Vidéo de présentation

Ayrton Wildsun K25

Le plus puissant des wash à led sur lyre motorisée, destiné à éclairer en lumière du jour les grandes salles de spectacle et Arénas, mais aussi les plateaux de cinéma nous est présenté en détail dans cette vidéo produite par Ayrton.
Grâce aux nouvelles sources LED blanches de 15 W disponibles, le WILDSUN-K25 arrive brillamment en compétition avec les gros Fresnel de 4000 et 6000 W HMI couramment utilisés pour l’éclairage de compétitions sportives dans les stades et les grandes salles polyvalentes.

AYRTON – WildSun-K25 – Presentation from Ayrton on Vimeo.

Ayrton a suivi un cahier des charges très précis dicté par des directeurs photo et des opérateurs spécialisés en captation télé. Il fallait atteindre un flux très élevé car ces projecteurs sont placés dans des cintres à plus de 20 m de hauteur. Il fallait aussi un éclairage très étale et proche de la lumière du jour, un pilotage à distance du pan/tilt, du zoom pour faire des ajustements, et de la gradation…

Ayrton Wildsun K25

En bref un projecteur dénué de toute contrainte y compris celles de changement de lampe fréquent et coûteux, de calage manuel, de gradation à distance au prix de volets motorisés.”

Le Wildsun-K25 répond parfaitement à ce cahier des charges avec un flux annoncé de 100,000 lm généré par 217 LED blanches (7800K) associées à 217 collimateurs au silicone assemblés en une seule lentille, un zoom 10-60°, le contrôle individuel des anneaux qui permet de moduler la surface émissive en fonction de la hauteur de la salle, une gradation électronique précise, un système de refroidissement à caloduc pour garder un flux stable et une consommation maximum de 2750 W, donc bien inférieure à celle des HMI 4000 et 6000 W
Le Wilsun se contrôle en DMX-RDM, sACN, ArtNet et sans fil grâce au récepteur Timo Lumen Radio intégré

Ayrton Wildsun K25 Zoom

Ayrton Wildsun K25 Zoom

D’autres informations sur le site d’Ayrton et sur le site d’Axente

 

Pour la tournee du trio L.E.J, Philippe Matthieu integre 50 Sceptron Martin dans son kit

Depuis la diffusion de la vidéo Summer 2015, le trio L.E.J. ne finit pas de faire parler de lui. Les trois jeunes musiciennes et amies d’enfance sont actuellement en tournée en reprenant les tubes de leurs artistes préférés tels que Rhianna ou Major Lazer.
Dans le kit lumière qui les accompagne sur les scènes de France se trouvent 50 VDO Sceptron de Martin.

Martin Sceptron tournee L.E.J

Dans le cadre de la tournée de L.E.J. nous nous sommes rencontrés avec le scénographe et éclairagiste du groupe, Philippe Matthieu, et Nicolas Savigny, Directeur Technique du Groupe B Live, qui était le premier prestataire européen à intégrer les VDO Sceptron dans son parc.

La tendance est à la LED créative

Nicolas Savigny : « Aujourd’hui, la tendance sur le spectacle est dans la LED créative et la motorisation. Cela faisait longtemps que nous étions à la recherche d’un produit qui pouvait répondre à cette demande.
Le VDO Sceptron est très intéressant par sa simplicité de mise en œuvre, ses accessoires permettant toutes sortes de designs et la possibilité de pilotage en DMX et en vidéo ».

Un outil pour faire ressortir la scène

Découvrant les Sceptron lors de la Tournée Chaleur Humaine de Christine & The Queens, Philippe Matthieu les a rapidement adoptés.
Au départ, il avait spécifié des tubes néon pour habiller la scène, mais le show, ayant rapidement évolué, a été déplacé dans les grands zéniths. « Je voulais développer le concept du tube néon et Nicolas Savigny m’a proposé les Sceptron qui venaient de sortir.
Dans tous mes designs, j’essaie de faire ressortir les profondeurs et les volumes de la scène pour que celle-ci ne se présente pas simplement comme un « objet aplati » au fond de la salle. Dès la première démo, il était très clair que les Sceptron serait un outil parfait pour obtenir cet effet », explique le lighting designer.

Martin Sceptron tournee L.E.J

Plusieurs espaces scéniques pour L.E.J.

Sur la tournée de L.E.J., les Sceptron jouent un rôle principal dans le design de l’éclairagiste scénographe.
Avec trois musiciennes, une violoncelliste et deux chanteuses qui jouent également de la batterie électronique, des toms et de la harpe, mais aucun autre instrument pour « remplir » la scène, il y avait la nécessité d’occuper l’espace scénique par d’autres éléments.
La solution était une scénographie construite autour de quatre praticables, tous entourés de Sceptron. « Je voulais créer plusieurs espaces scéniques pour faire évoluer le show », explique Philippe Matthieu.
Il a prévu deux emplacements pour la violoncelliste : sur le praticable de base et sur le praticable du haut de la scène. Quant aux deux chanteuses, plus mobiles, elles ont plusieurs configurations possibles pour les jeux de batterie, de harpe, etc.

Martin Sceptron tournee L.E.J

Afin de créer une ligne de fuite et un rappel de la lumière au sol, des Sceptron supplémentaires ont été mis en vertical derrière les praticables. « Mon idée était de donner une existence aux praticables et grâce à l’expérience que j’ai faite sur Christine & The Queens, je savais que les Sceptron étaient parfaits pour relever ce challenge », continue l’éclairagiste qui a choisi de travailler sans diffuseur pour souligner le côté « un peu électrique » de la led directe.

Un produit destiné à un bel avenir

Il conclut : « Cela fait dix ans que nous avons des barres de led, mais les Sceptron représentent une nouvelle génération. Ils me permettent d’inventer pleins de designs. En même temps, ils sont fiables, simples à installer et très faciles à conditionner dans les flights. C’est primordial quand on est tous les jours dans une salle différente. Je suis entièrement d’accord avec Nicolas Savigny : ce produit est destiné à un bel avenir. »

Plus d’infos sur le site Martin Harman et sur SoundLightUp

 

Capture passe de Argo a Atlas en 64 bits

Capture Atlas en 64 bits avec une refonte de l'Open GL est jusqu'à 10 fois plus rapide.

Capture Atlas en 64 bits avec une refonte de l’Open GL est jusqu’à 10 fois plus rapide.

Les 3 fondateurs du logiciel de visualisation suédois Capture étaient au Prolite & Sound pour présenter en avant première Atlas, le successeur d’Argo.
Cette nouvelle version qui a beaucoup évolué fonctionne en 64 bits sur OSX et Windows, avec une refonte de l’Open GL et de nouveaux éléments de visualisation.
Elle intègre le PRB, et ce n’est pas tout…

Pour passer en 64 bits, autrement dit ouvrir les portes du futur, une grande partie du logiciel a dû être réécrite Cette modification qui permet d’accéder à plus de mémoire, apporte une compatibilité avec certains logiciels comme Media Foundation sous Windows ou la dernière version de fichiers au format SketchUp sous Mac OS. Les fichiers de sauvegarde de Capture ont aussi été entièrement revus afin de pouvoir être ouverts et sauvegardés plus rapidement tout en utilisant moins de mémoire.

La seconde évolution concerne l’Open GL. Toute la manière dont Capture gère cette ressource a été revue pour un gain des performances décuplé. Les projets profitant le plus de cette avancée sont ceux de moyenne taille programmés sur des ordinateurs bas de gamme ou les gros projets préparés sur des configurations très performantes. La fréquence de visualisation de référence passe maintenant à 60 frames par seconde. Un paramètre de qualité a aussi été ajouté pour réduire en direct la résolution et ainsi atteindre un meilleur taux de rafraichissement. Un nouveau mode automatique privilégie la vitesse de rendu et ajuste les paramètres de qualité afin d’obtenir le meilleur résultat possible.

Les sources omnidirectionnelles arrivent !

Les sources omnidirectionnelles arrivent !

La troisième évolution majeure concerne de nouveaux éléments de visualisation.
La fumée n’est plus considérée comme un paramètre global mais un élément à part entière du design, positionnable et modifiable. On pourra ainsi définir la densité pour avoir une brume fine, un brouillard plus localisé, une fumée dense ou derrière une surface en verre. On peut aussi délimiter des zones pour la fumée.
Les sources de lumière omnidirectionnelles comme les ampoules et les sphères éclairées de l’intérieur sont également prises en charge. On peut désormais visualiser des bougies, des guirlandes et des rideaux en boules lumineuses.

L'interaction de la lumière avec les matériaux

L’interaction de la lumière avec les matériaux

L’avant dernier point n’est pas le moindre puisqu’il intègre dans cette version le PBR (physical based rendering).
C’est un développement très récent en infographie qui permet d’utiliser, à la place d’une méthode mathématique approximative pour le calcul de l’éclairage, des modèles plus complexes et physiquement plus réels.
Le but du PBR est de produire un rendu parfaitement réaliste d’éclairage, dans toutes les conditions de lumière.
Afin d’utiliser ce nouvel outil, la version Atlas sera livrée avec des propriétés de matériaux contrôlant leur réflexion et la teneur en métal. Les matériaux transparents peuvent être opacifiés et l’on peut contrôler si ils colorent ce qui est vu au travers (différence entre du verre coloré et un tulle).

Le cinquième et dernier point concerne l’environnement de travail. Les fenêtres ont été profondément modifiées pour travailler de façon plus intuitive. Le comportement de la caméra de navigation est plus efficace grâce à une approche qui facilite son utilisation et la sauvegarde des ses positions. De nouvelles options d’affichage sont disponibles ainsi que la possibilité de déplacer des éléments dans les vues 3D.
Un système permettant d’aligner une vue orthogonale sur un objet sélectionné facilite orientation d’objets comme les ponts angulés. Un autre outil permet d’assembler rapidement toutes sortes d’objets comme les ponts ou positionner les projecteurs sur une structure.

Un nouvel environnement et de nouveaux outils pour un gain de temps et d'efficacité.

Un nouvel environnement et de nouveaux outils pour un gain de temps et d’efficacité.

Bien que faisant peu de vagues, le logiciel suédois évolue rapidement. Grâce à sa facilité de mise en œuvre, ses possibilités et son faible coût, il commence à attirer l’attention de nombreux designers de tous horizons.
La version Atlas est disponible et toute licence achetée après le 28 mars 2016 bénéficiera d’une mise à jour gratuite.

Plus d’infos sur le site Capture

 

Nouveautés Prolight + Sound 2016

Robe Viva, Spikie, ColorStrobe, picklePATT

Robe a su ces deux dernières années développer des projecteurs de pointe, comme les BMFL ou les DL7. Avec une qualité et un soin des détails poussés à l’extrême, le constructeur Tchèque a montré qu’il appartient maintenant, sans aucun doute possible, au carré de constructeurs mondiaux qui comptent vraiment.
Il n’en oublie pas pourtant ses clients fidèles, cette armée de prestataires issus du monde la nuit ou de l’événementiel, dont le chéquier n’est malheureusement pas extensible. Ainsi est né le Spot à leds Viva, qui permet de proposer un projecteur à prix réduit tout en bénéficiant des technologies issues des machines haut de gamme.

Viva

Robe Viva
Le Viva est un spot motorisé par une source de 270 watts à leds blanches données pour tenir 20.000 heures à au moins 70% de ses capacités. Le zoom passe de 8° à 40°. Deux roues de couleurs dichroïques proposent treize teintes étudiées.
Une roue de neuf gobos fixes, une roue de sept gobos rotatifs et un prisme trois facettes permettent les effets lumineux. Un iris, un strobe et un frost progressif interchangeable complètent le dispositif.
Cette Viva bénéficie de l’écran tactile sur batterie et des ports de communication de ses ainés (XLR 3 et 5, RJ45, RDM, DMX, ArtNet, SaCN, MA Net et CRMX de Lumen Radio), ainsi que du système de stabilisation EMS.

Spickie

Robe Spikie

Le Spikie est un poids plume très affuté.
Sorte de mix entre un LedBeam, un Dot et un B-Eye, armé d’une source led RGBW de 60 watts. Ses 5,5 kg tout mouillé et ses rotations continues en pan et tilt en font un projecteur d’appoint vif comme une abeille.
La qualité de led et la plage de zoom de 4° à 28° permettent de l’utiliser dans plusieurs configurations, en proximité ou en faisceau.

Robe Spikie

Sa lentille de 110 mm offre une belle sortie de lumière pour un flux annoncé de 1800 lumens.
Hormis une gestion de couleurs très complète avec, en plus de la trichromie, une gestion CTO progressif 2700K-8000K et une roue virtuelle de 66 nuances Lee Filter.
La différence vient de l’implantation de deux effets assez inédits et surprenants.
Tout d’abord une sorte de prisme qui transforme la sortie en trois faisceaux rotatifs vraiment dynamiques, ensuite la transformation en kaléidoscope multicolore pour des habillages psychédéliques et des effets de moirages atmosphériques.
Pas de port RJ45 pour le Spikie qui garde une connectique XLR 5 et une gestion RDM et DMX, voir sans fil en option.

ColorStrobe

Robe ColorStrobe

Les strobes blanc et couleur de Robe ressemblent certes à un assemblage de Duplo mais ça ne les empêche pas de proposer une matrice de 120 leds blanches 7 W ou RGBW 15 watts contrôlables en douze segments. Amplement suffisant pour aveugler les badauds grâce aux différents modes de stroboscope possibles : en éclair, burst, rampe et flash.
Le modèle ColorStrobe permet une gestion fine de la couleur en trichromie, en équivalence tungstène ou 237 macros de teintes. L’innovation centrale consiste pour Robe à équiper de série ces modèles de multiples points d’accroche pour les assembler facilement en colonnes, lignes ou écrans. Des modèles solo plus simples et plus légers existent sous la dénomination StrobeLite et ColorStrobeLite. Tous ces modèles possèdent l’habituel écran tactile Robe et les ports DMX, ArtNet, SaCN, MA Net.

picklePATT

Robe picklePATT

Pour conclure, le plus beau projecteur de la galaxie, le PATT 2013, au design industriel signé Tim Routledge, a un petit frère, le picklePATT, équipé d’une lampe tungstène 575 W en lieu et place de la 750 HPL du PATT.
Pour le reste, tout est identique.
Il ne bouge pas, ne change pas de couleur ou de forme, n’a pas de DMX et se contente d’être ce hublot d’argent et d’ambre à la forme pure, un bijoux géant aussi beau éteint qu’allumé qu’on imagine sur toutes les scènes.

Vidéo Robe picklePATT Preview ci-après :

D’autres informations des différents produits sur le site de Robe

 

Nouveauté Prolight + Sound 2016,

Pupitre ETC ColorSource, tutoriel video en français

Les contrôleurs ColorSource 20 et 40

Les contrôleurs ColorSource 20 et 40

Présentée à PL+S 2016, la gamme ColorSource s’enrichit de deux séries de pupitres polyvalents, les ColorSource 20 et 40 et ColorSource AV 20 et 40 conçus pour contrôler de façon très simple, des projecteurs, les couleurs d’un projecteur à leds, restituer des ambiances en événementiel, dans un petit théâtre et en architectural.

Les ColorSource 20 et 40 sont pourvues, affichent écran tactile multipoint 7″, un univers DMX, 20 ou 40 faders, d’un port USB, 10 pages de restitutions (200 ou 400 Playbacks).
La version AV, pour Audio Visual, a en plus un second univers DMX, un connecteur RJ45 pour les réseaux SaCN et ArtNet, des jack 3.5 pour l’entrée et la sortie audio, un port HDMI et les fonctions, restitution audio et lumière, restitution images et vidéo, VidéoToy, la plateforme Amigo pilotable via un réseau et la compatibilité OSC (Open Sound Control).
Voici ci-après le tutoriel ETC en français de la console ColorSource 20.

Les consoles ColorSource sont avant tout des outils de contrôles pour mettre, à la portée de tous, les bases de la lumière, du son et de la vidéo. Il n’est évidemment pas question de piloter un show au Stade de France, mais de pouvoir, sur de petits systèmes, contrôler de manière très simple et intuitive des projecteurs, des effets sonores, des images, des vidéo ou même de créer des animations.

les version de contrôle tout en un : lumière, son et vidéo

les version de contrôle tout en un : lumière, son et vidéo

Le ColorSource AV est capable de faire tout ça en même temps.
Dès le patch, tout est simplifié. Si vos projecteurs sont compatibles RDM, ils sont reconnus par la console et automatiquement patchés.
Tout est aussi simple. L’interface a été développée pour que les fonctions soient toutes visibles et accessibles.
Il est alors facile d’ajouter un son et de lancer un effet lumière dès que le son démarre.
La partie VidéoToy est aussi très surprenante sur ce type de système. Avec la ColorSource AV, créer un effet vidéo simple devient un jeu d’enfant et l’on peut du coup très facilement habiller un écran ou un mur.
La cerise sur le gâteau c’est leur prix très raisonnable.
Plus d’infos sur le site ETC Connect et sur le site Avab transtechnik

 

Nommé responsable des ventes

Thierry Philippe rejoint le groupe Adam Hall

Thierry Philippe

Thierry Philippe a rejoint le groupe Adam Hall en tant que nouveau responsable des ventes des marques LD Systems, Cameo, Gravity, Defender, Palmer, Adam Hall Hardware et Adam Hall Stage Equipment & Cables sur Paris et le Nord de la France.

Technicien supérieur et musicien passionné, Philippe a commencé sa carrière chez un distributeur grossiste de prestigieuses marques d’audio pro. Il a également travaillé comme Chef Produit pour d’autres marques d’audio pro et d’instruments de musique, puis enfin en tant que directeur pour la France réalisant en cette occasion des ventes records. À travers ses différents postes, Philippe a acquis une solide expérience de l’industrie Audio professionnelle.

Gabriel Medrano, directeur des ventes pour l’Europe du Sud et l’Amérique du Sud :
 » Nous sommes très enthousiastes à l’idée de voir Thierry arriver dans notre équipe de ventes pour la France. Thierry a travaillé pendant 21 ans sur les marchés des instruments de musique et de l’audio pro et a obtenu des résultats probants. Je suis certain que ses grandes connaissances techniques et l’attention qu’il porte à ses clients nous feront devenir un partenaire encore plus solide de nos clients en France. »

Thierry Philippe, responsables des ventes pour Paris et le nord de la France
 » Adam Hall est un groupe innovant toujours à l’écoute de ses clients et de ses employés. Je suis très content et motivé de rejoindre cette équipe de passionnés. Je ne pouvais pas trouver défi plus excitant. Cela fait longtemps que je suis impressionné par la croissance continue de la société. Je suis fier de faire partie de l’aventure et de contribuer à perpétuer ce succès.  »

Contact Thierry Philippe : Téléphone : +33 (0)7 77 39 65 14 et email : [email protected]

Plus d’infos sur Adam Hall Group : www.adamhall.com et sur blog.adamhall.com

 

Stroboscope à leds

Martin Atomic 3000 LED

Egaler la version Xénon avec une source led blanche était le défi à relever pour les ingénieurs de la R&D Martin. Ils l’ont mené à terme en ajoutant quelques fonctions comme l’effet Aura en RGB qui donne un vrai charme à ce nouveau produit.
Durant ce test on en a vraiment pris plein les mirettes ! L’Atomic 3000 xénon est le produit phare de Martin, non seulement par ce que c’est le plus vendu mais aussi pour sa longévité puisqu’il fête ses 15 ans cette année et qu’il est toujours au top des ventes ! Que les inconditionnels se rassurent, la star des Strobs reste au catalogue Martin.

Martin Atomic 3000 LED

Découverte

Un point est certain, on ne peut pas confondre les deux projecteurs. Même si les volumes sont très proches, l’Atomic 3000 LED a un aspect plus moderne que son ainé, renforcé par le matériau composite noir du corps du projecteur. En outre, la lyre en aluminium est habillée par une pièce rivetée qui permet de protéger les deux systèmes ¼ de tour permettant de recevoir un support de crochet oméga.

L'arrière est totalement relooké

L’arrière est totalement relooké

Cette solution très pratique n’existait pas sur la version précédente. Les 5 orifices de diamètre 13 mm pour l’accroche ont été conservés.
On peut également accrocher le Strob sans utiliser la lyre grâce à deux trous ¼ de tour percés sur le capot arrière.
Une option intéressante qui permet de réduire l’encombrement et facilite l’intégration du projecteur dans des décors ou des structures.

Le dos du projecteur montre deux grilles de ventilation de part et d’autre du plot central où se trouve la partie contrôle et la connectique : prise Neutrik PowerCON True1 pour l’alimentation et 2 XLR 5, une mâle et une femelle pour l’entrée et le renvoi des signaux DMX et RDM. La dernière prise va faire plaisir à pas mal d’utilisateurs de stroboscopes colorés.

Au premier plan Joël Azilinon, du service SAV vérifie, sous l'œil attentif de son responsable, Jérôme Garnier, la possibilité de lire un QR code avec une seule main.

Au premier plan Joël Azilinon, du service SAV vérifie, sous l’œil attentif de son responsable, Jérôme Garnier, la possibilité de lire un QR code avec une seule main.

En effet, sur l’Atomic 3000 LED, non seulement il est possible d’utiliser le même scroller que sur la version 2001, mais on peut maintenant directement le connecter au projecteur.
Dommage que Martin n’ait pas prévu un renvoi de puissance pour alimenter d’autres projecteurs.
La consommation maximum étant de 740 W, on pourrait alimenter 3 Atomic 3000 LED sur la même ligne.
En revanche, c’est sans regret que les dip-switches ont laissé la place à l’écran LCD et ses trois boutons de navigation.


L'écran et les boutons du menu ainsi que les connecteurs DMX Out et data/alimentation du changeur de couleurs.

L’écran et les boutons du menu ainsi que les connecteurs DMX Out et data/alimentation du changeur de couleurs.

Le menu est très simple et complet. On y trouve notamment le mode Led ou Xenon.
Le premier est utilisé pour obtenir des flashs intenses, un effet aveuglant continu et également une réduction des scintillements lors d’une captation vidéo.
Le second mode permet de reproduire le comportement de la lampe xénon de la version historique.
Il y a également le mode « VIDEO TRACKING » qui ôte le lissage sur le signal DMX et permet une réponse plus rapide des fonctions.
On a ainsi une meilleure fluidité de restitution lorsque l’appareil est utilisé comme pixel d’un mapping vidéo.

Derrière la vitre

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Sans les ventilateurs, on aperçoit le radiateur et on peut facilement faire l'entretien basique

Sans les ventilateurs, on aperçoit le radiateur et on peut facilement faire l’entretien basique

Tout se démonte de manière très simple et l’appareil utilise un seul type de vis. La première opération se passe sous le projecteur, c’est le démontage des ventilateurs.
2 vis par élément, et on accède au radiateur des leds du stroboscope. C’est très pratique pour passer un coup de soufflette sans tout ouvrir. Lors de cette opération, on peut également ôter les 2 grilles d’aération maintenues par une vis.

Pour une maintenance plus approfondie, on passe par l’avant en retirant les 4 vis qui maintiennent le support de la vitre. On accède alors à la barre supportant 3 rangées de 76 leds blanches soit 228 leds Cree de 10 W et de température de couleur 5700K. C’est aussi à cette étape que l’on peut accéder aux deux rangées de 32 leds Osram RGB de l’effet Aura positionnées dans la courbure des réflecteurs.

Une fois la face avant retirée on accède aux leds et aux réflecteurs

Une fois la face avant retirée on accède aux leds et aux réflecteurs

Dans la courbure des réflecteurs on aperçoit les leds de la fonction Aura

Dans la courbure des réflecteurs on aperçoit les leds de la fonction Aura


Ces deux éléments se retirent sans problème et laissent apparaitre la partie électronique du projecteur. Tous les composants on été placé sur une seule carte que l’on peut très rapidement retirer, tout comme le support des leds de puissance et leur radiateur en aluminium. En cas de problème, toute opération de maintenance peut être effectuée dans des délais très courts

Les 3 lignes de 76 leds de la partie stroboscope

Les 3 lignes de 76 leds de la partie stroboscope

La carte électronique et le support de leds coté radiateur.

La carte électronique et le support de leds coté radiateur.

L'intégralité du projecteur démonté en quelques minutes

L’intégralité du projecteur démonté en quelques minutes

Let the Atomic Shine

Quand on ne peut pas mesurer le flux lumineux, il n’y a rien de plus subjectif qu’un test sans point de comparaison. Qu’y a t’il de mieux qu’un Atomic 3000 pour se mesurer à un autre Atomic 3000 ?
On emprunte donc la version Xenon à Impact Evénement qui nous accueille dans son show room pour les tests, et on pose les deux projecteurs l’un à coté de l’autre.
Un des avantages de la version LED, c’est qu’elle reprend la charte DMX de la version xénon en mode 3 et 4 canaux pour qu’ils travaillent ensemble, mais on doit pour cela se priver des nouvelles fonctions. Pour avoir accès à toutes les possibilités qu’offre le projecteur, il faut sélectionner le mode Extended qui comporte 14 canaux DMX.
Par prudence, je place les deux stroboscopes à 5 mètre de notre cible blanche et la console sur le coté pour programmer quelques mémoires en toute quiétude. Mon repli stratégique était une bonne idée car dès les premiers flashes, on se rend compte de la puissance de ce nouveau produit. C’est bluffant !
Je termine rapidement les mémoires sur la première version et je met les deux source en route, chacune leur tour ou ensemble. Le constat est vite fait, visuellement on a la même température de couleur et la même puissance.

Là on n'est "qu'en" mode Blinder! Grosse puissance, grande ouverture et une belle homogénéité.

Là on n’est « qu’en » mode Blinder! Grosse puissance, grande ouverture et une belle homogénéité.

Les ingénieurs de Martin ont gagné leur pari en développant un Atomic 3000 LED identique en puissance lumineuse à la version historique.
Le résultat est vraiment surprenant, on se doutait que la vitesse de réaction de la led permettrait d’avoir de bons résultats, mais au niveau puissance, on est resté scotché. L’effet blinder est aussi particulièrement réussi et puissant. Son flux principal est concentré sur 60° (la partie du faisceau qui a la plus grande portée) et il projette jusqu’à 120° en vertical et 160° en horizontal (chiffres fournis par Martin). Vu la consommation réduite dans ce mode, cela peut être une bonne option de blinder en blanc ou en couleur avec le scroller qui fournira des aplats de couleurs.
Il y a évidemment quelques différences visibles entre les deux versions. Comme la source xénon est une lampe de type crayon le flash est à 360°, autour de l’axe de la lampe, le réflecteur renvoie donc également de la lumière. Sur la version 2015, il y a trois lignes de leds réparties sur un support légèrement incurvé, pour un effet de ligne lumineuse. C’est là qu’intervient le Mr Plus de chez Bahlsen Martin, en rajoutant deux lignes de leds RGB dans les bases des réflecteurs pour créer un effet Aura. On peut, notamment, l’utiliser pour reproduire les réflexions de la lampe xénon et avoir la totalité de la face avant allumée.

Le flash sans reflet de la version à leds.

Le flash sans reflet de la version à leds.

Il y a quand même 2 bémols à cette astuce. Tout d’abord il faut doser les leds de puissance pour ne pas effacer l’effet aura, mais on retrouve le même phénomène avec la source xénon; quand l’intensité est forte, l’œil ne perçoit plus la lumière du réflecteur.
Le second point peut être modifié par la suite. Dans les paramètres de l’Atomic 3000 LED, le canal « Beam flash rate » va de 0 à 255 pour régler la vitesse des éclats de 0 à 16,67Hz alors que le paramètre « Strob » de la fonction Aura est scindé en 5 parties et la vitesse se contrôle sur les valeurs 50 à 200. Comme il n’y a pas de fonction de synchronisation et que les réglages ne se font pas sur les mêmes plages de valeurs, il est très compliqué d’avoir les deux Strobs à la même vitesse.
On peut laisser l’Aura en blanc fixe pour ne pas avoir d’effet asynchrone mais c’est moins percutant. Hormis cela, l’Aura apporte une vraie valeur au projeteur qui peut jouer 3 rôles : sa fonction de stroboscope de base, l’effet Aura comme pixel d’une matrice ou élément de décor et enfin un projecteur à effets en combinant le Strob et l’Aura.

La palette de couleurs est étendue, elle permet d’obtenir des jolies combinaisons avec la partie strob et ses effets. L’Aura en bleu avec l’effet orage ou en rouge avec le strob aléatoire sont particulièrement efficaces.

Martin Atomic 3000 LED

Martin Atomic 3000 LED

Martin Atomic 3000 LED


Martin Atomic 3000 LED

Martin Atomic 3000 LED

Martin Atomic 3000 LED


Martin Atomic 3000 LED

Martin Atomic 3000 LED

Martin Atomic 3000 LED


Cerise sur le gâteau, une série d’effets internes est accessible sur les paramètres 6, 7 et 8.
Ils sont regroupés par types sur des tranches de 10 valeurs DMX, du plus simple n’utilisant qu’un paramètre, au plus élaboré impliquant plusieurs fonctions comme le défilement des leds de l’Aura de droite à gauche sur les paramètres dimmer ou couleurs, ou même la combinaison du Strob et de l’Aura, avec bien évidemment la possibilité de faire varier la vitesse et décaler l’effet (Offset).

Les effets internes sont mis en valeur dans cette vidéo

Les chiffres

Pour ce projecteur, la majorité des observations resteront visuelles car nous ne sommes pas équipés pour mesurer le flux lumineux d’un stroboscope. Sur ce point, on peut juste vous donner le chiffre fourni par le fabricant, 180 000 lumens. Généralement, les valeurs de flux que nous mesurons lors des tests de projecteurs Martin recoupent celles fournies par Martin, il n’y a donc pas de raison de les remettre en cause. En mode blinder on a tout de même pu effectuer plusieurs mesures.

Une grosse puissance sans derating grâce à une diminution de flux temporisée

Une grosse puissance sans derating grâce à une diminution de flux temporisée

Pour ne pas déroger à nos habitudes nous avons débuté par le derating. Ce test nous a permis de découvrir une petite astuce très intéressante des développeurs.
Bien sûr il n’y aura pas de derating sur les flashes, ou très peu si ils sont très rapprochés et/ou que le paramètre de durée est élevé. Mais en mode blinder c’est une autre histoire.
Les ingénieurs de Martin ont donc trouvé une solution qui cumule 3 avantages. Dans ce mode, l’éclairement au centre atteint 2985 Lux à l’allumage et presque instantanément, redescend à 1740 lux par une diminution de courant appliqué aux leds. Cela permet tout d’abord de ne pas endommager les yeux de ceux qui se trouvent dans le champs du projecteur (ce qui a somme toute une certaine importance). On évite une importante montée en température ce qui simplifie le système de refroidissement. Le derating est ensuite quasi nul, puisque l’éclairement descend à 1700 lux et y reste.
On a également mesuré la répartition de lumière en mode blinder. Notre cible de 5 m de large ne nous permet hélas pas de mesurer le flux d’un faisceau aussi large (120 ° vertical et 160° horizontal) mais juste de vous montrer la courbe d’intensité lumineuse une plage qui correspond à un angle de 53°.

Les mesures en mode Blinder montrent une excellente homogénéité de la lumière sur un angle de 53° qui constitue la limite de notre cible.

Les mesures en mode Blinder montrent une excellente homogénéité de la lumière sur un angle de 53° qui constitue la limite de notre cible.

Pour conclure

Ce nouveau Stroboscope est une machine de guerre (Atomic?) et sa carrière démarre sur les chapeaux de roues avec d’importantes quantités déjà livrées chez les prestataires : Audiopro, Dushow, Loct’Ambule, Phase 4, etc.
L’atomic 3000 LED est vraiment efficace. Martin a réussi à développer une source à leds aussi puissante que la version Xénon, avec un effet Aura qui amène une plus grande polyvalence, tout en divisant par 4 la puissance consommée.
L’autre avantage, non négligeable, est que l’on peut utiliser les deux versions ensemble. Les prestataires qui désirent compléter leur parc peuvent choisir la version qui convient le plus à leurs besoins. En effet si la version 2015 amène des nouveautés et une nette amélioration de la consommation, l’écart de prix entre les deux sources est également un critère non négligeable.
La version xénon est à 896 € HT et la version LED à 2950 € HT. On ne peut que souhaiter que l’Atomic 3000 LED fasse une aussi belle carrière que son altère égo.

Martin Atomic 3000 LED General

Martin Atomic 3000 LED DMX

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Nouveauté Prolight + Sound 2016

Chauvet Professional, Maverick MK2 Spot, MK2 Wash, MK1 Hybrid et Rogue R1 FX-B

Le constructeur américain, distribué en France par Algam, propose souvent des équivalences de grandes marques à prix serré, plutôt bien pensés et bien finis.
Sa propre R&D sait aussi innover avec des idées souvent justes et une réalisation fort correcte. En nouveauté, la gamme Maverick de lyres scéniques est composée d’un trio maintenant classique Spot, Wash et Beam Hybride.

Maverick MK2 Spot

Maverick MK2 Spot

La spot, nommée simplement MK2 Spot, est adapté aux scènes de jauge moyenne avec sa source led blanche de 440 Watt industrielle.
Malgré sa température de couleur de 6800K et son CRI de 73 elle offre une trichromie CMY convenable, un CTO progressif et une roue de 7 couleurs supplémentaires.

Son zoom passe de 13 à 37°. Ses deux roues de 6 gobos rotatifs proposent un panel simple mais efficace de forme, accompagnés par un prism 3 facettes, un iris et un Frost progressif.
Sa connectique est très complète, XLR3 et 5, RJ45 pour ArtNet et SaCN, ainsi que du sans fil en W-DMX.
Son look reste très standard avec sa base effilée supportant un corps assez massif et une lentille de sortie relativement importante.

Maverick MK2 Wash

Maverick MK2 Wash

La MK2 Wash s’associe en terme de puissance avec la MK2 Spot en proposant une matrice circulaire de 12 leds RGBW de 40 W enserrées dans un entrelacs de coupe-flux assez proéminent mais pas disgracieux.
Un bon zoom mécanique permet de moduler le faisceau de 7° à 49°.
Pour les commandes, là encore, toute une panoplie de connectique et de protocoles sont supportés :

  • DMX,
  • ArtNet,
  • SaCN,
  • W-DMX
  • Et surtout Kling-Net pour profiter pleinement du LedMapping

Car en plus du contrôle individuel des 12 leds, il est possible de gérer une couleurs de fond différente par lentille.

Maverick MK1 Hybrid

Maverick MK1 Hybrid

Pour compléter la gamme Maverick, le MK1 Hybrid est un Beam multifonction aux caractéristiques des plus intéressantes.
Armé de la même lampe qu’un Mythos, la Sirius HRI 440 W Osram, dotée d’une immense lentille, le MK1 est un vrai caméléon:

  • Trichromie CMY, CTO, roue de 15 couleurs,
  • Frost progressif et correcteur de faisceau pour travailler en nappes de lumière,
  • Roue de 6 gobos tournant,
  • Zoom par défaut de 3° à 18°,
  • Disque d’effet pour de l’éclairage volumétrique,
  • Focale courte possible de 1° à 6°, roue de 15 gobos fixes, prisme 4 et 8 facettes pour exploiter le côté Beam.
  • Comme ses consœur la connectique et les commandes sont des plus complètes.

Rogue R1 FX-B

Rogue R1 FX-B

Très surprenante cette barre de leds motorisée Rogue R14 FX-B.
Chaque module RGBW de 15 watts est pilotable individuellement, y compris en tilt, y compris en rotation infinie, le tout sur une base en rotation continue.
Si ce Rogue manque un peu de pêche lumineuse, les contorsions des faisceaux de 7° défient l’espace par leur danse endiablée.

Pour le dire franchement, ce petit projecteur insolite mérite une vraie intention, surtout qu’il possède lui aussi construction soignée et une connectique exhaustive.

Rogue R1 FX-B

D’autres informations des différents produits sur le site Algam-Entreprises.

 

JB Lighting P7, le plus léger des Spots à led blanche + CMY

La conception modulaire du P7

La conception modulaire du P7

JB Lighting arrive avec un spot à leds, moins ambitieux que son ainé RGB le P8 mais plus lumineux en blanc, suivant ainsi la demande des éclairagistes.

Le P7, équipé d’une matrice de leds blanches de 270 W, vient rivaliser en flux avec une 700 W à décharge.
Le fabricant annonce un flux de 11 000 lm en blanc, qui délivre un faisceau serré pêchu renforcé par un choix de point chaud au centre. Il a toutes les fonctions nécessaires à un spot et seulement 17 kg !

La couleur est traitée par une trichromie, une roue de couleurs et un CTO.
Le zoom s’offre un rapport 1/6 de 8° à 48°, et avec une roue de 9 gobos fixes, une roue de 6 gobos rotatif, un prisme X3, un frost linéaire, un iris, il ne lui manque rien, dans des dimensions très compactes.
Avec une construction modulaire qui facilite l’entretien, un poids plume record qui lui assure une belle rapidité et un prix vraiment concurrentiel.

Varyance son distributeur en France annonce 4480 € HT, on devrait la retrouver rapidement sur les petites scènes.

Plus d’infos sur le site JB Lighting et sur le site Varyance

Du 26 au 28 mai, à Sucy en Brie

Braderie ALV, avec la liste du matériel.

Pour son démarrage, ALV organise La Grande Braderie de Printemps du 26 au 28 mai. Voici une partie de la  liste du matériel à vendre.
En cliquant sur l’image ci-dessous, vous aurez acces à une liste plus complète des matériels.

LISTINGBRADERIEALV1-1

Didier Baldacchino a quitté Novelty pour créer avec sa femme Isabelle, une nouvelle société de vente de matériel d’occasion, située en région parisienne à Sucy en Brie.
Il dispose d’une surface de 1000 m2 pour exposer du matériel audio, lumière et vidéo, d’occasion, uniquement professionnel et toute l’année.

ALV France Braderie

Didier a une expérience de 20 ans sur le marché de l’occasion, acquise chez Magnum, puis Dimension Network et enfin Novelty.
Il a ses réseaux et la compétence pour redonner une seconde vie à du matériel soigneusement sélectionné et en parfait état de marche.
Parce que chaque produit est contrôlé, ALV s’engage sur une garantie de 3 mois en pratiquant des prix sacrifiés.
La liste du matériel proposé pour la braderie de printemps sera disponible 48 h avant l’ouverture, autrement dit le 24 mai à 10 h. Plus d’infos sur le site ALV France

ALV dont la prochaine étape de développement sera un rapprochement avec un partenaire à l’export, a toute une palette de services aux prestataires dans ses activités : dépôt vente, organisation de braderies pour leur propre compte, opérations de déstockage, gestion de leur parc d’occasion et même inventaire et valorisation de leur parc de matériel. On comprend que dans ce lieu, il y aura toute l’année de quoi s’équiper à moindre coût et beaucoup de renouvellement.

La Grande Braderie de Printemps :
Du 26 au 28 mai, de 10H A 20H
PA des Petits Carreaux – 9, avenue du Bouton d’or
Bonneuil sur Marne – 94370 Sucy en Brie
Tel : +33 (0)1 49 80 37 93 et Mail : [email protected]

 

Nouveauté Prolight + Sound

Chamsys, une pluie de nouveautés dans la version Beta 1.7.2 !

Une fois encore l’équipe de Chamsys, à l’écoute des utilisateurs, nous surprend par sa célérité à développer de nouvelles fonctionnalités à la fois nombreuses, pertinentes et conviviales.
La marque Anglaise présentait au Prolight + Sound la version beta 1.7.2 qui offre quantité de nouvelles fonctions dont un visualiser beaucoup plus performant et convivial.

Chris Kennedy et son équipe ont mis les bouchées doubles et offrent un incroyable panel de nouveautés depuis la beta 1.7.1.3. Le Visualiser est une des importantes cibles de ces mises à jour.
La qualité de la simulation a fait un bond en avant et l’on dispose maintenant d’une barre d’outils qui facilite vraiment son utilisation. Il est désormais possible de ne visualiser que ce qui il y a dans le programmer et des automatismes et des raccourcis ont été ajoutés quand la fenêtre 3D est ouverte pour les touches Blind et S afin de sélectionner rapidement la source du MagicVis.
Autre nouveauté très pratique, on peut désactiver temporairement la fonction Patch Offset lors de l’utilisation d’un visualiser. Cela permet de programmer ou modifier un show en connectant une console à une implantation virtuelle qui n’a pas été optimisée en fonction de celle qui existe réellement sur scène. On peut ainsi, sans contrainte, recaler les positions avant ou après l’encodage sur le visualiser.

Chamsys version Beta 1.7.2

La partie programmation bénéficie également d’une avalanche de nouvelles fonctions dont 10 time codes par séquence. Un des points très importants pour aller vite est la clarté des informations affichées. L’équipe de développeurs, a concocté un nouveau schéma de couleurs pour les fenêtres Output, View Intensity, Programmer et Track Sheet, permettant de visualiser rapidement quelles parties de la console contrôlent les paramètres.
Quand les valeurs apparaissent en rouge, elles sont dans le programmer, en cyan la valeur des paramètres augmente alors qu’en vert elle diminue. Si elles sont en blanc, les valeurs sont statiques et contrôlées par un playback et/ou une cue alors qu’en magenta ce sont des valeurs issues des cues précédentes (le tracking).

Le générateur d’effets aussi a évolué. On peut maintenant appliquer une palette d’effets à des projecteurs qui n’ont pas l’intégralité des paramètres contenus dans la palette et, en ce qui concerne les couleurs, on dispose de 8 attributs pour pouvoir travailler en CMY, RGB, RGBA et RGBW…
Il est aussi possible d’ajouter un effet à un Groupe FX même si un seul groupe est sélectionné. Le Spread est modifiable en fonction du groupe, de toute la sélection (sans tenir compte du ou des groupes) ou pour chaque groupe. 3 nouveaux effets multi-paramètres ont également été ajoutés. Entre autres évolutions très intéressantes, il y a la possibilité de ramener toutes les fenêtres sur l’écran interne via les touches SHIFT + EXT.
Pour le live, des raccourcis permettent maintenant d’appliquer très rapidement une palette avec des temps répartis sur la sélection. La possibilité de créer un fichier PDF à partir d’une fenêtre, celle de modifier les valeurs dans la vue Tack Sheet. Les développeurs ont aussi fait évoluer la gestion des users, de la mise en réseaux de consoles et des macros.
D’autres subtilités sont embarquées dans cette version 1.7.2 téléchargeable ici. Je vous laisse le plaisir de les découvrir.

Plus d’infos sur le site Chamsys et sur le site Sonoss

Hommage à Bignioux

Bignioux, Jean-luc Lorand

Bignioux, Jean-luc Lorand, un homme adorable et un technicien au talent énorme, est décédé ce mois-ci. Christian Courtois a souhaité lui rendre hommage à travers ces lignes qui transpirent son admiration, son attachement et sa tristesse d’avoir perdu un ami.

Naissance en 1966, brevet en poche, et quelques réparations d’autos pas très concluantes (il avait quelques anecdotes croustillantes à ce sujet), il devient vendeur dans une boutique de composants électroniques. C’est par le monde du scoutisme qu’il découvre les installations de son et débarque au pied levé un beau matin dans le monde pro du son et pas n’importe lequel !!! Jean Luc Lorand devient BIGNIOUX (Il est Breton jusqu’au fin fond de son âme et le métier lui trouve très vite son nom de scène)
Il devient le technicien retour du groupe  TRUST et y laisse après plusieurs tournées un tympan ! De rencontre en rencontre, Bernard Lequesnes (autre disparu qui nous manque), Didier Bricot, Dany Moroni, Philippe Perreron, Jean Pierre Ferrandon, Jean François Touillaud et tant d’autres, tous s’entichent de ce garçon toujours prêt à partir en baroude. Il rentre chez Fiat Lux/ Fiat Son où il fera un nombre incalculable de tournées, de prestations en France et à l’étranger.
Puis c’est l’aventure GL Events où il marque son passage, dépatouillant pour les commerciaux toutes les installations techniques des évènements.

Première alerte de sa maladie dont il se relève cette fois et grand virage dans sa vie. Fou d’informatique et en permanence à la recherche de nouvelles technologies, il devient créateur réalisateur de films 3 D dont il maitrise les tenants et les aboutissants et ce, de façon remarquable.
Notre Bignioux participe à la création d’une nouvelle machine multimédia qui servira, pour sa dernière prestation à la réalisation d’une projection géante sur la Tour Eiffel pendant la COP 21.
Machine dont il était très fier et qu’il se préparait à commercialiser avec le Team.

Un sourire complice, jamais de sautes d’humeurs sauf quand il ne trouvait pas de restaurants ouverts après les shows ! Bignioux était un Grand gourmand! Toujours présent pour rendre service ! Bignioux transpirait la gentillesse.
A l’annonce de sa disparition, le monde du spectacle c’est arrêté pour saluer son départ, trop tôt comme beaucoup d’autres cette année. L’émotion était vive le jour de son dernier voyage et il restera pour moi et pour beaucoup dans les cœurs, j’en suis sûr !

Christian Courtois

Nouveauté Prolight+Sound,

Robe / DL7 Wash et Profile, Pontifex Maximus

Robe DL7S

Robe lève le voile sur sa dernière création haute couture. La DL7 Wash sortie en novembre dernier, un méticuleux travail d’orfèvre, un produit de luxe pour les amoureux de la couleur.
Cette lyre a rejeté avec dédain la trichromie habituelle pour se parer d’une heptachromie additive, soit la somme de 7 couleurs soigneusement étudiées, fournies par un bloc leds de 800W.

Robe donc ajoute au RGB de l’ambre, du cyan, du congo-blue et du light green. Le nombre de teintes possibles et la finesse des pastels rivalisent alors avec la profondeur des tons accessibles, des rouges carmin aux verts des sombres forêts, des doux orangés ensoleillés au congo mystérieux.
Le rendu sur les peaux est spectaculaire, les décors ou les costumes les plus fouillés apparaissent éclatants avec un indice de rendu des couleurs de 92%.

Ce travail sur les teintes est complété par un correcteur progressif CTC de 2700K à 8000K et un minus/plus green variable. Les DL7 sont à ce point optimisés pour le théâtre, qu’outre un bruit de fonctionnement à peine perceptible et un système de stabilisation de mouvement électronique, ils possèdent une émulation tungstène réglable, c’est-à-dire qu’un blanc émis équivaut à une source traditionnelle entre 750 watts et 2500 watts, 66 macros de couleurs aux références Lee Filter les plus courantes et des courbes de dimmer haute résolution (16 bits).
Bien sûr cette finesse extrême d’éclairage à un coût : la puissance lumineuse. En effet, pour bénéficier du maximum de rendu de couleur le flux ne joue pas les records. Si un BMFL équipé d’une lampe HTI de 1700 W est capable d’émettre un blanc 8 fois plus lumineux, pour des bleus ou des rouges profonds, le rapport revient en faveur des 800 W du module led du DL7. Robe propose cependant un système de déblocage de la puissance lumineuse : l’opérateur peut diminuer l’IRC de la DL7 pour gagner en flux.

Robe DL7S Profile

DL7S Profile

En partant de ce bloc commun influencé par plusieurs directeurs photo de théâtre, Robe a ensuite diversifié les options pour les DL7 :

Au DL7S Profile :
Une lentille de 132 mm et un fort zoom de 7 à 43°, capable d’un étale homogène de faisceau de 1.3 : 3 ; un autofocus, une roue d’animation continue, une roue de huit gobos fixes d’habillage typés théâtre et six rotatifs pour des ambiances architecturales ou atmosphériques.
Prisme cinq facettes, iris, frost progressif interchangeable et bloc de quatre couteaux indépendant sur berceau rotatif +/- 45 °. Le prix est à la hauteur du rendu : 12 000€ environ pour le DL7S Profile.

Robe DL7 Wash

DL7 Wash

Au DL7 Wash :
Une lentille PC ou Fresnel de 200 mm, un faisceau de 8° à 65°, un bloc de quatre volets internes individuels sur berceau rotatif +/- 90°, un frost supplémentaire interchangeable et un nouveau système breveté « module scrim », soit un filtre à gradient pour redresser le faisceau sur les surfaces non perpendiculaires.
Pour l’interface de cette gamme DL7 on retrouve, comme d’habitude avec Robe, des ports DMX et RJ45, un écran QVGA tactile sur batterie, et une gestion des protocoles RDM, DMX, ArtNet, MA-Net et SaCN.

D’autres informations sur le site www.robe.cz

Salle de musiques actuelles

Le Krakatoa renouvelle son parc de projecteurs avec des Mac Aura et Quantum Profile

Martin Krakatoa

Créé en 1990, le Krakatoa situé à Mérignac, est l’un des plus anciens lieux dédiés aux musiques actuelles en France. Si cette salle est aujourd’hui reconnue comme une vraie référence dans le paysage culturel français, c’est à la fois grâce à une programmation exigeante et diversifiée et parce qu’elle est devenue la pépinière incontournable d’artistes émergents.

Martin Krakatoa

Dans le cadre d’un programme d’accompagnement, l’équipe du Krakatoa reçoit par an une trentaine de groupes qu’elle soutient en communication, dans la recherche de partenaires et en mettant à leur disposition son matériel. Désireux d’accueillir ses artistes dans un cadre professionnel, la salle vient de renouveler auprès du prestataire/revendeur Audio Pro, son parc d’asservis, auparavant composé de MAC™ 500 et de MAC™ 600.
Le régisseur général et technique, Marc Duvignau, responsable de la préconisation du matériel, a opté pour un parc intégralement composé de projecteurs de Martin : MAC™ Aura et MAC™ Quantum Profile. Il explique :
« l´accueil des musiciens et de leurs équipes est au centre de notre projet. De la première prise de contact jusqu’à la venue des artistes sur la scène et même en passant par le catering, nous voulons qu’ils  se sentent bien chez nous et qu’ils aient envie de revenir ». En général, les groupes viennent avec leur propre matériel, complété par le parc de la salle. Pour le régisseur technique, il était donc essentiel de créer un kit qui réponde le plus précisément possible aux fiches techniques des groupes.

Martin Krakatoa

« Nous voulons que les artistes puissent reproduire exactement ce qu’ils ont créé en termes de spectacle quand ils viennent chez nous. Le MAC Aura et le MAC Quantum Profile étant référencés dans presque toutes les prescriptions que nous recevons, il était très clair que c’était ces produits qu’il nous fallait  », explique le régisseur qui a également été attiré par le côté LED des produits et tous les avantages budgétaires qui en résultent au niveau de la maintenance.

Martin Krakatoa

Marc Duvignau conclut : Dorénavant,  nous disposons d’un kit qui n’est pas seulement très homogène au niveau de la colorimétrie mais qui nous permet également  de réaliser toutes sortes de configurations. Malgré un marché en perpétuel changement et des nouveaux produits qui sortent tous les mois, je suis convaincu que nous avons fait un choix durable parfaitement adapté à nos besoins.

Plus d’infos :

Démos vidéo Martin :

Nouveautés Prolight+Sound 2016

Ayrton AlienPix-RS, MagicBurst, MagicPanel-FX et Wildsun S25

Les multiples sources d’inspiration d’Yvan Peard, designer d’Ayrton, lui permettent de proposer à chaque rentrée plusieurs projecteurs vraiment innovants, voire surprenants, à la croisée des dernières avancées technologiques et des créations légendaires des 30 dernières années.
Ce mélange d’anciennes sources et de dynamisme contemporain se concrétise dans trois nouveaux produits, pour trois franches réussites complètement différentes.

AlienPix-RS

Ayrton AlienPix

En premier lieu l’AlienPix-RS, inspiré par les couronnes lumineuses des années 80.
Cet effet, transformé par la suite en centre piste disco et adulé à l’époque par tous les éclairagistes de club regroupait plusieurs scans autonomes disposés en cercle autour d’un axe en rotation.
L’AlienPix va bien sûr plus loin, déjà en remplaçant les miroirs par cinq sources led RGBW en rotation tilt infinie autour d’une sixième source fixe.
Cette soucoupe de 40 cm à peine tourne elle aussi sans fin sur son axe, mais comme cela n’est encore pas assez elle est intégrée sur une lyre aux mouvements pan et tilt infinis.
Avec ses faisceaux lumineux d’à peine 3,5°, ce projecteur se transforme continuellement, entre blinder circulaire, fleur lumineuse, manège de lumière, effet vortex ou encore tunnel kaléidoscopique.
Toutes les fantaisies semblent permises avec ce luminaire parmi les plus polyvalents et les plus spectaculaires qu’ait jamais inventé Ayrton.

MagicBurst

Ayrton MagicBurst

Le MagicBurst signe l’arrivé d’Ayrton dans le secteur, pourtant déjà bien fourni, des strobes à leds.
En utilisant 3840 mini leds blanches calibrées à 5600K avec une puissance totale de près de 1300 W, c’est un flux étourdissant de 240.000 lumens en flash qui atteint le public.
La puissance lumineuse est telle qu’elle éblouit réellement les spectateurs, les petits papillons de lumières virevoltent encore longtemps sous les paupières fermées !
Ce champ de leds est découpé en 64 secteurs (8 par 8) pour former une matrice carré d’un peu moins de 40 cm, semblable aux dimensions des MagicPanel nouvelle génération.
Pour générer des effets graphiques de toutes sortes, par les nombreuses macros internes, via votre console de prédilection ou au travers d’un ledmapper, vous aurez le choix de la connectique (XLR5, RJ45 ou Wifi) de la commande (DMX, ArtNet, sACN) et du nombre de canaux (jusqu’à 203).

Ce strobe irréel est aussi, bien évidemment avec Ayrton, un projecteur motorisé aux mouvements infinis, et prendra alors tout son sens en bataillon sur les grandes scènes type Arena ou stadium pour accompagner les concerts les plus riches en décibels.

MagicPanel-FX

Peut-être le plus beau pour la fin, le MagicPanel-FX se pare d’une vibrante nostalgie pour son best-seller. 25 lentilles carrées comme autant de berlingots chapardés chez le confiseur du bas de la rue, et rondes comme une poigné de billes acidulées remportées avec fierté à la récré ; les diodes RGBW abandonnent leur aura électronique derrière ces culots de verres remplis de couleurs vives.

Ayrton MagicPanel-FX

Ce MagicPanel-FX tourne dans tous les sens tandis que s’illuminent avec force ses différentes leds mais pour une fois l’envie est ailleurs. Le besoin de se reposer enfin des mouvements continus, des effets gratuits et de suivre la poésie du système de zoom. Une mécanique de précision, invisible de l’extérieur, coulisse avec subtilité les différentes composantes optiques.
Cette focalisation permet de passer de faisceaux de 3,5° à 52°, un rapport de zoom de 15 :1 expliquent les opticiens, accaparés par les 18.000 lumens de sortie et les 1000 W consommés. Mais les béotiens voient eux des vitraux s’illuminer doucement, des flammèches multicolores s’embraser au loin et un voile immense de pastels s’abattre sur eux avant de s’hérisser de multiples lances arc-en-ciel aux têtes carrées.
Ce monstre de technologie, bardé des dernières options de software et d’hardware propres à Ayrton, est un jouet magique découvert par d’anciens enfants rêvant de lumière.

WildSun-S25

Ayrton WildSun-S25

Finalement pourquoi trois mais pas quatre ?
Le dernier produit Ayrton est moins fantasque mais répond à une problématique simple : inonder de lumière les plus grands espaces, là où d’habitude il fallait des projecteurs HMI de 2,5 ou 4 kW.
C’est ainsi qu’est né le WildSun-K25 avec ses 100.000 lumens de blanc froid, suivi aujourd’hui du WildSun-S25, toujours sur lyre, et avec un zoom 10°-60°, mais en couleurs.
Ses 60.000 lumens pour 2750 W se répartissent sur un grand disque de 45 cm en 217 leds mono couleur  (60 rouges, 60 bleues, 60 vertes et 37 blanches, dont une centrale).
Si le mélange de couleurs est surtout étudié pour les longues distances, la surface de projection holographique couplée au coupe-flux en nid d’abeille permet un étale précis sans fuite, idéal pour le cinéma ou les studios télé.
Et si d’aventure une utilisation en effet était souhaitée, un contrôle multizone en 6 tranches est possible avec le mode étendu 34 canaux.

D’autres informations sur l’ensemble des produits Ayrton via le site www.ayrton.eu

Revoir le show Ayrton diffusé à Prolight + Sound

AYRTON – Prolight+Sound 2016 from Ayrton on Vimeo.