AVID S1 : Les fonctionnalités de S6 et S4 pour les petits studios

Avid annonce la disponibilité de la surface de contrôle audio Avid S1 conçue pour le mixage musical et la post-production audio et vidéo. L’Avid S1 offre la vitesse de travail, le retour visuel complet et l’intégration logicielle des consoles Avid haut de gamme dans une surface portable et mince qui s’adapte facilement à tout espace de travail pour un petit budget.

Avid S1 offre aux spécialistes audio les fonctionnalités, la précision et l’intégration logicielle nécessaires à l’obtention de mixages de qualité très rapidement. De l’enregistrement ou de l’édition de pistes au mixage et au monitoring en stéréo ou en surround, la surface S1 offre un contrôle complet avec retour visuel pour accélérer tout flux de travail musical.

Comme les Avid S6 et Avid S4, S1 est optimisée par le moteur audio EUCON ™ pour offrir une intégration approfondie avec Pro Tools et Media Composer®, ainsi qu’une prise en charge native des applications audio et vidéo tierces telles que Logic Pro, Cubase, Premiere Pro, etc. Les utilisateurs peuvent même basculer entre plusieurs applications – et stations de travail – par simple toucher d’un bouton.

Avid S1 s’intègre étroitement avec l’application gratuite Avid Control pour tablettes et smartphones iOS et Android, fournissant un retour visuel complet pour améliorer les flux de travail.
Son ergonomie et les écrans de mesure et de traitement de style Avid S6 permettent aux utilisateurs de naviguer rapidement dans de grandes sessions, de mélanger plus intuitivement, et d’obtenir les meilleurs mixages sonores.

Des curseurs et faders motorisés tactiles aux écrans tactiles à accès rapide et aux touches programmables pour effectuer des tâches complexes, Avid S1 offre la vitesse et la polyvalence nécessaires pour accélérer n’importe quel projet musical, audio ou vidéo.
Les utilisateurs peuvent également facilement adapter la surface à mesure que leurs besoins augmentent en connectant jusqu’à quatre unités ensemble, et même ajouter un Dock Avid, pour créer une seule surface étendue et intégrée.

«Nous avons conçu la surface de contrôle Avid S1 en gardant à l’esprit home studios ou les petits studios», a déclaré Rob D’Amico, directeur du marketing produits audio-vidéo chez Avid. «Nous nous efforçons de fournir aux clients les outils de travail matériels et logiciels intégrés dont ils ont besoin pour créer les meilleurs mixages sonores.
L’Avid S1 permet aux utilisateurs de créer des mixages complexes sans avoir à faire de compromis sur la qualité et ouvre un monde de possibilités auparavant inaccessible à une surface de contrôle de ce prix.

Avid S1 sera exposée sur le stand Avid au NAMM 2020 (# 15502), du 16 au 19 janvier 2020.

Pour plus d’informations, visitez le site Avid

 

Après Adam Audio, le Groupe Focusrite rachète Martin Audio

Focusrite plc., qui comprend les marques Focusrite, ADAM Audio, Novation et Ampify Music, a annoncé l’acquisition de Martin Audio Ltd, le concepteur et fabricant britannique de systèmes de diffusion pour les marchés de tournée et d’installation basé dans le Buckinghamshire, adossé à LDC, et ses sociétés associées.

De gauche à droite: le fondateur et président de Focusrite, Philip Dudderidge, le directeur général de Martin Audio, Dominic Harter, et le PDG de Focusrite, Tim Carroll.

Pour le fondateur et président de Focusrite, Phil Dudderidge : « cette acquisition est une possibilité que nous envisageons depuis des années. Elle suit de près celle du fabricant berlinois d’enceintes de studio ADAM Audio. Je connais Martin Audio depuis ses débuts à Covent Garden en 1971. Son fondateur Dave Martin et moi-même, nous sommes devenus des amis proches en 1989. A l’époque, je l’ai conseillé personnellement et j’ai été président non exécutif pendant environ un an, en 1990, lorsque nous préparions la vente de la société à Tannoy Goodman International plc (TGI).
Martin Audio est un proche voisin de Focusrite Audio Engineering à High Wycombe et sa direction actuelle a reconnu que Focusrite plc était manifestement le bon candidat professionnel pour acheter la société à sa structure de capital-investissement et de gestion des actifs. Ma conviction quant à la performance exceptionnelle du système Martin MLA s’est confortée lors des concerts du British Summer Time à Hyde Park ces dernières années, notamment avec Tom Petty en 2017 et Eric Clapton en 2018.

Le Martin Audio MLA system utilisé avec Lionel Richie lors du concert du British Summer Time 2019 à Hyde Park.

Les critères d’acquisition du groupe Focusrite restent à la fois stricts et ciblés, comme le déclare Tim Carroll, PDG de Focusrite : « L’acquisition de Martin Audio est une solide démonstration de notre objectif stratégique de conquête de nouveaux marchés. Martin Audio est également une marque qui a pignon sur rue et des finances solides qui accroissent immédiatement sa valeur.
Plus important encore, ils sont culturellement en phase avec un rôle clair à jouer dans le déroulement de notre histoire. Le Groupe Focusrite est avant tout une entreprise de technologie musicale professionnelle, axée sur l’enrichissement de la vie par la musique en supprimant les obstacles à la créativité, depuis cette étincelle primordiale d’inspiration musicale jusqu’à l’exécution d’une prestation chargée d’émotion sur scène. »

Dominic Harter

Martin Audio continuera à fonctionner à partir de son siège social et de son usine de High Wycombe, en Angleterre, sous la direction du directeur général Dominic Harter au sein du groupe Focusrite : « Martin Audio unit le public grâce à un son exceptionnel depuis près de cinq décennies. Notre succès ininterrompu repose sur une stratégie claire et bien réalisée avec plus de soixante nouveaux produits lancés au cours des quatre dernières années et une croissance à deux chiffres chaque année.
La culture de Focusrite est semblable à la nôtre et, en apprenant à connaître l’équipe, je perçois une forte similitude avec les valeurs profondément enracinées dans notre propre famille, Martin Audio. Focusrite est le partenaire idéal pour aider Martin Audio à poursuivre les innovations qui ont conduit à son succès.

C’est donc avec une grande fierté et enthousiasme que nous franchissons cette étape, alors même que la marque Martin Audio entame sa 50e année. En travaillant avec Tim, Phil et l’équipe Focusrite, j’ai hâte de voir l’ensemble de notre personnel et la famille élargie grandir ensemble, en continuant à offrir notre expérience sans équivalent du meilleur son à de plus en plus de publics dans le monde entier. »

Focusrite plc (connu sous le nom de « Focusrite Group ») est un groupe mondial de produits musicaux et audio qui développe et commercialise des matériels et des logiciels propriétaires. Utilisées par les professionnels de l’enregistrement et les musiciens, ses solutions facilitent la production de sons enregistrés et live de haute qualité. Le groupe Focusrite commercialise les marques Focusrite, Focusrite Pro, Novation, Ampify, ADAM Audio et maintenant Martin Audio.
Le groupe a une clientèle mondiale avec un réseau de distribution couvrant environ 160 territoires. Focusrite et Martin Audio Ltd ont leur siège social à proximité les uns des autres, à High Wycombe, au Royaume-Uni. Focusrite possède des bureaux de marketing à Los Angeles et à Hong Kong. ADAM Audio possède des bureaux à Berlin, Nashville et Dongguan. Martin Audio possède une filiale américaine, basée à Los Angeles. Focusrite plc est cotée sur l’AIM à la Bourse de Londres (LSE).

Plus d’infos sur les sites Focusrite et Martin Audio

Astera se déchaîne avec le Wild du Minnesota

Le concepteur lumière Nook Schoenfeld a utilisé une forêt de près de 96 tubes Astera Titan pour créer les effets de lumière à fort impact d’une vidéo promotionnelle destinés à mettre en valeur les joueurs du Wild du Minnesota, une équipe de hockey sur glace de la LNH domiciliée à l’Xcel Center Arena de St Paul, près de Minneapolis.

©Tony Mahmood

Les tubes apparaissent à chaque fois que les noms des joueurs s’affichent à l’écran avant et pendant un match, et ils sont également utilisés pour mettre en valeur les joueurs dans les publicités télévisées, les images interstitielles et autres promotions qui jalonnent une saison.
Chad Gilmour, le designer du Wild du Minnesota a travaillé directement avec Mark Hussey et Nook pour faire naître une nouvelle image de ces spots. Chad a fait venir Robert Durland, le directeur de la photographie qui a découvert qu’il lui fallait très peu de lumière, quatre découpes ellipsoïdales suffiraient pour filmer au travers de la forêt de Titan.
Lors des réunions préliminaires, Chad a montré quelques clips qui lui plaisaient et qui présentaient sporadiquement des tubes suspendus horizontalement. Ils ont réfléchi à une manière nouvelle et originale d’en utiliser.

Scott Saja a réalisé le montage de l’ensemble. Une grande partie de ces images ont été assemblées pour être diffusées en direct sur le grand écran du Xcel Center lors des cérémonies de compétitions. Chad Gilmour souhaitait un éclairage « totalement différent » de celui de l’an dernier.

©Tony Mahmood

Nook, lui-même un peu fan d’Astera, n’était pas à court d’idées ! Il a imaginé une « forêt » composée de tubes de différentes longueurs suspendus verticalement, dans laquelle les joueurs se faufileraient jusqu’à un point prédéterminé, où ils s’immobiliseraient pour tirer.

Chad penchait plutôt pour des vues aériennes où les tubes formeraient des motifs de couleurs reproduisant le logo et les couleurs de l’équipe. En fin de compte, il a réussi à atteindre cet objectif. Ils ont tous les deux aimé l’idée d’un effet cinétique au moment où les joueurs bousculent les tubes et les font se balancer.

De fait, les joueurs sont si habiles à manœuvrer sur la glace qu’ils étaient capables de louvoyer à toute vitesse au milieu des tubes. Nook a apprécié le bonheur de pouvoir faire des essais. Ainsi donc, 96 tubes Titan ont été fournis par The Legacy Production Group de Minneapolis et disposés en formation forestière.
Derrière, une série de bandeaux vidéo Fatron de 10 cm de large sur 90 cm de long, servait d’arrière-plan. Ils contrastaient avec les tubes, accentuaient la riche variété de couleurs émises par les Titan et leur placement ajoutait une impression de profondeur à la forêt.

La séquence a été tournée au milieu de la patinoire sous le tableau central. La fixation très soignée d’Astera a permis d’assembler les tubes en bandes de différentes longueurs. Celles-ci ont été accrochées d’une manière qui paraissait aléatoire sous une structure conçue par l’équipe de création, qui s’étendait juste en dehors de l’empreinte du tableau des scores sur la glace.
Environ un tiers des tubes faisaient 3 mètres de long, un autre tiers était assemblé en longueurs de deux mètres et étaient intercalés avec les tubes restants, d’un mètre de long, qui étaient utilisés individuellement.


La structure était suspendue à environ 5 mètres de la glace et les tubes étaient fixés par des câbles de liaison noirs dans des positions prédéfinies par Nook. Solidement attaché à la structure par l’équipe, le câble était fixé à l’anneau vissé sur chaque tube Titan, processus décrit par Nook comme « bêtement simple ! ».
Tous les tubes étaient orientés vers les caméras. Une fois que chaque tube avait trouvé sa position d’équilibre, on tournait l’anneau pour obtenir un réglage précis. Les tubes séparés étaient à 1,50 m de la glace et les plus longs descendaient jusqu’à 2,5 cm au-dessus du sol. Une douzaine d’autres tubes étaient posés sur la glace.

Nook et son équipe avaient terminé l’installation et les réglages la veille du tournage, mais le lendemain matin, ils ont eu quelques angoisses, car en arrivant, ils ont trouvé l’électronique des tubes Titan qui étaient trop près de la glace, complètement gelée.
« Mais ils se sont tous comportés comme des champions et ont fonctionné sans interruption », raconte Nook… et ils ont flashé pendant les six heures suivantes. En utilisant l’application Astera, l’équipe de Legacy a pu en mesurer l’utilisation : il s’est avéré qu’ils ont à peine consommé la moitié de la durée des batteries programmée au cours de ces six heures de tournage.

©Tony Mahmood

Dans ce travail, dans le froid, il souhaitait vraiment un produit basique avec de belles couleurs et une fiabilité à 100%. « Sur ces tournages, on n’a pas le temps de tout régler pour une journée et de contrôler toutes les images en une nuit…
nous avons eu un créneau de cinq heures pour les réglages et à la fin, il fallait que tous nos niveaux soient corrects et que tout soit prêt l’après-midi pour Chad Gilmour, le réalisateur du tournage et pour le directeur de la photographie ».

Les 96 tubes fonctionnaient sur un univers DMX car certain avaient un double ou triple adressage. A tout moment, le réalisateur devait pouvoir désigner un numéro d’appareil à Nook et lui faire changer de couleur instantanément. Ils étaient contrôlé par une console grandMA2, via un minuscule émetteur sans fil fourni par Inner Circle Distribution avec la moitié des tubes en location. « Cet émetteur n’était pas plus gros qu’un paquet de cigarettes, nous l’avons posé directement dans le tiroir de la console », raconte Schoenfeld.
Avant de s’installer, ils se sont rendu compte qu’il n’y avait pas de moyen facile d’utiliser la lumière blanche pour éclairer les joueurs dans la forêt de tubes. La poignée de découpes ellipsoïdales installées n’assurait pas la lumière nécessaire à Robert Durland, le directeur de la photographie, pour ses prises de vues.

Immédiatement, les chefs électriciens ont saisi certains des tubes séparés qui étaient sur les socles au sol et ont demandé à Nook de les régler en blanc, puis ils les ont utilisés comme lumières de base à quelques centimètres du visage des joueurs. « Comme il n’y avait pas de chaleur, c’était une fonction géniale que nous avons découverte dans le feu de l’action. Jeremy me demandait aussi parfois de faire des éclairs avec, et les résultats de cette action sont fantastiques à la restitution. »

©Tony Mahmood

Pour Nook, l’avantage TRÈS cool d’utiliser les tubes Titan sur un tournage est que, comme la lumière est émise sur 180 degrés, le chef électricien peut commencer une séquence rapide en orientant la lumière vers la glace, puis en faisant rouler le tube vers le haut avec la caméra en gros plan sur le visage du patineur.
« Il y a eu quelques plans sexy que nous aurions sans doute manqués si nous n’avions pas pris la décision d’utiliser aussi des Titan comme éclairage tenus à la main », conclut-il, ajoutant que, sans le tracas des câbles, « le système était rapide, simple, c’était sans aucun doute LE bon outil pour ce travail. »

Plus d’infos sur le site La BS et sur le site Astera

Audiotonix poursuit avec Ardian son développement rapide

Par la voix de James Gordon son PDG, Audiotonix, un acteur majeur du marché des consoles de mixage audio, annonce la signature d’un accord d’investissement complémentaire avec Ardian, un important fonds d’investissement privé.


James Gordon, Audiotonix CEO

James Gordon est clair sur les avantages que va apporter ce nouvel accord d’investissement. « C’est une occasion unique de s’associer à Ardian pour envisager notre croissance à venir et cela matérialise une étape importante dans le développement d’Audiotonix.
Au cours des cinq dernières années, nous avons bâti une infrastructure fantastique au sein du groupe, ce qui a clairement profité à toutes nos marques avec le savoir-faire industriel, le développement de nouvelles technologies et une croissance mondiale.
Le soutien et les conseils financiers d’Ardian, associés à ceux d’Astorg, qui est toujours parmi nos investisseurs pour cette prochaine phase, vont nous aider à développer encore plus nos marques et notre portefeuille de produits ».

Olivier Personnaz, directeur général des acquisitions d’Ardian, commente :
« La manière dont les gens consomment le divertissement en live, à la télévision et en streaming est en pleine révolution. Les meilleurs artistes, interprètes et diffuseurs du monde et les industries créatives qui les soutiennent, veulent offrir au public la meilleure expérience possible. Les événements, la musique et le contenu multimédia deviennent de plus en plus immersifs, adoptent les nouvelles technologies et s’appuient de plus en plus sur un son exceptionnel.
C’est pourquoi nous sommes enthousiastes sur la façon dont ce nouveau partenariat va aider Audiotonix à se différencier encore plus grâce à la valeur indéniable de sa technologie audio et de ses prestations. Avec son expérience, l’équipe dirigeante est bien placée pour étendre le domaine et la portée de l’entreprise en offrant des expériences audio exceptionnelles à de plus en plus de gens dans le monde ».

François de Mitry, directeur associé et Stéphane Epin, associé d’Astorg, déclarent : « C’est une grande fierté d’avoir soutenu Audiotonix pendant une phase d’accélération de son histoire, à une époque où le capital-investissement méconnaisait l’audio professionnel. Avec nous, le groupe a lancé une série de nouveaux produits très réussis, a acquis la marque historique SSL et l’intéressante technologie de KLANG.
Plein de nouveaux projets sont prêts à sortir. Qui plus est, de nombreux nouveaux talents seniors ont rejoint Audiotonix et sont venus renforcer l’équipe en préambule à une nouvelle phase de développement. Nous sommes ravis de continuer à contribuer au voyage. »

Depuis sa fondation en 2014 avec les grandes marques audio professionnelles Allen & Heath, Calrec et DiGiCo, Audiotonix a vu son activité et son portefeuille se développer avec de nouvelles acquisitions. En 2017, le groupe a intégré l’importateur et distributeur américain Group One Ltd, et en décembre de la même année, il a acheté la prestigieuse marque de consoles Solid State Logic. En décembre 2018, DiGiCo a annoncé l’acquisition de KLANG: technologies, un pionnier de la technologie de son immersif et de monitoring personnel intra-auriculaire.

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Le Big Band Café choisi les wedges Coda Audio

L’équipe du BBC avec un intrus. Deux indices, il n’est pas normand et porte des chaussures rouges !! Les références CODA sont bien visibles avec trois wedges CUE2, un sub G15SUB et à gauche de l’image, un HOPS8.

Le Big Band Café ou le BBC, SMAC bien connue d’Hérouville Saint Clair près de Caen, vient de changer entièrement son parc retour et a choisi CODA Audio et le CUE2.

Le CUE2, un wedge délivrant un grave profond et précis en plus d’un médium et aigu désormais apprécié largement tant nombreux sont les fabriquant d’enceintes ayant adopté son double moteur annulaire médium/aigu en montage coaxial et disposant d’un guide de sortie 60° x 90°

Pas moins de 16 retours de scène CUE2, enceinte coaxiales 3 voies 15’’ au choix en passif ou en actif selon les besoins, complétés par 4 subs G15SUB pour renforcer le bas pour du drumfill et/ou du side, le tout amplifié par des contrôleurs amplifiés LiNUS10C.

Le HOPS8. Remarquez le 8” du haut avec son moteur dont la sortie est bien visible.

Le choix s’est également porté sur 4x HOPS8 CODA Audio, pour renforcer le système de diffusion actuel pour du front et du delay. HOPS8 pour High Output Point Source, munies d’un double 8’’ dont un monté en coax qui apporte 6dB de gain par rapport à une 8’’ traditionnelle dans un même format compact. A noter qu’il existe sa petite sœur HOPS5, double 5’’ redoutable de par son rapport taille/poids/puissance.

Les premiers accueils de la saison 2019/2020 ont été très concluants et confirment les bons choix de l’équipe technique. CODA Audio France remercie l’équipe du BIG BAND CAFE ainsi que la société AUVISYS en charge de l’intégration sur site pour leur confiance
Pour d’autres informations, visitez les sites de :

 

Denis Berranger intègre l’équipe d’ESL Paris

ESL est heureux d’accueillir Denis Berranger au poste de technico-commercial sur le secteur Paris – IDF

Denis Berranger

Riche de 23 ans d’expérience sur notre marché, Denis Berranger a débuté dans le domaine de l’audio professionnel avant d’étendre son expérience à la lumière évènementielle. A 44 ans, toujours prêt à relever de nouveaux challenges, passionné de produits et de nouvelles technologies, Denis a choisi de rejoindre l’agence parisienne d’ESL Paris, afin de promouvoir l’ensemble de leurs solutions en Ile de France.

« ESL a été mon premier fournisseur, se souvient Denis. Faire découvrir aujourd’hui le catalogue d’ESL et ses marques à des clients professionnels de la région parisienne est une opportunité qui s’inscrit parfaitement dans la suite de ma carrière. Je suis ravi de représenter cette belle société où l’humain et l’esprit d’équipe font partie des fondamentaux. »

Plus d’infos sur le site ESL-France

 

Le SolaHyBeam 3000 High End s’impose avec ETC

Créée il y a un an, la société ETC France distribue non seulement les consoles et projecteurs ETC, mais aussi toute la gamme High End.
C’est avec une grande fierté que nous accueillons dans notre petit studio improvisé aux JTSE, Nicolas Da Canal, responsable des ventes chez ETC France, pour lui demander de nous parler de plusieurs sorties incontournables, la gamme SolaPix et surtout le SolaHyBeam 3000.


High End SolaHyBeam 3000

En exclusivité européenne, High End envoie du très très lourd avec le SolaHyBeam 3000, un projecteur led hybride de longue portée. Projecteur exceptionnel par sa taille et son poids, le SolaHyBeam est équipé avec une incroyable source led de 750 Watts, capable d’émettre 37 000 lumens en flux constant au travers de son énorme lentille de 210 mm.

Sur la partie High End des JTSE, le SolaHyBeam avait une place de choix.

Particulièrement à l’aise dans les Arénas ou sur les très grands plateaux, ce projecteur combine une ouverture dantesque de 3° à 56° avec un vaste ensemble de fonctionnalités.

Outre la riche trichromie CMY, avec correcteur CTO progressif et 5 filtres de couleurs saturées plus un TM-30, le SolaHyBeam 3000 possède une roue de 7 gobos rotatifs graphiques, une cassette de 4 couteaux à insertion complète, un iris 16 lames et trois prismes cumulables sur deux plans différents. Un système particulier dit de ‘Tri fusion’ permet de cumuler 3 frosts de façon linéaire.

Le menu et la riche connectique DMX, RDM, ArtNet et sACN sont toujours présents, tout comme le soin apporté à la ventilation et ses 4 modes : Standard, Studio, Continuous et Studio Continuous. Le SolaHyBeam sera prochainement disponible en deux versions, Ultra-Bright pour le maximum de puissance, High-Fidelity pour un respect total des couleurs.

High End SolaPix

La SolaPix 19 présentée sur le stand ETC France.

ETC France présentait pour la première fois en France les SolaPix 7 et SolaPix19, des lyres Wash avec un potentiel de créations graphiques inédit.
Appelés affectueusement Pancakes par leurs utilisateurs, les SolaPix permettent des effets spectaculaires grâce à leurs matrices de 7 et 19 leds RGBW de 40 Watts, mais aussi par l’utilisation combinée du système HaloGraphic et du générateur Flex Effect.

Tous les détails sont lisibles sur notre fil d’actualités High End dévoile Solapix 7 et Solapix 19

Plus d’infos sur le site ETC France

DTS Alchemy 3, une petite version sans concession de l’Alchemy 5

Vue d’ensemble du petit Alchemy 3, identique en fonctions et design à son grand frère.

Alors qu’il est courant de décliner un projecteur sous plusieurs modèles qui se différencient via de multiples changements de caractéristiques techniques, DTS a décidé de ne pas adopter cette stratégie avec l’Alchemy 3, une lyre wash dont le moteur de 6 couleurs de leds est issu du plébiscité Alchemy 5.
Il hérite de l’intégralité de ses fonctions, aussi bien en termes d’effets que de zoom (14-45°) ou de couleurs.

La seule différence entre ces deux appareils, outre les proportions globales en général qui se voient plus restreintes, se situe à l’arrière de la tête de la lyre.
La source lumineuse originelle de l’Alchemy 5 de 400 W passe ici à 280 W, soit environ les deux tiers de la puissance. Il en va de même pour le flux lumineux, 10 000 lumens pour l’Alchemy 5 et 6 600 dans notre cas.

Dernier rempart que les photons ont à traverser pendant leur croisade optique, la belle lentille de Fresnel que l’on retrouve plus rarement de nos jours sur des appareils à leds.

Les dimensions du projecteur sont comparables à celles d’une lyre wash de type 250 W à lampe, à savoir 53 x 33 cm, pour un poids de 15 kg. Belle stratégie de la part de DTS de proposer une machine aux fonctions strictement identiques ! Il est d’ores et déjà disponible à la livraison.

Nous avons interviewé aux JTSE, Olivier Torres, responsable du développement commercial chez ESL


Plus d’infos sur le site d’ESL et sur le site DTS

Et le banc d’essais de l’Achemy 5 dans SoundLightUp

 

Nouvelle console Chamsys MQ70

Sonoss-Chamsys-MQ70

Première prise de contact avec la MagicQ MQ70

Nous rejoignons Ugo Knaff sur le stand Sonoss aux JTSE. Il nous présente la toute récente MQ70, une console DMX compacte et facilement transportable.

Ugo Knaff : « L’un des critères primordiaux du cahier des charges de cette console était de pouvoir conserver cette facilité de transport que nous avions avec la MQ60, aspect qui a réussi à convaincre de nombreux clients. » On parle plus précisément de pouvoir emporter avec soi ce pupitre dans un avion comme bagage cabine.
Il en résulte une surface de contrôle aux proportions limitées, au même titre que la MQ60 (voire même plus, son épaisseur ayant été réduite). Mais là s’arrêtent les analogies, nous constatons rapidement que nous sommes en présence d’un appareil bien plus moderne !

Chamsys-MQ70-faders

L’une des nouvelles fonctions de cette console, les glissières de faders rétro-éclairées.

Pour la partie hardware, l’inclinaison de la console est maintenant modifiable afin d’améliorer la position de travail, la zone de restitution profite désormais de faders rétro éclairés (mais dont la couleur n’est pas modifiable – option qui sera réservée aux futures consoles plus haut de gamme).

L’informatique de ce nouvel appareil, bien plus véloce que son prédécesseur, assure une réponse instantanée à l’utilisateur. Il permet aussi la gestion de 24 univers DMX, nombre qui pourra même évoluer jusqu’à 48 dans le futur. La façade arrière s’octroie maintenant un port audio in/out, un port MIDI in/out ainsi qu’un connecteur LTC.

Sonoss-Chamsys-mq70-prises

La façade arrière se voit bien garnie, on distingue également le pied réglant l’inclinaison du pupitre.

Détail supplémentaire, la console dispose de son propre réseau Wi-Fi interne (sans antenne extérieure) afin d’être pilotée à distance via une remote. Enfin les ingénieurs de Chamsys ont intégré un onduleur afin d’éviter toute coupure secteur inopinée (autonomie de 10/15 minutes).
Les boutons physiques de sélection des playbacks ont disparu afin de pouvoir proposer un écran tactile (multi touch) plus grand, de 7 pouces on passe à 10, il en est de même pour la résolution qui a été améliorée passant de 800 x 600 pixels au full HD.

Tous ces éléments sont réunis dans un pupitre qui affiche seulement 7 kg sur la balance, belle performance ! Les premières livraisons de la MagicQ MQ70 débuteront en janvier.
Un dernier mot pour annoncer l’arrivée imminente de la MQ50, future remplaçante de la MQ40 qui sera une version “light” de la MQ70, sans rétro-éclairage, disposant de 6 univers au lieu de 24 et dépourvue d’onduleur.

Caractéristiques techniques principales

Support de 24 univers DMX (extensible à 48)
Ecran tactile multi touch de 10 pouces
Port HDMI pour écran externe (tactile possible)
4 sorties DMX physiques en XLR 5 broches et support du RDM
12 faders et 8 encodeurs
3 ports réseau
Wi-Fi intégré sans antenne
5 ports USB
Ports entrée/sortie audio et MIDI
Entrée Time code LTC
Onduleur intégré
Dimensions : 52 x 35 cm (longueur et largeur) – 6 cm pour la partie la plus épaisse.
Poids : 7 kg


Plus d’informations sur le site Sonoss et sur le site Chamsys

 

LC Formation s’associe à Fabrice Gosnet

L’entrée d’LC Formation

LC Formation s’associe à Goosera, une structure nouvellement créée par Fabrice Gosnet, pour proposer dès janvier 2020 un module de formation réseau, premier d’un cursus conduisant à terme au diplôme privé de Technicien Réseau Audiovisuel (TRAV).
Cinq modules permettront donc aux stagiaires d’acquérir progressivement des compétences de plus en plus pointues et de les mettre en pratique. Petit à petit les réseaux audio/vidéo/lumière n’auront plus de secrets pour vous.

Une nouvelle formation réseau

Grande nouvelle, Fabrice Gosnet, l’un des pères du NetworkingMadeEasy et du Gigacore, produit qui a révolutionné la façon dont on travaille sur le réseau, rejoint LC Formation via un partenariat avec sa nouvelle structure Goosera. Il dispensera par ce biais une nouvelle formule de formation réseau dont voici la description.


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Nous l’avons rencontré en compagnie de Jean-Michel Jouane et Donovane Amelin, dans les nouveaux locaux de LC Formation offrant, sur 600 m2, quatre salles pour la formation théorique, un showroom pour la pratique et un espace d’accueil. Fabrice est débordant d’énergie et d’enthousiasme à l’idée de ce nouveau projet.

Fabrice Gosnet : Suite à 14 années de support et de formations en France et à l’international, j’ai pu observer les évolutions du marché. De là est né le projet Goosera qui a beaucoup plu à Jean-Michel et Donovane, les deux formateurs associés de LC Formation. Les 10 dernières années montrent une courbe croissante et quasiment linéaire en termes d’évolution des technologies, notamment au niveau d‘Ethernet, mais le niveau de connaissances des techniciens et techniciennes n’a pas forcément suivi le même rythme. Il y a donc un énorme puits à combler, à commencer par l’apport d’une méthodologie de conception d’un système, jusqu’au dépannage pour éviter d’être bloqué, ou pour éviter ces situations dites “tombé en marche” , ou encore quand ça fonctionne mais sans vraiment savoir pourquoi.

(De gauche à droite) Donovane Amelin, Fabrice Gosnet et Jean-Michel Jouane. Un beau partenariat entre LC Formation et le tout nouveau Goosera!

Il existe des solutions de formation réseau. Les premières très complètes, dispensées sur la durée, s’adressent à un jeune public ou à des personnes en reconversion. Les autres solutions en formation continue sont très denses, sur un temps assez court. Elles permettent difficilement de sortir avec un véritable bagage utilisable en situation. J’y ai moi-même pris part. Mea Culpa.
J’ai donc développé un tout nouveau cursus de cinq modules de chacun une semaine qui représentent des niveaux différents. Pour un enseignement de qualité, chaque module regroupe au maximum 8 stagiaires. Le premier niveau donnera goût à utiliser la technologie réseau et séparera les utilisateurs audio et lumière.

En lumière, ils apprendront la base du contrôle lumière, c’est-à-dire comment interconnecter les équipements, comment connecter une console à un média serveur, à un visualiseur, à un node… Autrement dit, tout ce qui concerne les équipements terminaux avec beaucoup de pratique dans un rapport de 30 % de théorie et 70 % de pratique. La formation audio sera organisée de la même manière, avec une approche similaire sur les protocoles audio sur IP en vogue.

SLU : Que sauront exactement faire les stagiaires au terme du niveau 1 ?

Fabrice Gosnet : Ils sauront donc connecter un pupitre lumière à un visualiseur, le connecter à un média serveur et le contrôler. Le connecter à un node et contrôler un projecteur en Art-Net ou sACN.
Ils sauront également pixel mapper un projecteur par un média serveur, expérimenter le RDM en DMX, le RDM en réseau et la technologie PoE. Ce sont des notions de base en première partie que l’on retrouvera sur d’autres modules de façon plus approfondie.

Le niveau 1 doit donner envie aux stagiaires. C’est super-important. Ils ne vont pas savoir tout de suite construire une dorsale réseau, par contre ils sauront si un projecteur n’est pas sur le bon univers et le changer grâce à la méthodologie qu’ils vont acquérir. Il ou elle saura communiquer correctement.

En résumé, la méthodologie, la terminologie et la façon de travailler, c’est ce qui fait vraiment défaut. On apprend comment appeler les projecteurs, les parties de restitution, qu’il y a des boutons très importants pour la configuration globale d’une console… Finalement ils sauront comment aller chercher et utiliser la bonne information

SLU : Quels sont les outils utilisés ?

Fabrice Gosnet : Pour le module lumière, Il y a des consoles logicielles Chamsys, grandMA, ETC et des accessoires réseau Luminex, ELC et Enttec, c’est-à-dire les acteurs majeurs du réseau. Le deuxième outil que j’utiliserai ce sont des examens en ligne. Tout au long de la semaine ils auront à valider leurs connaissances grâce à des QCM sur un Learning Management Software (LMS). Les notes obtenues tout au long de la semaine et l’examen final seront nécessaires pour accéder au niveau 2. Le même principe sera utilisé pour le niveau I audio.

SLU : A qui s’adressent ces modules son et lumière de niveau 1 ?

Fabrice Gosnet : Ils sont destinés aux professionnels du spectacle vivant mais aussi aux prescripteurs, aux démonstrateurs de produits ou aux collectivités locales qui ont à mettre en place un système. Les personnes qui travaillent dans ce type d’infrastructure ont souvent un mouvement de recul en entendant parler du DMX.
C’est également vrai pour les techniciens audio qui travaillent encore en analogique et pour qui les protocoles DANTES ou AES67 sont des notions toutes nouvelles. Ces deux niveaux 1 sont donc vraiment là pour donner confiance et comprendre comment fonctionne ce qu’on appelle les équipements terminaux : la console, le boîtier entrée/sortie audio ou lumière, les logiciels, et ainsi de suite.

Une des quatre salles d’LC Formation avec des puits de lumière pour avoir une bonne visibilité lors des cours.

SLU : De quoi sera composé le niveau 2 ?

Fabrice Gosnet : À partir du deuxième niveau les gens du son et de la lumière peuvent être réunis dans la même session parce que la même infrastructure peut être utilisée. C’est ce qu’on appelle la convergence et ça doit aussi se passer au niveau de la formation car il faut que les techniciens entendent leurs problèmes réciproques afin de mieux fonctionner ensemble au sein d’un projet.

Donovane Amelin : On le voit beaucoup sur les chantiers, chacun passe par son système. C’est dû au fait que souvent le son et la lumière sont gérés par des prestataires différents. Les administrateurs réseaux gèrent donc chacun leur partie alors que tout pourrait passer par le même système.

Fabrice Gosnet : Par rapport au contenu même du niveau 2, nous passerons toute l’infrastructure réseau en revue en utilisant des switchs audiovisuels, Ghost, ELC, Luminex. Mais la barre sera beaucoup plus haute qu’au niveau 1 car nous verrons comment monter un rack complet grâce à des racks d’éducation.
Nous allons monter le patch, la fibre optique, les jarretières, les switchs le tout en binôme pour pouvoir échanger. Ça permettra de comprendre réellement comment fonctionne tout ce qui aura été vu précédemment, c’est-à-dire un rack avec ses équipements. On passera également en revue la qualité de service, la redondance de lien, les VLANs…

SLU : A quelle fréquence les modules seront-ils proposés sur l’année et quelle est leur durée ?

Fabrice Gosnet : Chaque module dure 5 jours. Il y aura un niveau 1 et un niveau 2 par mois et les niveaux 3, 4 et 5 à partir de fin 2020. La validation se fait à chaque passage de niveau. L’idée est de se rapprocher du modèle du CCNA (Cisco Certified Network Associate Routing & Switching) de Cisco, qui est une certification privée n’ayant pas de reconnaissance au niveau du ministère mais qui est nécessaire pour travailler dans une SSII et avec des équipements de type Cisco, HP, 3com, etc.

La différence de la certification TRAV (AVNT) est qu’elle est destinée aux Techniciens Réseau AudioVisuel. L’objectif étant que cette formation, à terme, devienne une référence dans le métier. Les plus gros prestataires du marché ont d’ailleurs déjà manifesté leur intérêt pour ce projet.
Cependant, soyons très clairs, tout le monde n’a pas besoin d’atteindre le niveau 5 et c’est toute la subtilité. Atteindre le niveau 2 c’est déjà génial et vous arme super bien pour votre travail quotidien. Au niveau 5, on sait vraiment dépanner un système dans sa globalité, c’est un besoin bien spécifique.

Jean Michel Jouane : Les stagiaires recevront une attestation de présence en formation à l’issue des 5 jours. Par contre, il faudra qu’ils réussissent les examens en ligne et l’examen final pour obtenir un certificat validant leur niveau. L’objectif à court terme étant que les stagiaires fraîchement formés travaillent pour les prestataires du secteur audiovisuel afin que ce diplôme devienne une référence. Cela permettra, dans un même temps, de faire monter le niveau des professionnels du secteur.

SLU : Les techniciens du secteur pourront-ils faire valoir leur expérience pour accéder à un niveau plus élevé dès le début ?

Fabrice Gosnet : Tout à fait, les personnes qui estiment avoir un niveau leur permettant d’accéder directement au module 2 ou supérieur du fait de leur expérience professionnelle, pourront y accéder en passant un examen d’entrée via le site web Goosera. C’est une plateforme qui, entre-autres, gère les QCM et les examens de validation de niveau. Le site sera prochainement en ligne, je travaille dessus.

SLU : Quels sont les financements possibles ?

Jean Michel Jouane : Les stagiaires seront toujours financés par l’AFDAS ou Pôle Emploi et pour les démarches, il faudra s’adresser à LC-Formation. En ce qui concerne le compte de formation (anciennement CPF et DIF), les heures cumulées ont été transformées en euros depuis janvier 2019.
La contrepartie c’est que nous allons passer d’une situation où une formation pouvait être faite tous les ans, selon des barèmes, à une situation où il faudra cumuler des euros pendant peut être deux ou trois ans avant d’accéder à un autre module.
Mais si les stagiaires souhaitent passer 2 niveaux rapprochés, il existe ce qu’on appelle le parcours de formation, qui permet d’inscrire un stagiaire pour deux formations consécutives à la condition qu’elles soient dispensées la même année.

SLU : Vous semblez conseiller de laisser passer un an entre deux niveaux.

Fabrice Gosnet : Oui, parce que c’est important de prendre le temps d’assimiler et de mettre en pratique toutes les informations nouvellement apprises avant de démarrer un autre module.

Jean Michel Jouane : Notre offre va devenir plus qualitative que si on cumulait le niveau 1 et 2 sur un seul module comme on a pu le faire auparavant. Je pense que nos futurs stagiaires en seront beaucoup plus satisfaits et qu’ils pourront facilement consolider leurs nouveaux acquis par une expérience personnelle.

LC Formation, un centre qui poursuit son développement

LC Formation est un centre qui a été fondé par Jean-Michel Jouane et Donovane Amelin il y a environ 10 ans. De multiples demandes de formations sur la GrandMA2 les ont poussés à passer le cap. Avec une moyenne de 50 personnes par an, ils avoisinent les 500 personnes formées sur GrandMA sans compter les autres modules proposés.

SLU : Outre ce nouveau cursus réseau, quelles sont vos nouvelles formations ?

(De droite à gauche) Allison Cussigh, Donovan Amelin et Jean-Michel Jouane.

Donovane Amelin : Nous lançons une formation mur de leds dans le cadre d’un partenariat avec ArtLight situé parc de l’Événement à Longjumeau.
Nous démarrons aussi une formation Sketchup, car beaucoup utilisent ce logiciel très économique (299 euros/an pour la version pro).
Il permet de faire de la lumière mais sans aller jusqu’à l’encodage. La preuve de son succès c’est que l’on trouve plus de librairies de structures ou de salles modélisées gratuites et en open source que sur d’autres logiciels dédiés. Pour faire un rough c’est très pratique et la version pro permet d’importer une scène modélisée dans Wysiwyg grâce aux formats .dwg ou .dxf.

Le planning des formations 2020

SLU : Est-ce que vous proposez des formations en province ?

Donovane Amelin : Nous organisons un planning fixe sur l’année auquel peuvent s’ajouter des sessions supplémentaires en général en province effectivement. Cela arrive quand une salle de spectacle ou un prestataire a des besoins de formation pour un petit groupe de personnes.
On crée alors une session à leur attention et s’ils ne sont pas en nombre suffisant, on l’ouvre au public via notre site. C’est aujourd’hui une bonne partie de notre activité. Cela fait cinq ans que nous intervenons à Marseille, trois ans à Bordeaux et depuis l’année dernière à Lyon. Le fait que nous soyons une petite structure nous autorise cette souplesse.

Jean Michel Jouane : Nous avons aussi créé un groupe Facebook réservé à nos stagiaires afin qu’ils puissent poser des questions même si elles sont un peu basiques entre guillemets tout en évitant le lynchage Internet.

SLU : Outre les formateurs recrutés ponctuellement pour la province, combien êtes-vous au total chez LC-Formation ?

Jean Michel Jouane : Nous sommes 12 au total. Donovane et moi nous occupons uniquement des consoles grandMA et pour les autres formations ce sont des spécialistes de terrain. Et Fatima Madani, qui est avec nous depuis un an et demi, assure la gestion administrative afin de nous libérer du temps pour continuer de travailler sur des prestations car nous ne souhaitons pas quitter le milieu professionnel.

Donovane Amelin : C’est vrai qu’être toujours dans le métier est important pour nous. Nos professeurs sont d’ailleurs aussi des professionnels. Le seul moyen de donner une bonne méthode à nos stagiaires, c’est de savoir comment faire. Ça permet aussi d’éviter des formations scolaires et d’avoir un retour d’expérience de terrain.

Cliquez sur l’image ci-dessous pour accéder par téléchargement au fichier Excel complet

LC Formation calendrier 2020

SLU : Vous assurez déjà certaines présentations en GrandMA3.

Jean Michel Jouane : Nous intervenons chez Axente pour assurer des formations d’initiation. L’idée c’est de présenter les fonctionnalités de la console et de proposer aux pupitreurs qui le souhaitent une formation plus complète au centre.

SLU : Comment se déroulent les formations grandMA

Donovane Amelin : La session 1 en grandMA se déroule sur 10 jours dont 8 jours consacrés à des exercices 3D.

Jean Michel Jouane : En moyenne il y a huit stagiaires par session. Chacun a un ordinateur et ils sont deux par console. Le pré requis c’est de connaître une console traditionnelle. Nous avons pris le parti d’utiliser le GrandMA 3D qui permet de faire des roughs avec effets.

SLU : Vous avez un showroom équipé d’un kit de projecteurs. Quand y ont-ils accès ?

Donovane Amelin : A la fin du stage on organise un exercice complet. Au début, tout se fait en 3D sur un morceau imposé, puis ils passent sur le kit les deux derniers jours. Chacun restitue ensuite sa programmation pour présenter son show et on enregistre tout en vidéo.

Jean Michel Jouane : Pour avoir un petit kit à l’année, on a conclu des accords avec Axente (pour Oxo, Ayrton, Portman et MDG), Robe, Chauvet, Minuit Une et ArtLight. Tous les six mois environ, nous renouvelons le matériel.

Donovane Amelin : L’avantage c’est que les stagiaires peuvent jouer avec les produits qui viennent de sortir. Comparé aux vieilles machines qu’ils peuvent trouver sur des prestas c’est avantageux. Et ça permet aux marques de présenter leurs machines à un public parisien mais aussi en province car nous prenons une partie du kit quand nous nous déplaçons.

Un kit avec les dernières nouveautés des plus grandes marques comme de plus petits projos pour une expérience tout terrain.

SLU : Comment validez-vous le niveau acquis par les stagiaires lors des formations ?

Jean Michel Jouane : Avoir des formations qualifiantes c’est compliqué et diplômantes ça l’est encore plus, parce qu’une semaine c’est trop court. Nous sommes en train de mettre en place une formation diplômante de Technicien Lumière ayant pour valeur un BAC + 2 et qui se déroulera sur un an. Pour cela il y a deux ans d’instruction de dossier.
Ce sera donc plutôt une formation initiale et l’objectif ensuite sera de la décliner pour le son et la vidéo. Nous avons aussi entamé des démarches pour obtenir le label Véritas suite à un audit.

Pour se restaurer et discuter.

SLU : On a entendu que l’ambiance était vraiment très cool chez LC Formation

Donovane Amelin : Pour nous le but est de créer des équipes et des liens entre les stagiaires. On organise donc une nocturne tous les jeudis.

Fabrice Gosnet : La règle est très simple, il y a un temps pour travailler et un temps pour se détendre. Je pense que c’est important pour être crédible. Le jeudi soir, ils ne pourront quand même pas trop « s’écarter » car le vendredi sera un jour d’examen pour valider leur session.

Jean Michel Jouane : Ça fait 10 ans que LC Formation existe. Si on n’était pas un peu sérieux de temps en temps on ne serais plus là et d’ailleurs, j’ose espérer que les gens viennent chez nous pour une formation et pas pour boire un coup (rire).

Du confort et une bonne ambiance, toutes les conditions sont réunies pour que les futurs stagiaires apprennent dans de bonnes conditions.

Plus d’infos sur le site LC Formation et sur la page faceBook de Goosera

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SONICUE 1.1 prend en compte les amplificateurs des séries L et C de Dynacord

Dynacord a étendu les possibilités de son logiciel de systèmes audio SONICUE avec une mise à jour orientée petits systèmes. Avec la version 1.1, SONICUE prend désormais en charge les amplificateurs Dynacord séries L et C et inclut une mise à jour de sa bibliothèque de paramètres de haut-parleurs Electro-Voice, comprenant presque tous les modèles portables, d’installation et de touring actuels.

SONICUE adresse l’ensemble du système audio selon les philosophies de conception de Dynacord en termes de simplicité, de clarté et de transparence. Sa conception interactive offre une vue d’ensemble claire et complète du système, ce qui rend plus rapide la configuration, le réglage et le fonctionnement des systèmes de diffusion sonore.

SONICUE 1.1 comprend une mise à niveau du firmware 2.0 pour les amplificateurs de puissance des séries L et C de Dynacord. Conçues pour renforcement sonore en musique live (série L) et dans les installations permanentes (série C), les deux séries incorporent une plateforme DSP, le traitement FIR-Drive et des performances audio professionnelles.

La mise à niveau du micro-logiciel de gestion accroît la capacité de traitement DSP des deux séries pour offrir aux utilisateurs le même niveau de paramètrage que celui des amplificateurs IPX et TGX de qualité touring de Dynacord, avec lesquels les modèles des séries L et C peuvent désormais être combinés. Le bloc DSP utilisateur a été doublé pour offrir 10 bandes d’égalisation paramétrique (PEQ).

Les fonctionnalités de traitement de lignes améliorées incluent cinq bandes supplémentaires de PEQ et un délai de groupe dédié. Cela permet aux amplificateurs des séries L et C d’être utilisés pour des configurations plus complexes nécessitant plus d’options pour le réglage du système et plus de flexibilité lors du travail, par exemple, avec des lignes de caisson de basses.

La base de données d’enceintes étendue permet aux utilisateurs d’utiliser le logiciel SONICUE pour une plus large gamme d’applications. Le logiciel propose désormais des préréglages pour presque tous les modèles d’enceintes d’Electro-Voice, y compris les séries portables ZLX, ELX200, EKX et ETX et la famille son commercial EVID. La base de données englobe tous les paramètres requis par les amplificateurs, y compris les paramètres de filtrage de raccordement, les égaliseurs et les limiteurs pour des performances audio optimisées.

Le logiciel est disponible en téléchargement gratuit sur le site Web de Dynacord

D’autres informations sur le site Dynacord et sur le site EVI Audio France

 

Le Théâtre du Châtelet s’équipe de 36 projecteurs Robe T1 Profile

Le fabuleux Théâtre du Chatelet après deux ans et demi de restauration, a rouvert ses portes au public, (c’était en septembre dernier) aussi magnifique que lors de son inauguration en 1962. Derrière cette remise en beauté, se cachent de nouveaux équipements en son et lumière et une rénovation totale du réseau électrique.

Depuis la fin du mois d’août, 36 projecteurs motorisés à leds « T1 Profile » sont venus remplacer les découpes traditionnelles pour assurer la face. Installés en latéral salle, ils assurent un vrai confort de travail grâce à leur tête motorisée et leur module couteau rotatif.

Pour Bernard Maby, régisseur lumière depuis plus de 27 ans au théâtre du Châtelet, la vraie force du T1 repose en 3 points :
« Sa tête motorisée qui économise en temps de montage, la rotation du module couteaux à +/-60° qui nous permet d’assurer précisément la face depuis les latéraux salle, et son moteur à 5 teintes de leds, que nous jugeons très performant et qui offre un choix infini de couleurs pures et pastels.

L’absence de fuites de lumière à l’arrière et sur les côtés de la machine était aussi une de nos exigences ainsi que le faible bruit de sa ventilation. La machine est très silencieuse et c’est exactement ce que nous recherchions. Ces 36 chandelles se prêtent parfaitement à l’environnement et aux problématiques auxquelles nous sommes confrontés ici au Châtelet. La machine est puissante et diffuse une très jolie lumière… ».

Pour des occasions spéciales, les éclairagistes peuvent être amenés à utiliser différents gobos des T1 positionnés au-dessus et à ras de scène avec l’objectif de plonger les spectateurs dans un décor de lumière majestueux appuyé par le décor et les dorures qui ornent la salle et l’extérieur des loges.

Les T1, positionnés en latéral (côté jardin et cour au 3e balcon) pour assurer l’éclairage de la scène servent aussi, après un petit travail de découpe, à mettre parfaitement en valeur les différentes peintures et écritures datant du XIXe siècle, situées sous et autour de la grande coupole.

Le T1 Profile est idéal pour la captation vidéo, d’une scène ou d’un plateau de TV, grâce à son indice de rendu des couleurs ajustable jusqu’à plus de 90 qui permet de restituer des couleurs de peau naturelles. Son système « anti-flickering » qui pallie le souci de scintillement des sources est aussi un atout.

– Plus d’infos sur le site Robe Lighting France

– Et en test dans SoundLightUp Un joli Profile créé sur mesure pour le broadcast

 

Le VTX-A8 de JBL à la Halle d’Iraty

Pour accueillir Catherine Ringer, la Halle d’Iraty de Biarritz a été équipée par Event Live Group avec un important système VTX-A8 JBL renforcé par un grand nombre de subs VTX-B18. Ou comment transformer un parc expo en salle de concert.

Certes ce ne sont que des 8” mais bons et 14 boîtes, ça commence à sacrément coupler, sans oublier la colonne de subs en montage cardioïde front-back-front répété trois fois, ou comment domestiquer le bas et l’envoyer loiiiin. Trois derniers stacks placés face au nez de scène redonnent des sensations aux premiers rangs. Sacré Belotte ;0)

C’est une réalité ! Toutes les salles se transforment au passage du VTX. Ce week-end, c’était le tour de la Halle d’Iraty qui accueillait Catherine Ringer en concert. A l’origine un complexe de convention proposant un espace total de 8 000 m2, il se compose d’un espace extérieur d’exposition et de deux halls polyvalents communicants, permettant de créer un espace unique de 5000 m2.

Des basses comme s’il en pleuvait avec un gros plan de la colonne de B18. Evidemment qu’ils sont connectés les subs accrochés à 180°, deux prises sont cachées en face avant, regardez bien !

Pour transformer ce lieu en une véritable salle de concert, le prestataire Event Live Group a tout simplement déployé son système de diffusion JBL VTX-A8 dans une impressionnante configuration composée de 14 enceintes VTX-A8 et 9 subwoofers VTX-B18 en colonne cardioïde par côté, 4 enceintes VTX-F12 en front fill et 6 subwoofers VTX-B18 pour gagner un peu d’effet de sol, soit un ratio de presque un sub par tête.
L’ensemble est amplifié par 5 Crown VRack 4. La lumière arborait aussi les couleurs de Vari-Lite avec 7 VLZ Profile installés au-dessus de la scène.

On ne voit qu’eux, Bellote devant ses écrans et qui illumine le son de son expérience et les 7 VLZ installés au dessus de la scène qui en font de même avec leurs matrices de leds de 600 W.

Maxime Leroux

“La Halle d’Iraty n’est pas vraiment une salle de concert. L’organisation d’événements musicaux y est souvent redoutée à cause des difficultés de sonorisation généralement rencontrées, » nous dit Maxime Leroux, directeur de Event Live Group.

Bellote, un cador Made in France.

« Grâce à notre système JBL VTX-A8, nous pouvons dire que cette période est révolue. Avec une installation rapide et un calage parfait suite à l’intervention de Laurent Delenclos (Bellote, ne sors pas de son corps!) le directeur technique son de Freevox, la salle n’a jamais aussi bien sonné, avec en prime tous les compliments de la production !”

D’autres informations sur le site Event Live Group et sur le site Freevox

GrandMA3 Version 1.0, patience et longueur de temps…

MA Lighting vient de dévoiler la première version grand public du soft 3, la V 1.003. Elle est accompagnée d’une nouvelle version du soft 2, la V 3.8.0.à, pour assurer la compatibilité entre les hardwares 2 et 3. Faisant fi des crises de nerfs enfantines résonant sur les réseaux sociaux, les leaders allemands ont pris le temps de proposer un software inédit, à des années-lumière de la GrandMA2.

Il ne s’agit en effet ni d’une version 2.5, ni d’un remix modernisé de la GdMA2, mais d’une toute nouvelle console, embrassant à la fois tous les concepts marquant d’encodage de ces dernières années, la puissance de calcul de cette deuxième décennie millénaire, et une somme d’idées impressionnantes à chaque menu.
Bâties sur une conception modulaire sur-mesure et une gamme complète réaménagée, les consoles GdMA3 embarquent des écrans capacitifs à multiples “gestures” qui accompagnent une ergonomie jamais atteinte sur ce type de console.

La construction industrielle renforcée, avec couloir de ventilation intégré et touches d’utilisation silencieuses, a permis l’utilisation de cartes électroniques et graphiques 3D et vidéo uniques par leur puissance.
Cette capacité augmentée permet l’ajout de paramètres DMX, mais aussi l’intégration d’un visualiseur 3D temps réel intégré, de futurs média serveur internes et d’une stabilité hors-norme pour les plus imposants systèmes d’éclairage.

MALighting est le seul fabricant à assurer jusqu’à 250 000 paramètres en temps réel, avec moins de 2 frames de décalage sur toutes les sorties synchronisées grâce aux périphériques MA en réseau. Soit près de 1 000 univers DMX gérés dans une seule session de consoles ! L’organisation en strates hiérarchiques et l’interconnexion des éléments de répertoire ont redéfini les fondements mêmes de la programmation, pour gagner en temps, en justesse et en possibilités.

Le programmeur tête haute permet une aisance et une facilité sur toutes les tâches répétitives : enregistrement, organisation des objets, édition ou changement d’aspect. Les nouveautés de sélection par Grid et de MATricks XYZ, ainsi qu’un remaniement des Layouts apportent un confort de travail inégalé sur les kits complexes.

La réécriture complète des menus s’étend du Setup aux multiples avancées amenées par la 3D. En coordination avec les plus grands acteurs de l’éclairage, l’intégration des environnements type MVR et la construction des librairies par assemblage de modèles 3D et fonctions (GDTF) dans un patch classé par Layers, Classes, Environnement, Data Pool ou ID Type offrent une souplesse incroyable pour gérer des shows dantesques, en festival, en tournée, en Opéra ou en studio.

La lisibilité gagne aussi en précision, entre le visualiseur HD intégré et les habillages graphiques de chaque élément, tous modifiables par l’utilisateur. Les innombrables raccourcis d’accès et d’exécutions laissent le champ libre à la création, dont la partie dynamique s’enrichit d’une refonte complète des effets grâce aux Phasers, une avancée immense pour les opérateurs professionnels.

La partie live gagne aussi en place grâce à l’accroissement des commandes d’exécuteurs, au nombre de séquences accessibles en direct et aux nombreuses priorités entre séquences. Avec un réseau à trois niveaux, le protocole MA-Net3 offre encore plus de stabilité que sur GrandMA2, et permet, outre la gestion d’un WorldServeur pour les mises à jour et les dépannages en ligne, un monitoring avancé et la possibilité d’utiliser les commandes de la console depuis n’importe quel périphérique, portable ou tablette, sans logiciel tiers.
La version OnPC s’accompagne maintenant d’un OnMac, disponible pour tous dès maintenant, et de la livraison des Wings GdMA3 pour les solutions légères, bientôt suivis d’une version avec CPU embarqué, la CommandWing XT prévue lors du salon Prolight.

Un peu de réflexion s’imposera d’elle-même devant ce monument de programmation et le temps nécessaire à sa mise en place. Proposer un soft entièrement neuf, avec autant de capacités, et maîtrisant déjà en version 1.0 des éléments comme le Time Code, les Layouts avancées, la 3D et la gestion des protocoles ArtNet, sACN ou OSC est une gageure, surtout dans les environnements aussi divers que variés dans lesquels les produits MA sont utilisés.
Si une minorité d’utilisateurs se sont avérés déçus par l’attente malgré la présence du soft 3 en version préliminaire, la majorité des opérateurs ayant participé aux démos et ateliers d’Axente sont déjà enthousiastes devant cette nouvelle pierre angulaire de la programmation lumière. Une nouvelle ère pour MA Lighting s’annonce, et les efforts de la marque germanique et des pupitreurs investis verront rapidement leurs efforts récompensés par la révolution GrandMA3.

Axente, distributeur français officiel, sera votre interlocuteur privilégié pour toutes informations, commandes et prises en main.

Plus d’infos sur le site Axente et sur le site MA Lighting

 

L’Esprit(e) de Noël aux Happy Hours Robe le 19 décembre

C’est dans la banlieue sud de Paris, chez LC Formation à Villeneuve-Saint-Georges que Robe Lighting France a choisi d’organiser ses Happy hours de Noël.
Un bon vin chaud dans une main, une part de Flammekueche cuite au feu de bois par Jacky dans l’autre, vous pourrez découvrir les nouveautés Robe : l’Esprite, la barre Tetra2, le RoboSpot et le T1 Profile FollowSpot : que du bonheur !

L’équipe de Robe France vous attend le jeudi 19 novembre à partir de 18 h 30 dans les locaux de LC Formation : 5, rue Louis Armand – 94190 Villeneuve-Saint-Georges.

Plus d’infos sur le site Robe Lighting France