Reportages
Adam et Eve au jardin des del*
Donner une seconde chance à l’humanité de vivre en harmonie dans la fraternité et le respect de la nature, c’est l’occasion pour Pascal Obispo de décrire...
Dracula assoiffé de son offre un bain de sang à Plisson
Broadway...Pendant de longues années, de Broadway, nous n'avons eu dans nos oreilles que la version java de Sardou. Puis le phénomène « musical » est arrivé en France vite rattrapé par le rouleau compresseur Stage Entertainment, le distributeur/producteur des plus grands succès mondiaux. Comme dirait un journaliste connu, on a connu tout et son contraire au niveau technique, depuis la débauche de petites boîtes en A/B et ses consoles analogiques sur mesure, le tout imposé à l’XLR près, jusqu’à la simple ligne de V-Dosc à peine renforcé dans le centre. Le but ?? Offrir à la fois intelligibilité dans le jeu et patate dans le chant. Dracula joue la carte de la sobriété du haut d’une infrastructure moderne et maline, délivrant à niveau raisonnable des mots bien clairs et des sensations de concert. Normal me direz-vous quand le producteur du show s’appelle Thierry Suc et qu’un certain Stéph est de la partie, heureux comme un Plisson dans l’eau.