Ad
Ad
Ad
Ad
Ad
Ad

Ayrton Rivale Profile, une révolution sans fin !

Texte et Photos Stéphane Mocret

A chaque nouveau produit, on se dit qu’Ayrton a atteint les limites du possible et quelques mois plus tard, l’équipe dévoile un tout nouveau produit qui prouve le contraire. Mais là il faut dire qu’ils ont fait très, très, très fort en proposant une machine polyvalente et sur mesure pour les prestataires de services. Elle gagne un prix de l’innovation SLU !

Avec le Rivale, Yvan Péard et son équipe ont réussi à conjuguer Plus avec Moins. Si on le compare au Ghibli, il produit plus de flux avec une source led à haut rendement moins gourmande de 30 %, un zoom ultra-large et un faisceau magnifique. Il est plus petit et plus léger (28 kg) mais propose un panel de fonctions ultra-complet car optimisé.

Cerise sur le gâteau, il est classé IP65 et bénéficie d’un pan et tilt continus. Depuis son lancement en novembre, Ayrton en a déjà livré 5 000 et de nouvelles commandes affluent chaque jour. Autant vous dire que nous avions hâte de le tester !


Force et volupté, un coup d’œil et l’on sait qu’Ayrton est dans la place !


Le Rivale Profile est le premier projecteur de la toute nouvelle série Ultimate. Outre le fait que cette gamme augure une série de machines profitant des dernières avancées technologiques, elles seront aussi homothétiques ! C’est-à-dire que chaque projecteur appartenant à la gamme Ultimate aura le même design et les mêmes proportions que le premier né, le Rivale Profile. C’est un challenge inédit et extrêmement complexe qu’Ayrton a décidé de relever. Le futur proche devrait apporter de très bonnes surprises !

Les mêmes racines

Ne vous étonnez pas s’il vous semble apercevoir une forme connue louvoyer sur la scène. Il y a comme un air de famille avec son cousin, le Cobra. Ce design, qui était durant un temps, supposé habiller les sources laser, semble prendre une place beaucoup plus importante dans l’image d’Ayrton qui depuis des années maîtrise parfaitement le look de ses projecteurs. Ce design atypique est un vrai mélange entre puissance et douceur que l’on a plaisir à voir.

Comme toujours, où que l’on regarde, il n’y a aucune concession sur la qualité. L’aspect extérieur est primordial puisque, avec le design, ce sont les deux premiers points qui vont générer le premier ressenti. La finition est impeccable et elle engendre un sentiment de confiance. Pour cela il est important d’utiliser de bons matériaux. Les structures mobiles du projecteur sont en aluminium et tôles d’acier, les dissipateurs thermiques en aluminium et cuivre et enfin les capots moulés en ABS PC auto-extinguible ignifugé (classe V0).

Vidéo de présentation

AYRTON – Rivale Profile – Presentation from Ayrton on Vimeo.


Hello Houston, ici la base

Sur la base, les habituelles poignées ne sont plus là, elles ont été intégrées dans le bas de la lyre. Une bonne idée qui épure la silhouette. Toujours pour conjuguer, taille, maniabilité et esthétique, une seconde paire de poignées rétractables a été placée sur le haut de la lyre. L’étanchéité crée une pression sur toute la structure de la base. Pour résister, le carénage est en fonte d’aluminium moulé.
À l’intérieur, on retrouve tout ce qui concerne les différentes alimentations, courants forts et courants faibles ainsi que la carte mère du projecteur. En face avant, loge un écran LCD IP65, dont l’affichage peut se retourner. Il montre toutes les options et les informations du projecteur. Sur la droite, un gros bouton rond entouré de 4 touches permet de naviguer dans le menu et configurer les options.

Pour le contrôle du projecteur on a le choix entre le DMX classique, le DMX sans fil et 2 protocoles réseaux, l’ArtNet et le sACN. Le choix du mode de contrôle est assez simple, il n’y en a qu’un de 65 paramètres. Par contre vous pouvez créer 3 modes personnalisés (Users Modes) et réorganiser les canaux de contrôle à votre convenance.


Coté face, un menu complet contrôlable du bout des doigts, sur le projecteur, un smartphone ou un contrôleur lumière !

C’est dans le menu « Status » que l’opérateur peut activer la fonction « Sun Protect ». Elle permet d’orienter le nez de la machine vers le sol (quelle que soit sa position de la machine) quand le signal de contrôle est coupé. J’aime aussi la fonction « Reset User » pour réinitialiser les paramètres « Address », « Mode », « Fan Speed » et « Constant Fans ». Cela permet notamment aux loueurs de préparer des routines de remise à 0 des machines.

Le mode “Defog” est très intéressant pour retirer la buée de tous les éléments sensibles à l’humidité. Pour résumer, la machine monte en température et la ventilation monte en débit afin de créer un courant d’air chaud et faire sortir l’humidité. La possibilité de chauffer la tête et la base jusqu’à 40° est précieuse quand la température descend jusqu’à -20°. Elle fait du Rivale un choix évident pour les événements extérieurs en hiver et les patinoires.

Je ne vais pas vous dévoiler tout le menu mais il y a bien d’autres éléments intéressants et surtout très utiles. Le Rivale embarque aussi la technologie NFC qui permet de transmettre rapidement des données entre deux appareils situés à proximité. Avec l’application Ayrton Mobile Manager, vous pouvez lire les informations basiques du projecteur, comme le nom du produit, version du logiciel ou l’état des options du menu.

Vous pouvez aussi définir les paramètres de l’appareil tels que l’adresse DMX, son univers et toutes autres options. Si l’appareil est éteint, les données seront automatiquement synchronisées dès la mise sous tension. Il y a deux autres manières de configurer les options du Rivale : via le RDM ou le canal DMX 65 du projecteur !


Pas besoin de réfléchir, tout est possible.

Si l’on passe de l’autre côté de base, on accède à la connectique. Toutes les prises sont bien entendu IP65 grâce à leur capuchon et il est important de les garder fermées quand on ne les utilise pas, pour les protéger de la poussière et autres saletés qui pourraient occasionner de mauvais contacts voire pire.

Le premier connecteur ne se voit pas, il s’agit de l’antenne qui permet de recevoir le signal via le CRMX TiMo™ RDM de Lumen radio. Tout à gauche on trouve 2 prises PowerCON TRUE1 pour l’alimentation électrique et son renvoi vers un autre appareil. Il y a ensuite pour les protocoles réseaux filaires, 2 connecteurs RJ45 IN et OUT permettant de contrôler le projecteur en Artnet ou en sACN. Pour finir les incontournables prises DMX 5 broches mâle et femelle.

Comme d’habitude, chez Ayrton, il est possible d’entrer avec un protocole et de ressortir avec un autre. On peut tout à fait imaginer que la première machine reçoive le signal Lumen Radio et renvoie le DMX aux autres sources (quelles qu’elles soient) via la prise DMX 5 broches femelles.


Un jaune et une pression (humour de bars !)

Entre l’alimentation électrique et le réseau se trouve le porte fusible (en dessous) et la prise pour connecter la valise IPTESTKIT conçue pour tester l’étanchéité du projecteur ou de la rétablir quand il a été ouvert.
C’est, grosso modo, un compresseur avec un contrôleur de pression et un système de reconnaissance de la source avec une base de données contenant toutes les valeurs nécessaires pour chaque type de projecteur.

On ne peut pas le voir, mais un module eSIM a été intégré dans la base pour connecter le projecteur au réseau de téléphonie mobile afin de collecter les informations, les pannes, la localisation et bien d’autres choses à venir.

On remonte vers la tête en passant par la lyre. Là, pas de pression, que du vide. Enfin je ne parle pas de pression négative mais de présence de composant(s). Ayrton revient toujours sur ses acquis pour améliorer ses machines. Afin d’optimiser les coûts et les fuites, il a été décidé de limiter au strict nécessaire les zones étanches. C’est pour cette raison que la lyre et une grande partie du système de refroidissement, à l’arrière de la tête, ne sont pas IP65.


Dans ce bras, rien n’a voir.
La R&D a trouvé un bon tuyau pour aller de la base à la tête !

La motorisation du Pan continu ne pouvait bien sûr qu’être déplacée vers le bas, elle se retrouve donc dans la base. Celle du tilt continu a migré dans la tête. Terminé les « gros » moteurs, ils ont été remplacés par des modèles extra-plats mais toujours aussi puissants. Les différentes liaisons entre la base et la tête sont soigneusement protégées de l’humidité dans des gaines et un Boîtier étanche.


La tête de l’emploi

La division Pampers d’Ayrton n’a rien négligé pour éviter les fuites. Chaque capot comporte 10 vis pour une répartition optimale du serrage, et leur remise en place est facile.


Une fois les 2 couvercles retirés, on découvre une incroyable superposition de paramètres entre lesquels ne peut même pas passer le petit doigt. On retrouve, de l’arrière vers le nez, la source et son système de refroidissement, 3 modules extractibles et l’optique.

Pour le refroidissement de la source, rien de nouveau. Un radiateur traversé par une tubulure remplie d’un gaz caloporteur. Le tout est traversé par un flux d’air amené par 2 ventilateurs IP68. Ce système refroidit une matrice de leds blanches de 450 watts nouvelle génération dont l’efficacité et la colorimétrie ont été grandement améliorées.

Elle développe 35 000 Lumens avec une température de 6500 K et un CRI de 69. Sur cette source il a été décidé de ne pas intégrer de lentille permettant de gommer le « point chaud ». Heureusement que ce point nous a été spécifié car même après les mesures, il n’y a rien de flagrant sur les courbes de luminosité.


La petite matrice qui cache bien son jeu !
Ca ventile efficace.

Vient ensuite, au plus proche de la source, le module couleur et effets afin d’aider à la fluidité des transitions de couleurs et avoir une position optimale des gobos dans le plan focal. Une importante nouveauté a été intégrée dans le Rivale, précédemment réservée aux Washs de la marque.


Sur le premier module coté lumière on constate que les drapeaux ont fait place à des disques !

Le système de trichromie + CTO est composé de 4 disques, alors qu’au paravent, les Spot ou Profiles étaient équipés de couteaux en verre dichroïque. L’augmentation de surface donne beaucoup plus de précision dans la gradation et une palette de couleurs bien plus étendue, avec notamment une gamme de pastels plus large. L’utilisation de disques permet également d’accélérer les transitions cut.

Le disque tourne dans les deux sens et c’est le chemin le plus cours qui va être privilégié. Cette particularité assure des bumps secs avec la trichromie. Les disques assurent aussi une homogénéité de couleur sur toute la lentille quelle que soit leur position. On retrouve les 3 couleurs de base de la trichromie soustractive, Cyan, Magenta et Yellow que l’on peut combiner avec le CTO progressif. Une cinquième composante permet de jouer sur le CRI et de le monter progressivement jusqu’à 87.

De l’autre côté, roues de gobos et effets !

Ce système est complété par une roue de 7 couleurs qui commence par un CTB. Le module suivant comporte la roue d’effets avec insertion et rotation et non multipositions comme sur des modèles précédents.
Viennent ensuite les 16 gobos qui sont répartis sur 2 roues, 9 fixes et 7 rotatifs et indexables : un set très complet pour une machine de cette taille.

Un aimant positionné sur chaque gobo rotatif assure un calibrage plus précis et deux repères, un sur le porte-gobo et l’autre sur le support principal, permettent de retrouver une position de référence quand on démonte et remonte les gobos. Un ergot a même été ajouté à chaque gobo afin qu’ils soient tous orientés de la même manière. l’utilisateur retrouve ainsi la même orientation des images pour une valeur DMX identique. Dernier détail, qui a son importance, un ventilateur englobé dans un carénage en aluminium amène un flux d’air là où s’entrecroisent les paramètres et la lumière.

Le second module est tout ce qu’il y a de plus classique avec le module iris et 4 couteaux sur 4 plans focaux qui offrent une grande liberté de création. Le plateau supportant les couteaux est indexable sur 120°.


Je me demande si ce n’est pas encore plus beau à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Les paramètres, les moteurs, les cartes… Tout est optimisé pour gagner le plus de place possible.

Le troisième module reçoit le zoom, le focus, 2 frosts et 2 prismes. Les 2 diffuseurs d’origine, de 1° et 5° sont interchangeables et il est possible de les superposer. Les prismes rotatifs et indexables, un x5 circulaire et un x4 linéaire sont également superposables. Sur le nez du projecteur on peut admirer la lentille de 160 mm.


Tous les outils pour flouter et multiplier sont disponibles!
La lentille en verre mais pas contre tout.

L’incroyable Rivale

Il est temps de bancher la prise d’alimentation. Les 2 axes sont pourvus d’encodeurs absolus et hormis un léger frémissement, les resets Pan et Tilt se font sans rotation. La connexion en Art-Net avec la console fonctionne sans problème et la mise au garde à vous dès la réception du data confirme la puissance des nouveaux moteurs. Je dirige le nez du projecteur vers notre cible et je monte le dimmer à 100 %.

Ha bas les amis, jamais je n’aurais cru qu’une source de 450 watts puisse produire cette quantité lumière. Le faisceau est bien dessiné, homogène et puissant. Quand je joue avec les paramètres pan et tilt, la machine est très réactive. Elle effectue des mouvements rapides avec des fins de courses nettes. A l’inverse, les déplacements lents sont très doux en combinant les 2 axes. Coté zoom, la plage d’ouverture est impressionnante et quand on ajoute l’iris il ne reste qu’un mince fil de lumière qui traverse la pièce.


Une optique idéale, du zoom le plus large à l’iris le plus serré !

J’ai évidemment hâte de tester les possibilités du nouveau système de trichromie. L’utilisation de disques produit une nette évolution d’étendue de la palette de couleurs, d’homogénéité et de transitions. L’uniformité de la couleur, dès le début de l’insertion du disque, est remarquable. Le démarrage de la teinte est plus rapide et le débattement plus important du disque produit plus davantage de couleurs entre la teinte la plus claire et la plus saturée.

Si l’on multiplie par 3 cette augmentation de potentiel avec les 2 autres disques, on a un aperçu des possibilités du Rivale car il faut également tenir compte de la qualité de la nouvelle source large spectre. Le CTO progressif fonctionne sur le même principe et la roue de couleurs comporte un CTB plus 6 autres teintes. Pour terminer avec la couleur, il y aussi le paramètre CTP qui monte l’IRC jusqu’à 87.


Un infime aperçu des possibilités et des qualités « chromatiques ».

Même si l’on reste dans le classique, Ayrton essaie toujours de faire la différence avec un petit plus. Les roues de gobos comportent quelques nouveaux dessins pour d’autres possibilités graphiques. Combinés avec les deux prismes et / ou la roue d’effets, les possibilités sont nombreuses autant en termes de dynamique volumétrique que de projection d’images.


Le Rivale a tellement de bons points qu’il a eu le droit à 16 images !
C’est une source qui fait de l’effet !

On retrouve dans cette machine toute la finesse et le savoir-faire d’Ayrton dans le domaine des modules couteaux. La gestion est simple et précise. On peut projeter des carrés, des triangles et des lignes en ne laissant qu’un très léger interstice de lumière.

Les déplacements des lames sont parfaitement gérés, que ce soit en vitesse lente ou très rapide. On peut aussi ajouter le frost le plus léger pour obtenir un effet de défocalisation homogène sur les 4 couteaux. Le second diffuseur est très bien quand il n’y a pas de couteaux, pour des aplats de couleurs ou éviter tout marquage sur une face.


Pour aiguiser les faisceaux.
On vit dans un monde de flous !

Aux grands bonheurs la science

Derating

C’est le moment où l’on sort le luxmètre et le café ! Après bien sûr avoir fait refroidir la machine, on place la cellule contre la cible, on procède au décompte et 3… 2… 1… 0 et la lumière jaillit à pleine puissance ! En moins de 5 minutes, le derating atteint 7 % et se stabilise ensuite à 8,55 %. Vu les antécédents de la marque, ce bon résultat est sans surprise.

Le plus petit net

Je réduis ensuite l’ouverture jusqu’au plus petit net. Ça pique les yeux et pour cause, on mesure plus de 100 000 Lux, la limite de notre luxmètre ! Nous pouvons néanmoins mesurer l’ouverture qui descend à 4,12°.


Faisceau 20°

Zoom réglé pour notre ouverture de référence de 20°, nous mesurons 12 200 lux au centre. Notre moulinette de lux nous annonce 22 830 lumens. Pour une source de 450 watts, c’est une vraie révolution ! La courbe d’intensité ne montre aucun incident.
Couleurs
On profite de cette ouverture pour mesurer l’IRC qui est de 69 pour un blanc de base à 6260K. Pour montrer la qualité de la source, on a relevé un Delta UV de 0,0006, une valeur très proche du corps noir. Si l’on engage le CTP, le blanc est alors de 5550K avec une mesure au centre de 7 320 lux. Le CRI monte jusqu’à 87. Avec le CTO à 100 % on a un blanc chaud à 2952K avec un IRC de 68.


Le plus grand net

Pour le plus grand net on sort de la cible avec un rayon de 228 cm qui correspond à un angle de 49°. Au centre on relève 2 035 lux et une moyenne de 838 lux au bord du cercle. Le flux total reste stable avec 22 030 lumens et la courbe d’intensité est parfaitement dessinée !


Dimmer

Pas de surprise pour la maîtrise des courbes de dimmers !



Sur le terrain avec Jocelyn Morel

Jean Baptiste GUEGAN vient de lancer sa nouvelle tournée « Johnny, Vous, et moi » dans sa version « Unplugged’N Roll » qui parcourt la France en 2024 éclairée par Jocelyn Morel. Le matériel lumière des premières dates de la tournée a été fourni par le prestataire Breton Audiolite qui avait déployé, entre autres machines, un kit de 8 Rivale Profile.


Une occasion en or de demander à Jocelyn d’exprimer son avis.

Jocelyn Morel : Ces machines sont vraiment exceptionnelles par la qualité de leur lumière et leur polyvalence. Elles ont été au-delà de toutes mes attentes. L’efficacité du zoom est colossale, et sa grande amplitude permet d’envisager des jeux de faisceaux très variés.



Cette machine est l’exemple parfait de l’efficience ultime. Que ça soit en projection ou pour de l’effet volumétrique, c’est sans nul doute une machine qui va compter dans les réalisations lumières dans les mois à venir au plus haut niveau professionnel. Quel bonheur de les utiliser !



Watt Else…

Ayrton initie avec le Rivale une nouvelle gamme innovante et audacieuse qui répond à la demande des éclairagistes et prestataires. Cette machine est à la fois un projecteur, une prouesse et une réussite, il est tout ça.
C’est un Profile qui ouvre les portes du futur en proposant, dans un habillage étanche d’une taille et un poids très raisonnables, une source qui surpasse ses grandes sœurs en termes de rendement lumineux et qui assure un des meilleurs spectres de couleurs.


On aime :

  • Le rendement lumineux
  • La puissance
  • Le poids
  • La qualité du faisceau et des couleurs
  • La qualité des fonctions

On regrette :

  • Rien

Tableau Général

Ad
Ad

EN CONTINU

Ad
Ad
Ad
Ad
Ad
Ad

LES PLUS LUS