêmement efficace et respectueux de notre matériel”.

RégieTek, une organisation bien sûr à zéro dB.

La journée a été soutenue par un service de restauration à la hauteur de l’événement, et mise en musique par les artistes qui jouaient live sur la scène montée spécialement pour l’occasion. L’équipe de direction au complet a pu prendre la parole, remerciant toutes les parties prenantes et marquant ainsi le début d’un nouveau chapitre. S’ensuivit une soirée prometteuse, point d’orgue d’un événement visant à partager l’esprit de l’entreprise axé sur la culture d’équipe et de famille propre à RegieTek.

La direction de RegieTek, de gauche à droite : Régis Casu (Opérations), Gaëtan Delmotte (Commerce), Erika Duminy (Staffing Management), Sébastien Fleury (Technique), Margarita Lopez (RH) et Cédric Duminy (Finances)

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Cédric Duminy

Allier la croissance professionnelle à la constance et à la générosité relationnelle est un exercice difficile voire parfois condamné. RegieTek nous montre ici que c’est sa priorité première, exprimée avec beaucoup de sincérité par Cédric Duminy au nom de l’ensemble de l’entreprise : “Nous osons croire que nous sommes une société unique en son genre et imaginer qu’il n’y en a pas deux comme nous. En tout cas, des soirées comme ça, je n’en ai pas vu beaucoup, où alors on ne m’y invite pas. Vous qui êtes souvent invités, en avez-vous vu ?
Ce qu’il faut comprendre, c’est ce qu’il se passe ici ce soir. C’est ce que nous nous appliquons à distiller tous les jours pour celles et ceux avec qui nous travaillons. Offrir un cadre de travail confortable, appréciable, sécurisant, fait partie de nos priorités et le partager depuis plus de vingt ans avec vous tous, c’est notre fierté.”

En savoir plus sur RegieTek

Deux nouveaux technico-commerciaux rejoignent ESL pour les secteurs Paris-IDF et Nord-Est

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ESL a le plaisir d’annoncer la double arrivée de Maxime Baillot (à gauche) et d’Olivier Gélineau, qui viennent renforcer leur équipe sur la région Île-de-France et Nord-Est.
Leur expérience et leur connaissance du terrain seront des atouts précieux pour accompagner les clients et partenaires au plus près de leurs projets.

Maxime Baillot rejoint ESL en qualité de technico-commercial itinérant, rattaché au secteur Paris – Île-de-France et Nord-Est. Il aura pour mission principale de développer la relation avec les prestataires techniques et de les accompagner dans leurs besoins et dans leurs projets.

Olivier Gélineau intègre également l’équipe au poste de technico-commercial itinérant toujours sur le secteur Paris – Île-de-France et Nord-Est. Il aura pour rôle de consolider les liens d’ESL avec les intégrateurs et de renforcer leur présence sur le marché de l’installation audiovisuelle et scénique.

Maxime Baillot
Technico-commercial itinérant – IDF et Nord-Est
Mobile : 06 74 98 52 87
E-Mail : [email protected]
Olivier Gélineau
Technico-commercial itinérant – IDF et Nord-Est
Mobile : 06 99 60 68 27
E-Mail : [email protected]

ETC présente les MegaPix et GigaPix, deux wash à pixels dotés d’une optique Fresnel brevetée

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ETC présente des nouveaux projecteurs wash à pixels MegaPix et GigaPix dans sa gamme High End Systems. Compacts mais puissants, ces projecteurs offrent des performances visuelles impressionnantes grâce à un système de lentille Fresnel, une large plage de zoom, un moteur de couleurs RGBL et une gradation d’une grande précision. Certifiés IP54, ils sont parfaitement adaptés aux événements en intérieur comme en extérieur : festivals, spectacles en plein air, etc.

Avec le MegaPix et le GigaPix, les concepteurs bénéficient de la qualité de projection d’une lentille Fresnel, combinée à la flexibilité d’un système optique à pixels. Le système breveté IFL (Integrated Fresnel Lens) couvre toute la surface de la lentille, optimisant la puissance lumineuse sur toute la plage de zoom.
Il permet de produire des faisceaux étroits très puissants tout en conservant une esthétique douce et homogène typique des Fresnels. Ce système est également conçu pour résister à la condensation, réduisant ainsi les besoins d’entretien et garantissant une lentille toujours propre et nette.

Le moteur à LEDs RGBL spécialement développé, associé à un canal de température de couleur (CT) allant de 2 000 à 10 000 K, permet de créer des projections lumineuses aux couleurs intenses et aux blancs d’une grande finesse. Grâce à l’expertise colorimétrique d’ETC, le canal CT offre une qualité de lumière exceptionnelle, avec des performances supérieures aux plus hauts standards TM-30.

Matt Stoner, Chef Produits Automatiques chez ETC, explique : « Les MegaPix et GigaPix ont été conçus pour offrir des performances exceptionnelles, quelle que soit l’intensité ou la teinte. Ils conservent une puissance lumineuse élevée sur toute la plage CT. Combinés à une gradation fluide et un zoom rapide et silencieux, ces projecteurs se démarquent clairement de leurs prédécesseurs. »

Tania Lesage, Responsable Marketing chez ETC, ajoute : « La certification IP54 des MegaPix et GigaPix enrichie la gamme et apporte une vraie polyvalence à celle-ci. C’est également un gage d’entretien facilité : plus besoin de recréer une étanchéité sous vide après avoir ouvert le projecteur. Ils sont rapidement entretenus et donc rapidement prêts à repartir sur scène, en intérieur comme en extérieur. »

Présentation vidéo

Les effets dynamiques sont facilement accessibles grâce aux macros intégrées, avec des couleurs prédéfinies ou personnalisables. Chaque effet est sublimé par la technologie exclusive HaloGraphic Pixel Definition d’ETC, qui entoure chaque cellule d’un halo de lumière, améliorant la lisibilité et l’aspect visuel cellules par cellules. Les utilisateurs conservent un contrôle précis de chaque pixel via les protocoles Art-Net ou sACN.

Le MegaPix pèse 9,2 kg et offre une puissance lumineuse de 10 000 lumens avec une plage de zoom de 4,5° à 50°. Le GigaPix pèse 15 kg et atteint 17 000 lumens avec une plage de zoom de 4,5° à 55°.

Pour en savoir plus sur le site ETC

Shure annonce la création d’une nouvelle équipe en charge des alliances stratégiques

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Shure, leader mondial de solutions audio collaboratives, annonce la création d’une nouvelle équipe en charge des alliances stratégiques, pour renforcer les partenariats, étendre l’écosystème technologique de l’entreprise et conduire la transformation sur les marchés mondiaux.

Boris Seibert, Senior Director de Shure.

Cette initiative témoigne de la volonté de Shure de promouvoir la collaboration dans les secteurs des communications unifiées (UC) et de l’audio professionnel, en construisant des relations plus profondes avec des partenaires technologiques clés et en stimulant l’innovation par des engagements stratégiques.

Baptisée “Strategic Alliances”, cette équipe dédiée sera dirigée par Boris Seibert qui rejoint Shure en tant que Senior Director. Ancien Global Head, Product Sales de Logitech, Boris Seibert a occupé un poste commercial stratégique, où il pilotait la transformation B2B et l’exécution de la stratégie go-to-market. Composé de nouveaux profils expérimentés en provenance d’Avocor, AVer, Zoom, HP et Jabra, le pôle Strategic Alliances s’adjoint également l’expertise complémentaire de collaborateurs de haut niveau, déjà en poste chez Shure.


La nouvelle équipe se concentrera sur trois priorités :

  • Nouer des alliances durables avec des partenaires technologiques de référence pour amplifier les
    solutions intégrées et renforcer la position de leader de Shure au sein de l’écosystème des
    communications unifiées et de la collaboration.
  • Favoriser l’adoption de l’écosystème, tout en veillant à ce que Shure soit pleinement représentée dans les forums de l’industrie, les programmes partenaires, et les initiatives conjointes qui façonnent l’avenir du marché.
  • Activer des partenariats transformateurs qui étendent la portée de Shure, ouvrent de nouveaux canaux de revenus et accélèrent l’adoption par les clients de solutions de nouvelle génération.

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José Rivas, Vice President et Chief Sales Officer chez Shure.

« En activant les différents leviers que sont les alliances, les partenariats, l’engagement et le développement de l’écosystème, cette équipe nous permettra de saisir de nouvelles opportunités, de gagner en rapidité de déploiement et d’apporter davantage de valeur non seulement à Shure, mais aussi et surtout à nos clients », déclare José Rivas, Vice President et Chief Sales Officer chez Shure.

En cette année centenaire, Shure franchit une étape importante dans sa transformation continue : l’équipe Strategic Alliances jouera un rôle crucial dans la réussite de l’entreprise lors de l’exercice fiscal 2026 et au-delà, renforçant la mission de Shure de favoriser la collaboration, d’accélérer l’innovation et de créer de la valeur pour ses clients à travers le monde.

D’autres informations sur le site Shure

Nouvelles Rencontres Techniques RCF & TT+Audio à La BS Ris-Orangis

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RCF France vous propose de découvrir avec Guillaume Trapp les outils de conception et de gestion des systèmes de diffusion HDL de RCF au cours d’une formation gratuite d’une journée à La BS Ris-Orangis le 19 novembre 2025.
Cette formation s’adresse ingés son, aux techniciens audio expérimentés et enfin aux consultants, régisseurs et intégrateurs. Vous allez apprendre à concevoir et simuler des configurations à l’aide d’enceintes RCF pour ensuite les exploiter avec les bons outils de paramétrage.


– La journée commencera à 9h avec une formation pratique sur la prédiction acoustique avec Ease Focus afin d’apprendre à modéliser des espaces, simuler la propagation sonore et configurer des systèmes son en vue d’obtenir une couverture sonore optimale.

– L’après-midi jusqu’à 17h sera dédié à la configuration et la gestion des mises en phase des systèmes de diffusion entre les différentes têtes et le subwoofers associés.

Cette journée se déroulera dans les murs de La BS, 29 rue Paul Langevin à Ris-Orangis et sera aussi l’occasion de mieux connaître les enceintes HDL et d’échanger avec des experts dont Guillaume Trapp du Support Technique de RCF et TT+ Audio.

Cet événement gratuit se déroule uniquement sur inscription préalable ici


Et pour avoir de plus amples renseignements sur les formations de RCF et les futures dates et lieux

Avolites D9 à l’Opéra national de l’Ukraine

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L’Opéra National d’Ukraine situé dans la capitale Kiev, a investi dans une nouvelle console d’éclairage Avolites D9… remplaçant l’ancienne Diamond 4 qui était en service depuis 2002 !

Réputé pour son architecture élaborée, sa riche histoire et son rôle important dans la culture et les arts ukrainiens, le bâtiment actuel de l’Opéra national a été conçu par l’architecte Victor Schröter dans un style néo-Renaissance et a ouvert ses portes en 1901. La nouvelle console D9 a été livrée par le distributeur ukrainien d’Avolites, MegaShow, qui avait également fourni la D4 il y a 23 ans.

La nouvelle console a été achetée grâce à un financement japonais et officiellement présentée à l’Opéra par l’ambassadeur du Japon en Ukraine, Masashi Nakagome, lors d’une conférence de presse à laquelle ont participé la ministre ukrainienne de la Culture et des Communications stratégiques par intérim, Tetiana Berezhna, la présidente du conseil de surveillance de la fondation caritative « Big Family », Vira Ulyanchenko, et le directeur général et artistique de l’Opéra national d’Ukraine, Petro Chupryna.

Le financement s’inscrivait dans le cadre du programme Kusanone visant à fournir une aide pour préserver le patrimoine culturel de l’Ukraine… dont l’Opéra national est l’un des éléments. L’Opéra continue de proposer un répertoire complet malgré la guerre brutale qui ravage l’Ukraine depuis 2022, et le département éclairage est ravi d’accueillir cette nouvelle console.

(De gauche à droite) « Sasha » Mayakushko, directeur technique et créatif adjoint de l’Opéra, Yevgen Chernikov et Igor Samarets, concepteur lumière de l’Opéra.

Environ 500 fichiers de spectacle ont été créés à l’aide de l’ancienne console D4 au cours de son utilisation, dont beaucoup ont été transférés vers la D9 pendant l’été, explique Oleksandr « Sasha » Mayakushko de MegaShow, qui a coordonné la livraison avec son frère Sergii.
Le système d’éclairage interne de l’Opéra comprend 16 projecteurs motorisés, des Robe Tarrantula, et environ 400 projecteurs conventionnels, et louera des packs spéciaux pour certaines productions selon les besoins. L’achat de 8 Robe T1 Profiles vient également d’être confirmé.

Outre le service exceptionnel dont ils ont bénéficié avec la D4 au fil des ans et le fait que tous leurs concepteurs et opérateurs lumière connaissent bien l’architecture Avolites, l’Opéra souhaitait également une console puissante, flexible et capable de gérer la vidéo de manière transparente avec l’éclairage. La D9 répondait donc à toutes leurs attentes.

Igor Samarets, concepteur lumière de l’opéra.

La salle dispose de 5 vidéoprojecteurs grand format et les spectacles comportent souvent un élément vidéo utilisant un écran de rétro projection et deux ou plusieurs écrans en fond de scène. La nouvelle saison verra également l’ajout d’un serveur vidéo Avolites Q3 à la configuration de contrôle fonctionnant avec le logiciel Ai, et toutes les vidéos et l’éclairage seront intégrés via le logiciel Synergy d’Avolites. L’ancien système de sauvegarde ShowSafe est également remplacé par une console Avolites Quartz.
Igor Samarets, l’un des concepteurs lumière de l’opéra, est très enthousiaste à l’idée de travailler avec le D9. Lorsqu’il a commencé à l’Opéra en 1986, celui-ci venait de bénéficier d’une nouvelle rénovation qui avait vu l’ancienne console de l’ère soviétique remplacée par une console Tungsram du fabricant hongrois. L’acquisition de la D4 a constitué une autre avancée majeure, car la Tungsram était également analogique, toutes les commandes étant manuelles à l’époque, et la « programmation » se faisait sur un cahier.

« Une fois que nous sommes passés à la console Avolites, l’informatisation a complètement transformé notre flux de travail, et tout est devenu beaucoup plus rapide et efficace », a déclaré Igor. Cela leur a également permis de commencer à utiliser des projecteurs motorisés, ce qui a constitué une autre avancée majeure. Le calendrier est chargé. Tous les spectacles sont produits en interne par l’Opéra et, en général, 30 spectacles sont joués au cours d’une saison.

L’Opéra effectue également des tournées, tant au niveau national qu’international. Le lieu a repris ses activités en mai 2022, après la bataille de Kiev, lorsque l’ennemi a été contraint de battre en retraite. Le premier spectacle présenté sur le D9 était la première du ballet La Fille mal gardée, et il a été mis en scène par Sasha, un concepteur lumière expérimenté qui est lui-même un grand défenseur des consoles Avolites.

Sasha avec Valentina Petronyk, conceptrice lumière de l’opéra

Il va sans dire que les opérations en temps de guerre sont soumises à de nombreuses contraintes et à d’énormes défis. Les spectacles doivent commencer tôt afin que tous puissent rentrer chez eux avant le couvre-feu, et le nombre de billets vendus est limité à la capacité d’accueil de l’abri anti-bombes. En cas de raid aérien, le spectacle est interrompu et tout le monde est évacué vers cet abri.

L’opéra emploie environ 800 personnes dans les domaines de la production et de l’administration, le département éclairage comptant actuellement 25 employés à temps plein. Comme tous les lieux de divertissement en Ukraine, l’opéra est actuellement confronté à une grave pénurie de personnel, en particulier dans le domaine technique, car de nombreux employés ont rejoint l’armée et participent à la défense du pays.

Pour la même raison, il y a également une pénurie d’artistes et les budgets sont très serrés, ce qui a poussé les productions à faire preuve d’ingéniosité pour que le public puisse continuer à profiter de spectacles de qualité. Tout le monde travaille en collaboration pour surmonter cette épreuve, et la situation a même ouvert de nouvelles perspectives.
Le spectacle doit continuer plus que jamais en temps de guerre… et la demande de billets est intense, car les divertissements jouent un rôle essentiel dans le maintien du moral et offrent un moyen d’évasion en cette période difficile.

Pour plus d’informations sur Avolites, vous pouvez consulter le site Avolites

Prolight + Sound 2026 rattaché à Light + Building

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Messe Frankfurt développe actuellement un concept qui offrira aux exposants de Prolight + Sound, le salon des technologies de l’événementiel et du divertissement, un nouvel espace au sein de Light + Building, le salon mondial de référence pour l’éclairage et la technologie du bâtiment. L’objectif est de proposer une solution aux entreprises pouvant bénéficier d’une synergie avec Light + Building.

Messe Frankfurt réagit ainsi aux défis actuels rencontrés par Prolight + Sound, découlant du nombre d’inscriptions après la fin de la période de préinscription anticipée (« early bird ») et des retours au sein du secteur. Dans ce contexte, il n’est pas possible d’organiser un événement autonome satisfaisant pour toutes les parties prenantes.

La technologie d’éclairage a  suscité l’’intérêt de 64 % de visiteurs de Prolight + Sound 2025. / © Jochen Guenther

Prolight + Sound se tient à Francfort depuis plus de 30 ans. Cependant, à la fin de la période de préinscription fin septembre 2025, les retours des exposants pour l’édition de mars 2026 n’ont pas été suffisants pour garantir le déroulement satisfaisant du salon. Pour cette raison, Messe Frankfurt a décidé de ne pas organiser l’événement sous forme indépendante. À la place, un nouveau scénario a été élaboré, proposant aux exposants de bénéficier de synergies avec Light + Building.
Ce dernier aura lieu du 8 au 13 mars 2026, soit moins de deux semaines avant la date initialement prévue pour Prolight + Sound (24 au 26 mars 2026). L’accent est mis particulièrement sur les exposants et visiteurs professionnels issus des secteurs de l’éclairage, de la signalétique numérique (digital signage) et des technologies de sécurité. De nouvelles idées pourront ainsi émerger pour tous. Dans ce cadre, tous les groupes profiteront du caractère fortement international de Light + Building.

Wolfgang Marzin, PDG de Messe Frankfurt, explique : « Avec cette décision, nous répondons de manière pragmatique aux inscriptions des fabricants. En tant qu’entreprise, nous devons agir de manière responsable dans l’intérêt de nos exposants et visiteurs. Il était important pour nous de prendre cette décision le plus tôt possible afin d’éviter des investissements inutiles à nos clients. La marque Prolight + Sound reste d’une importance stratégique dans le portefeuille de Messe Frankfurt, et nous continuerons d’y investir. La semaine dernière encore, nous avons annoncé la création de Prolight + Sound Bangkok, en Thaïlande, à partir de 2026. »
En offrant aux exposants concernés la possibilité de présenter leurs produits dans une zone dédiée au sein de Light + Building, ils pourront toucher de nouveaux groupes de clients et explorer de nouveaux potentiels commerciaux. Une gamme de formules de stands de haute qualité sera proposée, avec différentes tailles, pour assurer la meilleure mise en valeur possible de leurs solutions.

Programme d’accompagnement sur mesure pour une valeur ajoutée
Messe Frankfurt prévoit également un programme d’accompagnement spécialement conçu et des visites guidées pour les visiteurs. La zone thématique bénéficiera d’un emplacement central, sur le côté Est du parc des expositions, au cœur du vaste secteur dédié à l’éclairage de Light + Building. Des informations complémentaires sur la mise en œuvre de ce nouveau concept seront publiées dans les semaines à venir.

Informations sur Light + Building et Prolight+Sound

Light + Building est le salon mondial de référence pour les technologies de l’éclairage et du bâtiment. L’événement se tiendra du 8 au 13 mars 2026 à Francfort-sur-le-Main.
👉 www.light-building.com

Messe Frankfurt organise une série de salons professionnels dédiés à l’éclairage et aux technologies du bâtiment en Asie, Argentine, Chine, Émirats arabes unis et États-Unis. Plus d’informations sur la marque internationale Light + Building sont disponibles sur :
👉 www.light-building.com/brand

Réseaux sociaux :
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Plus d’informations sur Prolight + Sound :
👉 www.prolight-sound.com

Chauvet Strike Saber 10, brillant d’ambre et d’or en barre

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Le “Sunstrip”, barre d’un mètre, équipée très basiquement de 10 lampes dichroïques graduables individuellement est devenu un standard de l’éclairage. Simple et pratique, il a été utilisé à toutes les sauces ces 20 dernières années et chaque jour, des éclairagistes trouvent de nouvelles idées pour les impliquer dans leur conception.

Evolution et disparition des ampoules halogènes obligent, de nombreux fabricants l’ont envisagé en version LED. Voici une de ces versions, présentée par Chauvet, sous la référence Strike Saber 10, dans une nouvelle mouture IP65 cette fois-ci, et elle nous réserve de bien belles surprises. Nous l’avons essayée dans le studio de La BS.

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En lumière

Question lumière, elle répond au principe du “Sunstrip” avec émulation halogène de ses sources. La lumière est basée sur du blanc chaud d’un peu moins de 3 000 K, présentant un IRC de 91, avec la simulation du rougissement de filament par l’ajout de leds ambrées. Il ne sera pas possible de mesurer la température de couleur la plus basse, on est clairement sur un « orangé foncé. » C’est une teinte, pas un blanc.

Variations de température de couleur, du plus chaud au plus froid.

Chaque module de LED consomme environ 18 Watts à pleine puissance, ce qui donne une consommation globale d’environ 180 W pour l’ensemble de la barre.

Les sources avec leurs diffusant et réflecteurs.

Les leds sont cachées par un petit diffusant et entourées d’un réflecteur dont les facettes disposées en lignes courbes finement morcelées créent un halo très fin, le tout avec l’aspect général d’une lampe dichroïque.
Les LEDS ambrées peuvent être gérées de différentes façons suivant le mode de fonctionnement choisi. Elles peuvent intervenir automatiquement en fonction de la graduation des sources (et donc émuler purement et simplement les effets d’une source halogène), ou alors être pilotées directement par l’opérateur qui va en gérer le niveau à sa guise. Dans l’absolu, elles peuvent aussi jouer seules.

Effet blanc 2 900 K.

7 modes de contrôle sont prévus pour piloter le Strike Saber 10, d’un seul canal, jusqu’à 26 dans des modes étendus et pour lesquels on dispose de patterns de programmes internes. Je regrette seulement qu’aucun mode ne propose de piloter l’engin en 10 canaux, à la façon du Sunstrip, ou de simples canaux de trad, sans rien de plus…

Le mode qui s’en rapproche le plus est le 13 canaux, qui comporte en plus des 10 dimmers, un master en 16 bits et un canal « control ». En cas de remplacement de Sunstrip par ces appareils, il faudra donc revoir les paramètres du show, ils ne seront donc pas simplement interchangeables.

Effet de chaser défilant.

Changement important par rapport à la lumière produite par les sources halogènes dont on peut avoir l’habitude sur ce type d’engin, l’angle du faisceau de ses sources est beaucoup plus fermé. Le fabricant annonce un faisceau de 20°. Nos mesures révèlent un angle global d’une trentaine de degrés, pour un faisceau de 17°.

La façon dont la lumière est répartie dans le faisceau met en avant le fait que la subtilité entre l’émission de lumière à i/10 (intensité au centre divisée par 10, la plus large) et celle du « faisceau » (à i/2) est surtout très marquée à proximité de la source. L’ensemble s’homogénéise un peu en quelques mètres. La différence se mesure bien sûr, mais à l’œil, on n’observe pas deux faisceaux différents, sauf sur le premier mètre.

Vue à 90° du faisceau, on voit son ouverture, et sa diffusion.

Dimmer

Le Strike Saber 10 dispose de 4 courbes de dimmers. Elles sont très propres et adaptées à l’usage de ce type de projecteur, notamment la courbe en « S » dont l’amorti est plus raide que pour un PC ou une découpe, mais pour de l’éclairage d’effet dont la source est l’un des aspects directement visibles, c’est très bien.

Courbe de dimmer Square de 0 à 10 %.
Courbe de dimmer Square de 0 à 100 %.

Le fait que les faisceaux soient assez serrés n’est pas franchement un inconvénient, même si ça peut pour le coup déstabiliser l’utilisateur habitué au Sunstrip. C’est un des éléments qui fait du Strike Saber 10 une proposition un peu différente qu’il conviendra d’envisager comme telle.
Par cette caractéristique, cet appareil offre un effet qui peut se rapprocher de certains strips de faisceaux LED assez serrés produisant des volumes de lumière linéaires dans l’espace. On n’est clairement pas sur du faisceau serré, mais la directivité de la lumière a ça d’intéressant que l’on pourra en faire des choses différentes que simplement des points lumineux à intensité variable, du plus faible jusqu’à l’aveuglant.
On peut envisager de simples effets de « herses », en passant par des effets de blinders, jusqu’aux assemblages pour du pixel mapping puisque chaque source peut être contrôlée sur deux couleurs, en 16 bits. A tout ceci, s’ajoute un effet strobe assez percutant que nul halogène ne pourrait générer !

L’effet halogène

Par ses sources en blanc chaud, et ambre, le Strike Saber 10 propose clairement l’effet d’un projecteur de type « halogène ». en commençant par la chaleur de la lumière des sources, pour terminer par les « défauts » qu’elles présentaient et que cherchent à recréer les éclairagistes nostalgiques. Ils y reconnaîtront une connexion avec leurs habitudes et les sentiments qu’ils éprouvent depuis des lustres face au comportement de ces projecteurs.

Effet de chaser avec blanc chaud et ambre.

Le rougeoiement du filament sous alimenté, accentué au fur et à mesure que diminue l’intensité lumineuse, tout comme l’inertie du filament pouvant durer parfois plus d’une seconde quand on coupait au « cut » le projecteur, (curieusement, cette inertie qui, justement, ne se retrouvait pas sur les Sunstrip, mais sur leurs ancêtres, les T8 / T10 dont on ne pouvait pas contrôler les lampes de manière indépendante !!!).
Le Strike Saber 10 propose donc de simuler cet aspect de l’halogène, avec sa configuration possible du dimmer en mode « traditionnal », reproduisant les réactions d’une lampe à filament MR16.

Techniquement, ça dit quoi ?

Les accessoires de fixation, ici en mode accroche verticale avec un crochet CR50.

L’appareil se présente très pratiquement sous la forme d’une barre de section très carrée, d’un mètre de long, avec une excroissance pour contenir l’électronique de commande et les connecteurs sur le centre de l’arrière.
La construction est solide, bien plus que les modèles originaux, toutes marques confondues, qui étaient un assemblage de tôles fines assez calamiteux et qui finissait tôt ou tard broyées quelque part…
En revanche il est un chouïa plus lourd puisqu’il pèse 8 kg mais, détail de taille, il est IP65 ! Ça change tout ! Du coup ce n’est pas un frêle engin fragile à tout, mais une machine costaude capable d’affronter les intempéries et les conditions environnementales hostiles !

Vue de l’appareil en fonctionnement, installé verticalement sur un pied.

Le Strike Saber 10 n’est pas ventilé. Le refroidissement des sources est réalisé par convection naturelle, l’ensemble de la structure externe de l’appareil servant de radiateur. On peut en mettre 200 dans un kit, elles ne produiront pas un poil de bruit…

Le profilé en fonte d’aluminium dont il est majoritairement constitué intègre une glissière à l’arrière de l’appareil (interrompue par le boîtier contenant l’électronique au centre bien entendu) dans laquelle peuvent venir se clipser deux accessoires de fixation permettant soit de poser la barre au sol, soit de l’accrocher dans quelle que position qu’il vous plaira.

Ils se verrouillent sur la longueur du Strike Saber 10 à l’endroit voulu et dans le sens voulu, (parallèlement ou perpendiculairement à l’appareil), il suffit de les faire circuler, et de serrer ensuite la manette de verrouillage au bon endroit. Ces deux accessoires de fixation, orientables à souhait sur 90°, permettront donc de positionner l’appareil dans toutes les inclinaisons possibles. Si c’est au sol par exemple, il pourra s’orienter de la verticale jusqu’à l’horizontale, avec toutes les angulations intermédiaires.

La technique pour connecter les appareils entre eux.

Ces accessoires peuvent recevoir soit un crochet ou clamp directement, mais aussi des oméga si cette méthode d’accroche vous convient davantage (les oméga sont en option). Un port d’accroche pour une élingue est présent à l’arrière de l’appareil.

A l’une des extrémités de chaque barre, se trouve un système de raccordement afin d’assembler les Strike Saber 10 pour former une « ligne » continue. Un petit ergot mobile peut donc sortir à l’aide de son loquet, et se glisser dans l’un orifice du luminaire à assembler. Une goupille à ressort tenue par une petite élingue fixée sur l’arrière viendra verrouiller l’assemblage.

Sur chaque côté du boîtier d’électronique, on trouve les connexions d’alimentation et DMX. D’un côté l’entrée alimentation (en PowerKon Seetronic) et l’entrée DMX (en XLR5 comme il se doit), tandis que de l’autre, on a la sortie recopie alimentation (pour linker plusieurs barres ensemble, notamment avec des câbles hybrides le cas échéant) et la sortie DMX.

Les connecteurs avec leur capot étanche en caoutchouc.

Sur l’arrière, non loin de l’écran de configuration, on trouve un port USB pour effectuer des mises à jour du software, ainsi qu’une valve permettant d’évacuer toute trace de condensation éventuelle à l’intérieur de l’appareil. Chaque connecteur est installé sur une embase avec capot caoutchouc pour garantir l’étanchéité complète.


Fonctionnement

Pour accéder aux fonctions de l’appareil, on a l’écran de contrôle (OLED) avec ses 4 boutons de navigation. Il faut un « mot de passe » d’une combinaison d’appui sur les touches pour en déverrouiller l’accès, ce qui est très pénible lorsque vous devez paramétrer un certain nombre de machines. Heureusement cette fonction est neutralisable (dans le menu) et vous évitera de piquer une crise ! Ce verrouillage peut être pratique dans certains cas pour être certain que rien ne vienne perturber les configurations de l’engin.

L’écran OLED et les 4 boutons de contrôle.

Le menu est simple et clair. Lumineux en blanc sur fond noir, il permet la configuration de l’appareil, dont ses paramètres DMX, mais aussi toutes les options possibles sur les courbes de dimmer, la simulation halogène ou non, etc.
L’engin est RDM mais on pourra tout de même contrôler nombre de ses fonctions directement par le canal « control », afin de pouvoir, en quelques secondes et sans manipulation particulière, même une fois que tout le kit est monté, mettre tout ou partie des machines avec les mêmes courbes de gradation ou les mêmes modes de réaction.

Pratiquement ça marche très bien

Une source de Strike Saber 10 projetée à 5 mètres produit un éclairement au centre de 1600 lux ce qui est tout à fait suffisant pour l’usage qui va en être fait. C’est un produit d’effet, qui n’est pas destiné à éclairer des surfaces ou des sujets, bien que dans l’absolu rien ne l’en empêche. Il pourra satisfaire très tranquillement pour des effets de nez de scène, des « herses – bains de pieds » artistes, etc.
Dans certains modes de contrôle, des canaux sont affectés pour envoyer des patterns de défilement d’effets internes et permettront d’en gérer la vitesse. Certains concernent des effets uniquement « blancs chauds », et d’autres intègrent du blanc chaud et de l’ambré. Ils ne sont pas nombreux, on aimerait que cette collection soit un peu plus étoffée mais ce n’est pas un drame, sachant que la plupart du temps, on va utiliser ces appareils soit avec un générateur d’effets externe, soit en leur envoyant un flux de mapping.
Sa réaction à la réception de flux ou simplement d’un chase est remarquable et peut prendre bien des aspects en fonction de la courbe de dimmer que l’utilisateur aura choisie pour les sources. J’aime beaucoup le côté « faisceau un peu serré » qui va prendre toute sa valeur dès qu’on voudra l’incliner dans différentes directions et qui va permettre, en disposant de plusieurs unités, de générer des effets en volumes tout à fait séduisants.

Vidéo de présentation

Conclusion

Le Strike Saber 10 est une proposition tout à fait intéressante pour de l’effet lumineux scénique typé « halogène » de grande qualité. Il présente des caractéristiques qui lui offrent de nombreuses possibilités parfois bien différentes de ce qu’on a toujours pu envisager avec ce type de « barres à lampes ».
Sa construction IP et ses possibilités d’accroche et d’assemblage finissent de mettre tout le monde d’accord sur son efficacité. Un bien bel appareil !


J’aime :

  • Les faisceaux
  • La qualité de fabrication

Je regrette :

  • Le manque d’effets internes en mode réduit

Tableau général

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CODA Audio France lance les « Rencontres Techniques » !

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CODA Audio France lance les « Rencontres Techniques » ! Des journées gratuites de découverte et d’échanges autour de leurs systèmes de sonorisation.

Pensées pour les techniciens, régisseurs, ingénieurs système et directeurs techniques, ces Rencontres Techniques sont l’occasion de découvrir la marque, d’écouter les produits, et d’échanger avec les équipes France sur leurs technologies et outils (LINUS Control, System Optimiser, protocole Linet).
Une journée conviviale, rythmée par des écoutes, des démonstrations, des discussions entre pairs avec en prime quelques moments de pause partagés.

Ci-dessous toutes les informations pratiques et les liens d’inscription pour les deux premières dates.


Rencontre Technique #1 – PFL Events (Bavans) – 4 novembre 2025

Première étape des Rencontres Techniques chez PFL Events à deux pas de Besançon. Une journée pour échanger entre pros et écouter les systèmes CODA dans des conditions réelles. 20 places maximum.

Inscrivez-vous ici


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Rencontre Technique #2 – Perfect Live (Crissey) – 5 novembre 2025

Deuxième étape des Rencontres Techniques, cette fois chez Perfect Live, près de Chalon-sur-Saône. Une nouvelle occasion d’échanger entre professionnels et d’écouter les systèmes CODA dans des conditions réelles. 20 places maximum.

Inscrivez-vous ici

Nouveau cap pour MID : GLP entre en scène

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(de gauche à droite) Nicolas Granval Directeur associé de MID, John Artonne éclairagiste et Yohan Ory, chef produit lumière chez MID.

Mid (Musique Industrie Développement) diversifies ses activités en prenant en distribution la carte GLP.
Le recrutement de Yohan Ory comme chef produit lumière et aujourd’hui l’inauguration d’un tout nouveau Showroom basé au Parc de l’Événement à Longjumeau sont les premières pierres d’un projet de développement de long terme comme l’explique Nicolas Granval son PDG :
« Notre ADN vient du milieu de l’audio. Il y a quelques années est arrivée chez nous la partie vidéo du fait d’une prise de conscience des convergences des technologies qui se poursuit avec la lumière »

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Les prestataires et éclairagistes de renom sont présents pour l’inauguration du nouveau showroom dédié à GLP, preuve de l’intérêt des pros pour cette marque européenne.

SLU : Quand GLP vous a approché pour vous proposer la distribution en France, quelle a été votre réflexion ?

Nicolas Granval : Pour nous, distribuer de la lumière a été vu comme un nouveau challenge. Nous avons constitué une équipe avec Yohan Ory notamment qui est un ancien de chez Martin. C’est un super mec qui nous fait l’honneur de nous rejoindre.
Pour gagner en crédibilité, il fallait que l’on puisse présenter les machines d’où la création de ce showroom au Parc de l’Événement, ce qui a du sens car beaucoup de prestataires qui connaissent déjà bien la marque sont proches géographiquement. Ça nous permet de mettre un pied dans le business de manière intelligente.

Les espaces sont visuellement ouverts grâce à leurs cloisons de verre élégantes et modernes.

SLU : Avez-vous pour objectif de développer votre offre lumière dans le futur ?

Nicolas Granval : Tout dépend de ce que tu appelles le futur. A court terme nous avons déjà un gros bébé qui s’appelle GLP et qui nous prend beaucoup d’énergie et de temps. On est toujours ouvert aux propositions portées notamment par les jeunes qui travaillent chez MID et auxquel je dis souvent oui parce que je suis faible face aux bonnes idées (rire). Mais maintenant il va falloir se concentrer pour développer GLP et construire une image qui soit fidèle à la qualité premium de la marque. Il y aura certainement d’autres développements mais c’est bien d’avancer par étapes.

SLU : Aujourd’hui les plus gros prestataires sont invités, comment avez-vous prévu l’événement ?

Nicolas Granval : C’est toujours compliqué de faire un gâteau pour Pierre Hermé (rire). Le show a été confié à John Artonne, éclairagiste de Barbara Pravi, d’Hervé et ami de Yohan qui a été séduit par le projet.

Il explique « C’est bonne ambiance, c’est fun et on a des super gammes de produits, ce qui fait qu’on s’amuse beaucoup. Hors plan, nous avons passé trois jours d’encodage sur place pour créer un show plutôt orienté live qui dure 8 minutes au total. On voulait proposer un showroom qui soit hybride entre démonstration et plan de feu de tournée. »

Yohan Ory chef produit lumière de MID explique : « Les projecteurs GLP sont très réputés et situés dans le haut de gamme à côté de Martin, Robe ou Ayrton et en termes de prix aussi. Ces dernières années, GLP était moins actif en France que dans d’autres pays et le but de MID est de relancer la marque en France avec les nouveaux modèles.

Du fait de son installation en intérieur, le Sky tracer à LED Mad Maxx ne joue ici qu’à 20% de sa puissance mais à full, il peut projeter jusqu’à 5 km Un gros bébé de 200kg qui ne laissera personne indifférent et surtout pas Baptiste Moissant opérateur grandMA3.

SLU : Quelle est la réaction du public pour le Mad Maxx ?

Yohan Ory : A la base, la conception de ce produit visait à montrer de quoi est capable GLP en concevant la machine la plus puissante au monde, comme une image de marque. On n’espérait pas de gros volumes de ventes mais finalement sa source LED et non laser lui permet d’éviter de nombreuses contraintes et les utilisateurs y sont sensibles. Nos essais prouvent que le faisceau peut porter jusqu’à 5 kilomètres facilement.


Yohan Ory chef produit lumière chez Mid. Il pourra répondre à vos questions les plus osées sur la gamme GLP.

SLU : Yohan, où est installé ton bureau

Yohan Ory : Je suis principalement à Longjumeau mais je vais me déplacer partout en France pour aller à la rencontre des éclairagistes et des prestataires et leur présenter les produits. J’ai déjà démarré et de gros projets se dessinent ce qui est motivant.
Ce qui est génial, c’est qu’on ne concurrence pas des marques existantes mais on vient les complémenter car pour moi GLP est principalement une marque de projecteurs à effets ce qui nous nous donne une valeur ajoutée en France.

Avec l’inauguration d’un showroom dédié à la lumière permettant de présenter les projecteurs GLP dont il est le nouveau distributeur en France, MID confirme son ambition de repousser les frontières entre son, lumière et vidéo.
En s’entourant de talents comme Yohan Ory et de partenaires techniques d’envergure, l’entreprise inscrit son développement dans une dynamique de progression intelligente. Une nouvelle étape comme un avant-goût des possibles avec GLP comme partenaire de création.

D’autres informations sur le site GLP et sur le site MID

Grace for the World s’appuie sur les consoles DiGiCo pour diffuser un message mondial de fraternité

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Le 13 septembre 2025, la Cité du Vatican à Rome a accueilli Grace for the World, le tout premier concert organisé sur la place Saint-Pierre, qui aurait attiré plus de 250 000 personnes sur cette place vénérable.
Cet événement, accompagné d’un spectaculaire vol de drones au-dessus de la chapelle Sixtine, a clôturé la « Rencontre mondiale sur la fraternité humaine 2025 », un rassemblement de deux jours qui a réuni des personnes du monde entier pour réfléchir à l’humanité à une époque marquée par des défis sociaux et environnementaux, ainsi que par des progrès technologiques rapides.

L’ingé son Kyle Hamilton mixe l’événement à la face sur une Quantum852. Remarquez aussi sa paire de moniteurs Neumann KH 310. Le défunt pape François est représenté par un large ensemble de drones au-dessus de la chapelle Sixtine.

Également diffusé en direct sur Disney+, Hulu et ABC, un large public additionnel s’est connecté pour assister aux messages musicaux inspirants délivrés par une brochette de stars, dont les co-directeurs Andrea Bocelli et Pharrell Williams, ainsi que John Legend, Jennifer Hudson, Jelly Roll, Karol G et bien d’autres. Pour garantir une qualité sonore irréprochable lors de cet événement historique, deux consoles DiGiCo Quantum852, fournies par le filiale berlinoise de Clair Global, ont été utilisées pour la face et les retours.

« C’était plus qu’un concert, c’était un véritable événement, et la diffusion l’a placé au même niveau qu’une cérémonie de remise de prix de classe mondiale », observe Jeremy Peters, qui travaille au bureau de Sound Image, filiale de Clair Global, à Escondido, en Californie, et qui a été co-concepteur audio de l’événement avec le superviseur audio Michael Abbott. « C’était littéralement l’équivalent d’une retransmission des Grammy Awards, mais sur la place Saint-Pierre, comme si c’était à Las Vegas ! Il a fallu un véritable travail d’équipe pour y parvenir en si peu de temps, mais tout s’est vraiment très bien passé. »

Jeremy Peters, qui a mixé les retours pour les artistes se produisant dans le spectacle, comme il le fait depuis des années pour Pharrell Williams lors de ses tournées, explique que le projet semblait au départ assez classique « Au début, je pensais simplement : « C’est un show normal de Pharrell avec quelques invités, nous allons monter un système audio avec quelques micros et écouteurs supplémentaires, et le tour est joué. » Mais ce n’était pas du tout le cas », dit-il en riant.

Jeremy Peters aux commandes de la Quantum852 pour cet événement musical complexe.

C’est pourquoi Peters dit avoir opté pour la Quantum852, la console que lui et l’ingéFOH Kyle Hamilton utilisent religieusement depuis son lancement. « Je l’ai utilisée avec Doja Cat à Coachella, avec Usher et avec Stevie Wonder, c’est donc ma console de prédilection quand je dois travailler », explique-t-il. Il apprécie son aspect analogique, mais aussi le fait qu’elle mette autant d’informations à sa disposition.

« Pour les retours d’un spectacle comme celui-ci, c’est essentiel », dit-il, soulignant que le nombre de sorties de monitoring était presque maximal. Et cela avec toute la gamme de retours possibles : IEM, wedges d&b et L-Acoustics, subwoofers, Butt-Kicker et couverture pour un chœur de 350 voix. « J’avais bien plus de 90 aux, des centaines et des centaines de voies, six SD-Racks et une interface Orange Box pour les E/S du virtual. Kyle et moi partageons normalement les racks, nous avons donc utilisé plusieurs matrices audio multiformat Prodigy MX pour sortir des racks de scène et envoyer tous ces flux au car régie via MADI », explique-t-il.

Bien qu’il soit fan du traitement Quantum, en particulier de Mustard, Peters affirme que c’est la flexibilité de la console qui a permis de faire fonctionner le tout. « Ce spectacle comportait beaucoup plus d’entrées et de sorties que je n’avais jamais eu à gérer. Normalement, lors d’un événement comme celui-ci, vous avez deux ingés aux retours, deux ingés à la face, un mixeur pour les talks, etc. Mais ici, il n’y avait qu’un seul mixeur à la face et tout le reste passait par moi sur scène. Mais il n’y a aucune autre console sur laquelle je voudrais travailler pour faire ce spectacle. La flexibilité de la Quantum852, la surface de travail… Il n’y a rien de comparable. »

La place Saint-Pierre avec la basilique servant de décor, la photo étant prise depuis la régie FOH. La scène est au niveau du sol. Dos à la basilique on aperçoit l’immense chœur.

Kyle Hamilton, ingé FOH de Grace for the World, est également fan du traitement Mustard, en particulier de ses capacités de gate, de compresseur et d’égalisation. Mais, comme son collègue du monde du monitoring, sa première préoccupation était de savoir comment gérer près de 300 entrées avec une grande variété d’artistes sur scène. « Entre l’orchestre de 90 musiciens et la chorale, ils ont dit que le nombre total d’entrées serait proche de 500 », se souvient-il. « Je sais juste qu’il y avait une foule de gens sur scène, sans compter le groupe principal lui-même. »

La Quantum852 lui a offert la puissance de traitement dont il avait besoin pour gérer tous les instruments captés individuellement sur scène, ce qui a particulièrement aidé à contrôler l’impact des percussions dans cet espace réverbérant. En fait, selon lui, tout était une question de gestion.
« La Quantum852 a été à la hauteur, à 100 % », dit-il. « Les multiples layers de la surface, la flexibilité du routage… tout cela nous a permis de maîtriser cette infrastructure gigantesque. Le workflow nous a permis de faire plusieurs choses en même temps, car chacun avait des besoins différents, souvent en même temps ! Cette flexibilité était donc énorme. Aucune autre console n’aurait pu gérer cela. »

Une chose dont Hamilton n’avait pas besoin parmi les nombreuses fonctionnalités de traitement intégrées au Quantum852 était la réverbération. « Nous étions sur la place Saint-Pierre, mec », dit-il, émerveillé par ce souvenir sonore. « Toutes ces pierres et ce verre. Nous avions une réverbération qui aurait coûté des milliers d’euros dans un studio d’enregistrement. On pourrait dire que c’était paradisiaque. »

D’autres informations sur :

– Grace for the World
– Clair Global
– DV2 DiGiCo

MAXO-LOCATION recherche un.e Responsable Lumière et Vidéo H/F

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Implantée depuis plus de 10 ans en Guadeloupe, la société MAXO-LOCATION est leader dans la location de matériel audio-visuel et l’organisation de prestations dans l’événementiel. Parce que chaque client est unique MAXO-LOCATION s’engage à réaliser des prestations de qualité et personnalisées !
Nous recherchons un.e Responsable Lumière et Vidéo h/f pour encadrer une équipe de techniciens et réaliser la programmation lumière ainsi que la gestion des dispositifs vidéo (écrans LED, moniteurs, vidéoprojecteurs, etc.).

Cliquez sur l’image de l’annonce ci-dessous pour y accéder :

Ayrton lance MagicDot Neo : une nouvelle sphère créative

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Ayrton MagicDot Neo

Ayrton lance le MagicDot Neo, la dernière évolution de sa gamme MagicDot et le dernier né de sa série Creative IP65. Extrêmement compact, léger, ultra-rapide et puissant, le MagicDot Neo est un luminaire cylindrique conçu pour un maximum de precision et doté d’une lentille de 100 mm intégrée dans sa tête sphérique.

Ayrton MagicDot Neo

Miniaturisation extrême
Les performances du MagicDot Neo reposent en grande partie sur sa miniaturisation et sa forme cylindrique minimaliste. Il mesure seulement 35 cm et bénéficie d’une double rotation continue sur les axes pan et tilt.
Les luminaires peuvent être regroupés avec un espace minimal entre eux, pour créer des matrices ultra-compactes mais aussi des cercles concentriques dans lesquels les appareils semblent comme fusionnés.

Une variété ultime
Équipé d’une toute nouvelle source LED multi-puces RGB-L de 120 W associée à une optique haute efficacité de 100 mm, le MagicDot Neo produit un flux de 3 000 lumens pour une consommation électrique globale de seulement 160 watts, et un éclairement de 16 000 lux à 5 m.
Le MagicDot Neo peut passer instantanément du mode Beam au mode Wash, offre un rapport de zoom de 10:1, un angle de faisceau allant de 3° à 30° et un faisceau lumineux uniforme ainsi que des couleurs riches, saturées et pastel. Son indice de protection IP65 étend sa polyvalence à l’éclairage de scène pour une utilisation en intérieur et en extérieur, et convient même aux environnements salins.

LiquidEffect™ haute définition
Pour la toute première fois, MagicDot Neo est équipé du LiquidEffect™ d’Ayrton, qui utilise 60 LED RGB sur le pourtour de son faisceau. Ce projecteur est donc capable de créer des effets multicolores étonnants, des d’éclairage organiques et des effets volumétriques complexes pour des représentations scéniques inédites.

Refroidissement sur mesure
La puissance élevée de cette source LED est gérée efficacement par la solution de refroidissement sur mesure d’Ayrton, basée sur une technologie à caloducs.

Légèreté
Grâce à une réduction drastique de l’épaisseur des composants en aluminium, à l’optimisation du système de refroidissement, à la simplification des montures de lentilles et à l’intégration de pièces optiques à faible densité, le poids du MagicDot Neo a été considérablement réduit à 6,6 kg, ce qui le rend plus rapide que jamais.


Vidéo officielle de lancement du MagicDot Neo

En conclusion

Projecteur élégant et méticuleusement conçu, doté d’une signature visuelle unique, le MagicDot Neo est un concentré de technologie dans un boîtier compact, capable de produire des effets scéniques spectaculaires.

Plus d’informations sur Ayrton et sa gamme complète de produits LED et laser ayrton.eu et sur le site Axente

Robe Lighting France fête ses 10 ans et inaugure ses nouveaux locaux

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L’entrée de Robe Lighting France donne le ton avec une mise en valeur des marques et des innovations du groupe.

Pour marquer ses 10 ans d’existence, Robe Lighting France a ouvert les portes de ses tout nouveaux locaux situés à Villepinte, lors de soirée exclusive les 24 et 25 septembre derniers.
L’événement, pensé comme une parenthèse chaleureuse, a rassemblé partenaires, collaborateurs et invités pour célébrer une décennie de passion autour de la lumière et de l’innovation.

Bruno Garros prends la parole et une partie de l’équipe France, accompagnée de Josef Valchar, écoutent le déroulé du développement de la succursale avec attention.
Trois mois après l’ouverture de la filiale France, Dushow signe un bon de commande pour 44 BMFL destinés à éclairer la tournée de Johnny Hallyday dont l’éclairagiste était Dimitri Vassiliu. Une étape symbolique raconte Bruno Garros.

Josef Valchar, CEO du groupe Robe monde.

Les invités ont pu découvrir un espace flambant neuf, incluant un showroom dédié aux essais de projecteurs, un studio d’enregistrement vidéo, ainsi que des espaces de bureaux conviviaux aux couleurs emblématiques de la marque.
Un soin particulier a été apporté aux zones de service après-vente, pour offrir un support encore plus efficace et professionnel aux techniciens évoluant dans ce service.

Les bureaux des techniciens SAV ont été repensés pour intégrer un outillage au top afin de satisfaire au mieux les demandes des clients.
(En haut) Une nouvelle salle de réunion grande capacité et toute équipée permet à l’équipe d’accéder à un véritable confort de travail. (En bas) Les couloirs larges et lumineux retracent l’histoire de Robe.
Une décoration rouge et noir évoque les couleurs de Robe pour une ambiance particulièrement accueillante dans les espaces communs.

En bref, ces deux soirées ont été l’occasion de célébrer une belle étape, et de remercier tous ceux qui font briller l’aventure Robe depuis 10 ans déjà.

(En haut) L’équipe technique et commerciale de Robe Lighting France prend la pose. (En bas) Les pionniers du milieu sont présents avec à gauche Frederic « Aldo » Fayard le PDG de Concept K et à sa droite, Eric Alvergnat, le fondateur du prestataire Dushow aujourd’hui intégré au groupe Novelty.
(En haut) l’équipe SAV de Robe France au grand complet. (En bas) l’équipe en charge de l’organiation de ce superbe événement emmené par Tom Marchandiau (au centre) le nouveau responsable communication.

(A gauche) JJ Valchar, le fils de Josef, Directeur de l’usine Robe depuis 2015 (à droite) un public de professionnels attentifs aux évolutions d’une marque qui les a toujours écouté.