A l'Accor Hotels Arena de Paris

Romain Pissenem choisit Ayrton pour créer l’ambiance torride d’Ibiza

Pour sa deuxième édition, la Fun Radio Ibiza Experience, organisée en association avec l’Ushuaia Ibiza Beach Hotel, s’est déroulée en 2017 à l’Accor Hotels Arena de Paris.
Environ 17 000 personnes se sont jointes à cet événement de musique électronique géant pour lequel le lieu s’est mué en une immense piste de danse au son des meilleurs DJs Robin Schultz, Nervo, Sam Feldt, W & W and headliners, Afrojack et Hardwell en tête d’affiche.

 » Le spectacle de Paris a comme un goût de résistance « , explique Romain Pissenem, le directeur du spectacle, et fondateur de High Scream.  » Résister, danser et s’amuser, c’est la seule réaction qu’on peut opposer face aux menaces auxquelles notre ville a été soumise.  » Pour aider Pissenem à amener à Paris l’esprit d’Ibiza et l’ambiance unique d’Ushuaia, il y avait plus de 200 projecteurs d’Ayrton, dont plus de 100 MagicBlade-FX, 50 MagicPanel-FX et 50 MagicDot-XT. Ayrton a fourni ces projecteurs dans le cadre d’une collaboration avec ces champions des spectaculaires nuits festives pour amener une fête d’enfer à Paris.

Ayrton MagicBlade FX

« L’événement parisien est important parce que c’est un grand spectacle et tout le monde a des attentes très élevées « , dit Pissenem,  » Qui plus est, c’est ma ville natale et je tiens à lui offrir quelque chose de particulier. Chez Ushuaia, nous avons sept spectacles différents, un pour chaque DJ, et un nouveau spectacle tous les jours de la semaine. Chaque année, nous créons sept nouvelles productions qui prennent de l’importance d’année en année. A Paris, nous n’avons qu’une seule occasion, une fois par an, d’offrir aux gens la plus belle fête possible. Donc, cette année, une fois que les gens sont entrés dans cette grande aréna, même à ceux qui sont déjà venus en 2016, à Paris, je voulais encore leur en mettre plein la vue avec un nouveau spectacle géant. »

Le design cette année comprenait une scène immense, un alignement de nouveaux écrans à leds et une longue rangée de projecteurs encadrant une figuration de la scène incurvée d’Ushuaia.  » On ne peut pas dupliquer tout ce qui se produit à Ibiza « , dit Pissenem,  » mais on peut apporter la même énergie, la même attraction d’un groupe de DJ internationaux, et le même spectacle d’effets délirants, le tout concentré en une folle nuit de danse ininterrompue.  » Une nuit dont le point culminant était le spectacle réalisé à 30 m au-dessus du public par douze acrobates descendus du toit avec des cordes élastiques en guise de bouquet final pour confirmer l’effet « Wow » d’Ushuaia.

Ne disposant que d’une seule journée de montage, et de très peu de temps pour l’accroche au plafond, Romain Pissenem a décidé que sa scène parisienne d’Ibiza devrait se fonder sur un design frontal capable de remplir l’immense espace et de projeter toute sa lumière dans la foule.  » L’idée de base était de donner l’impression de projeter vers l’avant toute l’énergie de la scène, de manière aussi forte que possible à la face du public, comme si c’était un prolongement de la musique. J’ai décidé de créer un immense mur de lumière, dans lequel nous avons intégré la courbe de la scène Ushuaia, tout cela formant une grande et puissante structure d’éclairage.  »

Ayrton MagicDot-XT

Romain Pissenem a délimité le haut de la scène avec une longue ligne de MagicPanel-FX et MagicDot-XT en alternance, et en a ajouté d’autres sur les côtés, intercalés entre les bandes d’écrans à leds, pour constituer l’immense mur de lumière. A l’intérieur de celui-ci, il a placé quinze ponts coudés pour simuler l’arcade de la scène d’Ushuaia. Chacun est équipé de quatre MagicBlade-FX et d’un MagicPanel-FX. Loin derrière la scène, six tours portaient chacune une demi-douzaine de MagicBlade-FX supplémentaires, alors qu’une longue rangée de MagicDot-XT se trouvait devant l’emplacement du DJ.

 » Notre souci consistait à rendre chacun des six décors de DJ différent et personnalisé, le tout en l’espace d’une soirée. Pour cette raison, j’ai choisi de cacher un peu la structure et de dissimuler les projecteurs jusqu’au moment de les utiliser. Puis nous ajoutions un produit ou une fonction différente à chaque passage de DJ et les avons progressivement intensifiés au cours des six parties jusqu’au moment où les têtes d’affiche, Afrojack et Hardwell ont commencé à jouer. C’est à ce moment-là qu’on a utilisé la totalité du système et que la foule était déchaînée.

le nouveau MagicPanel™-FX avec ses optiques à fenêtres carrées.

 » Les MagicPanel-FX étaient vraiment bons pour cela car ils sont discrets en apparence mais ils ont la capacité de faire énormément de choses. Je pouvais les escamoter jusqu’au moment où j’en avais besoin et jouer avec eux pour qu’ils n’aient jamais deux fois le même aspect. A chaque fois que je bougeais les MagicPanel-FX, cela changeait vraiment l’apparence du design, et, vu sous des angles différents dans l’aréna, le design prenait lui-même un aspect différent et une véritable profondeur en 3D.  »
Romain Pissenem a utilisé le MagicPanel-FX pour créer d’incroyables effets de volume comme de larges faisceaux de lumière en couleur avec des mouvements de balayages lents ou bien une animation rapide et frénétique, et a utilisé les motifs graphiques, la forme et l’orientation des MagicPanel-FX et MagicBlade-FX pour accroître l’intérêt visuel et réaliser de jolis effets, qui pénétraient dans le public et l’incitaient à la fête. Devant le poste du DJ, le MagicDot-XT a été utilisé à plein régime en vagues ondulantes.

 » Il me fallait quelque chose de vraiment puissant pour obtenir ce  » wow  » irrésistible et exister au milieu des écrans led « , dit-il.  » Pour cela, les projecteurs d’Ayrton étaient extraordinaires, car ils sont énergiques, puissants et polyvalents. Cela nous a permis de constituer la forme en arche et de créer beaucoup plus de tableaux. Non seulement ils sont extrêmement puissants, mais leurs mouvements et la manière décorative dont on peut les utiliser est vraiment très, très utile.

 » Pour Paris, nous avons gardé la même recette qu’à Ushuaia, mais nous avons créé un spectacle différent avec les mêmes ingrédients. L’ingrédient majeur consistait à utiliser la même équipe : Bertrand de Saint Pern, mon brillant directeur technique, celui qui fait tout avancer, Caroline Harrington, qui gère la production, Ian Woodall, le responsable technique et Leon Van Empel de S Group qui est notre loueur à Ushuaia depuis six ans et qui est venu, comme toujours, avec tout ce que je lui ai demandé d’apporter… c’est bien d’être entouré de professionnels comme eux !

 » Pour cette raison, le partenariat avec Ayrton était tout aussi fondamental : Yvan Péard est aussi passionné que moi par ce qu’il fait et pour cette raison, j’adore travailler avec lui. Ce qui est important pour moi, c’est de garder le contact humain. Yvan est un créatif, un génie, alors c’est un vrai bonheur de lui serrer la main et de trouver un moyen de créer quelque chose de grand ensemble.
Si on met deux chefs dans une cuisine, il y aura forcément une explosion de créativité. Paris est un projet de passion personnel pour nous deux et cela doit être amusant. Si vous consacrez toute votre vie à ce travail, cela doit se faire avec des gens que vous appréciez et que vous respectez, aussi bien dans votre propre équipe que parmi les personnes extérieures avec lesquelles vous travaillez.

 » J’adore la marque Ayrton et cela fait des années que j’ai l’habitude de travailler avec eux. Quand je veux créer de nouveaux effets ou de nouveaux concepts avec la lumière, je sais qu’Ayrton travaille dans un sens qui produira quelque chose de surprenant.  »
Plus d’infos sur les produits Ayrton sur le site Axente et sur le site Ayrton

Crédits - Texte : Ayrton - Traduction : Jean-Pierre Landragin - Crédit photo : © Roberto Castano

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