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Ayrton DreamPanel Twin, lumière 3D et vidéo HD

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Projecteur de faisceaux côté pile et dalle vidéo côté face, assemblés sur une lyre à rotation continue, le DreamPanel Twin est la recette innovante d’Ayrton qui a débuté sa carrière en novembre 2015 aux Etats Unis dans le kit LeRoy Bennett sur The Game Awards, l’un des événements musicaux majeurs.

La face lumière, une matrice de 64 leds RGBW 15W
La face lumière : Une matrice de 64 leds RGBW 15W
La face vidéo : 4096 leds RGB 0,25 W
La face vidéo : 4096 leds RGB 0,25 W

Le DreamPanel Twin regroupe deux matrices de leds. D’un coté c’est une dalle de 4096 multipuces RGB 0,25 W dotées d’un nouveau réflecteur plat et noir mat qui assure un meilleur contraste tout en évitant de refléter les sources de lumière environnantes.
Elle est entièrement développée par Ayrton qui a choisi une définition de 64 x 64 pixels avec un pitch de 6 mm. Côté lumière, nous retrouvons le chiffre 64, avec une matrice de 8 x 8 leds RGBW Ostar Stage 15 W bien connues.
Ayrton les associe à un collimateur de 45 mm pour obtenir un faisceau de 6° et annonce un rendement optique stupéfiant de 85% ! Cette matrice est une source de lumière puissante et sa définition est suffisante pour diffuser des effets, qu’ils soient programmés par l’opérateur ou via un mapping.

AYRTON – DreamPanel Series Mix – Seventy Seven Unit Demo from Ayrton on Vimeo.

Visite au pays du rêve

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Comme ce projecteur est destiné à restituer des images, jusqu’au Full HD (1920 X1080), associant dans ce cas 30 x 16 DreamPanel Twin, Ayrton a veillé à ce que les bras de la lyre soient peu épais pour garder un espace minimum entre les dalles et assurer une meilleure lisibilité de l’image générale. On retrouve l’afficheur et les 6 boutons de navigation sur la base qui reçoit 2 poignées sur les côtés. Malgré la forme peu conventionnelle de ce projecteur, le transport est assez aisé grâce au blocage des mouvements Pan et Tilt et à son poids raisonnable : 24 kg.
C’est également sur les côtés que loge le système de ventilation du socle et les filtres anti-poussière en mousse. Sur l’arrière de la base se trouve la connectique : 2 prises PowerCON TRUE1 pour le secteur dont une de renvoi, deux connecteurs Ethercon RJ45 pour le contrôle en Art-Net et sACN. Le RDM est aussi supporté, tout comme le DMX 512, via l’Art-Net. Les deux prises Neutrik HDMI 1.3a In et Out se réservent le signal vidéo.

Au dos c'est IN/OUT pour chaque type de connecteur
Au dos c’est IN/OUT pour chaque type de connecteur
Dans le passage pour la main, l'aération et le filtre
Dans le passage pour la main, l’aération et le filtre

Dans le socle se trouvent les différentes alimentations spécialement conçues pour le projecteur. On trouve également la carte développée par Ayrton pour répartir le signal vidéo sur les 4096 leds RGB (une led = 1 pixel). Cette carte, nous explique Cyril Union (ingénieur de développement chez Ayrton), est capable de piloter 128 X 128 pixels. Elle est donc sous exploitée ce qui permet d’éviter les ralentissements de signal et donc les sauts d’images.
On passe ensuite du socle à la tête par l’axe Pan et son connecteur rotatif infini de plus de 40 points pour transmettre les signaux de commande et les alimentations. Les développeurs de la marque française ont conservé le système d’entrainement des deux axes, une courroie et un moteur pas à pas hybride triphasé déjà éprouvé. La carte de gestion des mouvements Pan et Tilt se trouve dans un des bras de la lyre.

La carte de contrôle de l'écran et des boutons de la face avant, une partie de la carte vidéo et l'autre alimentation
La carte de contrôle de l’écran et des boutons de la face avant, une partie de la carte vidéo et l’autre alimentation
Le connecteur rotatif chargé de transporter la puissance et les infos de la base vers la tête
Le connecteur rotatif chargé de transporter la puissance et les infos de la base vers la tête

Deux autres alimentations sont positionnées dans la tête, une pour les leds de puissance et l’autre pour les leds vidéo. Une autre carte sert à la gestion des huit ventilateurs de la tête, 4 en haut et 4 à l’opposé. En regardant le sens de montage des ventilateurs, on remarque que sur le haut ils sont montés 2 par 2 en opposition, un coté aspire l’air l’autre le rejette, et en bas ils sont inversés. Cela permet de créer deux chemins de ventilation.

Une tête bien pleine
Une tête bien pleine
La moitié du système de ventilation de la tête
La moitié du système de ventilation de la tête

Derrière les circuits des leds 15 W se trouvent les radiateurs : un par led, spécialement développés pour ce projecteur et fabriqués par un procédé d’extrusion. Les 64 sources sont montées sur 2 circuits séparés qui reçoivent chacun une carte de commande. On retrouve autour de chaque led les 4 trous permettant de positionner les collimateurs avec précision afin d’optimiser le mixage de couleurs.

Un radiateur extrudé pour chaque led
Un radiateur extrudé pour chaque led
Les 2 cartes supportant les 64 leds 15 W et les 2 cartes de contrôle
Les 2 cartes supportant les 64 leds 15 W et les 2 cartes de contrôle
Les collimateurs de 45 mm permettant de conserver 85% du flux des leds
Les collimateurs de 45 mm permettant de conserver 85% du flux des leds

La face vidéo elle aussi utilise 2 circuits qui reçoivent chacun 64 x 32 leds RGB. On retrouve donc 2 connecteurs d’alimentation et deux connecteurs recevant les données directement de la base. Pour simplifier le montage, les plaques sont assemblées dans un cadre qui vient ensuite se visser sur la tête. Il faut impérativement passer par un rack DreamPanel HD box et un logiciel développés par Ayrton HDMI Software Manager pour dispatcher et corriger le signal adressé aux dalles vidéo.
Le câble proposé pour relier le rack à la source mesure 10 m et il est possible de contrôler une configuration mixant des DreamPanel Twin et Shift (son homologue sans face lumière). L’intégralité de l’image (jusqu’à 1920 par 1080 Pixels) est diffusée sur tout le réseau, chaque source prenant les pixels qui lui sont assignés.

Les dessous du DreamPanel Twin
Les dessous du DreamPanel Twin
L'arrière de la matrice vidéo
L’arrière de la matrice vidéo

Sur la face avant du DreamPanel HDMI Media System, on trouve un écran tactile qui permet de configurer, entre autres, les entrées et les sorties vidéo. Sur le panneau arrière se trouvent 2 entrées DVI et 2 entrées HDMI avec une recopie pour chaque entrée. Il y a 4 sorties HDMI pour envoyer le signal vidéo aux DreamPanel Twin ou Shift et une sortie Standard permettant d’ajouter un moniteur.
On trouve également un port Ethernet pour connecter le logiciel de contrôle, ce qui peut également se faire via le port USB. Les 2 prises XLR 5 permettent d’amener le signal DMX pour piloter des mémoires internes et contrôler certains paramètres comme la luminosité ou sélectionner l’entrée vidéo (des opérations qui pourront se faire via Art Net dans un avenir proche).

La face avant du DreamPanel HD Box avec l'écran tactile
La face avant du DreamPanel HD Box avec l’écran tactile
L'arrière est très branché!
L’arrière est très branché!

Ayrton utilisant une paire du connecteur HDMI pour envoyer aux projecteurs les informations de réglage des dalles vidéo, il n’est pas possible d’utiliser un répéteur vidéo standard. Dans l’attente d’un répéteur dédié, si la distance entre le contrôleur et la source dépasse les 10 mètres du câble disponible, vous pourrez utiliser un adaptateur HDMI/2xRJ45 pour aller jusqu’à 50 m.
On peut relier autant de DreamPanel Twin ou Shift que nécessaire à un contrôleur, la limite étant uniquement la taille de l’image qui ne peut pas dépasser 1920 x1080 pix. Si la même image est diffusée deux fois, par exemple de chaque côté de la scène, un seul boîtier DreamPanel HD Box suffira.

Du rêve à la réalité

Nous avons essayé le DreamPanel Twin chez Ayrton et j’étais plutôt content d’avoir Cyril Union (ingénieur développement) sous la main pour répondre à mes questions et m’aider à installer et connecter le système vidéo. Un des points surprenants de ce projecteur, est que ses deux faces se pilotent indépendamment, à l’exception de quelques paramètres du contrôleur et le cas échéant, la source vidéo (comme un média-serveur). Il y a le projecteur lumière, avec le pan/tilt et la matrice de leds lumière d’une part et la dalle vidéo d’autre part.

Exemple de câblage de la console Lumière jusqu'aux sources DreamPanel Shift et Twin
Exemple de câblage de la console Lumière jusqu’aux sources DreamPanel Shift et Twin

Le côté lumière bénéficie de trois modes de contrôle DMX : Basic (18 canaux), Standard (20 canaux) et Extend (272 canaux). Et là je vous entends déjà crier : “272 canaux ! On ne peut même pas contrôler 2 machines sur un univers DMX ! Il va y avoir des trous partout !
Que nenni ! Dans les options, il est possible de scinder en deux parties le mode Extend et donner deux adresses DMX différentes : une au corps du projecteur et l’autre à la matrice de leds.

On se retrouve donc avec 2 blocs, un de 16 et l’autre de 256 canaux DMX que l’on peut patcher en 1 ou 2 fixtures (1, 1+101 ou 1.1+1.2). Le plus important étant que l’on peut regrouper les 64 leds par 2 sur un univers (2 X 256) et jusqu’à 32 bases sur un autre univers. C’est cette solution que j’ai retenue pour les tests.

Pour la partie vidéo, avec une seule dalle, rien de très compliqué. J’utilise un média-serveur comme source que je rentre dans une des entrées du Dreampanel HD Box, puis je connecte une des 4 sorties à l’entrée vidéo du Dreampanel Twin. Une led verte m’indique que le boîtier reçoit bien un signal du média-serveur.

Pour configurer le système comprenant le(s) contrôleur(s) et les dalles vidéo, nous utilisons le HMDI Software Manager et, par facilité, nous avons relié le PC au boîtier HD-Box via un câble USB.
Nous connectons le logiciel en cliquant sur la première icône en haut à gauche de l’écran. Quand la connexion entre le contrôleur et les projecteurs est effectuée, l’icône passe en bleu. On peut alors rechercher, grâce à la loupe, les HD Box et les projecteurs présents sur le réseau ou charger une configuration via l’icône de la flèche jaune.

L'interface du Logiciel HMDI Software Manager
L’interface du Logiciel HMDI Software Manager

On peut également préparer les configurations à l’avance en ajoutant ou retirant manuellement des “Fixtures” (dalles) à l’unité ou par groupes dans l’Outil d’ajout de dalles. On sélectionne le type puis on utilise les touches Add (+ vert) et Delete (X Rouge) ou Ajouter la/les dalle(s).
On répartit ensuite les dalles dans la « scene » qui représente la matrice de 1920×1080 pixels. On peut câbler virtuellement les “Fixtures” pour leur affecter une sortie et régler les différents paramètres. On testera les réglages en utilisant la fonction « Appliquer en volatile » ou on enverra la configuration aux machines via la touche « Télécharger la configuration vers les VPU » (Flèche verte).
Ce soft est très complet, intuitif et du coup assez simple à utiliser. Comme c’est une des premières versions, il manque quelques éléments comme un outil d’implantation en cercle ou une solution pour créer des écarts types entre les machines. Ayrton se fera un devoir de répondre aux demandes les plus nombreuses.

Et c’est parti, on peut maintenant contrôler tous les paramètres. Les 64 sources de la face lumière ne passent pas inaperçues et quand le projecteur vous a dans ses collimateurs en RGBW, ça pique ! Au niveau des déplacements, si le tilt du Twin est plus lent (1,72 s), que celui du MagicPanel 602 (1 s), ( voir test dans SLU) pour 180°, le Pan en revanche passe de 2,24 s à 1,72 s.
Les déplacements sont parfaitement maitrisés. En transition rapide, pas de saccade visible à l’œil nu en fin de course, et rien non plus en visionnant la vidéo. Tout comme la majorité des produits du fabricant français, le Pan et le Tilt sont indexables et à rotation continue. L’indexation sera de 540° ou 630° en Pan et 240° ou 540° en Tilt ; l’amplitude d’indexation se sélectionne dans le menu.

Suite aux retours d’utilisateurs, pour obtenir une transition propre entre un mouvement continu et une position fixe, il est conseillé de passer par un noir. On retrouve évidemment les paramètres Dimmer et Strob qui sont depuis longtemps parfaitement maitrisés. Au niveau couleurs, les collimateurs de 45mm permettent d’obtenir des mélanges homogènes quelles que soient les teintes, en volumétrique ou en éclairant une surface.

L'avantage des matrices RGBW c'est que l'on garde de la puissance dans les couleurs
L’avantage des matrices RGBW c’est que l’on garde de la puissance dans les couleurs

Au niveau gestion, il y a de quoi contenter tout le monde. En plus de la trichromie, on dispose de 7 combinaisons de blancs (2700K, 3200, 4200, 5600, 6500 et 8000K), 14 de couleurs, 3 d’effets Rainbow et d’un dimmer pour les presets de couleurs. J’adore la fonction qui permet de jouer sur un preset de couleur avec la trichromie pour en modifier la nuance ! On trouve également des macros de transitions entre deux teintes ce qui est intéressant, notamment pour les correcteurs de température.

Ayrton DreamPanel Twin

Ayrton DreamPanel Twin

Ayrton DreamPanel Twin

Ayrton DreamPanel Twin

Ayrton DreamPanel Twin

Ayrton DreamPanel Twin


Les dernières fonctions, mais non les moindres, concernent les effets internes : 113 chasers contrôlés par un paramètre de vitesse et un autre de transition. Ils sont sur 3 canaux DMX. Ça ne fait pas tout mais c’est très utile lorsque que l’on n’a pas de console capable de gérer des matrices, pas de média-serveur ou tout simplement pas de temps (c’est assez frustrant de se retrouver avec de super machines et de ne pas pouvoir les exploiter).
Il suffit de faire une rotation de 180° au Tilt pour retrouver la face vidéo! Evidemment, sa luminosité est moins élevée que côté lumière, il y a presque un rapport de 10 entre les puissances, mais la transition entre les deux est très intéressante. Le pitch de 6 mm est parfait. Même sur une seule dalle et de près, ont comprend très bien l’image. Il y a quelques corrections de couleur à effectuer, mais on arrive assez facilement à trouver les bons réglages et avec cette génération de leds, on a même de bons noirs.
Je n’ai pas disposé d’une grande surface pour ce test mais je n’ai jamais observé de latence ou de saut d’image. Le seul souci, on le voit sur la vidéo, est une persistance de lignes de pixels plus ou moins longues. Interrogé sur ce point, Cyril Union nous précise qu’il s’agit d’un problème de logiciel qui est aujourd’hui résolu.

L’heure des comptes

Ayrton DreamPanel Twin

Le projecteur en lui même étant assez simple, les mesures de lumière sont rapides mais non moins intéressantes. On commence par la courbe de dimmer, et connaissant l’équipe, on se doute du résultat mais n’étant jamais l’abri d’un problème… Ce ne sera pas pour aujourd’hui, l’enchainement des valeurs est parfait !

Passons maintenant au derating avec une certaine curiosité car les développeurs n’ont pas lésiné sur le refroidissement et Ayrton n’en est pas à son coup d’essai. Un coup d’œil au test du MagicPanel 602 dans SLU me rafraichit la mémoire. Avec ses 36 leds allumées à fond, nous avions mesuré un derating de 35%.
Qu’en est-il pour 64 leds… Le départ entre les deux courbes est assez similaire, celle du Twin est un peu plus régulière mais les deux descendent rapidement. Dans les deux cas la valeur la plus basse est atteinte en 15 minutes et c’est là qu’arrive une bonne nouvelle.
Avec plus de leds, la baisse du flux lumineux est moins importante sur le DreamPanel Twin, on gagne même 5%. Cela confirme les progrès réalisés par l’équipe sur le refroidissement des leds. Quand une seule led est allumée, la blanche, (très utilisée pour les effets) l’éclairement ne baisse même pas de 1% !

30% de derating pour presque 1000 W de leds dans un espace confiné
30% de derating pour presque 1000 W de leds dans un espace confiné
Moins de 1 % d'atténuation
Moins de 1 % d’atténuation

Mesures photométriques

Mesures RGBW à pleine puissance

Ayrton DreamPanel Twin

Ayrton DreamPanel Twin

L’éclairement au centre à 5 m à froid est de 25 740 lux. Après derating, nous mesurons 18 000 Lux ! Le flux total atteint 15210 lumens à froid et 10600 lumens après derating. (Nous avions mesuré dans les mêmes conditions, 10 600 lm à l’allumage et 6800 lm après derating pour le MagicPanel 602).L’angle du faisceau à I/2 est de 7,2° et 14,48° à I/10. La puissance et l’ouverture sont très intéressantes, non seulement pour le rendu des effets, mais aussi pour éclairer un musicien ou un décor.

Le blanc seul à pleine puissance

Ayrton DreamPanel Twin

En allumant la diode blanche seule, nous mesurons un éclairement au centre à froid de 11400 lux et 11340 lux après derating (qui est quasi nul : 0,7%). Le flux est alors de 7650 lumens à froid et de 7600 lm après derating : un résultat assez stupéfiant qui se place à 70 % du blanc full RGBW après derating !

Conclusion

Avec le DreamPanel Twin, Ayrton a créé un nouveau lien entre la lumière et la vidéo et offre aux concepteurs lumière un produit performant et encore de nouvelles possibilités de création et de diversité de tableaux qui enchanteront les spectateurs. La face lumière est beaucoup plus performante que le MagicPanel 602, la dalle vidéo bénéficie d’un excellent contraste et l’ensemble joue dans la précision.
L’engouement pour ce projecteur qui a illuminé la scène de l’un des plus gros show mondiaux sous les doigts magiques de LeRoy Bennett confirme notre enthousiasme. L’avenir du Twin s’annonce brillant!

Ayrton DreamPanel Twin General

Ayrton DreamPanel Twin DMX

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Jean-Marc Jolivet vend sa RoadHog 4

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Klotz F8UM11 8xFO : Des liaisons haut debit en toutes circonstances

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Le volume croissant du trafic de données en général a aussi un impact sur les solutions de transfert de données mobiles. Pour faire face à ces nouvelles exigences, Klotz a conçu un nouveau câble à huit fibres, le F8UM11 8x FO FiberFlex Ultra.
Développé pour une flexibilité maximale avec un revêtement primaire de 500 μm et un gainage complémentaire « tight buffered » de 900 μm, le câble protège les fibres optiques (8 x 50/125 μm, OM3, multimodes) des influences extérieures tout en ménageant un rayon de courbure minimum.

Klotz F8UM11
Klotz F8UM11

L’enveloppe extérieure ultra-robuste en polyuréthane a un diamètre de seulement 6,4 mm et peut supporter les rigueurs de l’utilisation en extérieur. L’enroulement et le stockage de tambour sont un jeu d’enfant, même aux températures les plus extrêmes.
Le FiberFlex Ultra est prolongé par les connecteurs klotz SmartBeam, offrant des liaisons solides qui sont conformes à la classe de protection IP 67. Ils sont encore imperméables dans des conditions climatiques difficiles, et toujours envers la saleté.
Pour s’assurer que le câble offre un débit de données approprié, Klotz a utilisé la nouvelle génération SmartBeam Octo à huit lentilles pour réaliser le FiberFlex Ultra. Cela permet des taux de transfert de 8×10 Gbits/s, solution idéale pour connecter les systèmes complexes en réseau pour les cars de reportage ou pour relier des studios mobiles.
Un seul câble peut gérer des liaisons MADI multiples ou HD-SDI ou encore un réseau gigabit. FiberFlex Ultra F8UM11 est au cœur de l’avenir numérique.

D’autres informations sur klotz-ais.fr

 

Le BMFL sur la piste du cirque Arlette Gruss

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Cirque Arlette Gruss

Le cirque Arlette Gruss fêtait ses 30 ans l’année dernière mais il ne vieillit pas. Avec 11 millions de spectateurs au compteur, il continue d’être fidèle aux traditions du théâtre mais ne cesse d’innover sur tous les tableaux.

Fin décembre, les 145 membres de cette grande famille posaient leurs valises sur la célèbre place des Quinconces à Bordeaux, le rendez-vous habituel pour la troupe qui jouit d’une relation exceptionnelle avec le public du sud-ouest.
La Cathédrale, immense structure de 18,5 m de haut avec une toile de 83 m de longueur et 49 m de largeur est donc déployée.

Photo © Fabrice Vallon
Photo © Fabrice Vallon

Pour la partie lumière, cette année le grand changement vient du BMFL, premier produit Robe à intégrer l’important parc matériel du cirque.
Contrôlés par une console grandMA2, ce sont environ 200 projecteurs automatiques qui s’articulent autour de la piste pour émerveiller petits et grands.
Une fois la Cathédrale en place, 11 personnes s’affèrent au montage du matériel son et lumière.
Le ligthing designer Arthur Oudin et Julien Lhomme, régisseur général du cirque ont préparé leur set pendant des mois et Arthur à travaillé à la création d’un show lumière optimisé en puissance intégrant le BMFL de Robe. 11 unités de la version Spot ont donc été commandées au groupe Dushow avec lequel le cirque travaille depuis de nombreuses années. Dans le set lumière, 8 BMFL prennent leur place au centre de chacune des 8 arrêtes de la structure octogonale qui culmine à 16 mètres de hauteur tandis que 2 restent au sol en entrée de piste, le onzième élément servant de spare.

Photo © Fabrice Vallon
Photo © Fabrice Vallon

C’est Julien Lhomme qui a repéré le produit lors de la tournée Internationale organisée par Robe en 2014 pour promouvoir son nouveau produit, en phase de beta-test : « J’ai pu constater que les produits Robe se sont réellement améliorés depuis les débuts de la marque. »

Robe BMFL cirque Arlette Gruss

« Nous avons pu tester ce produit cet été grâce à un prêt de Dushow, poursuit Arthur.
Et il faut reconnaitre que le BMFL est le spot le plus puissant qui existe à l’heure actuelle; nous l’avons choisi sur ce critère.
Et puis les gobos présents nativement dans la machine nous plaisent, nous n’avons pas eu besoin d’en commander sur-mesure.
Nous avons aussi noté les bons retours dont bénéficie ce produit depuis sa sortie. Nous avions des MAC III équipés en 1500 Watts à remplacer et après avoir étudié les propositions du marché, le BMFL est apparu comme le seul spot plus puissant sous un format réduit. »

L’important set lumière illumine une piste tout aussi novatrice. La piste est en fait une scène circulaire faite sur-mesure pour le cirque. Il s’agit d’une semi-remorque qui se déploie et s’ouvre comme une fleur. Plus de copaux au sol, jugés trop contraignant en terme de poussière pour les spectateurs mais également pour les machines.

Robe BMFL cirque Arlette Gruss

Car le cirque est un espace hostile à la technologie.
Julien nous explique cela : « Le cirque, c’est le pire lieu pour ces machines. Les équipements sont soumis à des conditions d’humidité et de température extrêmes.
En haut, il peut faire plus de 50°.
C’est justement un point qui nous inquiète quand on rentre un nouveau produit dans le parc. Est-ce que l’électronique va tenir le choc ? ».

Mais les BMFLs ont déjà essuyé une tempête de sable lors de leur installation à Brazzaville pour les jeux africains avec Concept K et Dushow ou lors des Nuits de la Guitare en Corse avec Audio Technique et le lighting Designer Tony Anzalone sur un site aride et poussiéreux.
La marque ne se fait donc aucune inquiétude quant à la capacité de la machine à affronter les conditions climatiques difficiles.

D’autres informations sur robe.cz

 

Yamaha étend sa gamme CIS avec les MA2120/PA2120

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Yamaha MA2120 - PA2120

Yamaha continue l’extension de sa gamme de produits CIS (Commercial Installation Solutions) avec l’introduction lors de l’ISE d’une paire de nouveaux mélangeurs et amplificateurs de puissance, les MA2120 et PA2120, qui offrent aux clients un plus grand nombre d’options pour configurer un système de sonorisation qui réponde exactement à leurs besoins.

Les nouveaux MA2120 et PA2120 ajoutent plus de puissance et de fonctions à la gamme MA / PA existante qui a fait ses preuves pour les systèmes audio de haute qualité configurés rapidement et facilement, sans la nécessité d’un contrôle de logiciel.
L’amplificateur-mélangeur MA2120 dispose de six entrées micro / ligne et deux entrées stéréo avec possibilité de mélange. Les entrées micro disposent d’une alimentation fantôme 24V, et les entrées cinq et six peuvent être utilisées comme entrées de sommation mono. La gamme de fonctions permises par le DSP intégré (suppresseur de feedback, ducker prioritaire, Leveller, compresseur et réverbération / Echo) touche un plus large éventail d’applications.

Yamaha MA2120 Front
Yamaha MA2120 Front

Le MA2120 dispose également d’un égaliseur sur les deux sources stéréo avec une fonction physiologique, et des égaliseurs pour chacun des deux canaux de sortie, avec des préréglages de l’égaliseur optimisés pour haut-parleurs VXC et subwoofers VXS, ce qui rend possible l’installation d’un système audio de haute qualité en utilisant seulement des amplificateurs Yamaha MA / PA et des haut-parleurs VXS / VXC.

Les MA2120 et PA2120 sont capables de contrôler les sources d’entrée pour une utilisation sur deux zones, comme un magasin de détail avec deux étages ou un restaurant avec un coin salon et bar séparé.
Pour les grands espaces, un second PA2120 peut être ajouté pour étendre le système à des zones supplémentaires.

Yamaha MA2120

Les utilisateurs peuvent également ajouter des panneaux de contrôle en montage mural Yamaha DCP1V4S, DCP4V4S et DCP4S pour la commande des volumes de sortie et la commutation on / off de microphone.
Les deux modèles fonctionnent en basse impédance (2x120W @ 4Ω / 2x100W @ 3Ω et 8Ω) ainsi qu’en haute impédance (2x120W et 1x200W en 70V / 100V).

Tous deux sont équipés de modules d’amplification en classe D avec des fonctions de protection aussi bien dans l’alimentation que pour les amplificateurs.
 Ces nouveaux modèles sont également certifiés ENERGY STAR, la norme des équipements et installations écologiques internationalement reconnue.

 » Nous sommes très heureux d’annoncer l’ajout de ces nouveaux modèles d’amplificateurs de puissance MA / PA à notre gamme CIS,  » explique Ken Hiraoka, Yamaha Pro Audio Department Manager.  » Avec ces derniers et les nouveaux haut-parleurs de la série que nous lançons également, Yamaha peut fournir à la fois les utilisateurs finaux et les installateurs avec un large éventail d’options pour configurer facilement un système sonore de haute qualité.  »

 

Colloque Showlight 2017 à Florence : Appel à conférenciers

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Concepteurs d’éclairage et réalisateurs, régisseurs et pupitreurs, scénographes, fabricants de matériels et tous les professionnels concernés, Showlight vous invite dès maintenant à soumettre vos idées de sujets de conférences pour le programme de 2017. Ne laissez pas passer votre chance de faire partie de ce prestigieux événement !

Showlight 2017

Showlight Quadriennal est l’un des rares événements internationaux organisés spécialement par les professionnels de l’éclairage pour les professionnels de l’éclairage du spectacle, de la télévision, du cinéma, de l’architecture et de l’événementiel.

Organisé tous les quatre ans, Showlight 2017 se déroulera à Florence du 20 au 23 mai et marquera la dixième édition de ce colloque de l’éclairage très attendu. Showlight s’est fait une réputation en rassemblant les noms les plus célèbres du monde de l’éclairage. Les participants ont la possibilité d’intégrer la grande communauté de l’éclairage mondial. Des gens aux carrières et réputations bien établies s’y mêlent avec ceux qui débutent dans le métier.
Grâce à un ensemble complet de communications, un salon assez exceptionnel et un programme instructif et divertissant, dont le clou est un dîner-conférence complet, Showlight est une occasion unique de rencontrer l’industrie de l’éclairage.

Florence 2017 – le 10e événement Showlight quadriennal

Palais des congres Florence
Palais des congres de Florence

Clay Paky sera le sponsor principal de Showlight 2017. Installé dans l’historique Palazzo dei Congressi de Florence, fleuron de la Renaissance, il promet d’être une nouvelle page exceptionnelle de son histoire. Le Palazzo dispose d’une grande salle de conférences entourée d’un espace d’exposition réunissant jusqu’à 40 exposants.
Les participants auront largement le temps de visiter les stands, voir les exposants et assister aux conférences. Un grand programme de visites des principaux lieux culturels et de certains plus rares est prévu le lundi 22 mai après-midi.

Appel à sujets de conférences

Le programme de la conférence représente une partie importante de l’événement. Showlight met un point d’honneur à faire venir un large éventail d’intervenants sur un large éventail de sujets depuis les grands événements internationaux de l’éclairage jusqu’à l’innovation dans l’éclairage des salles des fêtes de village, et depuis la recherche jusqu’à l’inspiration venue d’autres domaines de l’éclairage, les victoires de Broadway jusqu’aux travaux pratiques d’étudiants.

Showlight appelle dès maintenant tous les concepteurs d’éclairage et les réalisateurs, les collaborateurs, les programmeurs, les scénographes, les fabricants de matériels et tous les professionnels à présenter leurs idées pour le programme des conférences de 2017.
Pour permettre de traiter plus de sujets, chaque présentation doit durer 20 minutes et prévoir du temps pour les discussions.

7 grands thèmes sont retenus, à considérer de manière très large, mais d’autres catégories peuvent aussi être explorées :

  • Description d’éclairage innovants
  • Utilisation de structures spéciales et atypiques.
  • « J’ai essayé et cela n’a pas marché» (cela pourrait bien se révéler comme la présentation la plus utile !)
  • Sources de lumière : nouvelles sources, sources originales, sources de dernier recours
  • « C’est ma conception », je pleure ou j’applaudis si ça me plaît !
  • Effets spéciaux : quelle « spécialité », quelle efficacité ?
  • L’avenir et le passé: les techniques oubliées qui pourraient encore nous rendre service à l’avenir.
Florence
Florence

Des clips vidéo qui présentent l’éventail des conférenciers et des sujets de Showlight 2013 à Český Krumlov sont proposés sur le site de Showlight.

Les conférenciers du Showlight bénéficient d’une inscription gratuite autorise l’accès à toutes les présentations du séminaire, l’exposition, la participation à l’ensemble du programme de visites, les repas et boissons toute la journée et une place au dîner-conférence du lundi soir.
Showlight se fera un plaisir de participer aux frais de déplacement des intervenants.

Soumettez vos idées :
Pour intervenir à Showlight 2017, veuillez envoyer à l’adresse [email protected] les informations suivantes au Comité des communications :

  • Vos nom,
  • Coordonnées,
  • Un très bref résumé en anglais de votre parcours professionnel,
  • Et un bref aperçu de la teneur du papier que vous proposez.

Vous pouvez aussi compléter le formulaire en ligne à l’adresse : http://www.showlight.org/papers

 

La passerelle-commutateur réseau d&b DS10

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L’approche globale système entamée de longue date par d&b se concrétise encore avec l’introduction d’une passerelle AES-Dante au sein d’un rack 1 U, le DS10. Le DS10 est conçu spécifiquement pour les amplificateurs d & b. Il fournit 16 canaux de sortie AES via le protocole de transport audio Dante sur Ethernet, quatre canaux d’entrée AES3 et un commutateur réseau 5 ports intégré.
Avec le DS10 plusieurs canaux peuvent être envoyés de la console aux amplificateurs à l’aide d’un câble réseau unique. Le DS10 distribue les signaux audio aux entrées AES3 des amplificateurs d & b. Il envoie également des informations de métadonnées, telles que les étiquettes de canaux Dante et les indications sur le câblage via le flux AES3 à la dernière génération d’amplificateurs d&b pour un routage simplifié et un dépannage facilité.

d&b DS10 front

Le DS10 est plus qu’une interface entre le protocole de transport audio Dante et les amplificateurs d&b. Quatre canaux d’entrée AES3 permettent une utilisation entre console FOH et amplificateur avec la passerelle AES3-Dante.
En outre, le DS10 offre un mode «Bypass», qui permet un fonctionnement en tant que splitter AES3, pour distribuer directement les quatre canaux d’entrée AES3 à toutes les sorties AES3. L’alimentation universelle supporte les tensions de 100 – 240 V, 50 – 60 Hz, et dispose d’une protection contre les surtensions jusqu’à 400 V.

Le DS10 dispose par ailleurs d’un commutateur 5 ports intégré, pour un réseau primaire et redondant et trois VLan avec des fonctions de filtrage multicast. La connectivité s’étend à des appareils externes comme un ordinateur portable pour accéder au réseau et contrôler les amplificateurs utilisant le logiciel R1. Le DS10 peut transporter la fois des données audio et de contrôle à distance via le même câble réseau.

d&b DS10 back
d&b DS10 back

Les quatre canaux des amplificateurs d&b (D80, D20, 30D et 10D) peuvent être contrôlés via Ethernet en utilisant le protocole ouvert OCA, fournissant une bande passante élevée et un temps de réponse rapide pour un ajustement rapide et précis. Les quatre canaux de ces amplificateurs offrent des capacités de traitement du signal numérique complets, y compris deux égaliseurs 16 bandes et jusqu’à 10 secondes de retard pour chaque canal, ainsi que les presets d’enceintes d&b.

« d&b se positionne maintenant encore plus haut dans la chaîne du signal, directement à partir de la console avec tout le traitement du signal réalisé dans les amplificateurs. Les données de commande et audio peuvent désormais être envoyées aux amplificateurs d & b via le DS10, ce qui garantit simplicité d’utilisation et flexibilité « , explique Vicent Perales, d&b Product Manager.

 

Clair Global joue la carte de la Cohesion

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Clair Global, le prestataire du groupe éponyme disposant de ses propres enceintes acoustiques, annonce le déploiement de la série Cohesion.
Composée d’une tête line-array en 12 pouces, la CO-12, d’une en 8 pouces, la CO-8, d’un sub amplifié en deux fois 18 pouces, le CP-218, d’un second sub en simple 18 pouces, le CP-118 et du wedge CM-22 en deux fois 12 pouces.
Cette gamme vient compléter par le haut et rapidement remplacer la série i et ses 75 000 shows.

Basée sur la volonté de créer le système le plus compact, puissant et proche du désir de ses clients, la série Cohesion offre avec ses têtes line-array, le meilleur compromis entre une couverture large et homogène, une pression acoustique très importante, un poids raisonnable et une taille aussi faible en l’air qu’au fond du camion.

Clair Global Série Cohesion

Cette nouvelle gamme simplifie aussi considérablement l’inventaire du mastodonte de Lititz qui avec les « i » avait créé un grand nombre de références, ne serait-ce que par l’existence de modèles spécifiques de différentes portées, avec ou sans modules additionnels pour le grave et enfin prévus pour n’être déployés qu’à cour ou jardin.
« Les Cohesion associent qualité acoustique, SPL hors norme et efficacité de tous les instants, tout en réduisant la taille et le poids de l’ensemble » dit Jim Bowersox, l’ingénieur en chef du développement chez Clair Global.
« Faire plus avec moins, la requête des clients a été exaucée avec, par exemple, la possibilité de couvrir 270° en n’occupant que 10 mètres linéaires dans une remorque. Nous avons aussi mis l’accent sur la rapidité et la sécurité du déploiement de ces nouvelles enceintes » ajoute Shaun Clair, le vice-président du marketing de Clair Global.

Qui dit réduction de taille et de poids, dit aussi moins de carburant nécessaire pour transporter le système de date en date. Tous les amplificateurs équipant les nouveaux subwoofers, comme ceux embarqués dans les StakRak disposent de correcteurs de facteur de puissance pour réduire encore l’empreinte carbone des tournées.
L’accent va bien entendu être mis sur la formation des équipes qui vont mettre en œuvre la série Cohesion afin d’être certain de tirer pleinement parti des performances de ces nouvelles enceintes quelles qu’en soient les conditions de mise en œuvre.

Toutes les tournées en cours ou à peine terminées comme celle de Johnny Hallyday ou U2 et celles prévues pour prendre la route en cette année 2016 avec Clair Global, on pense à Bruce Springsteen, Billy Joel ou Black Sabbath, vont bénéficier de cette nouvelle gamme d’enceintes.

Le mot de la fin revient à Matt Clair, le directeur général de Clair Global : « Je suis fier de faire partie de l’équipe qui a su faire évoluer de façon significative le monde de l’entertainment vers des nouveau sommets. »

Les 5 enceintes de la gamme COHESION

Assez peu d’informations ont filtré quant à la technologie déployée dans cette nouvelle gamme. Nous avons synthétisé pour vous les données disponibles.

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Audio concept Clair Brother

CO-12

La taille de cette enceinte est de 115 cm de largeur, 36 de hauteur pour 56 de profondeur et elle pèse environ 60 kg en fonction de son ouverture. Jusqu’à 20 boîtes peuvent être accrochées. Deux options existent avec un modèle couvrant 80° et un second 120° en latéral. L’ouverture nominale verticale n’est pas divulguée.
C’est une trois voies équipée de deux 12’’ à grand débattement, aimant néodyme et charge reflex optimisée pour réduire les bruits dus aux turbulences. Une attention toute particulière a été portée à l’ébénisterie afin de limiter tous les bruits propres.

Clair Global Cohesion CO-12
Clair Global Cohesion CO-12

La section médium aigüe coaxiale comporte un nombre non précisé de haut-parleurs à haut rendement et aimant néodyme couplés à un guide d’onde ayant bénéficié d’une étude par éléments finis de frontière ouvrant à 80 ou 120°. La section aigue dispose d’un nombre non précisé de moteurs qui une fois chargés et alignés, débouchent dans le même guide d’onde.
Le nouveau diaphragme de ces moteurs élimine toutes les résonances parasites dans le spectre audible offrant un rendu particulièrement agréable. La réponse en fréquence s’étend de 35 Hz à 20 kHz à -10dB. Une simple EP8 sans repiquage trahit l’appétit de cette enceinte. La CO-12 est désormais la tête de référence grand format pour l’ensemble des prestations de Clair Global.

CO-8

Clair Global Cohesion CO-8
Clair Global Cohesion CO-8

Encore plus compacte, la CO-8 est prévue comme renfort latéral ou premiers rangs de la CO-12 ou encore comme petit système principal. Sa taille est de 67 cm de largeur, 23 de hauteur et 47 de profondeur pour un poids de seulement 23 kg.
Trois voies, elle embarque deux 8’’ à double bobine en charge du grave pour l’un et sans doute du bas médium pour l’autre ce qui implique un sens d’utilisation. Double bobine et aimant néodyme pour les deux haut-parleurs.
L’aigu est reproduit par un moteur 4’’ à sortie 1,5’’ sur trois modèles différents de guide d’onde à 120° en standard, et 80° ou 160° en option. L’ouverture verticale nominale est de 12°. La réponse en fréquence s’étend de 55 Hz à 18 kHz à +-3dB et le 50 Hz est passé à -10 dB.
La puissance admissible est de 1600 W en crête pour les deux 8’’ et de 300W pour le moteur. Une entrée et sortie EP8 permet de cascader au moins deux boîtes, enfin jusqu’à 24 d’entre elles peuvent être accrochées.

CP-218

Clair Global Cohesion CP-218
Clair Global Cohesion CP-218

Le CP-218 est la dernière version d’un sub déjà présent dans l’inventaire de Clair Global. Prévu pour être accroché comme stacké, son poids de 130 kg trahit la présence d’un ampli et d’une ébénisterie des plus sérieuses.
L’ampli en classe D refroidi par un réseau de ventilateurs, piloté par un DSP et alimenté au travers d’un PFC, délivre 9000 W à deux 18’’ développés spécialement pour cette enceinte, mus par des aimants néodyme et capables de débattements atteignant 80mm !
La proximité entre ampli et HP font que les pertes sont quasi inexistantes. La réponse en fréquence couvre deux octaves entre 29 et 80 Hz à ±3 dB et le 24 Hz est passé à -10 dB. L’entrée de la modulation se fait en analogique au travers d’une XLR.
Le DSP de bord pilote, linéarise et protège haut-parleurs comme l’ampli, et toute l’électronique est encapsulée dans un module remplaçable sur site, un module qui, vue la puissance et le PFC, pourrait être d’origine Powersoft, une marque qui a déjà fait partie de l’inventaire de Clair pour l’amplification des subs. Le CP-218 est enfin universel pour ce qui concerne tension d’alimentation comme fréquence du réseau.

CP-118

Clair Global Cohesion CP-118
Clair Global Cohesion CP-118

Sa référence trahit le montage d’un seul 18” à très haut débattement, sans doute le même que celui équipant le 218, mais disposant cette fois-ci de quasiment toute la puissance de l’ampli, 8500 W !

De petite taille et disposant de 4 poignées aux quatre coins de son ébénisterie, il ne pèse que 58 kg en version stackable et 68 kg avec son châssis d’accroche.

Prévu pour les situations où la place fait défaut, il complète idéalement bien les wedges Clair quand une forte pression y compris dans le bas du spectre est requise sur scène.

CM-22

Remarquable d’efficacité, de dynamique et délivrant une pression assez incroyable, le CM-22 a été employé au cours de la tournée de Calogero aux bons soins de XaXa Gendron (Voir Lien reportage ici).
Assez compact et doté d’un look classique, ce wedge comporte pourtant nombre d’innovations dont une gestion de l’onde arrière des deux 12’’ via un évent débouchant en face avant au ras du sol, deux haut-parleurs à haut débattement et double bobine offrant impact et extension dans le grave.

Clair Global Cohesion CM-22
Clair Global Cohesion CM-22

Le haut du spectre est confié à un moteur 4’’ à sortie 1,5’’ et dôme en titanium alimentant un guide d’onde taillé dans le bois avec une ouverture très précise de 50° horizontaux et 70 verticaux, à rapprocher de l’angle de la face avant du wedge de 35°. Ce guide a été étudié par éléments finis de frontière.
Le guidage rigoureux permet un couplage stéréo optimisé. La réponse en fréquence s’étend de 40 Hz à 18 kHz à ±3 dB, la puissance crête admissible est de 5600 W pour les 12’’ et 300 W pour le moteur ce qui justifie l’emploi d’un PLM20000Q, une plateforme où sont par ailleurs chargés les presets spécifiques à ces wedges.

STAKRAK

Clair Global Cohesion StakRack
Clair Global Cohesion StakRack

Complément idéal de la gamme Cohesion dans la recherche de la compacité, de la légèreté et de la flexibilité, le StakRak combine l’alimentation et la distribution du signal et du réseau rentrant et sortant, et est prévu pour accueillir 3 amplis Lab.gruppen de la famille PLM à choisir entre les 10000Q, 20000Q et 14000Q, ce dernier quand une très forte puissance est demandée.

D’autres informations sur www.clairglobal.com

 

Le spectacle Noël blanc s’enrichit de couleurs avec les Color Force

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A la High School de Brighton (Michigan), la société de production et de vente d’éclairages E2i Design a récemment prescrit des projecteurs polyvalents à LED Color Force 12 de Chroma-Q pour son spectacle de fin d’année, White Christmas.
C’est avec passion que Josh Holowicki de E2i Design soutient le théâtre de l’école de diverses manières, en tant que Président du Conseil d’administration, en tant que directeur technique et scénographe bénévole, et en tant que producteur. En tant que directeur technique, il chapeaute l’ensemble de l’audio, de la vidéo et de l’éclairage.

High School Brighton Color Force

White Christmas d’Irving Berlin est un spectacle de vacances classique tiré du film bien connu (Noël blanc, 1954). Il relate l’histoire d’un soldat et d’un capitaine de l’armée stationnés en Europe durant la seconde guerre mondiale en 1944.
Ce sont les artistes et les chanteurs qui s’évertuent à entretenir l’esprit de la 151e Division pendant les vacances. Le spectacle s’est déroulé sur les deux premiers week-ends de Décembre 2015 dans la salle de 900 places du Centre des arts du spectacle de Brighton. Cinq des sept spectacles ont affiché complet.

High School Brighton Color Force

« Nous avons utilisé 55 projecteurs Color Force 12 pour cette production. 36 étaient suspendus pour l’éclairage général de la scène, dont 11 pour éclairer le cyclo. 9 au sol et 10 au-dessus du public servaient à inonder la salle de couleurs », explique Josh.
« La famille Color Force est une gamme de produit fantastique. Ces projecteurs sont ceux qui fonctionnent le mieux sur mes créations. En particulier, avec leur remarquable mélange de couleurs qui est extrêmement polyvalent, je peux ajouter à volonté des couleurs pures ou des nuances chaudes et subtiles ».

Le modèle Color Force 12 fournit de l’énergie sur tout le spectre, depuis les bleus froids les plus profonds jusqu’aux rouges ardents comme la lave en fusion à partir d’un unique appareil. Long de seulement 335 mm (1 pied), il est parfait pour le montage au sol, au mur ou sur poutrelle. Il produit aussi un flux puissant de 2 400 lumens qui porte facilement jusqu’à 8 m en wash, avec une gradation progressive de qualité théâtrale.

« Ces projecteurs présentent aussi un fonctionnement extrêmement silencieux, ce qui est excellent quand on en utilise un grand nombre », poursuit Josh. Josh utilise de longue date les produits Color Force. A l’été 2015, dans la même salle, il a déjà utilisé les CF12 sur une production de « Nice Work If You Can Get It« .
A l’époque, il avait entièrement reconçu le système d’éclairage du théâtre et investi dans 36 projecteurs Color Force 12 pour le grill de la salle. « On les utilise aussi bien pour l’éclairage de cyclo qu’en wash et, sans aucun doute, ils font partie du spectacle », dit-il.

High School Brighton Color Force

La gamme d’outils d’éclairage créatif Color Force a été utilisée sur une large palette de spectacles et d’événements de haute volée, dont les tournées de concerts de Paloma Faith et The Tragically Hip, et des spectacles de scène comme la récente reprise de The King and I (Le Roi et moi) à Broadway, et diverses productions de l’Université de Boston, du National Theatre, de la Royal Shakespeare Company, et du Welsh National Opera au Royaume-Uni.

Plus d’infos sur www.chroma-q.com

 

Martin Audio sonorise les Stereophonics avec ses MLA et DD12

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Dave Roden, l’actuel ingénieur de sono de façade de Stereophonics, a piloté le mixage de toutes les tournées qu’ils ont entreprises depuis que le groupe s’est constitué, il y a plus de 20 ans.
Il s’est donc parfaitement familiarisé avec le système MLA de Martin Audio qui a succédé sans anicroche au W8L Longbow de la tournée précédente.

« Une fois qu’on m’a donné le choix du système qui allait succéder au Longbow, j’ai compris que j’avais misé sur le bon cheval. Parmi les diverses options, j’ai retenu le MLA et je n’ai aucun regret à ce sujet » dit-il. « Aujourd’hui, je n’ai qu’à m’asseoir tranquillement à ma place, je n’ai pas besoin de parcourir le parterre car je sais que le système sonne de la même façon en tout point de la salle ».

On distingue les deux grappes principales constituées de 16 MLA plus 2 MLD en downfill, de chaque coté de la scène
On distingue les deux grappes principales constituées de 16 MLA plus 2 MLD en downfill, de chaque coté de la scène

Quand on est arrivée à l’O2 Arena de Londres, c’était juste après un concert qui avait eu lieu la veille au soir au Brighton Centre, où le rendu a été sans équivalent. « C’est une salle (Brighton) très agréable à mixer, et tout à fait comme dans un stade, on peut y mettre autant d’enceintes qu’il faut pour que ça sonne comme un immense système de retours.
La salle réagit exactement comme on le souhaite : on perçoit les différentes durées de réverbérations et les égalisations » poursuit Roden, qui utilisait pour la circonstance une console Avid VENUE Profile en faisant un usage intensif des plugins Waves et de la puissance embarquée.

Mais le succès de cette tournée est dû en partie à la mise en œuvre des nouveaux DD12 de Martin Audio en remplissage, installés dans la fosse à côté des caissons MLX, et du nouveau réseau Dante de Capital Sound, dont c’était les débuts, conçu par Robin Conway, leur chef d’équipe audio.
Le dernier album du groupe « The Village Alive », dans lequel le leader Kelly Jones voit le prolongement conceptuel de « Graffiti On The Train », est déjà au Hit-Parade, et avec cette tournée, les Sterophonics sont décidés à en recréer l’expérience en public.
« Le groupe sait bien que le MLA est à la pointe de la technologie, et qu’il: fait des choses que les autres systèmes ne font pas. Donc tant qu’on continue à recevoir des compliments, ils sont très contents de me laisser faire » dit l’ingénieur du son.

Une des quatre DD12 de débouchage de l'avant-scène
Une des quatre DD12 de débouchage de l’avant-scène

L’Equipement de diffusion

L’O2 Arena a été équipée d’une grappe suspendue de 16 MLA et 2 MLD Downfill de chaque côté de la scène et 13 MLA + 1 MLD Downfill pour la couverture vers l’extérieur. Dix caissons MLX, dont sept tournés vers l’avant et trois vers l’arrière, constituaient un vaste arrangement cardioïde. On a aussi un empilement cardioïde de trois MLX orientés à 45° de la scène à gauche et à droite, pour couvrir l’extérieur dans les basses » détaille Toby Donovan, technicien système.
« Cela maintient les temps de retard à des valeurs un peu plus courtes dans le grand groupe de MLX, et cela améliore aussi la couverture dans les gradins latéraux ». Une paire de DD12 posée sur les caissons latéraux suit la même orientation. Les quatre DD12 centrales sont posées sur les MLX groupés et sont pointées vers le public sur des jolis pieds circulaires, ce qui produit un effet remarquable.

« Auparavant, on utilisait des W8LM ou des W2 pour la couverture de proximité, mais ces enceintes DD12 sont fantastiques, elles ont un son naturel et très puissant » ajoute Donovan. « Elles ont une parenté sonore avec les MLA, et comme tout est sur le réseau VU-NET, on peut les aligner temporellement une par une.
Je peux les mettre en œuvre comme une mini sono autonome, simplement en montant la fréquence du filtre passe-haut, car les DD12 descendent plus bas que nécessaire pour cet usage, mais elles ne nécessitent aucune égalisation de plus. Avec VU-NET, on peut superviser individuellement chaque transducteur et chaque module d’amplification partout sur le réseau.

Le réseau DANTE

On utilise les nouvelles interfaces d’entrée-sortie AES3 pour Dante de Capital pour attaquer la diffusion. Le réseau s’articule autour d’une combinaison de processeurs Lake LM44, d’interfaces Focusrite RedNet D16 AES et de commutateurs à 10 ports SG300 de Cisco, ce qui, selon Robin Conway, est une évolution naturelle.

Dave Roden, ingé son des stereophonics, derrière sa console Avid VENUE
Dave Roden, ingé son des stereophonics, derrière sa console Avid VENUE

« Ce choix est abordable, ça nous permet de travailler entièrement en 96 kHz, et cela nous permet d’améliorer encore le niveau de bruit du MLA, qui est déjà remarquable au départ. Avec les commutateurs / convertisseurs optiques administrés de Cisco et des bobines de double fibre Neutrik, cela fait une infrastructure très facile à installer et à utiliser ».

Le signal appliqué aux MLA reste entièrement dans le domaine numérique, sans passer par de multiples étages de conversion. Toby Donovan remarque aussi les avantages apportés par l’évolution continue du logiciel d’affichage de Martin Audio, qui améliore encore les performances du système. « Cela s’améliore sans cesse » dit-il, « En particulier, la nouvelle version intègre encore mieux les enceintes MLD Downfill. En un rien de temps, on les fait fonctionner plus énergiquement et on n’a plus besoin de zonage ».
Lorsque le rideau tombe sur la scène de l’O2 Arena après un spectacle où le groupe a joué tous ses meilleurs morceaux, on a l’impression que la soirée conclut parfaitement, par sa qualité, une année au cours de laquelle le MLA a régné sur les scènes de concert du monde entier.

Note sur les composants utilisés :

  • Le MLA est une enceinte amplifiée à trois voies destine au montage en line array. Elle utilise une charge à pavillon pour chacune des bandes de fréquences. Elle intègre deux transducteurs de 305 mm à bobines de 75 mm pour les basses, deux transducteurs de 165 mm à bobine de 50 mm pour le médium et trois moteurs à compression à gorge de 1 pouce pour l’aigu. Chaque module comporte une amplification intégrée (6 voies pour un total de 3 kW en régime permanent), un système de traitement du signal (DSP) pour le filtrage et l’égalisation, et une interface pour le contrôle au travers d’un réseau VU NET.
  • Le MLD Downfill est une enceinte similaire, destinée à prendre place au bas des grappes de MLA et destinée à faciliter la couverture des premiers mètres.
  • Le MLX est un caisson de basses incluant deux transducteurs de 450 mm à charge hybride, capable de fournir un niveau de 150 dB à 1 m. L’amplification intégrée est capable de fournir 8 500 W crête en classe D.
  • La DD12 est une enceinte compacte à 2 voies d’usage général, couvrant 65-18 000 Hz (-3 dB) et fournissant un niveau de 125 dB en régime continu. Elle comprend un transducteur de 300 mm à bobine de 75 mm et un moteur à compression à gorge de 1 pouce. L’amplification intégrée est en classe D à deux voies et fournit une puissance continue de 1 050 W, complétée par un DSP et une interface VU NET. Le pavillon d’aigus est orientable pour s’adapter à différentes positions.

D’autres informations sur :

 

The Pyramide de Minuit Une : l’objet lumière non identifié

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A la fois produit de créativité scénographique, projecteur laser révolutionnaire et source de lumière immersive, la Pyramide imaginée et créée par la société française Minuit Une, prestataire partenaire entre autres du Weather Festival, de la tour Eiffel ou de Jeff Mills, est en phase de faire évoluer l’expression visuelle du spectacle.
Née en 2013 des méninges passionnées de trois jeunes entrepreneurs et ingénieurs en physique français, et accompagnée dès son développement par des parrains de qualité que sont le centre de recherche de l’Institut d’Optique et le Centre d’Art moderne 104 à Paris, c’est en 2015 que le dispositif voit le jour et nous est présenté dans le showroom du prestataire Impact Evénement.

The Pyramide de Minuit Une

Évoluant dans une conception lumière spécialement réalisée par Nicky Tisserand et son pupitreur Stéphane Viallon, 7 pyramides de lumière nous démontrent dans la vidéo ci-dessous la singularité de cet objet-projecteur.

Rêvée comme une forme originale d’expression événementielle par ses créateurs, la Pyramide made in Paris, qui séduit déjà bon nombre de lieux d’art et de création, nous intrigue aussi.
C’est en découvrant le show lumière de Nicky Tisserand, et en échangeant avec cette dernière et l’équipe de Minuit Une, que nous tachons d’en savoir un peu plus sur la belle et lumineuse inconnue.

Aurélien Linz, cofondateur de Minuit Une, nous parle de la genèse du projet.

Les trois fondateurs de Minuit Une et inventeurs de la Pyramide, de gauche à droite, Eric Phelep , Aurélien Linz et Simon Blatrix
Les trois fondateurs de Minuit Une et inventeurs de la Pyramide, de gauche à droite, Eric Phelep , Aurélien Linz et Simon Blatrix

Aurélien Linz : « A la fin de nos études avec Simon Blatrix, nous avons abouti à un prototype et un brevet de la Pyramide et nous avons donc créé notre société Minuit Une avec Éric Phelep, notre troisième associé, qui lui, vient d’une école de commerce. »

Mais c’est surtout dans le cadre de l’incubateur pour jeunes entreprises innovantes du 104 à Paris (rattaché au musée d’art moderne) que Minuit Une se donne vraiment les moyens de faire évoluer le prototype pendant deux ans pour aboutir à ce produit fini qu’est la Pyramide et son concept, très nouveau.

Un projecteur qui est aussi un objet d’art.

Aurélien et ses acolytes voulaient dès le départ créer un éclairage scénographique qui soit aussi un bel objet. Et comme on peut aussi associer plusieurs pyramides entre elles pour créer des formes inédites et structurer l’espace en multipliant les angles de vue des 4 faces de chaque objet, ce concept représente une solution idéale pour habiller vite et bien presque n’importe quelle scène, lieu ou salle. Alors, les kits lumières, souvent importants en événementiel, pourraient être largement allégés et voir leur exploitation simplifiée.

La Pyramide est un bel objet en plus d'être un projecteur laser hybride transparent et multifaisceaux
La Pyramide est un bel objet en plus d’être un projecteur laser hybride transparent et multifaisceaux

Aurélien Linz : « Il s’agissait d’apporter à la fois un nouvel outil de création pour les éclairagistes et scénographes et une liberté concrète de l’objet-projecteur en tant que tel, qui peut tout faire très facilement, avec peu d’éléments et dans de grands espaces. »

Aurélien Linz : « Lors de nos rencontres avec des professionnels, ils ont exprimé ce besoin de réduire la logistique pour privilégier l’artistique. Là, avec ce produit, dès l’allumage (ultra simple, car la machine est plug and play: on branche, ça éclaire!) il a déjà un gros potentiel.
Ce projecteur se contrôle tout simplement en DMX, avec un accès facilité (même pour les novices des milieux plus «corporate» grâce à un mode macro avec des effets clé en main), tout en offrant des possibilités presque infinies de mises en lumière différentes. »

Un hybride laser/automatique.

En effet, La Pyramide laser a tout d’un projecteur automatique classique (robustesse, transport en flight case, contrôle DMX), tout en se distinguant par la qualité même de la lumière produite, qui présente un réel confort visuel, étonnant lui aussi pour une source laser.

Aurélien Linz : « Nous avons privilégié la qualité lumineuse. L’objet invite à être regardé. Grâce à la technologie interne, la lumière émise est très peu éblouissante. »

Une technologie largement développée aux cotés de l’Institut d’optique avec une volonté permanente de vouloir donner un nouveau souffle au laser et ses contraintes, de sécurité d’abord, puis d’utilisation, pour pouvoir l’emmener dans des lieux jusque là inaccessibles, tels que le 104 ou la Tour Eiffel.

La pyramide se commande comme un projecteur : entrée XLR5 pour le DMX, afficheur et touches de navigation dans le menu
La pyramide se commande comme un projecteur : entrée XLR5 pour le DMX, afficheur et touches de navigation dans le menu

Aurélien Linz : « Pour la Pyramide, nos recherches ont été menées pour abolir les longues distances de sécurité oculaire nécessaires pour la projection laser. Nous arrivons à une distance de sécurité de seulement 2 m, ce qui est inédit !
Car si on suit les calculs de la norme française, à puissance égale avec les technologies laser à scanner, on aurait une distance de 100 m à respecter. L’intérêt ici est de pouvoir mettre du laser partout, et encore une fois très facilement, tout en répondant aux standards. »

Comment ? En reléguant l’habituel scanner des projecteurs laser aux oubliettes, et en le remplaçant par un système de balayage unique, développé par l’équipe de Minuit Une.

Aurélien Linz : « Le système de balayage à rotation continue du faisceau permet d’obtenir dans les mesures ces performances de sécurité idéales, car la vitesse du faisceau est constante, il n’est jamais immobile. »

Et démocratiser le laser c’est aussi faciliter ses contrôles. Exit les logiciels dédiés, les protocoles ou l’appel à un ami (technicien laser!) pour utiliser la Pyramide: Tout se fait en DMX. Ça aussi c’est une petite révolution.

Aurélien Linz : « Nous avons cherché à contourner le sempiternel logiciel de contrôle pour laser en développant des canaux DMX comme pour les projecteurs automatiques avec des paramètres «classiques» de gobos, de vitesse, d’indexation, etc. Un software embarqué assure la conversion.
Nous disposons donc d’un mode à 18 canaux DMX qui permet très rapidement de prendre en mains la machine avec un grande variété d’effets, et un mode étendu full control à 30 canaux. Nous avons tenu à ce que le mode de contrôle et le contenu même des canaux soient le plus familiers possible aux éclairagistes, qu’ils puissent jouer avec du laser sans être spécialiste.

The Pyramide de Minuit Une

En fait, la Pyramide se comporte vraiment comme un automatique, seule sa source (ici une diode 5W RVB) diffère, en consommant moins qu’une lampe (beaucoup moins: à peine 60 W!), et en durant plus longtemps (quelque 4000 heures). »

Probablement aussi que les 4 miroirs qui dirigent les faisceaux laser au travers des parois transparentes de l’objet y sont pour quelque chose. Actionnés par des moteurs pas à pas, ils peuvent être contrôlés en 8 ou 16 bits pour des mouvements encore plus fins.

Mais ils relaient surtout la multitude de faisceaux issus d’une autre spécificité de la Pyramide laser : ses gobos. Créés électroniquement sur un canal DMX dédié, ils sont en fait le résultat d’ un découpage électronique qui démultiplie le faisceau, comme avec des couteaux, pour obtenir jusqu’à 64 bâtons par couleur, superposables à loisirs.

Et si on installe plusieurs pièces, comme ici, (7 pyramides délivrent leurs nombreux faisceaux dans le studio d’Impact Événement) on ressent bien l’impact du produit, très marqué mais aussi parfaitement en symbiose avec les autres projecteurs accrochés.

Remplir l’espace délaissé au dessus du public.

The Pyramide de Minuit Une

La forme pyramidale du projecteur qui mesure 50 x 50 x 90 cm et pèse une petite vingtaine de kg a été choisie et modélisée avec soin.
Tout comme le matériau de ses parois, en polycarbonate pour être utilisé partout, notamment au dessus du public ou en PMMA sur scène (avec une meilleure diffusion de la lumière) et un système d’accroche permettant de la suspendre et d’éclairer dans toutes les positions.

Aurélien Linz : « Le pouvoir visuel sur le spectateur est le moteur de notre création. En plus, on ne peut pas prétendre avoir un objet simple, intuitif et se suffisant à lui même si on ne facilite pas son installation ! »

Il est vrai que la dimension immersive de la Pyramide est indiscutable. En se plaçant en permanence du point de vue du public, les trois larrons invitent scénographes et éclairagistes à utiliser le projecteur pour combler l’espace au dessus d’une fosse ou de gradins de spectacle, trop souvent laissés à l’abandon, afin de créer des relais de lumière entre la scène et la salle.

Aurélien Linz : « La communion de l’artiste avec son public via la lumière, et l’habillage de l’espace, les réunissent dans un même monde en abolissant la frontière de la scène, sans avoir un lourd dispositif à mettre en œuvre…
On pourrait, par exemple, installer une cerce de 8 m de diamètre avec une dizaine de pyramides dessus afin d’obtenir un lustre lumineux magnifique et en toute sécurité au dessus des regards, puisque la source laser ne requiert qu’une distance de sécurité oculaire de 2 m. »

L’avis de Nicky Tisserand.

Pas étonnant que l’éclairagiste de mode, de ballets, de spectacles et d’événements Nicky Tisserand soit sous le charme de l’objet d’abord, de sa lumière ensuite, et surtout de ses créateurs engagés.
Dès sa rencontre avec la Pyramide, c’est la différence de l’objet qui embarque son imaginaire.
Elle collabore depuis avec la jeune équipe (26 ans chacun) et reconnaît n’avoir découvert que 20 % des nombreuses possibilités de l’appareil, qui ouvre tellement de voies et de champs d’applications.

Nicky Tisserand
Nicky Tisserand

Nicky Tisserand : « Je vois la Pyramide comme un objet qui révèle autre chose, que ça soit dans des scénographies lumière de concert, ou plus ponctuellement pour marquer, il n’est pas seulement un projecteur de lumière.
On dispose aujourd’hui de pléthore de projecteurs, on en utilise dans tous les sens, mais ce n’est que du faisceau. Avec la Pyramide, on utilise la lumière en tant que telle. »

Et bien qu’elle emprunte tous les codes des projecteurs automatiques via ses 30 canaux DMX, c’est sa conception à 4 miroirs qui, selon Nicky, augmente encore plus les possibilités en multifaisceaux. Que ça soit pour l’utiliser en vitrine (un des futurs souhaits de la scénographe) pour mettre en valeur un objet présenté, ou en exploitant la réflexion d’une source lumineuse extérieure sur ses parois transparentes, Nicky Tisserand, qui souligne le coté «graphique et beau» de l’objet, rêve du moment où la gamme s’élargira avec des sources plus puissantes de 15 ou 20 W pour pouvoir réellement exister en puissance lumineuse sur une grosse installation scénique.
Ainsi ce produit global, puits de créativité et projecteur à part entière, qui peut être joué seul ou en groupe, associé à d’autres projecteurs en éclairage, ou simplement leur servir de surface de projection (en vidéo mapping par exemple), semble pouvoir s’intégrer partout.

The Pyramide de Minuit Une

Que ça soit en événementiel, sur scène, dans de petites ou grandes salles, il libère le laser de son utilisation essentiellement clubesque, dans le noir total (même si des conditions d’obscurité sont nécessaires, un simple fond noir permettra de donner vie aux effets de la Pyramide).
Fait pour satisfaire éclairagistes, créateurs et prestataires, il se positionne sur le marché des projecteurs automatiques haut de gamme en termes de prix de vente (11 250 € pour le modèle 5W), de service (garantie, SAV, et entretien ultra facile) et de développement.

 

Console S6L Avid en écoute sur Leopard chez Best Audio

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Ecoute chez Best Audio

Depuis le temps qu’on vous le dit, que Marco de Fouquières vous le chante, que John Meyer en personne vous l’affirme sur son White Paper, c’est que c’est vrai, le Leopard de Meyer Sound est une excellente boîte.

Envie de vous forger votre propre opinion qui plus est sur la nouvelle console S6L ?
Ouvrir le gauche / droite, rectifier le mix à votre guise et vous payer une tranche de bon son dans d’excellentes conditions ? Si, si, c’est possible !

Du 1er au 4 février inclus, Best Audio organise dans le magnifique studio de Dushow à Roissy en France, des sessions d’écoute privées, un seul opérateur et/ou prestataire à la fois, d’une durée de 45 minutes, pour vous donner la chance d’expérimenter dans des conditions live, le nouveau système Leopard.
La configuration sera conséquente et très représentative : 6 Leopard et un 900LFC par côté en accroche, et deux 900LFC au sol par côté.

Comme un bonheur n’arrive jamais seul, cette écoute sera tout sauf statique puisque vous bénéficierez de la possibilité de mixer à votre guise, sur une toute nouvelle console Avid S6L, le jeu d’un batteur présent tout au long de ces 4 journées, un professionnel rompu à l’exercice.
Une équipe sera enfin là pour vous assister et vous guider dans la découverte de ces deux nouveaux systèmes de mélange et de diffusion.
Bien entendu vous pourrez aussi apporter vos mix et morceaux préférés sur une clé USB en haute résolution, et nombre de câblages analogique et numériques permettront de raccorder vos baladeurs et ordinateurs préférés. Au pire le stock de Dushow sera mis à contribution. Ils ont ce qu’il faut ;0)

Contactez sans plus attendre Sébastien Nicolas sur sa ligne directe au +33 1 34 38 25 34, par mail [email protected], pour convenir d’un rendez-vous lundi, mardi, mercredi ou jeudi. On n’attend plus que vous.

Best Audio Leopard Studio Dushow

 

 

EAW, Powersoft et Symetrix au Stade Des Lumières

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Stade de Lyon EAW Powersoft et Symetrix

Inauguré le 9 janvier dernier, le nouveau stade de Lyon, stade des lumières, fait l’unanimité quant à la qualité de sa sonorisation de confort.
L’étude acoustique avec les résultats de conformité a été menée par Atelier Audio Visuel alors que l’intégration a été effectuée par SNEF/AXIANS.

Le système adopté avec les QX500i est efficace et très discret
Le système adopté avec les QX500i est efficace et très discret

La diffusion adoptée en EAW QX500i, l’amplification en Powersoft Ottocanali et le matriçage en Symetrix Radius et Edge ont été fournis par Axente.

Le système de diffusion complet comprend vingt clusters d’enceintes trois voies coaxiales de la série QX500i d’EAW en bi-amplification répartis en 16 clusters de trois enceintes et quatre de deux enceintes dans les virages du stade, soit au total 36 QX596i (ouverture 90° x 60°) et 20 QX564i (ouverture 60° x 45°).


Le berceau de couplage et d’accroche des enceintes a été réalisé par SNEF/AXIANS.

Le système d’accroche conçu par SNEF/AXIANS
Le système d’accroche conçu par SNEF/AXIANS
Gros plan sur un cluster de deux QX 596i et une QX546i.
Gros plan sur un cluster de deux QX 596i et une QX564i.

synoptique Cablage EAW
synoptique Cablage EAW

Les deux locaux techniques placés à l’opposé dans le stade accueillent chacun une matrice Symetrix Edge reliée à la régie en Dante et pourvue de quatre cartes d’extension de 4 sorties analogiques, soit 16 sorties qui vont alimenter les amplificateurs Powersoft Ottocanali 12K4 (14 amplis au total) et 4K4 (4 amplis au total).

Les matrices Symetrix Edge intègrent un super module logiciel élaboré par EAW qui se charge de tout le traitement de signal pour les QX500 (filtre de répartition, filtres FIR, égaliseur paramétrique, …).
Les sorties analogiques des deux matrices ont été réparties afin que si un amplificateur ne fonctionne plus, ce ne soit pas une zone complète qui ne fonctionne plus mais des sous-ensembles répartis sur plusieurs zones.

Les deux sections de grave (deux fois 2 x 12’’) de chaque QX 500i ont été mises en série de façon à présenter une impédance de 8 ohms et obtenir, vu les longueurs de câble, un meilleur facteur d’amortissement (voir synoptique joint). Les câbles tirés sont en 6 mm2 ou 10 mm2 selon les distances.


Les corrections apportées sur un cluster se limitent au grave-bas médium
Les corrections apportées sur un cluster se limitent au grave-bas médium

Comme le montre une vue du traitement opéré dans les matrices EDGE, l’essentiel des corrections apportées se borne au grave-bas médium pour le couplage au sein d’un cluster et pour corriger l’acoustique du stade.
Ajoutons qu’une matrice Symetrix Radius en Dante dotée de deux extensions de 12 entrées et d’une extension 12 sorties analogiques se charge de la distribution du son dans les salons, salles privées et loges avec un pilotage par huit télécommande murales Arc2e.

Voir aussi sur SoundLightUp :

 

Tony Anzalone illumine le Stade des Lumières en Robe avec GL Event

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Robe Inauguration Stade des lumieres
(Photo : Nicolas Rodet)

L’Olympique Lyonnais voit les choses en grand. Le club de football de Jean-Michel Aulas vient de s’offrir l’OL Land, un immense complexe de sports et de loisir avec un centre d’affaires, un Mega Store, un parc de 25 hectares, de nombreux hôtels et restaurants…Et tout ce projet s’articule autour d’un objectif : offrir au club un stade à la hauteur de ses ambitions.

Le stade des lumières a donc vu le jour le samedi 9 janvier dernier lors d’une inauguration grandiose avec un show mettant en scène 1500 figurants et une performance de l’artiste américain Will.i.am.
Cette prestation a été confiée à un géant du secteur, le groupe GL events, plus précisément à sa business unit GL events Audiovisual. Alexandre Trapon, le Responsable Technique Lumière a fait appel à Tony Anzalone pour le choix des produits et le design lumière. Le set mis en place était composé à 90% de produits Robe avec 80 BMFL Blade, 70 Robin 1200, 84 Pointe, et 8 Robin 300.

Les BMFL Blade accrochés sur 10 ponts autour du stade à 70 m du point de chute...
Les BMFL Blade accrochés sur 10 ponts autour du stade à 70 m du point de chute…(Photo : Nicolas Rodet)
... en alternance avec les Robin 1200 qui assurent les nappages de couleurs
… en alternance avec les Robin 1200 qui assurent les nappages de couleurs. (Photo : Nicolas Rodet)

« Pour le BMFL, c’était un choix évident, explique Alexandre. Nous savons qu’il est taillé pour la configuration stade et grande scène. Nous l’avons donc choisi pour sa puissance mais également pour sa capacité à ouvrir large et à fermer serré pour créer des effets Beam. »

L'intérêt du BMFL Blade est de pouvoir découper des formes géométriques grâce à ses couteaux
L’intérêt du BMFL Blade est de pouvoir découper des formes géométriques grâce à ses couteaux. (Photo : Nicolas Rodet)

Tony, qui a déjà utilisé le BMFL Spot lors des Nuits de la guitare à Patrimonio l’été dernier explique également son choix : «  Cette fois-ci j’ai choisi la version avec couteaux, le BMFL Blade. Il a tous les avantages de la version Spot mais avec les couteaux, nous pouvions suivre les chorégraphies sur la pelouse avec la souplesse de pouvoir créer des lignes et des formes géométriques. »

Les pointes encadrent le Stade Des Lumières pour des effets beam...
Les Pointes encadrent le Stade Des Lumières pour des effets beam… (Photo : Nicolas Rodet)
... qui tracent leur faisceau au sol et dans l'espace aussi bien sûr.
… qui tracent leur faisceau au sol et dans l’espace aussi bien sûr. (Photo : Nicolas Rodet)

Accrochés sur 10 ponts tout autour de la pelouse, les BMFL étaient situés jusqu’à 70 mètres du point de chute du faisceau. « C’est vraiment le rapport puissance / poids / consommation qui nous a amené vers ce produit.
Nous apprécions aussi son mode de commande DMX basique qui permet de programmer rapidement. Le stade venait tout juste d’être livré, nous avions donc peu de temps pour programmer. Et je ne vais pas rappeler qu’en plus ce sont des produits très fiables. »
Les 70 Robin 1200, choisis pour leur ouverture ont permis de créer de larges nappages de couleur.

En faisceau large, la puissance du BMFL Blade reste impressionnante. Celle des wash Robin 1200 aussi.
En faisceau large, la puissance du BMFL Blade reste impressionnante. Celle des wash Robin 1200 aussi. (Photo : Nicolas Rodet)

 

Shure pleure sa Présidente Rose Shure

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C’est avec une très grande tristesse que Shure a annoncé le décès de sa bien-aimée présidente, Rose L. Shure, qui s’est éteinte paisiblement à son domicile. Depuis plus de 60 ans, Rose Shure était une véritable source d’inspiration pour les équipes de Shure.

Rose Shure

Au côté de son mari et fondateur Sydney N.Shure, elle fut à l’origine des valeurs et des principes de base qui ont guidé la société au cours du temps. Le bien-être de ses collaborateurs a toujours été une priorité pour elle. Elle était particulièrement saluée pour son intégrité dans les affaires et son respect pour autrui. Elle favorisa la mise en place d’un environnement de travail inspirant et créatif, épanouissant et qualitatif.

Sandy LaMantia, Directeur Général de Shure a déclaré : « Nous avons eu le privilège de travailler avec une femme vraiment extraordinaire. Notre compagnie ainsi que de nombreux organismes caritatifs et culturels ont bénéficié de sa prévenance et de sa générosité. Je suis convaincu que l’héritage laissé par M. et Mme Shure continuera à guider nos cœurs et nos esprits. »