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Max & Vlad, les Kids United

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Nous sommes allés écouter ce que deux sacrés garnements, Maxime Ménélec au système et Vladimir Coulibre au mix, sont parvenus à tirer d’une salle difficile. Plus propice aux lames qu’aux gammes, la Patinoire de Mériadeck sortie de terre à la fin des années 70 avec ses formes d’ovni au cœur de glace, accueille à la fois des hockeyeurs et des chanteurs, un grand écart sonore dompté par la crème de nos sondiers au service de 5 gamins en pleine bourre, les Kids United.

Une partie de l’équipe technique, celle qui a répondu à notre appel radio « photo à la régie façade ! » De gauche à droite JR Mazenc au backline, Vlad, Max, Valérian Pillet et Charly Fourcade assistants plateau et Nelly Robert assistante système.

Je ne vous ferai pas l’insulte de vous décrire Mériadeck, nombre d’entre vous y ont déjà travaillé, il en n’en reste pas moins qu’y pénétrer en pleine balance fait toujours un peu peur. Le TR est looooong, le grave Danse avec les Stars et la précision se repose dans le TourBus en attendant le public.
Le système de cette tournée est composé autour des très récents K2, KS28 et de Kara en renfort central stéréo, et de latéraux aussi de Kara, un kit qualitatif, efficace et très bien dimensionné pour un show devant séduire avant tout un auditoire jeune et familial.

Mériadeck en mode tout assis. Adossée aux gradins, la régie son et la régie lumière.

C’est Vlad qui abandonne la console où il remplace Stéphane Plisson afin de nous répondre en premier.

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SLU : On t’a vu pas mal travailler tes niveaux…

Vladimir Coulibre (Vlad) : Je découvre le mix et je découvre aussi le système dans cette salle donc je le fais vivre pour me l’approprier. Je reprends aussi la main sur une base qui est faite et bien faite depuis un moment.

SLU : T’as pas envie de travailler un pied pour ressentir le tout et surtout le grave qui est assez difficile à tenir en respect dans dette salle sportive ?

Max mort de rire et Vlad en mode « attends, je t’explique » On remarque bien le petit pratos idéal pour bien voir, beaucoup moins pour bien entendre…

Vlad : Non, je n’en ressens pas le besoin. J’ai Max qui fait bien la transition entre Stéph (Plisson NDR) et moi et qui peut me dire si je vais dans le bon sens par rapport à ce qu’il a entendu chaque soir. La salle est compliquée et très réverbérante, la régie est perchée sur un praticable qui résonne un peu donc autant collaborer avec ceux qui savent comment satisfaire public et prod. Je manipule aussi les niveaux pour me remettre la table en main mais si tu observes, je tourne autour des réglages mémorisés.

Maxime Ménélec (Max) : Il prend ses petites habitudes, c’est normal car la console comme les niveaux, le contour, tout est organisé et calé pour et par Steph.

K2 & KS28, le combo ultra efficace

SLU : Venons-en au système. Comment l’as-tu conçu avec Steph pour cette tournée et plus encore pour cette salle ?

Max : Le système des Kids est conçu pour que les subs soient en l’air donc placés loin du public qui est essentiellement constitué d’enfants. Il n’est pas question que cela soit trop violent pour les premiers rangs.

SLU : Tu as choisi les KS28. Combien en as-tu pris par côté ?

Max : A la base, on est parti sur une antenne de 8 pour satisfaire à un certain nombre de critères, mais cela s’est avéré être trop puissant, je suis donc revenu à une antenne de 6 en front back front / front back front.

Le système à jardin avec les élingues détachées. De droite à gauche, les 6 Kara servant en douche pour combler les zones d’ombres du K2, les 12 K2 amplifiées en LA12X, les 6 KS28 en montage cardio et l’outfill composé de 9 Kara.

Vlad : L’optique de Steph et Max est d’avoir un système full range accroché et cela tient parfaitement la route dans toutes les salles. Bien sûr il nous manque une fondamentale qu’on n’a que lorsque les subs sont au sol mais dont on peut aisément se passer dans ce type de musique, et les avantages partout dans la salle selon moi l’emportent. Si on avait mis les subs au sol on les aurait énormément atténués et on aurait gagné à peine 3 Hz tout en perdant de la cohérence. Cette tournée me plait bien aussi pour ça, sans oublier que le fabricant pousse ce type de montage.

SLU : OK pour le respect des oreilles et la cohérence sur la tournée, mais certaines salles sont plus difficiles…

Vlad qui écoute et « regarde » le son. Plus concentré t’as pas !

Vlad : Oui, d’autant qu’on peut travailler sur l’énergie des subs avec un montage cardioïde mais cela ne nous aide que sur la bande passante du KS28, or le K2 descend aussi. Je pense qu’il ne faut pas lutter, il faut laisser vivre le système, ce sera à moi après de réadapter le mix. Entre par exemple Rouen qui est très bien et ici, le RT du grave est beaucoup plus long.

Max : Le fait de placer les subs très près du système pour minimiser le délai et donner une certaine directivité, nous donne une bonne homogénéité entre les salles.

SLU : C’est du temps de gagné…

Max : Absolument. J’ai quasiment le même EQ et le même délai à chaque date. Je n’ai qu’à réadapter le contour du grave. Je n’ai plus de corrections extrêmes et peu de réflexions avec le sol.

Vlad : Surtout ce genre de montage uniformise le rendu de salle en salle. Il n’y a plus de mauvaise date. On se doit en plus de délivrer un mix rock et typé concert en veillant simplement à ne pas jouer trop fort. La prod ne nous demande pas de sonoriser un « spectacle pour enfants ».
Quand Steph (Plisson NDR) m’a proposé de travailler pour lui, j’ai bien aimé le challenge de sortir un son puissant en gardant un niveau raisonnable. C’est loin d’être évident et cela va à l’encontre de tout ce qui se fait d’habitude et demande aussi à Max beaucoup de soin dans la position des enceintes, le réglage et la balance tonale.

Les premiers rangs prennent une douche de Kara complétée par une lichette de quelques X8 jouant le rôle du jambon entre deux Rollapix Ayrton

SLU : Pourquoi avoir opté pour deux downfill intérieurs en Kara et pas un simple down mono central ?

Max : D’abord parce qu’on voulait effectivement rester en stéréo. On a fait le choix d’offrir aux gens assis devant la scène une image qui ne soit pas réduite au centre. C’est une vraie stéréo.

Vlad : On a quelques petites choses notamment sur les guitares via des plugs pour travailler cette stéréo, mais pour la diffusion on récupère un gauche/droite en AES tout ce qu’il y a de plus standard.

SLU : Ne serait-il pas possible d’accrocher quelques Kara sous les K2 ?

Max : Non, mécaniquement ce n’est pas possible et puis nous ne gagnerions rien en ouverture horizontale. Les deux ouvrent à 10° en vertical et 110° en horizontal. Les deux Kara down doivent juste boucher les trous où je ne vais pas avec le K2.

Vlad : Tout en sachant qu’ajouter une source sonore pour combler un manque à un endroit, créé invariablement un petit problème ailleurs.

Une vue de Soundvision en mode délai du “main” et du Kara down et prouvant le bien-fondé du choix de Max. Les zones non alignées sont limitées.


SLU : Tu les délaies comment tes Kara down ?

Max : Je ne les délaie pas ! Si je le faisais, il n’y aurait qu’une toute petite zone qui en bénéficierait, mais comme ce sont des sources qui génèrent aussi du grave, elles m’abîmeraient celui du K2.
Je préfère ne pas délayer et créer d’autres interférences, sans doute audibles mais acceptables au point d’overlap. Les outfill sont en revanche délayés.

K2 et Kara font la paire…à quelques années près

SLU : Je reste malgré tout sur ma faim quand je sors du K2 et je rentre dans le Kara. Ce sont deux mondes différents.

Vlad : Il faut aussi dire que le K2 est une boîte remarquablement réussie, je trouve cela dit que le Kara est le Leatherman du son, on peut tout faire avec, de la face au front. Il n’y a pas d’enceinte parfaite, mais sa polyvalence est extrêmement utile.

Max : Le design est conçu autour du K2 qui couvre la plus grande partie de la salle et le Kara ne vient que pour le complémenter par petites touches, et si on peut s’en passer dans certaines salles, on le fait car plus on limite le nombre de points d’émission, meilleur est le son.

Vlad : Il faut veiller aussi à ne pas comparer un système modulaire à un système full range. Le Kara a besoin de son renfort de grave pour offrir la pression et l’extension dans le grave du K2.

Une ligne de K2 pour guider naturellement le grave et une antenne de KS28 en cardioïde pour en faire…de même.

SLU : Admettons que tu puisses disposer de K2 pour les latéraux…

Max : Non…

Vlad : Non, ça ne marcherait pas si bien. Il est très puissant donc il faudrait déjà beaucoup l’atténuer et puis l’association de 12 boites à 10° et 6 boites à 10° ne donnera pas la même couverture, en tous cas tu ne peux pas la faire de la même manière.

Soundvision en mode délai du “main” et de l’outfill à cour. Le délai d’alignement entre les deux est appliqué et le moins que l’on puisse dire est qu’il y a très peu de rouge et qu’il se cantonne dans des zones périphériques ou sans spectateurs.

Max : Ce n’est pas une bonne idée de venir placer sur un système full range plus subs, un autre système full range, cela va créer inévitablement des interférences et puis si c’est pour l’atténuer et le couper dans le grave, à quoi bon… Peut-être que la mise en cardio du KS28 et le travail fait sur la ligne de K2 apporte beaucoup d’énergie et de précision là où c’est nécessaire et moins sur les côtés, d’où cette transition plus audible avec le Kara.

Vlad : Lorsque je fais du design, j’accepte désormais qu’étant sur le côté, on se retrouve dans un autre registre de son au niveau fréquentiel et en termes de gain. Je préfère optimiser temporellement toute une zone au lieu d’aller mettre du grave dans un endroit qui va du coup me polluer tout le reste.

SLU : Dans le style « Tu es loin, tu vois de loin, tu entends de loin. » On avait rêvé de donner à chaque spectateur…

Vlad : C’est irréalisable et on le sait bien, quelle que soit la config. Il faut aussi essayer de rester quelques minutes à un endroit et se demander si ce que l’on entend est satisfaisant ou pas. C’est évident que quand on se balade on perçoit des différences, mais le spectateur ne bouge pas.

Max : Il vaut mieux perdre par endroits pour optimiser pour le plus grand nombre, surtout dans des salles comme la Patinoire. On travaille dans le compromis…

LA12X & Soundvision

SLU : Comment sors-tu de ta console ?

Max : AES et on les descend vers les contrôleurs LA12X.

Le rack de drive du système avec un PC pour avoir la main sur le LA Manager et un grand écran pour afficher les courbes du Flux.

SLU : Tout est en 12X ?

Max : Oui, les KS28 forcément et les K2 aussi ; on a réussi à en avoir chez Dushow. Il n’y a que les Kara down et les extérieurs qui restent en LA8.

SLU : Rien de nouveau question DSP sur les 12X ?

Max : Non, on a toujours les 8 points d’EQ, les deux plateaux FIR dans le grave et les 3 dans l’aigu et c’est largement assez pour travailler le contour du système et les deux ou trois modes de la salle.
Si tu utilises les bons presets, travailles bien avec Soundvision, tu es sûr à 99% du résultat. Je ne fais quasiment plus de mesures pour mes délais, je me fie de ce que me donne Soundvision. Il faut en revanche respecter le placement des enceintes…

SLU : Outre la rapidité et la simplicité, quels sont les autres avantages ?

Max : Quand tu cherches ton délai à l’analyseur avec un micro, tu vas optimiser certaines zones et en négliger d’autres sans forcément t’en rendre compte. Avec Soundvision tu vas vraiment voir ce que tu optimises et ce que tu négliges. Même mes bases de plateau FIR dans l’aigu sont faites avec. Je me répète, mais si tu travailles bien avec Soundvision, tu as les salles modélisées et disponibles sur la base de données de L-Acoustics pour le faire, et que tu respectes le placement des enceintes, tu lèves, tu ouvres et ça marche. On travaille en amont les points de rig avec Autocad, ce qui me permet de savoir exactement où se trouvent les emplacements référencés par Soundvision.

Une vue de Mériadeck via Soundvision, un mapping de 1 kHz à 20 kHz du main, outfill et down à cour. Y’en a vraiment pour tout le monde avec des écarts très raisonnables entre orchestre et balcons.

SLU : C’est utile de gagner autant de temps ?

Max : Oui et pour une très bonne raison. Ca nous arrive d’ouvrir les portes à 13h30 pour jouer à 15h00. Je commence à 8h00, le système est en l’air à 11h30, ça ne me laisse que 45 minutes de calage. On a dû apprendre à être vraiment efficace et j’ai beaucoup optimisé avec Soundvision.
De toute façon il faut aller dans le sens du constructeur.
Je me suis rendu compte lors de formations que j’ai données que parfois je passais un peu à côté de la philosophie de L-Acoustics or, pour aller plus loin, il faut éventuellement embellir la chose, mais commencer par respecter les règles de base.

SLU : Qui fournit le matériel ?

Max : Le système et le multi viennent de chez Dushow, les régies et le drive de chez Maw. Les lights c’est RégieLu.

Ethique & L-Acoustic

SLU : Vlad, on t’a connu au système, puis au mix, où en es-tu aujourd’hui ?

Vlad : Toujours et de plus en plus au mix, j’adore ça et cela n’est pas près de changer. Bien sûr, quand je suis dans des petites salles, je m’occupe aussi du système mais pour des tournées plus grosses, j’ai quelqu’un avec moi pour s’en occuper comme ici pour Kids United avec Max.
Il y a une nouvelle génération de techniciens comme de matériel qui arrive et qui est bien, donc je m’éclate.

SLU : T’as pas encore envie de raccrocher les clés du TourBus…

Vlad : Peut-être de rentrer dans une boîte où je ferais encore de la tournée et où les jours de repos ou entre deux tournées, au lieu de bricoler chez moi comme je le fais aujourd’hui, je pourrais donner une valeur ajoutée à ce travail sur site. Je trouve qu’il y a une espèce de gap entre les gens qui mixent et les structures, alors qu’à une époque ça se faisait. Cela n’engage que moi mais je pense que ce serait intéressant pour tout le monde que la personne derrière la console représente la société.

Ils sont trop chouettes pour qu’on ne les montre pas. De gauche à droite Gérald Garrieri, pupitreur du show, Max sondier d’en haut et Vlad sondier d’en bas.

SLU : Un peu ce qui se passe chez Clair Bros…

Vlad : Oui d’autant qu’aux Etats Unis il n’existe pas d’équivalent de nos Intermittents, un statut que je n’aime d’ailleurs que très modérément.

Max : L’idéal c’est de pouvoir se poser, faire des tests et aller plus loin dans des choses que tu ne peux qu’effleurer quand tu es intermittent et seul. Un exemple. Il y a quelque temps, grâce aux sociétés de Steph (Plisson NDR) et de Laurent (Midas reNDR) on a pu faire un grand test de consoles afin notamment de comparer les latences et le rendu. Travailler dans une société te donne plus de facilités pour le faire et il est assez facile d’aller dans le dépôt prendre ce dont tu as besoin.

Vlad : Ce n’est pas faute de le demander dans différentes boîtes mais ce n’est pas facile de les convaincre, de trouver du temps et du matériel et surtout, qu’est-ce que cela va leur apporter…Tu parlais de Clair Bros. Quand ils ne tournent pas, ils entretiennent le matériel et ils font des tests et des écoutes.
Cette démarche est vraiment importante pour mieux explorer des appareils de plus en plus puissants et complexes. Qui connaît le vrai son de ces nouvelles machines. On les met dans des réseaux mais personne n’a vraiment eu le temps et le recul pour aller loin dans les niveaux et les interactions entre les étages.

Max : L’exemple typique est le Lake. Ca sonne mieux avec ou sans… Il faut mesurer, écouter, comparer et cela prend du temps pour bien le faire et c’est loin d’être facile à réaliser.




SLU : On est bien d’accord, vous travaillez avec tout type de système (rire en coin NDR)

Vlad : Si je suis accueilli oui, sinon non. Arrête de te marrer, il faut déjà du temps pour connaître et maîtriser un système…

Max : On en découvre tous les jours !

Vlad : J’aime l’approche de L-Acoustics via Soundvision et ce n’est pas facilement transposable. Les outils changent de constructeur à constructeur et les boîtes ont des caractéristiques et une philosophie différente.

Max : Les acquis d’une marque ne s’appliquent pas du tout à une autre. Le K2 est une enceinte full range qui ne peut pas être comparée à d’autres qui coupent à 60 Hz.

Vlad : Quand je m’occupe du système, je ne pars que sur des tournées en L-Acoustics même si en accueil j’ai entendu et pratiqué d’autres très bons systèmes. Plus précisément je préfère passer du temps à aller encore plus loin avec une marque que je connais. J’échange énormément avec des gens qui utilisent d’autres produits et qui ont une approche différente. Être compétent et à l’aise sur d’autres marques prendrait beaucoup de temps et au final, j’aime mieux me concentrer à fond sur un seul fabricant, une seule philosophie sonore et moins de modèles. Quand tu as deux jours de pré-prod et que tu dois offrir la tranquillité d’esprit au mixeur, à l’artiste et à la prod, tu dois être hyper efficace ! Et ne n’ai plus 20 ans, il faut cibler ses intérêts (rires) ! Je laisse à des gens passionnés par d’autres marques comme je le suis par L-Acoustics de bien s’en occuper.

L’époque des briquets est bien révolue…le geste est heureusement resté !

SLU : Mais vous êtes curieux, techniquement et auditivement…

Max : Tous les systèmes m’intéressent. J’aime bien savoir comment ils sont fabriqués, la mise en œuvre, la philosophie du fabricant. Je suis passionné par la technique et les enceintes en général, savoir comment sont écrits les presets des boîtes concurrentes, comment sont faits les guides d’onde des autres fabricants, mais je veux aussi et surtout aller plus loin avec L-Acoustics et notamment le K2 que j’adore et dont, selon moi, on n’exploite encore qu’une partie du potentiel.

SLU : Ceci étant Vlad, tu es toujours formateur chez L-Acoustics..

Vlad : Oui, j’ai un contrat de consultant et donc une éthique de travail, mais ça ne m’a pas empêché d’aller à Bercy voir et écouter du Coda pour avoir une ouverture d’esprit et comprendre ce qui se passe ailleurs.

Conclusion

« Attention messieurs, silence salle, noir salle, on y va, bon concert » Les premières notes et surtout les premiers coups de grosse caisse sont rassurants, Mériadeck bien plein et avec la tribune face à la scène érigée sur la glace, absorbe et nettoie, y compris le grave, et ce dernier gagne une précision appréciable.
Les voix des enfants sonnent naturelles, la dynamique est assez respectée et le timbre de chacun se démarque nettement, parfois même un peu trop.
Les musiciens bénéficient d’un système et d’un mix qui leur donne l’attaque et la précision que ce type de spectacle n’offre pas forcément. Une balade dans la salle donne un bel aperçu de la couverture du grave qui est bonne et homogène sauf quand on quitte les K2 et qu’on perd les 12’’.

Aïe, ça pique, surtout que les 107 dB sont plus que pondérés A, ou alors A comme aigu !

La zone d’overlap entre les Kara down et le K2 existe et s’entend, mais une fois encore, il faut ne pas oublier que nos oreilles entrainées et nos incessants aller-retours pour débusquer les zones d’interférence ne sont pas représentatifs de ce que les spectateurs feront. L’énergie du grave, volontairement réduite latéralement bénéficie effectivement de ce choix et de cette cohérence temporelle.
Le rendu est sec et profond, dynamique et détaillé partout ailleurs, quelque chose plus difficile à obtenir quand plusieurs sources cohabitent. Le sentiment de pression est agréable et presque grisant, un fait qui n’est pas corroboré par le sonomètre ce qui est parfait, sauf quand le public très jeune et enthousiaste s’en mêle et hurle sa joie.

Clairement Max et Vlad savent raconter leur son mais aussi et surtout le faire d’autant qu’ils connaissent les boîtes marron comme vous l’adresse de SoundLightUp. Le risque de les associer aurait été qu’ils se marchent sur les pieds. Raté, chacun a son rôle et s’y tient.
Max opère et cale le système, Vlad mixe. Une fois qu’on a dit ça, on a bien senti par leurs réponses que ces deux-là s’entendent comme deux larrons en foire, si ce n’est que contrairement au sens de cette expression, ils ne volent rien, au contraire, ils apportent tout leur savoir pour bâtir un rendu efficace et cohérent pour le plus grand nombre.
Un dernier mot pour Steph Plisson qui est à la direction du son de cette tournée et dont les choix, techniques comme humains, apportent beaucoup en termes de confort et de qualité sonore.

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Powersoft lance sa nouvelle gamme d’amplificateurs Quattrocanali dédiés installation

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Venant s’intercaler entre les Duecanali (2 canaux) et les Ottocanali (huit canaux) introduits à l’ISE il y a deux ans, la nouvelle gamme d’amplificateurs Quattrocanali du constructeur transalpin devrait couvrir la majorité des besoins rencontrés en installation fixe.
Et ceci tant en termes de Canaux (4), de puissance délivrée (respectivement 4 x 300 W, 4 x 600 W et 4 x 1200 W sous 8 ohms pour les 1204, 2404 et 4804), d’efficacité énergétique (PFC avec PF de 0,95 et dissipation thermique de 348 BTU/h à Pmax/8 pour le 1204), d’encombrement (rack 1 U pour tous les modèles), de polyvalence (charges admissibles de 2, 4, 8 ohms, haute impédance lignes 70 et 100 V, mode pont, …) que d’administration décentralisée via Ethernet ou WiFi par le logiciel de supervision Armonia Pro Audio.

la nouvelle gamme d’amplificateurs Quattrocanali sur le stand Powersoft à l’ISE.

Cette nouvelle plateforme peut-être pourvue ou non d’une carte DSP+D (4 canaux) qui inclut la connectivité Dante et donne accès aux mêmes fonctionnalités que les versions touring haut de gamme série X : filtres de raccordement, limiteurs configurables, égaliseurs, délais en entrée et sortie, compensation des longueurs de câbles (contrôle du facteur d’amortissement dans les basses fréquences), … Mais avec ou sans carte DSP, les quattrocanali sont entièrement administrables à distance grâce à un interface Web et Armonia avec des droits d’accès laissant certaines fonctionnalités uniquement accessibles à un ingé son ou à un superviseur décentralisé.

Vue interne . Une électronique dense sur circuits imprimés multicouche avec à droite les circuits d’alimentation (et le PFC à l’extrême droite précédé des filtrages secteur), au centre les dispositifs de commutation de puissance (Mosfets) sur leur radiateur, à gauche les filtres LC de sortie et l’électronique de gestion. Tout à gauche la carte DSP+D. Au fond la turbine d’extraction (à vitesse variable) du peu de calories engendrées eu égard à la puissance totale.

Avec leur faible dissipation thermique, respectivement 522, 850 et 1540 BTU/h (au quart de la puissance totale de fonctionnement), ces amplificateurs ne nécessitent pas d’environnement climatisé en baie même à des puissances de fonctionnement élevées et au total réduisent les coûts d’exploitation et d’installation. Il s’agit là de chiffres qui sont moitié moins élevés que la moyenne des amplificateurs de capacité équivalente rencontrés sur le marché.
De la sorte, ils peuvent opérer dans des températures ambiantes allant de – 10 à + 45°C. Ces caractéristiques sont imputables à la technologie d’amplification classe D éprouvée de Powersoft mais également aux performances des alimentations avec PFC utilisées et au système de contrôle Smart Rail Management. S’agissant de modèles dédiés installation, les connexions d’entrées/sorties s’effectuent sur blocs Phoenix et les quattrocanali disposent de ports GPIO et de sorties d’alarme.

La face arrière avec les entrées et sorties en Phoenix et les dip-switches de configuration de gain et de mode.

Les performances audio ne sont pas en reste avec une THD inférieure à 0,05 % de 0,1W à la pleine charge sur toute la bande, une distorsion par intermodulation au même niveau et des rapports S/B (en pondération A) de respectivement 104, 108, et 110 dB (en rapport avec l’excursion max de tension qui peut atteindre 139 Vcrête pour le 4804). Le slewrate, filtres désactivés, atteint 50 V/μs.
Signalons que dans le même temps Powersoft a ajouté le modèle 1602 à sa série Duecanali, similaire structurellement aux quattrocanali, et qui peut fonctionner dans seize configurations de sortie différentes entre les modes basse impédance, haute impédance (ligne 70 et 100 V), pont, parallèle.

D’autres informations sur le site de powersoft

 

Nouveautés Klotz pour le haut débit numérique

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Optimisé pour les liaisons vidéo HD-SDI mobiles, de courtes et moyennes distances (jusqu’à 70 m), le nouveau câble coaxial VD083LP de Klotz présente un diamètre de seulement 6,1 mm et une grande flexibilité (rayon de courbure minimum de 40 mm), lui permettant de facilement être conditionné sur enrouleur, tout en étant entièrement compatible avec les standards SMPTE. C’est le petit frère du câble longue distance vidéo numérique V12L/48DP plébiscité par les professionnels.
Klotz dévoilait également une nouvelle embase en type D de son connecteur hermaphrodyte pour fibres optiques SmartBeam Octo (8 fibres) facilement intégrable sur des panneaux standards.

Le VD083LP sur son enrouleur référencé VH8L1NT

Le câble VD083LP est équipé de connecteurs BNC UHD 4K de Neutrik et permet donc le transport de signaux numériques à 1,5 GB sur 70 m et 3 GB sur 50 m en toute sécurité. Son revêtement externe en polyuréthane garantit une grande résistance à l’abrasion et aux contraintes climatiques.

le double écran en tresse de cuivre étamée confère au VD083LP une atténuation optimale des perturbations (> 90 dB)

L’adoption d’une âme en multibrin (19 x 0,16 mm) de cuivre pur, avec un diélectrique en mousse de polyéthylène injectée et un double blindage en tresse de cuivre étamée (couverture de 95%), permettent d’obtenir des caractéristiques de transmission et d’atténuation des perturbations tout à fait convaincantes, avec une atténuation linéique de 41 dB aux 100 m à 1,5 GHz et une réjection des perturbations supérieure à 90 dB.

Quelques caractéristiques techniques :

  • Impédance caractéristique : 75 ohms
  • Capacité linéique : 53 pF / m
  • Vitesse de propagation : 81 % de c (célérité dans le vide)
  • Résistance linéique de l’âme : 4,4 ohms aux 100 m
  • Résistance linéique de l’écran : 0,76 ohm aux 100 m
  • Atténuation à 1 GHz : 33 dB aux 100 m
  • Température de travail : – 40 à + 80 °C

Embase SmartBeam Octo type D

Cette nouvelle embase pour liaison huit fibres optiques de type OM3 (multimode en coeur 50/125 μm) complète le programme SmartBeam Octo de Klotz en offrant une compatibilité avec les panneaux de brassage pré-usinés au format type D.

L’embase SmartBeam Octo type D sur la mallette FiberExplorer

Son connecteur hermaphrodite satisfait aux caractéristiques SmartBeam, à savoir :

  • Une étanchéité de l’assemblage IP67
  • Une température de travail s’étalant de -57 à + 85°C
  • La facilité de nettoyage des lentilles (eau avec coton tige non pelucheux) et l’absence d’usure de ces dernières (pas de contact).
  • L’absence de maintenance
  • Garantie de 5 ans

Cette embase type D est également proposée pour les versions SmartBeam Duo et Quad, deux et quatre fibres. Le câble optique à huit fibres de 6,4 mm de diamètre externe préconisé est le Fiberflex Ultra F8UM11 de Klotz.
Rappelons que Klotz propose un système comprenant également la mallette FiberExplorer avec des connexions en Neutrik OpticalCon 4 SC et 4 LC.

D’autres informations sur le site de Klotz

La Light Passion Night révèle le premier Spot à Led Claypaky

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Organisée au théâtre du Rond Point par les équipes de ClayPaky, ADB et Dimatec, la Nuit des Passionnés de Lumière a révélé le tout premier Spot à leds de Claypaky qui sera lancé officiellement à Prolight + Sound avec de nombreuses autres nouveautés.

Pio Nahum (P.d.g de Claypaky) et Olivier Bordini (P.d.g de Dimatec)
accueillent les invités.

Quel bonheur de retrouver autant d’acteurs techniques et artistiques de la lumière en France dans un cadre aussi charmant, tous détendus, heureux d’être ensemble et de partager des histoires de presta, des anecdotes de design, des galères aussi et bien sûr des projets… Cette 2e édition Light Passion Night fut un fantastique succès et une magnifique soirée !

Nous nous installons confortablement dans la petite salle du théâtre (bondée) pour une présentation des nouveaux développements ADB et une démonstration des derniers projecteurs Clay Paky :
– La gamme Scenius,
– La sharBar,
– Le Mythos2 qui s’offre une nouvelle lampe Osram (pour résoudre le problème de fiabilité de la Philips d’origine),
– Le projecteur Hybride Unico
– Et.. le premier Spot à Led Claypaky Axcor 900.


Bientôt, l’Axcor  900 (c’est le deuxième en partant de la gauche)

Oui, 900 indique la puissance du moteur de leds blanches embarqué dans cette machine : ça promet ! 24 000 lumens annonce ClayPaky. Avec les 4 couteaux motorisés d’un module découpe, une CMY et un CTO linéaire, un zoom 7,5° – 43°, une roue de couleurs, 6 gobos HD, un prisme, 1 roue d’animation, 2 frosts progressifs… elle se hisse au top de sa catégorie !
Clay Paky promet aussi un parfait silence de fonctionnement dû à un refroidissement des leds en rupture totale avec tous les systèmes développés jusqu’alors. Un très bon argument pour séduire les théâtre, Opéra, auditorium…

ADB revient à la led

La société ADB, récemment rachetée par Osram en 2016 et intégrée à Claypaky garde son site de production en France à Saint Quentin.

Simone Capeleto, le nouveau P.d.g d’ADB

Son nouveau P.d.g, Simone Capeleto a démarré le process de restructuration de l’usine par la chaîne de production, pour optimiser la qualité, réduire les délais de fabrication, avec aussi comme objectif d’obtenir la certification ISO 9001 en fin d’année 2017. On ne fait pas de concessions à la qualité chez Osram.
ADB conserve à son catalogue tous ses projecteurs, pupitres et armoires de puissance actuels nous précise Gilles Govaerts (Chef produits ADB) et présentera dès Prolight + Sound de nouveaux projecteurs à leds. C’est l’avantage de disposer de nouvelles ressources et de partager l’équipe de R&D d’Osram et Claypaky autant en électronique, optique, thermique et informatique…
En synergie avec Claypaky, on parle d’un module HCR à 6 couleurs de leds, sélectionnées avec un binning très serré pour la reproductibilité des couleurs d’un appareil à l’autre. Un système de calibration assurera leur stabilité, pour la compatibilité des projecteurs en cas de complément de parc différé dans le temps.

Gilles Govaerts (que l’on devine à droite de l’image) nous montre la courbe d’IRC du nouveau module HRC en fonction de la température de couleur variable de 2500 à 8000K

Gilles nous parlait aussi d’un IRC situé entre 97,5 et 99 en fonction de la température de couleur choisie et d’un contrôle simple des 6 couleurs basé sur 3 paramètres, CMY, RGB, HSI pour être compatible avec tous les pupitres du marché.
Une centaine de presets couleur sera accessible dans le menu, des références classiques Lee Filter et Rosco avec la particularité de faire la distinction de température de la source, 3200 et 5600K.
Nous n’en dirons pas plus, confidentialité oblige. C’est juste assez pour piquer votre curiosité, et vous inciter à les visiter à Prolight + Sound qui s’annonce encore très riche en innovations.

En attendant, voici quelques images de cette délicieuse soirée















 

Opeth se pare de DreamPanel-Twin Ayrton avec Magnus Boyd

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Après un début américain de 20 dates, le groupe de Metal suédois Opeth poursuit sa tournée mondiale « Sorceress » en Europe. Pour le public anglais, ils ont opté pour un seul spectacle à l’aréna de Wembley.
C’est Magnus Boyd qui a éclairé le groupe pendant les dix-huit derniers mois : « Au cours de la tournée, nous avons fait deux programmes spéciaux prolongés à Radio City et Belasco à Los Angeles, avec des titres des albums Deliverance et Damnation avant d’en faire un troisième à Wembley Arena », dit-il. « Le dernier programme prolongé sera à l’Opéra de Sydney en février. Ce sont des espaces impressionnants qui méritent vraiment une grande production. »

L’éclairage et le design visuel de Boyd mettaient en vedette 40 projecteurs DreamPanel™-Twin Ayrton loués à la société française S-Group. Le DreamPanel™-Twin est un projecteur hybride à rotations continues en pan et en tilt, qui présente sur une face un MagicPanel™, équipé d’une matrice de 8 x 8 LED RGBW avec des optiques de 45 mm et un écran vidéo RVB de 64 x 64 pixels au pas de 6 mm sur l’autre face. Sur la tournée Sorceress, les 40 projecteurs sont montés en quatre doubles colonnes derrière le groupe et constituent un point focal du kit d’éclairage.
« Petter Nilssen et moi-même, avons décidé de prendre les DreamPanel™-Twin »,. pour remplacer un décor de mur vidéo en trois parties, déjà passablement usé dit Boyd. Presque tous les titres du programme font appel à leur utilisation. Mais comme ils sont si polyvalents, nous avons pu faire évoluer les ambiances de manière continue, en commençant par le contenu relatif aux titres et en progressant de manière plus abstraite avec le mouvement de l’appareil.
Pour le bis, c’est l’enfer tout entier qui se déchaîne avec une belle vidéo abstraite, la rotation et une utilisation totale de la face faisceaux du DreamPanel-Twin. Le contenu a été créé à partir d’un mélange des médias de plusieurs créateurs de vidéo, avec les graphismes conçus pour Sorceress par Travis Smith et animés par Scott Rudd, les images abstraites créées par Pekka Stokke chez LJOS AS et un peu de contenu que j’ai créé moi-même avec des images de Jonas Åkerlund.

On a choisi Siyan Limited, une société de location basée à High Wycombe, pour compléter l’éclairage que demandait Boyd pour Wembley et la tournée européenne : « Je pensais que c’était un matériel impressionnant avec des caractéristiques très uniques », commente Tom Grant, le chef de projet, «… comme on attend de la part d’Ayrton ! Magnus les a utilisés de façon très créative et ils sont la signature de son design. »
En ce moment, Opeth fait une tournée en Asie-Australie, mais il reprendra l’arrière-plan de DreamPanel-Twin sur les prochaines dates en Amérique du Sud et en Amérique du Nord à partir de Mars, pour conclure finalement en juin avec plusieurs dates dans un certain nombre de festivals européens.

Plus d’infos

 

Journée de démo des systèmes Coda Audio

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Alors que se poursuit la tournée européenne de Placebo sonorisée avec talent par un système AiRAY Coda Audio, l’intérêt pour cette marque de diffusion va grandissant. Les curieux du Sud de la France (ou d’ailleurs) pourront trouver réponses à leurs interrogations lors d’une journée de présentation de tous les systèmes Coda, le 23 février à Marseille.


Philippe Pelmelle et Yves Guegan ont réservé l’Auditorium du Parc Chanot pour faire des démonstrations des trois systèmes line Array AiRAY, ViRAY et TiRAY et de toutes les enceintes, de la G-Series Full range aux enceintes coaxiales HOPS-Series et wedge CUE2 et même de la colonne CoRAY4.
Vous êtes tous invités, il suffit simplement de dire “Je serai présent” en cliquant sur ce carton d’invitation ci-dessous.
Parc Chanot – entrée A – Salle de l’Auditorium – Rond-Point du Prado – 13008 Marseille – 10h à 18h

 

Anolis, la gamme architecturale de Robe se déploie en France.

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Robe Lighting France va enfin distribuer la gamme de projecteurs Anolis, filiale 100% Robe, dédiée à l’éclairage architectural urbain et intérieur. Le catalogue propose une multitude de produits d’éclairage à leds, aux finalités différentes, et continue d’innover en étroite relation avec les plus grands cabinets d’architecture internationaux.

Les ArcSource, projecteurs étanches présentés sur le stand Robe des JTSE.

Les projecteurs existent dans la majorité des cas en version indoor ou outdoor, avec des alimentations intégrées ou déportées, et travaillent soit en trichromie RGBW, soit en blanc fixe ou variable. Leur programmation s’effectue en DMX, avec une console standard, ou grâce au système propriétaire ArcControl développé par Robe pour répondre aux besoins de simplicité des intégrateurs.

ArcPad
Les ArcPad sont des projecteurs rectangulaires sur lyre fixe dédiés à l’illumination de façade et de surface. Fabriqués en leds multipuces ou monochromatiques, les puissances disponibles varient entre 100 et 600 watts et sont étanches IP67. Le faisceau en sortie peut être symétrique (éclairement homogène), de 10° à 44°, ou asymétrique (éclairement de façade).
Présent sur le stand Robe aux JTSE, l’ ArcPad Zoom 48MC est le seul projecteur de cette gamme avec un zoom motorisé 8°-44°. Doté de douze leds RGBW de 15 W, l’ArcPad se décline aussi en leds PureWhite (6300K) ou SmartWhite (2700K-7100K). Son alimentation est intégrée, et le refroidissement est assuré par convection de surface. Un récepteur DMX de Lumen Radio est disponible en option ainsi qu’un large panel de couleurs de carrosserie pour se fondre dans le mobilier urbain. Le menu propose aussi un mode Standalone pour jouer des séquences de lumière en autonomie complète.

L’ArcPad Zoom 48MC dont le faiseau est réglable de 8°…
… à 44°

ArcSource Outdoor
Les ArcSource Outdoor sont des éclairages ronds structurant et de détail, IP67. De la toute petite mono-led ArcSource 1 au projecteur à 12 leds ArcSource 48, une douzaine de formats existent, en alimentation intégrée ou déportée jusqu’à 100 m, avec plusieurs choix d’ouvertures de 7° à 40°.

Deux formats spécifiques existent pour des applications très précises :

L’ArcSource 24MC submersible avec son corps étanche

1-L’ArcSource 24MC submersible est destiné aux fontaines ou à l’éclairage aquatique. Grâce à son corps en bronze et son verre trempé, il est entièrement étanche, IP68 jusqu’à 10 m de profondeur. Ses 6 leds multichips de 10 W délivrent 1400 lumens pour une optique de 7°.

L’ArcSource Inground 24MC dans un caisson transparent

2-L’ArcSource Inground 24MC IP68 est un projecteur encastré dans un boîtier étanche pour les incrustations au sol. Afin d’éviter de démonter le socle pour régler son azimut, le tilt de celui-ci est pilotable en ArtNet de ± 15°, sans s’intégrer au pilotage depuis la console.

ArcSource Indoor : Petite gamme de lumière de proximité et de détail, les ArcSource indoor comprennent deux produits, les ArcSource 4MC, source unique de 4 W, et les ArcSource12 en 12 x 1 W, en RGBW ou monochromatique.

ArcSource 4MC
ArcSource 12
Arcsource 12 Smartwhite

Arcline Outdoor : Grande famille d’éclairages linéaires ou en barres de leds contrôlables point par point, ces projecteurs se destinent surtout à l’éclairage urbain type cyclo ou en installation de jeux de lumières dynamiques.
Arcline Indoor : Pour la lumière d’ambiance et d’intégration, Anolis a développé la gamme de projecteurs linéaires Arcline Indoor, ArcLink et ArcCove.

Anolis Arcline 40MC
Anolis ArcLine Double Outdoor

La gamme Media Solution propose des guirlandes ou des modules de led en gestion point par point à utiliser avec leur station d’alimentation et l’Anolis Media Server.
La muséographie et le bâtiment peuvent se tourner vers les ArcPAR pour des petits projecteurs de proximité semblables à des Fresnel.
Enfin l’ArcControl est une suite d’appareils de commande et de télécommande murales intuitives avec enregistreur et générateur de scénario lumineux, dédiés spécifiquement aux produits Anolis. Un logiciel pour PC permet d’élaborer ses éclairages avant de les transférer aux boîtiers de restitution.
La gamme Anolis est entièrement conçue et produite par Robe Lighting en République Tchèque

D’autres informations de l’ensemble de la gamme sur le site Anolis

 

Amadeus, SSL et Sonic Emotion installent un système Dante

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Amadeus annonce l’installation d’un grand système de diffusion utilisant la nouvelle enceinte amplifiée PMX 12 D Dante en collaboration avec SSL et Sonic Emotion au sein d’une nouvelle institution multidisciplinaire, le Centre de technologie créative et artistique (ACT), à Gwangju, en Corée du Sud.
Le Centre ACT positionne Gwangju au sommet des échanges mondiaux sur l’art, le design et la culture. Lancé en novembre 2015 avec un grand festival et une exposition, le Centre ACT a entamé un ambitieux programme d’activités de partage, de collaboration et d’inspiration mutuelle qui a réuni les meilleurs talents asiatiques et internationaux.

Une vue du centre ACT

Les enceintes Amadeus PMX 12 D installés dans le centre ACT disposent d’un DSP 24 bits /96 kHz intégré et d’entrées analogiques, AES3 et Dante, d’un haut-parleur coaxial comprenant un boomer de 12 pouces et d’un moteur à chambre de compression de 2 pouces. Elles sont bi-amplifiées au moyen de deux amplificateurs numériques à résonance dédiés, au rendement élevé. Les amplificateurs PPM-PWM à fréquence fixe en classe D sont équipés d’une alimentation à découpage et fournissent 1 500 W (LF) et 400 W (HF).

La PMX12 D avec ses formes facilitant son emploi aussi en tant que wedge.

Michel Deluc, directeur de la recherche et du développement d’Amadeus évoque : « Nous comptons parmi les premiers fabricants de systèmes électro-acoustiques à nous être intéressés au transport du signal audio sur Internet Protocol (AoIP). Cette quête de la minimisation, tant de la latence que des conversions inutiles et souvent néfastes à la transparence du signal remonte à dix ans déjà, date à laquelle nous achevions le développement de la première ligne de systèmes coaxiaux bi-amplifiés à I/O EtherSound, imaginée pour le prestigieux Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique (IRCAM). Les avancées technologiques offertes par le protocole Dante et la normalisation de son utilisation par les professionnels nous ont inévitablement amené à réfléchir à son intégration au sein de nos systèmes. »
Chaque enceinte est contrôlée par un DSP à 64 bits capable d’une dynamique de 118 dB et comprend un module dédié à la gestion des paramètres de base du système : égalisation, alignement temporel entre les sections, limitation et protection thermique des transducteurs. Ce niveau de contrôle protège intégralement la série PMX D et lui permet de fonctionner au maximum de ses capacités. Dans un système de haut-parleurs électro-acoustiques, la conversion numérique-analogique doit se faire le plus en aval possible, c’est pourquoi la série PMX D intègre également deux entrées/sorties numériques conformes à la norme de transfert de données audio numérique AES3. Celles-ci sont associées à des convertisseurs à haute résolution 24 bits/96kHz placés le plus près possible des amplificateurs et travaillant ainsi en parfaite association avec eux.

Une vue de Space 1 dont on devine en hippodrome une partie des enceintes Amadeus et au centre, une partie des projecteurs vidéo Panasonic

Dongyup Kwak, conseiller A/V et CEO de C2 Artechnolozy nous explique : « Avant de rencontrer le président du centre ACT, je n’avais pas d’idées d’installation de système pour sonoriser ce lieu. « Space 1 » (alias The Ground) présente un volume vraiment très important avec 70 m sur 30 et 18 m de hauteur sous plafond. Le souhait du Président était de créer une plate-forme où les artistes, les designers, les ingénieurs et les chercheurs développeraient des idées futuristes, pour faire du Centre ACT une interface multiculturelle qui favorise l’échange de connaissances et de compétences entre créatifs d’Asie et du reste du monde ».

Un exemple de mapping vidéo au sol

« Nous avons proposé une« toile » audiovisuelle immersive d’avant-garde comprenant, entre autres, un écran géant, un environnement sonore spatial 3D et un système de mapping vidéo multicouche capable de présenter les plus grandes installations », poursuit Kwak.
« Pour les installations immersives et les expositions, nous avons dû créer un plafond intelligent, équipé de moteurs à chaîne, intégrant les liaisons audio, vidéo et réseau. J’ai donc conçu un plafond en treillis d’acier sur mesure avec 64 palans à chaîne et 64 bobines de câble numérique, combiné avec des bobines de câble réseau CAT5E avec des contacts mouillés au mercure.
Après de nombreuses expériences, les contacts mouillés au mercure se sont révélés être une solution stable », révèle Kwak. Les palans à chaîne de la série PLUSlite 500 de Movecat ont été choisis par le Centre ACT. C2 pense que c’est le premier choix en matière de sûreté et fiabilité de levage et de positionnement des poutrelles, des scènes, des structures de soutènement au sol et autres dispositifs utilisés dans les applications médias.

Une autre vue de Space 1 en pleine performance

Tous les palans à chaîne sont gérés par le contrôleur Movecat I-Motion Expert-T II, un produit haut de gamme pour le contrôle systémique des entraînements mécaniques dans les projets les plus grands et les plus complexes. Conçu pour des applications comprenant jusqu’à 240 moteurs, il permet la commande et la supervision de toute application dans le domaine du levage. « En Corée, nous appliquons les réglementations européennes D8 Plus qui exigent un double système de freinage, une double boîte de vitesse et un coefficient de sécurité de 10 », explique Kwak.
Pour la vidéo immersive, C2 a choisi le serveur multimédia 4x4Pro de d3 Technologies. Il est capable de piloter jusqu’à 4 sorties 4K ou 16 sorties HD, de transférer le contenu en quelques minutes au lieu de plusieurs heures et de convertir le format des signaux vidéo au fur et à mesure de l’évolution de l’industrie. Il est relié à douze projecteurs Panasonic PT-DZ21K, qui possèdent un système exclusif intégré à quatre sources lumineuses et de nouvelles lampes UHM haute puissance, ce qui permet de rendre l’appareil extrêmement compact tout en fournissant une luminosité extraordinaire de 20 000 lm. La série est compatible avec les systèmes de projection 3D passifs et actifs.

Une performance graphique et haute en couleurs
La puissance des projecteurs Panasonic avec un exemple des teintes possibles.

« Pour l’acoustique immersive, nous avons sélectionné une unité de synthèse de champ d’onde sonore 3D Wave I de Sonic Emotion pour le traitement de jusqu’à 32 entrées et jusqu’à 64 canaux de sortie », ajoute Dongyup Kwak. Basée sur le principe de Huygens (1678), l’idée de la synthèse de fronts d’onde (Wave Field Synthesis, WFS) a été développée aux Pays-Bas dans les années 1980 par l’Université de Technologie de Delft. Le concept WFS consiste à synthétiser des « hologrammes sonores » en simulant des ondes acoustiques produites par des sources sonores virtuelles.
Pour ce faire, le système utilise un grand nombre de haut-parleurs régulièrement espacés et utilisés conjointement. Chacun est commandé avec un retard et un gain calculés pour former une onde qui émane de l’emplacement désiré de la source virtuelle. Ce processus est répété pour chaque source sonore de la scène sonore. Le principal avantage de la technique WFS est de créer un champ sonore cohérent dans une zone étendue, ce qui préserve la fidélité de l’image spatiale (c’est-à-dire la position des sources) même pour les auditeurs situés à la périphérie de la zone ou pour les auditeurs qui se déplacent à l’intérieur de la zone.

« Le plat de résistance de cette installation a été la conception des enceintes. Les spécifications demandées étaient pratiquement irréalisables. Les contraintes techniques, de mise en réseau et d’acoustique nous ont poussés à développer une nouvelle série d’enceintes à source ponctuelle, bi-amplifiées et compatibles Dante, permettant de commander à distance chaque DSP intégré pour s’ajuster de manière optimale aux propriétés acoustiques de l’espace d’écoute. C’est de la création du système acoustique de cette installation qu’est née l’enceinte Amadeus série PMX D, une amélioration de notre design d’enceinte PMX d’origine avec ses nouvelles capacités techniques », déclare Gaétan Byk, responsable marketing chez Amadeus.
« Amadeus a été un excellent partenaire pour le Centre ACT », souligne Kwak.

La Live 300 de SSL

Le système audio est complété par une console de mixage numérique SSL Live L300. Philippe Guérinet, directeur des ventes internationales de SSL et directeur de SSL France, déclare : « Il y a plusieurs avantages importants à mettre en œuvre cette solution de routage à base de réseau. L’Audio sur IP permet de placer les boîtiers de scène là où on le souhaite, avec un minimum de câblage, ce qui est très important dans le contexte compliqué de ce hall d’exposition. De plus, cela permet de connecter facilement des produits compatibles Dante de toutes sortes : systèmes de haut-parleurs Amadeus PMX D, console SSL L300, boîtiers d’entrées-sorties réseau SSL et tous les autres accessoires nécessaires.
Cette approche réseau permet notamment de résoudre les contraintes classiques, en particulier le nombre de canaux, la synchronisation, la redondance, la latence et la distribution des signaux sans ajout de solution TDM traditionnelle. « Enfin, les solutions techniques choisies par ACT garantissent une flexibilité totale et une qualité audio étonnante, tout en réduisant de façon surprenante le coût global et en rendant les extensions aussi simples qu’économiques », a ajouté M. Guérinet.

La série Amadeus PMX D, qui a été spécialement développée, inclut une section d’entrée-sortie Dante soignée. « Combiné à la légendaire signature sonore de SSL, ce système de haut-parleurs de qualité studio réalise un très bon mariage, ce qui impressionne particulièrement les auditeurs, les participants et les artistes », conclut Dongyup Kwak. En plus de la fiabilité et de l’excellente qualité sonore propres à Amadeus, la série PMX D intègre une nouvelle section d’entrée-sortie Dante, permettant une intégration complète avec des réseaux de tiers de premier plan.

Le sub en 2×18’’ version Amadeus, le ML28

Les signaux audio peuvent être sélectionnés à partir d’un canal analogique, de deux canaux AES3 numériques et de deux accès Dante en redondance. Les signaux d’entrée sont sélectionnables individuellement pour chaque canal. Amadeus est la première société à intégrer la technologie Dante d’Audinate dans une gamme d’enceintes actives coaxiales.
Amadeus rejoint ainsi les 275 autres fabricants qui utilisent Dante, ce qui en fait, avec plus de 675 produits compatibles, la solution de réseau audio sur IP leader du marché. Chaque port Ethernet RJ-45 du réseau Dante permet la commande à distance du processeur du PMX D pour un réglage optimisé au moyen d’un logiciel dédié aux propriétés acoustiques de l’espace d’écoute. Il s’agit d’une application qui fonctionne sur Macintosh, Apple iPad et sous Windows.

Un bref film montrant la somme de trouvailles et de créations présentes au sein des différentes salles du centre ACT. Magique.

ACC Creation – ACT Festival from ACT Center on Vimeo.

Matériel audio mis en place dans le nouveau bâtiment du Centre ACT en Corée du Sud :

  • Enceintes Amadeus : 74 PMX 12 D avec cartes analogiques, AES3 et Dante intégrées (boomer 12” + moteur 2”) – 10 ML 28 (Caisson de basses à haut rendement, 2 transducteurs de 18′)
  • Amplificateurs Lab.gruppen : 3 PLM 20000Q (4 x 4 400 W/4 Ω, entrées-sorties analogiques, AES3 et Dante)
  • Logiciel Sonic Emotion : 1 Wave I Processeur de rendu de synthèse de champ d’onde 3D
  • Console Solid State logic : 1 SSL Live L300 (Console de mixage numérique)

Plus d’infos sur : le site Sonic Emotion, le site Solid State Logic et le site Amadeus,

 

Shure lance le système micros HF GLX-D Advanced

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Introduit récemment lors du NAMM, le système sans-fil numérique GLX-D Advanced, fonctionnant comme le GLX-D dans la bande 2,4 GHz, apporte dans une gamme accessible à tous, un nouveau procédé (breveté) de gestion automatique des fréquences, la recharge intelligente des batteries (fournies avec les packs d’émission) et des récepteurs (GLXD4R) format demi-1U installables en rack avec le gestionnaire de fréquences UA84672.

La possibilité de configuration multi-systèmes adjointe à nombre de canaux opérables en simultané de 9 ou 11, selon l’occupation spectrale, intéresse le marché des centres culturels, des institutions et des salles de concerts de petite et moyenne taille, tout en offrant de solides performances et un plus grand nombre de canaux. Evidemment ce système ne convient pas aux grosses manifestations ou au Live où souvent plus d’une trentaine de canaux sont nécessaires.
Les récepteurs GLX-D Advanced, reliés au manageur de fréquences, identifient et évitent les interférences en temps réel, en choisissant les meilleures fréquences pour chaque système. Le dialogue entre récepteurs et manageur s’opère par les ports HF (système de communication breveté), ce qui permet par ailleurs des performances HF améliorées grâce au distributeur d’antennes incorporé.

Les batteries du GLX-D

Le kit de mise en rack et les antennes détachables livrées avec le système rendent l’installation de plusieurs récepteurs GLXD4R très simple et efficace. On peut avec le manageur gérer jusqu’à six récepteurs montés dans le rack. Pour plus de canaux (9 à 11 maxi), il faut donc utiliser un second manageur.
La qualité audio est optimale avec le système de codage numérique Shure qui a déjà fait ses preuves et les accus Lithium-ion avec indication précise d’autonomie permettent une autonomie de 16 heures après une charge complète. Une solution écologique et très économique par rapport aux piles jetables.

Les produits GLX-D Advanced devraient être disponibles commercialement cet été.

Caractéristiques résumées du manageur :

  • Le Manageur de fréquences GLX-D Advanced fournit une gestion avancée et automatique des fréquences à un ensemble de récepteurs améliorant ainsi les performances HF et le nombre de canaux.
  • Coordonne les scans du récepteur dans le spectre 2,4 GHz
  • Garantit l’utilisation des meilleures fréquences de transmission et de secours
  • Permet de connecter plusieurs récepteurs à ses ports RF pour la distribution d’antennes traditionnelle. Autorise le déport des antennes permettant ainsi un positionnement optimum de celles-ci pour améliorer la stabilité du signal.
  • Jusqu’à six récepteurs peuvent être reliés à un manageur de Fréquences
  • Deux manageurs de fréquences sont nécessaires lorsque plus de six récepteurs sont utilisés
  • Jusqu’à 9 systèmes sont utilisables en simultané dans un environnement typique (jusqu’à 11 dans des conditions favorables)
  • Utilise un procédé breveté de transmission des données via câble RF pour gérer l’ensemble des récepteurs (Brevet US: US9094755 B2)
  • Gestion automatique des fréquences LINKFREQ – Gestion intelligente et novatrice des fréquences identifiant rapidement les meilleurs groupes et fréquences disponibles
  • Lien de communication bidirectionnel permettant un changement automatique et synchrone des fréquences entre émetteur et récepteur
  • Identifie et attribue les meilleures fréquences aux paires émetteur/récepteur
  • En cas d’interférence, assure une transition douce et automatique vers des fréquences de secours
  • Fournit l’alimentation nécessaire aux récepteurs, éliminant le besoin d’utiliser les blocs d’alimentation individuels
  • Bande 2,4 GHz utilisable sans licence au niveau mondial

 

Spotlight BeeLed petit mais lumineux

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Nouveau venu dans la gamme du fabricant italien Spotlight, le BeeLed surprend par sa petite taille et sa conception modulaire qui permet d’adapter ses performances en termes de puissance, angle de diffusion et température de couleur assez précisément à vos besoins. Et en plus il est beau ! Spotlight le place dans sa gamme architecturale.

Ce projecteur est petit, tout-petit même (130 mm x 112 mm pour la version 50 W), et j’avoue être étonné par son flux lumineux. Il se décline en deux versions de puissance du module led : 25 W et 50 W, les deux modèles fonctionnant sur le même principe. L’utilisateur dispose d’un module support principal auquel vient s’adapter un module led et enfin un module optique (1/4 de tour suffit). Ce système fait penser au principe des lentilles interchangeables sur les MultiPars.
Le BeeLed semble de très bonne fabrication, rien d’étonnant quand on connaît les projecteurs Spotlight. J’avoue le trouver joli, l’ensemble est en aluminium et le radiateur de dissipation de chaleur sur les côtés, lui donne une allure moderne. La lyre lui permet de prendre toutes les positions désirées.

Pour le refroidissement des leds, l’arrière du module principal est équipé d’un petit ventilateur à lévitation magnétique (système garantissant un minimum de bruit) caché derrière une grille.
Ce petit projecteur est alimenté en 12 V via un boîtier externe. On attend de Spotlight un boîtier d’alimentation de plusieurs BeeLed. Enfin la partie commande accepte les protocoles standard, Dali et DMX-RDM.
Mais c’est la puissance du BeeLed qui étonne, car la bête envoie du lux… Le constructeur annonce un éclairement au centre à 3 m de 2222 lux sur optique 12°, de 480 lux sur optique 55° et de 200 lux sur optique 90°.
Nous pourrions donc aisément imaginer ce projecteur dans d’autres applications que l’architecture comme un petit plateau de TV, une petite scène de théâtre ou de bar, une vitrine de magasin… sans oublier évidemment qu’il faudra gérer l’alimentation déportée.

Caractéristiques

25 W LED Blanc

  • Températures de blanc : 2700K, 3000K, 3500K, 4000K / CRI 80 ou 90
  • Flux selon modèle de 800 à 2000 lumens
  • Optiques : 12 °, 25 °, 35 °, 55 °, 90 °
  • Poids 0,5 kg
  • Dimensions : 130mm x 146mm x 96mm

50 W LED Blanc

  • Température de blanc 2700K, 3000, 3500, 4000K / CRI 80 ou 90
  • Flux selon modèle :  de 1700 à 4700 lumens
  • Optiques : 25 °, 35 °, 55 °, 90 °
  • Poids 0,6 kg
  • Dimensions : 130mm x 146mm x 112mm

Plus d’infos dans le catalogue Axente et sur le site Spotlight

 

Sound Design étrenne son nouveau système Nexo avec Marc Carolan pour Gavin James

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Le système principal et le renfort latéral de jardin basé sur la tête polyvalente M28, deux 8’’ et deux moteurs de 2,5’’ pour 141 dB de SPL Max. On devine derrière les 6 x S118 utilisés ici en extension de grave. 27 à 85 Hz à ±3 dB pour 143 dB, et le tout par un seul 18’’ par sub, on sait comment faire beaucoup de son chez Nexo.

Jeune chanteur à la carrière déjà bien remplie, Gavin James a joué pour la première fois dans une salle de très grande jauge, la 3Arena à Dublin.
Il en a été de même pour le prestataire Sound Design dont cette date a été l’un des plus gros chantiers et aussi l’occasion de mettre à l’épreuve son nouveau système modulaire STM dans une aréna.

Sound Design vient en effet de rentrer un système Nexo complet basé sur la tête polyvalente M28, après des essais concluants effectués au Croke Park Stadium lors d’un show multimédia pour la commémoration du centenaire du soulèvement de Pâques 1916, et au théâtre Bord Gais Energy pour le Centenary Show de la télévision RTE, tous deux à Dublin.
Outre 12 000 spectateurs, la 3Arena a accueilli une production de haute voltige pour ce concert de Gavin James, avec rien de moins que Marc Carolan à la face, l’homme à qui Muse doit depuis des années son excellent son sur scène.
Le système a été confié à Eddy O’Brien, l’un de ses techniciens habituels et œuvrant aussi souvent pour Sound Design.

Le design du système de tournée a été créé sur NS-1 par John Vickers et Eddie O’Brien de Sound Design avec la collaboration de Val Gilbert de l‘Engineering Support Team de Nexo. Les trois techniciens sont parvenus à des conclusions quasi identiques quant à la configuration des différents éléments STM.

A cour, 4 mètres et demi de M28 prêts à être levés et comprimés pour prendre la forme souhaitée de la ligne

Le gauche / droite est composé de 18 x M28 par côté, supporté par 6 x S118 afin de recréer un système accroché full range. Au sol 20 x S118 montés en arc sub, un déploiement cher à Marc Carolan, complètent l’apport d’énergie dans le bas.
Pour couvrir les gradins latéraux de la 3Arena, deux renforts constitués de lignes de 12 x M28 sont accrochés. Il en va de même sous la casquette composée par le balcon arrière où Sound Design a placé des têtes GEO M6. « Elles sont pointées en direction des bars et elles changent sensiblement le rendu du show dans cette zone » nous dit John Vickers le directeur général de Sound Design.

La ligne de cour en place, vue par le côté. Remarquez les bandes de tissu bleu, une solution simple et efficace pour masquer visuellement mais surtout acoustiquement une zone réfléchissante et dans l’axe de tir des renforts latéraux. Un autre gros avantage des M28 est leur capacité à prendre jusqu’à 15° d’angle vertical.

Nexo est aussi présent sur le plateau. Paul « Mini » Moore en charge des retours a choisi 12 wedges 45°N-12 et placé 2 x RS15 pour le batteur.
Pour les sides, c’est le montage classique 1x STM M46, plus 1x STM B112 et 1x STM S118 supportant l’ensemble posé sur les côtés.
L’ensemble est contrôlé et amplifié par 4 racks NUAR.

« Gavin James est très bon sur scène et nous avons selon moi assisté à un show exceptionnel » confirme John Vickers. « Cela est dû à l’association d’un très bon système, d’un mixeur de grande qualité et, forcément, d’une équipe technique qui casse la baraque.
La clé a été d’accrocher un système full range ce qui a permis de disposer d’une couverture en tous points excellente. »


Plus d’infos sur le site Nexo et sur le site Sound design

 

La carte AudioLan de Cymatic Audio devient compatible Dante

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Le module AudioLan de Cymatic Audio est compatible Dante avec son nouveau firmware.

Cymatic Audio annonce l’addition de la compatibilité Dante pour sa carte optionnelle réseau « AudioLan option Card » dédiée à l’enregistreur-lecteur 24 pistes uTrack24.
Cette dernière supporte en natif Ravenna et bien entendu le standard AES67 et peut désormais interconnecter le uTrack24 sur n’importe quel réseau AoIP compatible AES67.

La carte optionnelle réseau « AudioLan option Card » dédiée à l’enregistreur-lecteur 24 pistes uTrack24.

Le nouveau firmware  a été développé pour s’adapter notamment à un réseau Dante directement avec Dante Controller.
Grâce à AudioLan, on peut donc charger 24 canaux à partir d’un réseau AoIP, fût-il Ravenna, Dante, QLAN, Axia Lirewire ou autre compatible AES67, dans l’enregistreur-lecteur uTrack24 aussi bien en enregistrement qu’en lecture.
Les 24 pistes sont accessibles à n’importe quel endroit via un simple câble RJ45.
La mise à jour gratuite du firmware, qui sera disponible courant février, s’opère depuis la section téléchargement (downloads) du site cymaticaudio.com.

L’uTrack24 en rack 19 » 1U offre 24 canaux en enregistrement et en lecture en 44,1 et 48 kHz mais seulement 8 en 88,2 et 96 kHz. Pour le stockage, il fait appel à un disque dur USB (2 ou 3) externe formaté en FAT32 (à partir de l’uTrack) mais il peut être utilisé comme interface audio numérique pour un ordinateur.

L’utrack24 face avant

Trois types de cartes optionnelles peuvent s’insérer dans le slot ménagé à cet effet en face arrière :
Une carte ADAT 24 canaux, une carte MADI in/out et bien sûr la carte AudioLan. Les entrées/sorties analogiques symétriques se font par groupe de huit sur connecteur subD-25 au format Tascam.
Le DSP interne permet de faire un mix stéréo avec monitoring de tous les canaux sans intervention externe. Il dispose en outre d’une entrée et d’une sortie Wordclock. Il est possible de synchroniser jusqu’à quatre appareils pour étendre la capacité à 96 canaux en 48 kHz (32 en 96 kHz).

A gauche, on distingue l’emplacement réservé aux cartes optionnelles dont l’AudioLan

L’uTrack24 équipé de la carte réseau AudioLan et de son nouveau firmware fait partie du rack de démonstration d’interopérabilité Ravenna qui sera présenté à l’ISE (voir lien SLU ici).

D’autres informations sur le site Cymatic Audio

 

Faber Audiovisuals et S Groupe partenaires sur le marché français

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Depuis le 1er Janvier 2017, S Group fait équipe avec Faber Audiovisuals pour bénéficier de son soutien technique sur des projets LED en France.
Ce partenariat ouvre à S Group les portes d’un immense stock audiovisuel pour réaliser ses projets dans l’hexagone et renforce sa position sur le marché vidéo.

Faber Audiovisuals dont le siège social est situé aux Pays Bas, est actif en Europe pour ses projets internationaux dans l’événementiel, la télévision ou les sports avec, à titre d’exemple, les MTV Music Awards, The Voice (en Hollande), la Coupe du Monde de Football, la Coupe du Monde de Ski Audi FIS et l’Electrobeach Music Festival.

Leader mondial de productions audiovisuelles, Faber revendique de posséder le plus gros stock européen de panneaux à leds modulaires de premier choix mais également un large stock de dalles de sol et de barres leds black face ainsi qu’une vaste flotte d’afficheurs vidéo embarqués sur camions.
Faire équipe avec la société internationale d’audiovisuel, offre à S Group l’accès au stock de matériel Faber mais également à leur support technique : ingénieurs, techniciens et directeurs techniques, ainsi qu’à la combinaison de leur savoir-faire.

Thibaut Pral, chargé de communication de S Group précise : “ C’est d’abord dans une recherche de complémentarité d’offre et de globalisalisation de solutions que nous nous sommes retrouvés à discuter autour d’une table. Faber est un partenaire avec lequel nous collaborions déjà sur de nombreux dossiers nationaux et internationaux. Mais il était important pour nos deux sociétés d’entamer des relations plus étroites afin d’intégrer l’ensemble des process de travail qui font le succès de Faber. Cela demandait donc de baliser notre relation.

SLU : Y a t-il un rapprochement juridique des deux société ? Un rachat de parts ?

Thibaut Pral : C’est autour d’un contrat-cadre que ce rapprochement s’est construit. Nos deux sociétés ne sont pas liées juridiquement.”

Pour sa part, Faber Audiovisuals s’affirme convaincu de sa collaboration avec S Group et du développement prometteur de ce rapprochement.

Plus d’infos sur le site S Group et sur le site Faber Audiovisuals

Roadshow Martin-AMX à Besançon et Lyon

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Petit reportage de l’étape parisienne du Roadshow Martin-AMX qui se déroulait au Palais des Congrès pour découvrir le nouvel écran VDO Face 5 mais aussi la gamme de la marque américaine AMX, de solutions d’automation et de contrôle AV. Les prochaines étapes sont programmées le 7 février chez Studio Plus à Besançon et le 8 février à l’UCPA de Lyon. Et vous êtes tous invités.

L’équipe Martin et AMX du Roadshow Paris. De gauche à droite en haut :Thomas Delory, Nicolas Pommier, William Zadnik, Yohan Ory, Franck Veber, Jerome Garnier, Wouter Verlinden et Jean-Philippe Fouilleul. En bas, Bruno François et Martin Fournier

AMX comme Martin Professional sont sous contrôle de Harman France division « Harman Professional » avec sa tête Martin Fournier qui en qualité de directeur régional pour la France et le Benelux gère aussi les ventes aux distributeurs de tous les produits Harman sur ce secteur.
C’est lui qui nous accueille, un large sourire très communicatif accroché entre les oreilles, ravi du succès de ce Road Show à Paris.

Martin Fournier : “Nous avons reçu un large panel de clients, actifs sur les marchés autant architectural, que scénique et des théâtres aussi. Cette formule à Paris centre, dans un lieu accessible comme le Palais des Congrès, a fait l’unanimité et en plus sur deux jours, ce qui leur a permis de trouver un créneau plus facilement pour nous rejoindre.

SLU : Pourquoi n’avez-vous pas exposé aux JTSE ? Etait-ce une décision de Harman ?

Martin Fournier : Non, c’est la France qui a choisi de faire l’impasse sur les JTSE cette année, pour la simple raison que le nouvel écran VDO Face 5 ne pouvait pas nous être livré fin novembre. Par conséquent, nous avons opté pour un format différent qui est le Roadshow. La première date a eu lieu à Paris sur deux jours pour présenter les nouveauté sorties cette année comme le VDO Face 5, le MAC Axiom, l’Atomic 3000 Led et la gamme AMX.” « Les JTSE reste cependant un salon Stratégique pour la France et nous n’excluons aucune participation future. »

Martin lançait au LDI, un nouvel écran à leds pour compléter la gamme vidéo créative constituée du Sceptron, des VC-Grid et VC-Strip, tous maintenant contrôlés par le processeur P3 pour pixelmapper facilement des visuels sur les différents écrans de la gamme.

Un mur de 22 panneaux VDO Face 5, chacun de dimension 50 x 56,25 cm étudié pour travailler naturellement en 16/9 accompagne le Road Show. Il est encadré de Sceptron, VC-Grid et VC-Dot embarqués dans les mêmes visuels grâce au P3.

La configuration du Roadshow

Avec un pitch de 5 mm, ce nouvel écran bénéficie d’une définition remarquable et d’un contraste étonnant grâce aux diodes noires de la version destinée aux plateaux de télévision et concerts. Une autre version à diodes blanches privilégiant la luminosité.
Et surtout, il est classé IP 65 ce qui le destine à travailler par tout temps en extérieur, sur les scènes de festivals notamment.

Mis à l’honneur, à l’extrême gauche le Mac Axiom hybrid, les Mac Aura XB, l’Atomic 3000 LED et le Mac Quantum Profile Martin. A droite le gamme Rush

AMX, l’automation et le contrôle AV :
Nous retrouvons Thomas Delory, “Channel Manager” d’AMX depuis octobre pour les marchés entreprises, résidentiel, éducation, gouvernement. Il nous trace brièvement les spécificités et terrains de compétences de la marque.

Thomas Delory : AMX, société américaine qui a été rachetée par Harman il y a 3 ans, est spécialisée principalement en automation , systèmes de contrôle matriciels AV avec toutes les solutions de câblage intégré.
On a une solution de connectique qui s’appelle Hydra Port, des automates spécialisés ou tout en un avec des entrées audio, des entrées vidéo et de la commande. AMX touche aussi bien les entreprises que le résidentiel haut de gamme, les ministères, l’éducation… Autrement dit, tous les lieux qui comportent une petite dose d’audiovisuel vont pouvoir utiliser de l’AMX en installation fixe : les automates, boitiers d’intégrations…

Rack de décodeurs, encodeurs pour réseau IP, acceptent tous formats AV (DVI-HDMI, commande IR, audio en symétrique, liaison série…) pour créer une matrice de commutation et envoyer un flux à un endroit donné.

Nous avons aussi un logiciel, RMS Enterprise, qui permet la supervision et la gestion des équipements AV connectés aux automates AMX.
Les automates AMX nécessitent une programmation spécifique. Nous organisons des formations dédiées de programmation de plusieurs niveaux, ouvertes aux intégrateurs et aux programmeurs indépendants. Ces derniers interviennent en sous-traitance auprès des intégrateurs ou des clients finaux.

Quelques références récentes : Salles de réunions, de conseil, ou amphithéatre chez Veolia, PSA, EDF, Société Général, Kering, IBM, Hôtel Ritz,…

Prochaines dates du Roadshow

  • Le 7 février chez Studio Plus – 25, Chemin des Planches – 25000 Besançon – De 15 h à 20 h
  • Le 8 février à L’UCPA – 16 rue de Toulon – 69007 Lyon – De 11 h à 18 h

Pour toute question contactez Jérôme Garnier :
Tel : 06 73 86 32 88 – Mail : [email protected]

Plus d’infos dans SLU sur le VDO Face5, sur le site Martin/harman, et sur le site AMX/harman

 

L-Acoustics dévoile Syva, son premier système Segment Source

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Trois couleurs pour une même enceinte

Quelques jours avant l’ouverture de l’ISE à Amsterdam, L-Acoustics annonce le lancement de Syva, un nouveau format d’enceinte à haute puissance incorporant 6 HP de médium et trois en charge de l’aigu, dans une enceinte quasi colonne à courbure progressive en J.
L’arrangement exclusif des transducteurs baptisé Segment Source (brevet déposé), offre une très large couverture horizontale de 140° et verticale de 26° (à +5° et -21°), ainsi qu’une portée atteignant les 35 mètres.

Syva représente un excellent choix pour le corporate, les défilés de mode et plus généralement tout type d’événementiel, mais aussi pour sonoriser des amphithéâtres et des salles polyvalentes de moyenne jauge. Sa forme et sa taille raisonnable rendent Syva tout aussi prédestiné aux lieux de culte, les salles de projection privées ou encore les lounge bars.

Syva avec une image qui dévoile sa forme en J lui donnant une couverture verticale de +5° à -21° et 35 mètres de portée utile.

Syva dispose d’un renfort de grave additionnel appelé Syva Low, ainsi que d’un subwoofer spécifique appelé Syva Sub lui permettant d’atteindre 142 dB de SPL Max.
Le renfort Syva Low dispose de deux 12’’ tirés de ceux qui équipent le K2, conçus spécialement pour ajouter du contour dans le grave et offrir une bande passante atteignant 40 Hz.
Syva Sub quant à lui est équipé d’un seul transducteur de 12’’ mais dérivé des 18’’ qui équipent le KS28 et dans une charge différente qui lui permet de descendre à 27 Hz. Un contrôleur LA4X suffit pour alimenter 4 Syva.

Syva posé sur Syva Low, le renfort de grave et à droite Syva Sub en charge d’offrir une extension à 27 Hz.

Syva est prévu pour être attaché à un mur ou à une barre verticale, ou bien posé au sol via une platine spécifique. De la même façon il peut facilement être monté sur Syva Low ou bien Syva Sub en bénéficiant de la connexion automatique de l’audio et des ébénisteries AutoConnect. Une palette RAL complète permet à Syva de trouver sa place dans tout type d’ambiance architecturale.
« L’arrivée de Syva est une grande nouvelle pour L-Acoustics, » précise Stéphane Ecalle, le directeur du marketing de la firme de Marcoussis. « Syva est un tout nouveau système qui parvient à associer les points fort de la technologie ligne source avec une mise en œuvre de type plug-and-play, le tout dans un format discret qui saura séduire les utilisateurs recherchant petite taille et élégance. »

Syva va être présenté pour la première fois à l’ISE qui se tient à Amsterdam du 7 au 10 février sur le stand L-Acoustics #7-X220. Les premières commandes seront honorées à la mi-juin 2017.
SLU vous présentera plus en détail ce nouveau système dans les jours à venir.