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Bibou Avid de nouveautés

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Se balader dans un festival à Limoges et tomber sur Bibou est un vrai plaisir, « Bah, qu’est-ce que tu fais là toi…» Et c’est encore plus drôle quand en rigolant il balance un : « C’est de ta faute si j’ai une S3L ! » Tryo avec Bibou & Yoan Roussel ? En avant la musique !

La S3L Avid dans son rack avec ses accessoires, enceinte d’ordres, ventilateur (éteint le jour de notre reportage mauvais temps oblige. Le ventilo, pas Bibou !), l’écran de contrôle et le sonomètre qu’il faudra recalibrer en C et A aux nouvelles normes !

SLU : Tu nous retraces l’histoire de tes potars ?

Bibou devant sa console. A fond, Eric Tourneur en charge du système.

Sebastien Pujol dit Bibou : “J’ai toujours été sur DiGiCo : D5, D1 puis SD7 et SD10. Je n’ai pas aimé la SD9 car les faders ne sont pas dans l’axe de l’écran. Se pose ensuite la question de savoir si je reste avec des consoles standard ou si je fais le saut vers l’informatique, appelons cela des ordinateurs pour mixer. Et je regarde ce qui se fait.
Je croise un célèbre journaliste (sic) à un salon et je croise ses infos avec ce que je glane auprès d’autres techniciens comme Charles de Schutter dont j’ai entendu le son à l’Olympia de Kyo et j’ai vraiment aimé.

SLU : Madje s’en sert aussi…

Bibou : Et effectivement le mélangeur a un super son, chose qui m’a été confirmée un peu partout. J’ai hésité avec la grande sœur la S6L, et un assistant de Kendji m’a redit que la S3L était un excellent rapport qualité prix ce qui me convenait. J’en ai essayé une, et après avoir surmonté une certaine crainte, je n’étais pas très ProTools et ne connaissais pas l’interface liée à l’OS Venue, je suis parti avec et je suis ultra content. Aucune panne à signaler, si ce n’est une certaine sensibilité aux différentes normes de RJ45 présentes dans chaque salle et la présence ou pas de bouchons, ce qui peux occasionner quelques défauts de liaisons. Cela étant, une fois la liaison établie et tout dans le vert, ça marche très bien.

Une image classique de Tryo avec Daniel assis sur son cajon , une main occupée par des caxixi et entouré par Guizmo, Manu et Mali.

SLU : La surface ? Je vois de la bombe Contakt…

Bibou : Mon prestataire a préféré rentrer un modèle d’occase, j’ai donc quelques problèmes de fader à cause de l’humidité et de la poussière qu’on rencontre sur les festivals. Charles (de Schutter NDR) m’avait prévenu que l’accastillage de la surface n’était de toute façon pas…

SLU : Mais ça sonne !

Bibou : Ahh oui, vraiment. Il y a aussi un temps d’apprentissage pour bien gérer les ressources DSP mais une fois que tu as compris comment ranger ton rack de plugs, tu n’es jamais en manque de ressources DSP. Si tu fais n’importe comment, au bout d’un certain moment, tu finis par être à court. Si par exemple tu as un rack de compresseurs et tu insères une réverbe, t’as tout faux. J’ai un autre petit regret, c’est que tous les plugs ne vont pas spécialement dans la S3L. Ils doivent être agréés.

SLU : Tu as de quoi travailler ?

Bibou : Ouiiii. Je ne suis pas en plus quelqu’un de très difficile (rires).

SLU : Virtual soundcheck ?

Bibou : En festival ce n’est pas forcément indispensable mais vers la fin de la tournée j’enregistrerai quelques dates. Je l’ai en tout cas fait au début de la tournée et c’est mortel. Et en plus j’ai réussi mieux que Charles de Schutter (rires !)

Le secret des voix de Tryo. Ca chauffe, c’est fragile et lourd, mais ça sonne. Au-dessus, un triptyque de bon goût avec Lexicon, Yamaha et t.c. electronic

SLU : ???

Bibou : Moi, j’ai les pistes qui se sont nommées automatiquement, et j’ai une marque qui se positionne automatiquement sur le ProTools à chaque changement de Snapshot avec le nom de la chanson ! Si tu fais bien ta configuration, c’est génial.

SLU : Bon, et tes Tube-Tech, plug ?

Bibou : Non, ils sont là dans le rack. Au départ j’avais acheté les plugs qui n’étaient pas agréés S3L. J’ai réussi à les faire marcher en me faisant aider par mon assistant et en les installant sur la partie Windows de la S3L mais la crainte que cela ne plante et un résultat audio qui n’était pas ultra concluant m’ont conduit à ressortir mon bon vieux rack analogique perso et, pour des questions de latence, à le brancher sur l’engine ou la console, pas sur les stage racks.

J’ai aussi une belle Lexicon pour les voix, un SPX990 pour les guitares et un délai tc. Ces deux derniers c’est par habitude, j’aurais pu trouver aussi bien dans les algorithmes de la S3L, la PCM70 en revanche est importante pour mes trois voix car ce n’est pas évident de trouver la même chose dans la console. Un bon point en revanche pour Avid en ce qui concerne la compatibilité.
Nous sommes partis faire des dates à la Réunion et au Canada et la bascule sur Venue et SC48 de mon show a très bien marché. Une fois réaffectés les effets externes en effets internes, je n’ai même pas trop regretté les Tube-Tech. J’ai même retrouvé mes matrices et mes compressions parallèles. Pour être tout à fait honnête je n’ai en revanche pas retrouvé la qualité audio de la S3L, mais j’ai trouvé la compatibilité très efficace et simple.”

La face, la face…y’a pas que la face dans la vie. Parlons à présent un peu retours avec Yoan Roussel qui les mixe pour Tryo.

Yoan Roussel devant sa Pro2. Au sec alors que le public patiente sous des parapluies.

Il est parti bien équipé et nous a notamment concocté un chouette gloubiboulga pour insérer des… C’est lui qui va nous le dire !

SLU : Il paraît que tu as sorti ton Lego sonore. Tu nous racontes ?

Yoan Roussel : “Ce n’est rien de bien compliqué. Je mixe avec une Pro2 Midas et une tc M6000. En revanche pour pouvoir insérer des Vitalizer en sortie de mix avant les émetteurs PSM1000 Shure, on a dû ruser puisque On-Off n’en disposait pas.


La belle trouvaille. Jetez une oreille à ce plug, il est aussi discret que distingué et respectueux.

SLU : Tu trouves que les PSM 1000 ont besoin d’être « gonflés » ?

Yoan Roussel : Non pas spécialement, J’aime bien mixer de la musique plus que faire des retours, c’est donc agréable d’aérer un peu le tout, d’ouvrir le spectre.
On est donc parti avec un Realtime Rack de Soundcraft et ses plugs UAD2. 16 in et 16 out dans 1U. Tous mes départs ears passent donc dedans. Comme la console est au standard AES50 et le rack Soundcraft en MADI optique, j’intercale un convertisseur Klark DN9650. Rico Berrard qui est un fan des plugs de Soundcraft m’a bien aidé à tout installer et configurer.

Un rack bien sympatoche avec, de bas en haut, la M6000 et son interface, le Realtime Rack prêté par Freevox et le mac racké pour le piloter, le 9650 pour faire parler le Madi optique à une Midas Pro2 et pour finir, 3 récepteurs doubles UR4D Shure. Avantage d’avoir des liaisons micro et ears d’une seule marque, l’ensemble est relié en réseau et Workbench surveille le tout.

SLU : Tu as combien de départs ears ?

Yoan Roussel : En tout 11. Je travaille à partir d’une base commune et je mixe le tout après aux VCA. Je fais un gros suivi en temps réel pour chaque départ. Pas de gates, très peu de compression à part le cajon. L’UAD est sur les inserts. Les artistes sont ultra satisfaits même s’ils ne se rendent pas compte tout de suite.
C’est un confort, mais lorsque nous sommes allés à la Réunion en petit kit, sans UAD et sans la M6000, la différence était audible, surtout en rentrant quand j’ai tout remis en marche (rires). Ça joue bien, je me régale, d’autant que Bibou ayant passé un deal avec Audio-Technica, on a placé beaucoup de petits AE3000 sur la batterie et c’est vraiment génial. Sur les voix on a des capsules DPA et ça sonne aussi très bien (je confirme NDR). Au début ils ont eu un peu de mal car ils n’avaient plus tout à fait leurs sensations, mais maintenant ils sont ravis.

A droite de la Pro2, les 3 Distressor alter ego des Tube-Tech de Bibou et insérés sur les trois voix principales. Au-dessous, le SPL 9629, le tueur de sifflantes le plus simple et efficace, puis le D6 poussant le sub d&b qui, apporte à Danielito la patate dans le bas que ses ears suggèrent seulement.

SLU : D’autres périphériques outre la M6000 ?

Yoan Roussel : Oui, trois Distressor sur les voix et un de-esseur SPL 9629 sur les voix. C’est une régie assez compacte et très fiable.

SLU : Mais au fait… Manue (Corbeau NDR)… Elle ne mixe plus les retours de Tryo ?

Yoan Roussel : Non, elle est maintenant permanente à la régie son de la Philharmonie de Paris. Elle fait de la face, des retours, elle a une XL8. Elle voulait se poser depuis un certain temps.
Elle est venue m’assister cet été pour 4 dates, c’était un plaisir. On a commencé à se partager les retours de Tryo en 2014 mais elle a commencé en 2007.

Puisqu’on parle de Manue, retrouvons-la avec toute la fine équipe de Tryo en juin 2009 au Zénith de Paris. De gauche à droite Loïc Letort, Manue Corbeau, Grégory Maloche, Bibou et Yoan Roussel. Eh oui, presque 10 ans…

SLU : Et ton temps, tu le partages entre Tryo et..

Yoan Roussel : Tryo ! Cela fait plus d’un an que je tourne avec eux, et à part quelques petits coups pour On-Off, je n’ai travaillé que pour eux.

SLU : Mais alors, ce plug qui vitalise le son ?

Yoan Roussel : C’est le Precision K-Stereo. K comme Katz, Bob Katz qui a participé à son élaboration.”

The End

La pluie s’est calmée, le public afflue et Tryo a toujours autant la cote. Le cocktail est donc parfait pour que leurs tubes s’enfilent comme des perles sur un fil. Bibou, égal à lui-même, sort toujours aussi bien les voix, les guitares et le cajon, même si cette année Danielito a encore ajouté de la futaille à ce qui ressemble de plus en plus à une batterie qui aurait perdu sa grosse caisse en route.

Antennes, à mon signal, gaaaarde à vous !

Le tout a cette bonne couleur Tube-Tech et cette douceur bien taillée dans le médium qui sont le Trade mark du groupe, il n’empêche que Bibou s’amuse avec la dynamique de la S3L et une diffusion bien calée et dimensionnée par Eric Tourneur pour faire vivre son mix, même s’il joue quelques dB trop fort. Il a une excuse. La régie est à 25 mètres du système, une configuration de festival rendue nécessaire par le peu de places dans le petit parc situé en centre-ville.

Une cocotte à la guitare ? Paf, 20 dB de grave en plus et on oublie que c’est une acoustique. Des titres plus rock ? Une vraie électrique et avec disto s’il vous plait et le cajon, il sert de siège de batterie…Mais sonore le siège ! La transition grosse console/moyenne/petite est une réussite. La prochaine étape ? Qui sait, un mix sur iPad ou avec une souris. Sans fil bien sûr !

D’autres informations sur :

 

Panasonic introduit la famille PT-MZ670

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Offrant des flux lumineux importants et une maintenance réduite au minimum (pas de lampe à changer !), ces vidéo-projecteurs intègrent tout ce qu’il faut pour le réglage et l’exploitation à distance, ce qui convient bien aux salles de réunion et de conférence.
La famille de vidéo-projecteurs PT-MZ670 se compose de quatre modèles avec des flux de 6500 lm (PT-MZ670 et PT-MW630) et de 5500 lm (PT-MZ570 et PT-MW530).
Et avec des résolutions natives WUXGA (1920 x 1200) pour les modèles PT-MZ570 et 670 et WXGA (1280 x 800) pour les PT-MW530 et 630. Le contraste annoncé est de 3 000 000:1 (en mode dynamique) et le format d’image, 16/10.

Panasonic PT-MZ670

Pesant seulement 15 kg (16 kg avec l’objectif), ce qui est léger pour un appareil de cette catégorie, ces projecteurs combinent une source laser solide, un moteur optique tri-LCD et le traitement d’image Detail Clarity Processor 4. Utilisés en mode éco (c’est-à-dire avec un flux réduit), leur niveau sonore est de seulement 28 dBA (33 dBA en mode normal). Les objectifs sont interchangeables (et compatibles avec la série PT-EZ770 du même fabricant).

Le décalage motorisé de l’objectif permet de compenser à distance les déformations géométriques de l’image dues à une projection hors de l’axe (±67 % en vertical et ±35 % en horizontal par rapport au centre de l’écran). La mise au point est également motorisée.
De plus, selon l’environnement, ils peuvent fonctionner jusqu’à 20 000 heures sans maintenance (avec une diminution progressive de luminosité de 50 %). Ils peuvent s’installer dans n’importe quelle position.
Par ailleurs, outre la correction de trapèze conventionnelle, les projecteurs intègrent une fonction de correction géométrique permettant la projection sur des surfaces non planes, et une fonction de réglage des couleurs permet de corriger de légères variations de nuance de couleurs d’écran et facilite la juxtaposition d’images.

Les projecteurs de la famille peuvent être raccordés directement à une source (HDMI ou analogique), ou être reliés à un commutateur Digital Link à l’aide d’un câble Cat5 dont la longueur peut atteindre 150 m, transportant la vidéo Full HD, l’audio et les signaux de commande. Ils peuvent aussi visualiser le contenu d’un support numérique USB. Divers accessoires de montage sont disponibles, ainsi qu’un module optionnel permettant la transmission vidéo sans fil (radio à 5 GHz).

D’autres informations sur le site Panasonic

 

RVE Led and Play 100. Passez à la led en gardant vos gradas

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Vue globale du nouveau Led and Play 100 Fresnel

Deux projecteurs arrivent chez RVE, la découpe et le Fresnel Led and Play 100, deux appareils pourvus d’une source led pour l’instant arrêtée à 100 W (pour le lancement de la gamme), dont le rendu lumineux annoncé est équivalent à celui d’une lampe de 650 W halogène.
L’innovation réside dans l’absence totale de nécessité de ramener un câble DMX directement sur le projecteur leds, la liaison DMX restant au niveau des gradateurs.

Cette série est directement plug and play sur les sorties des gradateurs traditionnels installés sur sites.
Il suffit de brancher la découpe ou le Fresnel à la place de n’importe quel autre projecteur de type trad, sans manipulation supplémentaire et d’utiliser le bloc de puissance pour faire varier l’intensité de la source lumineuse.
Et le rendu à l’air prometteur. Fresnel branché sur un gradateur mono voie, il nous a suffi de faire varier l’intensité en manuel pour apprécier l’innovation. La courbe de dimmer à l’air d’être très proche de celle d’un projecteur classique tungstène, nous ne remarquons pas d’effet de seuil à l’allumage de la led.

Matthieu Vulpillat, associé gérant de RVE, aux JTSE.

Côté caractéristiques techniques, le Fresnel est donné pour une ouverture allant de 14 à 82°, tandis que la découpe ouvre entre 15 et 35° ou 25 et 45° suivant le modèle. La série est « customisable » sur demande au niveau de la température de couleur de la source led, en 3200, 4000 ou 5600K, toutes en IRC>90.

Connectique du Fresnel Led and Play 100

Nous remarquons pour finir à l’arrière du projecteur une sortie d’alimentation directe pour ponter plusieurs Led and Play 100 en parallèle. Il s’agit là d’un pas en avant certain de l’évolution d’un parc d’éclairage traditionnel.

Les tarifs annoncés pour la découpe et le Fresnel en version 100 W led sont respectivement de 1 136 € et 874 € HT.

Et plus d’infos sur le site RVE

 

Dalis 863 Robert Juliat : le Dalis à portée de tous

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Robert Juliat nous présente son Dalis 863 en avant-première sur les JTSE 2017. Cette gamme de projecteurs, bains de pieds et cyclorama, que les anglais préfèrent appeler Footlight et Cyclight, excelle sur les planches des théâtres grâce à ses optiques asymétriques uniques de répartition de la lumière et le mélange optimum de huit couleurs de leds.

Le Dalis 863 plus simple avec une seule rangée d’optiques

Le modèle 863 répond aux demandes d’utilisateurs de l’événementiel en recherche d’un produit un peu plus simple et plus abordable. Le châssis est identique, une barre d’un mètre de long où logent 150 W de leds, ici sur une seule rangée. Les couleurs sont restreintes au quatuor universel RGBW, suffisant dans la plupart des cas. Les systèmes d’accroche en insert M10 et le menu sont identiques, et le prix diminué d’un bon tiers, soit moins de 2000 € HT public.

C’est Séverine Zucchiatti, responsable de la communication de Robert Juliat, qui a accepté au pied levé de nous présenter le Dalis 863.

Spot Me, la poursuite universelle

Le système de tracking de poursuite par Robert Juliat évolue encore. Grâce à des algorithmes plus poussés et une calibration évoluée sur 4 angles, les capteurs installés sur les axes et l’iris de n’importe quelle poursuite Robert Juliat communiquent en temps réel avec leur serveur Spot Me exclusif.
Ce dernier convertit les données 3D en langage PSN, compréhensible nativement par la GrandMA 2 par exemple. Il suffit ensuite de faire correspondre dans la console les mouvements des projecteurs asservis aux données reçues pour que ces derniers suivent les mouvements de la poursuite.
Pour éviter les débordements hors de la scène, le serveur Spot Me permet de délimiter une zone scénique et une zone publique, et les mouvements d’iris peuvent être convertis en toute autre fonction, tel le zoom des automatiques.

Spot Me, le système de tracking de poursuite de Robert Juliat

Le travail réalisé par les équipes de Robert Juliat sur la gestion dans l’espace et la calibration 3D leur a permis d’obtenir un degré de précision supérieur à celui des développeurs de MALighting. Les deux entreprises travaillent depuis en étroite collaboration sur ce sujet.

Plus d’infos sur le site Robert Juliat

 

La BS présente son e-catalogue de nouveautés 2018

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La BS, en boutique ou en vente en ligne, c’est 600 marques et 30 000 références de produits. Le sommaire page de gauche est interactif, il vous conduit directement à votre centre d’intérêt.

La BS, connue pour son goût des innovations et des « moutons à 5 pattes » propose, dans cette mise à jour de son offre produits, une belle collection de futurs Best-Sellers et valeurs sûres en cette fin d’année 2017.
L’équipe de la BS a choisi d’utiliser les techniques interactives les plus pointues pour une réactivité maximale, sous la forme d’un e-catalogue de 162 (!) pages cliquables (donnant accès directement à la fiche article au sein du site internet) avec même des liens directs vers des vidéos de présentation issues de leur chaîne YouTube sans cesse enrichie.

Vous accédez aussi directement aux vidéos de présentation des produits de leur chaîne YouTube
Un clic sur la référence, vous emmène à la fiche produit du site.

Comportant plusieurs centaines de produits d’exception soigneusement sourcés par des Chefs Produits au fait des dernières tendances et des technologies de pointe, il balaie toutes les catégories : Audio Pro, Lumière, Vidéo, Lampes, Maquillage et Textiles Scéniques, Levage et Sécurité, Matériel Electrique, Consommables, Câblage, Outillage …

Plus d’infos sur le site la BS et ci-après le lien pour accédez au e-catalogue la BS

 

Vari-Lite VLZ chez Freevox, les leds au pouvoir

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Après plusieurs années de discrétion pour Vari-Lite, la marque emblématique effectue un grand retour sur le terrain avec trois projecteurs asservis – VLZ Spot, VLZ Profile, VLZ Wash – à moteur de leds blanches de 620 W calibrées à 8000K.
Ce trio partage la même armature et possède des cassettes électroniques communes pour faciliter leur construction et leur maintenance, avec toujours cette ergonomie Vari-Lite que l’on retrouve dans les rails métalliques d’accroche.

Les VLZ Spot et Profile

Le refroidissement de la source led s’effectue par un nouveau système de ventilation forcé directement sur le radiateur des diodes pour limiter au maximum les bruits de fonctionnement.
Cette gamme VLZ est pleinement compatible Art-Net avec une entrée et une recopie RJ45 en plus du DMX cinq broches. Avec le parti pris fort de privilégier la puissance, (le CRI est légèrement au-dessus de 70) et cette notion de l’entertainment américaine, cette gamme vise clairement les plus belles scènes de concert et les opéras.

Cyril Prat, Directeur technique lumière de la société Freevox, nous en dit plus dans notre vidéo exclusive SoundLightUp.

La gamme

VLZ Wash

VLZ Wash

Plus qu’une simple lyre d’ambiance, le VLZ Wash est un hybride Beam-Wash gavé de fonctions. Ses 52 (!) canaux DMX couvrent tous les besoins :

  • Zoom, Frost et edge pour passer d’un rayon clair d’excursion 8,5°- 52° à un faisceau aux bords progressifs de 12,6°-54°.
  • Une trichromie CMY 16bits avec deux roues de couleurs et le CTO variable unique Vari-Lite.
  • Une lentille oblongue pour les réglages de type « banane » et effet « ventilateur ».
  • Un jeu de quatre volets internes orientables à +/- 50°.
  • Un strobe à deux lames et un dimmer haute précision.

Ce Wash promet un flux renversant de 25 000 lumens au travers sa lentille de 155 mm.
Il est dès à présent disponible chez Freevox au prix public de 12 588 €.


VLZ Spot

VLZ Spot

Le VLZ Spot reprend les grandes lignes de la Wash, avec un flux identique de 25 000 lumens mais une lentille de sortie encore plus grande de 180 mm.

  • Une ouverture de 7° à 50°, avec trois niveaux de Frost.
  • Une trichromie CMY, deux roues de couleur et un CTO variable identique.
  • Deux roues de sept gobos particulièrement intéressants, et sans pizza !
  • Un iris, un prisme trois facettes, un strobe deux lames et toujours un dimmer 16 bits.
  • Et 42 canaux DMX pour le programmer.

Le VLZ Spot, déjà sur les routes françaises avec la tournée de Trust, est annoncé lui aussi chez Freevox
à 12 588€.


VLZ Profile

VLZ Profile

Pour clôturer cette belle série, le VLZ Profile reprend les caractéristiques de la Spot, y ajoute un bloc 4 couteaux et perd juste une roue de couleurs et la rotation d’une des roues de gobo mais gagne une roue d’animation.

  • Ouverture de 8° à 50°, avec deux Frosts supplémentaires.
  • Trichromie CMY, une roue de 6 couleurs et un CTO variable.
  • Une roue de sept gobos fixes et une autre de sept gobos rotatifs.
  • Système quatre lames à insertion complète et rotation globale de +/- 90°.
  • Iris, prisme trois facettes, strobe deux lames et dimmer 16 bits.
  • 61 (sic) canaux DMX de contrôle.

Avec sa lentille réduite à 140 mm pour éviter les déformations de focale sur les couteaux et un flux légèrement réduit à 24 000 lumens, elle intéresse particulièrement les théâtres.
Son prix ne change pas, 12 588 €, toujours chez le distributeur français Vari-Lite, Freevox.

D’autres informations sur le site Freevox

 

APG propose son nouveau logiciel de configuration temps réel

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Le fabricant français de matériel de sonorisation a révélé lors des dernières JTSE son nouveau logiciel de contrôle de diffusion. Réalisé en coopération avec Active Audio, APG Live Manager permet de contrôler de manière simple et intuitive l’ensemble des processeurs et processeurs amplifiés APG, depuis les DMS26 et DMS48 jusqu’aux amplificateurs à DSP DA50:4 et DA15:4 via Ethernet.

La version pour tablette est déjà annoncée !

Ayant fait l’objet de cinq mois de beta test auprès de divers opérateurs, le logiciel particulièrement abouti fonctionne sur PC (Windows 7/8/10 32 et 64 bits) et sur Mac (MacOS X). Très prochainement, une version pour tablette sera également disponible (Android et iOS début 2018).

L’interface utilisateur est architecturée en trois écrans principaux qui regroupent les différents types de fonction selon les tâches à effectuer : un mode configuration, qui correspond aux étapes de préparation et d’installation (choix des entrées, routage des signaux …) ; un mode paramétrage pour l’étape de calage ; et un mode contrôle pour la phase d’utilisation en conditions réelles.


Réglage des filtres et égalisations .
Réglage des niveaux

Mode configuration

APG Live Manager fonctionne en temps réel pour ce qui est des opérations de contrôle, mais il permet également de travailler en mode autonome (off-line) afin de préparer en amont une prestation dont la configuration pourrait s’avérer complexe, depuis le chargement des presets d’enceintes jusqu’aux fonctions de groupes.

APG Live Manager est téléchargeable gratuitement sur le site du fabricant avec le lien ici

 

Gérald Larteau nous a quittés. Au revoir gentil Monsieur…

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C’est très attristés que nous vous communiquons aujourd’hui l’annonce du décès d’une personne exceptionnelle, probablement l’humain le plus gentil que j’ai pu connaître dans toute ma vie. Gérald Larteau nous a quittés ce 8 décembre.
Eclairagiste passionné, il était avant tout un être exquis, discret et attentionné avec tout le monde. Il se faufilait partout avec ses yeux remplis de malice et de bienveillance, regorgeant d’une énergie douce et ne ménageant ni son temps ni ses efforts pour offrir ne serait-ce qu’un petit moment de bonheur à un de ses proches, à un de ses collaborateurs, ou à qui que ce soit.

Il fut dans les coulisses et la technique de nombreux artistes de la variété française, tantôt à la lumière, tantôt à la poursuite, tantôt à la régie, il était partout…
De ses débuts aux heures héroïques dans les années soixante avec des Artistes comme Dick Rivers, en passant par les tours de chant de Linda Lemay, sans oublier plus de 30 ans de collaboration avec Patrick Sébastien, et plus récemment aux commandes de la lumière pour son ami Pierre Perret, Gérald rodait dans le décor d’innombrables spectacles.
Et dans la plupart des théâtres de France et de Navarre qu’il connaissait si bien, on peut encore entendre le murmure de sa voix entre les flight-cases esquintés par la tournée et une affiche jaunie par le temps.

Il était comme ces êtres magiques que l’on ne rencontre que dans les contes de fées, qui vous accompagnent un moment, qui apportent des petites choses tout à fait essentielles qui illuminent vos cœurs, vos regards, vos vies, et qui disparaissent pudiquement dans un tourbillon d’étoiles sans que vous ayez pu leur témoigner et partager avec eux tous ces sentiments magnifiques qu’ils éveillent…
Un ami, qui a travaillé avec lui, me disait un jour : « Gérald, il vit pour faire plaisir aux autres. » Il y a peu de phrases qui puissent le définir aussi bien.
Au revoir gentil Monsieur…

Jocelyn MOREL

 

Les JTSE 2017 victimes de leur succès ?

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Voilà plus de dix ans qu’il s’installe aux premiers frimas de l’hiver dans le cocon des Dock de Paris. Dès ses débuts confidentiels, le salon des JTSE a été le point de rencontre de nombreux acteurs du métier. Prestataires, distributeurs, éclairagistes, on se passait cette bonne adresse pour profiter, un peu caché, de ce moment unique de rencontres.
Différentes familles se croisaient autour d’un stand en oubliant toute forme de concurrence, et les nouveautés présentées étaient prétexte à de longues et intéressantes discussions. La convivialité des exposants s’exprimait tous azimuts, et il n’était pas rare que certains stands s’animent bruyamment en fin de journée.

Le public s’est élargi, de nouveaux acteurs sont apparus, et les JTSE sont devenues le rendez-vous préféré de tous les professionnels du spectacle. Des prestataires de toute la France, de toute la francophonie aussi, en profitent pour valider leurs achats de l’année. Depuis quelques années, de nombreux techniciens se sont joints à ce salon, autant par attrait des nouveautés que pour enrichir leurs rencontres.

© Delphine Prot

Cette année le nombre d’exposants a atteint des sommets. Victime de son succès, l’organisation a dû jongler pour rentrer tout le monde. La journée de montage a été un test passé in extremis. Certains stands se sont montés au chausse-pied, les transporteurs ont dû jouer sérieusement des coudes pour accéder aux portes.

La première journée du salon a vu les premiers embouteillages se former, et si tous les exposants étaient ravis de se faire envahir, le public s’est souvent senti à l’étroit, moins à l’aise pour échanger et mal renseigné, sans oublier la température réglée sur tropicale. Tout cela témoigne de la reprise de notre secteur d’activité et l’immense utilité d’un salon complet et convivial tel que les JTSE. Pour l’immense majorité des visiteurs et des distributeurs, ces deux jours sont indispensables, et tous se font une joie d’y participer.
Mais beaucoup d’entre eux, exposants et visiteurs, font les mêmes constats que nous. Certains stands devenant de plus en plus imposants en hauteur, comment les faire cohabiter avec les petits modules dans l’esprit originel des JTSE ? Comment assurer la sécurité du public, entre la cohue, la chaleur et les projecteurs ou même comme nous l’avons constaté, des lasers (1,4 W) dirigés vers les allées à hauteur des yeux des visiteurs ?

Comment retrouver du sens et de la convivialité sans espaces d’échange et de repos ? Des questions qui pointent l’emplacement des futures éditions. Les Docks de Paris suffiront-ils, ou faudrait-il faire le choix d’un lieu plus adapté comme par exemple la grande Halle de la Villette ?

Les JTSE sont face au classique dilemme : redevenir ce qu’elles étaient, un choix difficilement justifiable d’un point de vue entrepreneurial et à rebrousse-poil de l’engouement actuel, ou bien grandir de façon maitrisée, professionnelle et en conservant l’ADN de ce salon à la française.
Le pire serait de ne rien faire, tenter le coup du chausse-pied et laisser un certain côté « foirfouille » l’emporter. Gageons que les organisateurs tirent les leçons de cette édition en engageant une profonde réflexion faisant des JTSE 2018, une réussite que nous saluerons comme il se doit.

 

Mise à jour V1.6 du firmware dLive et extension des bibliothèques Profactory pour consoles Qu

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Allen & Heath a publié le firmware V1.6, nom de code Fistral, pour son système de mixage dLive. La V1.6 ajoute de puissantes fonctions AMM (Automatic Mic Mixer), le travail en multi-Surface (4), la prise en charge d’une nouvelle gamme de matériel d’installation et de nouveaux modèles de traitement DEEP. Pour les consoles numériques de la série Qu, les presets micros ProFactory s’étendent aux micros sE Electronics.

dLive V1.6

La fonctionnalité mixage automatique de dLive peut gérer jusqu’à 64 microphones, avec la possibilité d’assigner des micros à quatre configurations AMM différentes par exemple lors du suivi de plusieurs salles de conférence ou discussions. Le système offre deux modes AMM distincts : le partage de gain classique et un algorithme basé sur le nombre de microphones ouverts (NMO). La capacité Multi-Surface avec suivi de gain permet jusqu’à quatre surfaces dLive indépendantes de contrôler un seul MixRack, ouvrant de nouvelles possibilités aussi bien pour les systèmes installés qu’en tournée, y compris les splits FoH / Monitor, le mixage side-car et la redondance de surfaces.
Le firmware V1.6 supporte la gamme de matériel dLive installation récemment lancée, notamment le MixRack ultra-compact DM0, l’interface GPIO, le contrôleur mural IP1, les modules DX, … Le nouveau firmware permet également l’accès à Internet pour le contrôle et le diagnostic à distance. Enfin la suite de plugins embarqués DEEP d’Allen & Heath est agrémentée d’un pré-ampli « Tube Stage » offrant différentes topologies sur un cadran, et d’une nouvelle émulation de compresseur «Mighty».

« V1.6 Fistral se concentre sur le son installé en offrant des solutions pour d’innombrables applications, depuis l’audio distribué dans les environnements d’entreprise aux outils indispensables pour la gestion des conférences », explique Ben Morgan, chef de produit chez Allen & Heath. « En même temps, nous avons mis en place de nouveaux modèles de traitement vraiment excitants et un certain nombre d’autres améliorations que la communauté dLive avait demandées. Cette grosse mise à jour du firmware représente une valeur de 1 495 $, mais tous ces nouveaux outils sont gratuits pour nos clients dLive. »

Presets ProFactory pour consoles Qu

Les dernières bibliothèques ProFactory pour les consoles numériques de la série Qu sont disponibles. Après les fructueuses collaborations avec Shure, Sennheiser et Audio-Technica, les nouveaux presets couvrent maintenant une gamme de micros populaires de sE Electronics, notamment les V3, V7, VR, 4400a et RNR1. Les presets micro ProFactory offrent aux ingénieurs du son un point de départ idéal pour obtenir le meilleur son possible rapidement et facilement.

L’équipe d’Allen & Heath a travaillé en étroite collaboration avec l’ingénieur du son Frederik Brandt Jakobsen de sE Electronics, qui a développé les réglages optimaux pour chaque combinaison de microphones et d’instruments. « La commodité est un élément clé. Les effets et réglages instantanés embarqués sont des caractéristiques obligatoires pour les consoles numériques d’aujourd’hui.

Allen & Heath a fait un pas de plus avec l’ajout des presets ProFactory à sa série Qu » commente Toni Scherrenberg, directeur des ventes et du marketing mondial chez sE Electronic. « Nous connaissons les points forts de nos produits, et nous avons créé toute une variété de réglages d’égalisation optimisés pour les microphones sE. » Les presets sont disponibles en téléchargement gratuit à partir des pages produits de la série Qu sur le site de A & H.

D’autre informations sur le site Allen et Heath et sur le site Algam-Entreprises

 

Ayrton Merak annonce une nouvelle gamme dans le vent

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Tous les outils sont dans Merak

Nouvelle source, nouvelle ligne, nouveau menu, nouvelles technologies et nouvelle gamme, du socle jusqu’au bout nez, hormis la qualité, tout a changé. C’est en avril au Prolight Sound que la nouvelle source Ayrton a commencé à briller. Première étoile d’une nouvelle constellation, le Merak annonce le futur.

Les lignes très fluides du nouveau Wash d’Ayrton.

Ayrton, connu et reconnu comme étant un des meilleurs, voir le meilleur, concepteur de projecteurs à effets utilisant une ou plusieurs sources leds, se lance un nouveau défi en sortant une gamme de projecteurs motorisés dédiée à l’éclairage, un petit Wash Merak et récemment un puissant Spot Ghibli utilisant des sources Leds multichip ou en matrice blanche suivant les possibilités, les besoins et la puissance nécessaires.

Comme à son habitude, la marque française conjugue connaissances et nouvelles technologies pour mettre à la disposition des utilisateurs les meilleurs produits possibles. Le premier souffle balaye presque tout ce à quoi l’on pouvait s’attendre. Avec ses 55,5 cm de haut pour 13,8 kg le Merak est un petit Wash aux lignes très fluides qui ne sont pas sans rappeler une voiture italienne.

Découverte et effeuillage

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Le socle, qui sera décliné en différents volumes, est un des points communs de cette nouvelle gamme. Avec 8 cm de hauteur, celui du Merak est sûrement le plus petit, mais il faut s’attendre à tout avec Ayrton ! Sur la face avant, les touches sensitives ont laissé la place à un unique bouton rotatif. Il suffit de le pousser une ou deux fois pour entrer, valider ou sortir du menu ou de le tourner pour sélectionner les options affichées sur l’écran LCD. On retrouve bien sûr de chaque côté du socle les poignées pour le porter. Et c’est, comme souvent, à l’intérieur de celles-ci que se trouvent les grilles permettant à l’air de circuler et refroidir l’électronique.

Sur la face avant, le nouveau panneau de contrôle. On remarque également le nouveau blocage du Pan, moins discret mais plus solide.
Une des poignées avec, à l’intérieur, la grille et le filtre pour la ventilation.

Sur l’arrière, les 4 connecteurs pour l’entrée et le renvoi du DMX et de la puissance.

Sur la dernière face du socle, la connectique se compose de 4 embases de connecteurs : 2 XLR, une mâle et une femelle 5 points pour les signaux DMX et RDM ainsi que 2 PowerCON TRUE1, pour alimenter le projecteur et renvoyer la puissance vers d’autres sources.
On note l’absence de prise RJ45. Bien que l’on ne voie pas d’antenne, le Merak est bien équipé d’un récepteur Lumen Radio CRMX TiMo RDM pour un contrôle HF. Suite à de nombreux retours sur la fragilité des antennes externes rétractables, les nouvelles sources sont désormais équipées d’une antenne interne intégrée à la carte de l’afficheur.

En retirant les deux plaques vissées sur le dessus de la base, on accède au centre névralgique du Merak. On y retrouve une alimentation dernière génération avec PFC actif qui améliore le rendement électrique, s’affranchit de toutes les variations de tension secteur et évite de polluer le secteur par le renvoi d’harmoniques indésirables. La puissance maximum est de 400 W. Sur la face avant se trouve la carte de l’afficheur, qui fait office de carte mère. En plus de l’écran LCD elle gère l’ensemble des circuits électroniques.On note que la batterie qui permet de configurer le projecteur hors secteur n’est plus installée d’origine (dans la base) pour raison de sécurité pendant le transport en avion. C’est un modèle courant et nous vous conseillons de veiller à ne pas les oublier lors de la première utilisation de vos projecteurs.

Dans la base, coté ventilateurs, l’alimentation avec PFC actif pour un rendement presque parfait.

Tout comme la petite bébête et Ayrton, nous montons, jusqu’à la lyre. Les deux capots des bras se retirent très simplement et laissent apparaître du côté blocage du Tilt, l’entraînement de la tête et de l’autre côté la carte de gestion des 2 moteurs pas à pas hybrides triphasés des mouvements Pan et Tilt.
Les capots de la lyre font partie des éléments plastiques les plus complexes à réaliser et ils me servent souvent de référence quand je regarde la qualité des finitions d’un projecteur. L’esthétique et la qualité sont des points forts de la marque française toujours améliorées au fil des années. Sur ce point le Merak ne se démarque pas de ces prédécesseurs, la texture et l’aspect des capots sont parfaitement réussis ainsi que les jointures entre les différents éléments. Tous les détails ont été passés en revue et c’est cet ensemble qui donne un aspect abouti lorsque l’on regarde un produit Ayrton.

Le système d’entraînement de la tête, classique et efficace.
En bas du bras, le moteur d’entraînement de la lyre et au-dessus la carte de gestion des mouvements Pan et Tilt.

Seulement 2 petits coups de tournevis pour voir ce qui se trame dans la tête du Merak. On est tout d’abord très surpris puisqu’on n’y trouve qu’un soufflet accroché à un block surmonté d’une carte électronique, un guide de lumière et un verre strié rotatif pour l’effet « banane ». C’est assez déconcertant lorsqu’on a eu, quelques minutes plus tôt, 22 paramètres sous les doigts et que l’on a joué avec le Zoom, on est surpris de ne pas voir de lentille dans la tête du projecteur !

La quintessence en 4 couleurs du Merak, la nouvelle led SplitStar S32 RGBW Osram.
La carte d’alimentation et de contrôle du module Led.

Dès que Cyril Union d’Ayrton commence les explications, tout devient limpide. Le principe de base de la tête est à la fois simple et audacieux, hormis l’effet ovalisant, c’est la source qui fait tout le travail. Pour cela, l’équipe RD est partie d’une toute nouvelle Led multichip 250 W Osram, la SplitStar S32 RGBW. Ce module de leds, spécialement développé pour Ayrton, est équipé de 16 puces de 2 mm², 4 par couleur, et peut produire un flux de 8 000 lumens en natif.
Cette source est montée sur un bloc recevant la carte de contrôle de la Led et dessous, celle des moteurs. Un gros radiateur chargé de dissiper la chaleur en occupe toute surface arrière. Pour la source Led, l’équipe d’Ayrton a utilisé un nouveau concept basé sur le système chambre à vapeur (vapor chamber), principalement développé et utilisé pour refroidir les processeurs d’ordinateur, notamment ceux des cartes graphiques.

Sous la carte d’alimentation, le dessus du radiateur avec le système de chambre à vapeur.
L’arrière du radiateur chargé de dissipé la chaleur émise par le module Led.

La chambre à vapeur est comparable à un caloduc, elle contient, pour le Merak, un gaz qui en changeant d’état (évaporation – condensation) fait circuler la chaleur. Le refroidissement du radiateur utilise un ventilateur placé à l’arrière de la tête, juste derrière la grille et le magnifique logo du Merak qui forment un habillage du plus bel effet. Il allie parfaitement le look vintage et les lignes modernes.

Le guide de lumière, une des pièces maîtresses du projecteur, développé spécialement pour Ayrton.

Sur l’avant se trouve un long guide de lumière développé et optimisé pour s’adapter aux contraintes du module de Leds et du projecteur. Il sert à mélanger et répartir les 4 couleurs de base pour obtenir une grande variété de teintes et surtout des couleurs homogènes dans tout le faisceau.
Les 4 chips de la Led assurent à la fois la trichromie et, grâce à la programmation interne, le correcteur de température et la roue de couleurs. Un des atouts majeurs de cette source est la solution choisie pour le zoom.
En lieu et place d’une lentille mobile, c’est le block lumière qui permet de créer le paramètre zoom en approchant ou en éloignant la source de la superbe lentille, conçue spécialement pour la marque française, qui mélange l’effet nid d’abeille et la lentille Fresnel.
Cette solution, n’est pas la plus simple et elle a dû donner pas mal de suées au service R&D, mais elle permet un important gain de luminosité. Afin de refroidir efficacement le radiateur du module de leds, quelle que soit la position du block lumière, un soufflet guide l’air amené par le ventilateur.

Le zoom du Merak se fait grâce à la translation du block lumière, ici c’est zoom maxi.
Pour un faisceau serré c’est, en arrière toute !

Le soufflet guide le souffle du Merak.
La superbe lentille. Entre Fresnel et nid d’abeille, mon cœur balance.

Le second et dernier module présent dans la tête est une plaque mobile sur laquelle est fixé un prisme strié permettant de créer un effet « banane ». Il s’engage dans le faisceau et, grâce à un second moteur, il est indexable et rotatif. Son mouvement permet de définir la taille de l’effet. Afin d’augmenter la plage du zoom, le guide de lumière peut passer à travers le module, en bloquant évidemment ce paramètre : en fin de course du zoom, lorsque le faisceau est très large, le prisme n’a en effet pas ou peu d’intérêt.

Le prisme strié permet d’ovaliser le faisceau.

Noir salle, fumée !

Avant de passer aux choses sérieuses, un petit moment de détente pour découvrir la machine. Avec une seule machine sur la console, je choisis évidemment le mode DMX “Extend” qui permet un contrôle fin d’un grand nombre de paramètres ; il est toujours intéressant d’avoir un bon contrôle des couleurs sur un Wash. 1 @ full et c’est parti. Bien évidemment le dimmer est impeccable que ce soit en « cut » ou sur des transitions longues.
Il en va de même pour le shutter avec lequel on dispose d’un effet stroboscope traditionnel, d’un effet aléatoire et d’un effet pulse. En ce qui concerne les déplacements, les Pan et Tit effectuent une course de 180° en, 1,24 seconde. Ils peuvent être rapides et nerveux ou alors très lissés suivant la valeur de la fonction Speed. Les combinaisons de mouvements sont aussi très bien gérées et le test de la diagonale n’est qu’une anecdote pour le Merak. La fonction Speed permet aussi de couper le dimmer lors des mouvements de la lyre.


AYRTON – Merak – Presentation from Ayrton on Vimeo.

Le réglage de la couleur utilise un grand nombre de paramètres. Il y a bien entendu les 4 couleurs du module de leds, rouges, vertes, bleues et blanches, que l’on peut mixer à volonté. Avec le contrôle en 16 bits, les mélanges sont précis et l’on devrait obtenir une belle homogénéité et de beaux aplats de couleurs dans un kit utilisant un grand nombre de Merak. Les teintes sont parfaitement homogènes, du nez jusqu’au bout du faisceau. Les transitions longues entre les couleurs sont impeccables et la palette proposée par cette source saura satisfaire les plus exigeants.
Paramètre totalement virtuel, le CTO issu de la combinaison des différentes teintes de leds, permet de faire varier le blanc de 2700K à 8000K. Il y avait encore quelques petits défauts de transitions lors des tests mais ils étaient en cours de résolution. On trouve également une roue de couleurs virtuelle avec 6 teintes de blanc et 14 couleurs. Le plus de cette fonction chez Ayrton c’est qu’elle bénéficie de son propre dimmer et que l’on peut ainsi faire une transition entre la roue de couleurs et les paramètres RGBW, un gros plus très intéressant. Pour finir avec les couleurs, un paramètre de macros permet de passer d’une couleur à une autre.

Le zoom de 0 à full avec les 4 couleurs du module led à 100 %
Le Merak a la banane !

La couleur était bien entendu LE point à ne pas rater et c’est un des points forts de ce projecteur.

De belles couleurs étales.

Le zoom est la seconde bonne surprise. Il part, selon nos mesures, de 17,68° pour aller jusqu’à 80° ! Une belle course, bien maîtrisée malgré la difficulté technique. Il est un peu bruyant, ce qui va à l’encontre du silence des projecteurs utilisant une source led, mais cela reste très acceptable. Du plus serré au plus large, la course est magnifique. On a l’impression qu’elle est sans fin ! Au plus petit, le faisceau est présent est bien dessiné, assez percutant pour un Wash. Au fur et à mesure de l’ouverture, il se fait de plus en plus oublier pour devenir un bain de lumière.

Tableau des couleurs

Le dernier paramètre, le prisme strié, permet d’ovaliser le faisceau et simuler la banane d’une lampe de Par. L’effet est totalement réussi. Son indexation est très utile et la rotation continue, qui pourrait passer pour un gadget, se révèle intéressante en effet dynamique et volumétrique, un domaine où les Wash n’ont pas souvent leur mot à dire. Le focus du prisme est un plus qui permet, entre autres, d’optimiser la luminosité et pouvoir quand même jouer sur la taille du faisceau, et donc regagner un peu de puissance quand l’ajout du prisme en fait perdre un peu.

Carte chance, sortez la cellule

Le derating

Nous avons positionné le projecteur à 5 mètres de notre cible graduée et laissé le Wash refroidir. Fini de s’amuser, il est temps de sortir les appareils de mesures. On commence comme d’habitude par le derating, ce qui nous permet de mettre le projecteur en condition pour les tests photométriques avec les 4 couleurs à full.
Le flux se stabilise en 5 minutes avec une atténuation de 11,7 %.

Faisceau serré

On ferme le zoom pour mesurer le flux lumineux en faisceau serré. On part du centre de la cible où l’on mesure, après derating 3 760 lux (4 260 avant derating), puis l’on relève l’éclairement tous les 10 centimètres sur 4 axes. Le flux total pour cette ouverture est de 3 300 lumens (3 740 avant derating) avec une courbe d’intensité lumineuse assez pointue et très régulière. L’ouverture est alors de 17,68°. On en profite également pour mesurer l’éclairement des couleurs. Grâce à la source RGBW on a un rouge, un vert et un bleu très présents, ce qui est très appréciable pour un Wash. On garde également une belle présence des teintes cyan, magenta, jaunes. La plus faible disparité entre les luminosités des teintes permet d’étendre la gamme de couleurs utilisable sur des enchaînements de tableaux lors d’une captation vidéo.

Faisceau 20°

L’ouverture de référence étant à 20° la série de mesures suivante est assez proche de la précédente. En partant d’une valeur d’éclairement centrale de 2 715 lux après derating (3 075 avant derating), on obtient un flux total de 3 350 lumens (3 800 lumens avant derating). La différence entre les deux ouvertures est significative sur la courbe de luminosité qui montre une décroissance plus douce au centre du faisceau.

Faisceau large

On ouvre ensuite le zoom à 100 % et la lumière couvre toute notre cible. La mesure au centre indique 179 lux (202 avant derating) et elle descend très doucement et régulièrement sur 4,4 mètres ! Le flux grimpe alors à 4 150 lumens (4 700 lm avant derating) : une très bonne surprise ! Avec une telle distance et la faible amplitude de luminosité, 165 lux sur 4,4 mètres, chaque écart d’1 lux est visible sur la courbe de luminosité qui n’en est pas moins très régulière. Cette série de mesures est très intéressante, pour les éclairagistes qui recherchent une source compacte pour créer de belles ambiances ou éclairer des décors.

Les 2 derniers relevés concernent le dimmer. En mesurant la luminosité tous les 10 %, puis tous les 1 %, de 0 à 10 %, on s’aperçoit que la courbe d’intensité a été optimisée pour permettre une grande précision dans les valeurs les plus basses. On peut ainsi obtenir un allumage très doux et progressif, même avec des temps de transition de plusieurs minutes.


Un nouvel air

Ayrton avance et vient de franchir avec le Merak une nouvelle étape très importante dans son évolution. On a tous pensé que la marque française franchirait le pas avec un Spot, mais, à quelques mois près, c’est un Wash qui ouvre la voie. Le Merak est une petite source très abordable, 3 850 € HT, qui bénéficie de nouvelles technologies. La lumière est homogène et la palette de couleurs étendue.
La plage de zoom est un indéniable atout, elle ferme assez pour donner de l’intimité et ouvre large pour couvrir de grandes surfaces avec peu de sources, tout en gardant une bonne luminosité. La Merak est parfaitement adapté aux espaces de petites et moyennes capacités, il devrait être la coqueluche des plateaux vidéo ou petites salles de concerts. En multipliant les sources, il a également une carte à jouer dans les grands espaces.
Avec sa petite taille et ses 13,8 kg il peut se glisser dans beaucoup d’endroits où des sources plus puissantes, mais plus grosses seraient moins discrètes. Son design et sa lentille de sortie magnifique en lumière colorée lui permettent également d’être au premier plan d’un décor, en avant-scène ou en amorce pour le cameraman. Déjà disponible à la vente, Il se pourrait que le Merak devienne un projecteur dans le vent !

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Ayrton, Oxo, Zero88, Admiral, Avalanche de nouveautés chez Axente

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Idéalement placé à l’entrée des boîtes noires du dock Eiffel, vastes espaces réservés au matériel lumière en démonstration, le stand Axente a fait le plein d’innovations. Visite guidée en compagnie de Yannick Danguy, directeur des ventes.

Présentation vidéo des produits Ayrton 2017

Ayrton Merak

Changement de style pour Ayrton qui dévoile aux JTSE deux lyres beaucoup plus conventionnelles. En apparence seulement.

Le Merak est un wash motorisé avec un zoom linéaire de 7° à 70°. Il utilise une source led RGBW unique de 250 W. Ses couleurs sont riches et son flux particulièrement homogène. Un effet banane a été ajouté pour orienter son faisceau.
Il possède toute la connectique et les menus habituels d’Ayrton, avec un récepteur DMX sans-fil intégré. Il est disponible au prix de 3 850 €.

Le Ghibli est le nouveau fer de lance d’Ayrton. Ce spot à couteaux bénéficie d’une source led blanche de 600 W, 7200K, et promet un flux impressionnant de 23 000 lumens.

Ayrton Ghibli

Il est équipé d’un zoom 7°-56°, d’une trichromie CMY, d’un CTO variable et d’une roue de 7 couleurs plus un filtre IRC.
Il possède aussi une roue de 8 gobos fixes, une roue de 7 gobos rotatifs, une roue d’animation, un prisme 5 facettes, deux Frost, un iris et d’un bloc de 4 couteaux à fermeture complète individuelle.
Sa focale est particulièrement soignée, avec un très bel étal et la possibilité de créer des effets de morphing entre chaque gobo.
Son prix le situe dans le haut de gamme: 10450 €

Ayrton MiniPanel-FX

Le MiniPanel-FX est là pour nous rappeler la fantaisie d’Ayrton. Il s’agit d’une version à 4 leds du MagicPanel-FX. Chaque optique de 80 mm est indépendante, en RGBW, et le tout est animé par un zoom de 3,6° à 53°. Le MiniPanel-FX est capable de rotation à l’infini en pan et en tilt. Son prix public est de 2 990 €.

Pour finir, le WildSun-K25 TC.

Ayrton WildSun K25TC

Comme True Color, c’est une version au rendement et à l’IRC améliorés du WildSun-K25.
Sa consommation a été presque divisée par deux, pour une baisse de flux de seulement un quart et son IRC bondit à plus de 90.
Ses 217 leds blanches sont calibrées à 5700K, et il possède un zoom de 12° à 60°.
Un récepteur DMX sans-fil est intégré, et rejoint les connectiques habituelles du K25.
Il est annoncé à 10 450 €, prix public.

Présentation vidéo produits OXO, Admiral et Portman

Oxo

Le ColorBeam 150-BFX OxO et sa couronne de leds.

La gamme Oxo a fait l’objet d’une refonte complète, avec des produits personnalisés et innovants, à l’image du ColorBeam 150 BFX.

Ce dernier est un PAR led RGB de 150 W basé autour d’un COB unique surmonté d’une corolle très typique, et entouré d’une couronne d’animation en led blanches.
Annoncé à prix public de 189 €, il séduit déjà les éclairagistes, à l’instar de Julien Recoque sur la tournée Sanseverino.


OxO Colorzoom 180

Autre PAR à Led Cob, mais pour applications tout-terrain, le ColorZoom 180 est le projecteur à led étanche le plus puissant du marché. IP 65 jusqu’au bout de ses connectiques, DMX3/5 points et alimentation/recopie, il bénéficie d’un zoom 10°-50° et d’une construction robuste.
Avec son mode studio sans ventilation et ses accessoires coupe flux et volet, il trouvera aussi sa place dans les intérieurs exigeants. Il est disponible, avec ou sans option Wireless, à partir de 780 €.

Très intéressant aussi, le SunFlood 500, sorte de canon à 24 leds blanches de 20 W. Avec son ouverture initiale de 12° et plusieurs filtres en option, il se veut le pendant à led du Mitronic, ce projecteur dédié aux éclairages plein jour.
Il promet 24 000 lux à 5 mètres, un IRC supérieur à 80 et une température de couleur de 6500K. Il possède aussi un mode studio, plus silencieux au détriment de la puissance, et une option « snap » particulièrement futée : il est possible depuis la console de lui faire mémoriser son état lumineux. Ainsi, à chaque extinction et rallumage, il reprendra cette valeur, et ceci sans besoin de console. Son prix : 1 090 €.

Oxo Colorline

Le Colorline est une série de tubes à leds dépolis pour de la décoration dynamique. Quatre modèles existent, tous IP66, par multiples de 30 cm jusqu’à 120 cm.
Il y a 4 pavés de leds d’1 Watt par tranche de 30 cm, en RGBW, ce qui donne pour le grand modèle ColorLine 1 200 une puissance de 16 W et 64 canaux de contrôle.
Les prix s’échelonnent entre 106,50 € et 242 €.

Enfin, deux petits projecteurs clôturent cette rentrée OxO, le Colorbeam 90 et le Colorbatt mini.

– Le Colorbeam 90 est un projecteur fixe étanche (IP65), à ventilation passive, composé de 7 leds de 12 W. Sa particularité est d’avoir dans chaque led un mélange 6 couleurs : rouge, vert, bleu, blanc, ambre et UV. Il est vendu 230 € prix public.

– Le Colorbatt mini reprend le principe du projecteur d’extérieur sur batterie et DMX sans-fil, dans un format mignon et tout léger (1 kg). Sa led RGBW + Ambre + Cyan + UV de 20 W est capable d’émettre pendant 14 heures avant recharge. Un zoom motorisé de 4,5°-45° a fait son apparition. Une télécommande infrarouge est aussi fournie. Son prix public est de 1 750 €.

Portman et Admiral

Admiral Vitage Luminair

Axente est en train de devenir le spécialiste du projecteur rétro, puisqu’après le P1 Retro Lamp et le P2 Hexaline du polonais Portman, il vient juste de dévoiler le Vintage Luminair du Hollandais Admiral Lighting.
Ce projecteur de décoration à la corolle cuivrée remarquable, qui s’équipe tout simplement avec une lampe halogène ou led standard de 60 W maximum, donne immédiatement un cachet Steampunk à la scène.
Le Vintage Luminair est disponible en deux diamètres, 38 ou 53 cm, pour 199 et 249 €

Présentation des produits Spotlight, Zero88 et StageSmarts

Spotlight

Retour sur un tout petit projecteur de muséographie, le FlumLed. Celui-ci tient dans la main avec ses 6 cm de haut ! Autour d’un axe métallique noir serti sur un socle, cette source de 3 W peut s’orienter dans toutes les directions pour l’éclairage de vitrines ou architectural. Complètement adaptable à vos projets, Spotlight vous laisse le choix entre 3 températures de couleurs et 4 ouvertures de faisceau, de 6° à 46°. Le CRI est de bonne qualité, supérieur à 90, et le pilotage pourra se faire le cas échéant en DMX, RDM ou DALI.

Zero88

Deux nouvelles consoles lumière font leur apparition chez Zero88 : la FLX S24 et la FLX48.
Dédiées aux utilisateurs moins expérimentés, l’accent est mis sur l’intuitivité et la rapidité de programmation. Elles partagent la même configuration et des accès identiques autour de l’écran tactile multicouche 7“ et des 4 encodeurs rotatifs. La puissance de la FLX48 permet de contrôler 96 projecteurs au lieu de 48, et de répartir 97 playbacks sur ses 48 faders.
La FLX24 ne possède que 24 faders et gère un maximum de 49 playbacks. Toutes les deux sont compatibles Art-Net 4 et sACN, en plus de leurs sorties DMX 3 et 5 points. Innovation intéressante, le Ring-Sync, un patch automatique par RDM qui permet soit d’affecter ses projecteurs suivant le setup de la console, soit d’adapter le patch de la console par rapport aux projecteurs.

Zero88 FLX-S24

Les prix s’échelonnent de 1 575 € pour la SLX S24 / 1 univers jusqu’à 2 625 € pour la SLX S48 / 2 univers.

StageSmarts

L’armoire de distribution SmartPDU de StageSmarts.

La SmartPDU est une armoire de distribution électrique « intelligente ». Ainsi le modèle SmartPDU 36, en plus de fournir 6 sorties 32 A mono, 2 sorties 32 A Tétra, 6 embases Socapex et 5 Powerlock 400 A plus recopie, possède un logiciel de surveillance et une gestion déportée en réseau par Web serveur.
Les disjoncteurs sont particulièrement fiables, quel que soit l’environnement. Cette armoire de distribution est étudiée spécialement pour les prestataires de l’événementiel et de tournées, avec toutes les protections humaines et matérielles requises. Le retour d’information permet de contrôler les charges en temps réel et de détecter les incidents sur le réseau électrique.
Disponibles en 3 modèles suivant le nombre désiré de sorties, les SmartPDU 36, 48 et 72 sont disponibles aux prix de 12 995 €, 15 525 € et 20 125€.

Et pour d’autres informations sur les différents produits présentés, visitez le site Axente

 

La tournée Masterclass « Prises de Son » d’Audio-Technica se poursuit

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Entamée début octobre, la tournée masterclass « prises de son » d’Audio-technica se poursuit à travers la France jusqu’à fin janvier sous la houlette de Bertrand Allaume, chef produit Audio-Technica mais également réalisateur de nombreux disques et formateur Logic Pro X.

C’est l’occasion de découvrir ou redécouvrir les techniques de prises de son et d’enregistrement avec des micros Audio-Technica, des pré-amplis Audient et des interfaces audio RME.
Ces Masterclass d’une durée d’environ 2 h 30 sont gratuites.

Voici les prochaines dates et lieux jusqu’à fin janvier :

Prenez contact avec votre revendeur pour y participer et obtenir toutes les informations.


Détails de la Masterclass

Découverte des techniques de prises de son (choix des micros, placement, réglages) à travers trois enregistrements en studio réalisées avec la gamme de micros Audio-Technica, les pré-amplis et interfaces Audient et les interfaces RME.

ATM230

1–Enregistrement d’un tribute Led Zeppelin

  • Prise batterie selon la technique de Glyn Johns (Led Zeppelin / John Bonham – 1969)
  • Prise ampli guitare avec couple micro à ruban et micro dynamique
  • Voix enregistrée avec un micro dynamique

Matériel utilisé : Audio-Technica : AT4080, AT4081, AT4022, AE4100, AE3000, ATM650, ATM250, ATM230 / Audient : ASP880, ASP800 / RME : Fireface 802

RME Fireface 802
AT4051B

2–Enregistrement d’un groupe Funk

  • Prise batterie moderne
  • Prise guitare avec micro à ruban
  • Prise de percussions
  • Prise de voix type studio avec micro statique

Matériel utilisé : Audio-Technica : AT4080, AT4060, AT4047, AT4051b, AE4100, AE3000, AE2500, AE2300, ATM230 / Audient : ASP880, ASP800 / RME : Fireface 802

3–Enregistrement d’un trio Jazz

  • En studio de répétition avec un studio mobile.

Matériel utilisé : Audio-Technica : AT2020, ATM450, ATM250, ATM230 / Audient : iD14, ASP800



Et d’autres informations sur le site Audio-Technica :

 

Les poursuites Robert Juliat favorites au Spanish Festival

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Robert Juliat a ajouté un peu de son savoir-faire français cet été au célèbre festival de musique espagnole produit par Clipper’s Live. Le prestataire, ABS Entertainment Service, s’est assuré que chaque artiste soit présenté comme une star en fournissant deux poursuites Robert Juliat Merlin 2500 W et deux Aramis 2500 W comme support de face pendant toute la durée de l’évènement.

Le festival a démarré en 1927 pour promouvoir les spectacles basés sur l’art architectural et la musique. La 6e édition du festival dans sa forme actuelle s’est déroulée du 7 juillet au 22 août 2017 sur un site qui s’étend sur 17 hectares de magnifiques jardins complétés par un château. Le line up des artistes incluait Anastacia, Passenger, Silvia Pérez Cruz, Norah Jones, Wilco, Woody Allen, Els Amics de les Arts and The Pretenders. Merlin et Aramis sont deux poursuites très appréciées. L’équipe d’ABS en a donc riggé deux de chaque sur les tours pour un effet maximum.
Depuis ce point, Merlin et Aramis ont été mises à l’épreuve et se sont montrées capables de passer proprement à travers l’éclairage d’une grosse installation de lumières mobiles et de brume, démontrant leurs capacités et se révélant ainsi faites pour ce job. « Les poursuites sont une part importante du spectacle et plusieurs artistes nous demandaient les produits Robert Juliat » nous dit Iker Gartzia d’ABS. « Nous voulons le meilleur pour nos clients et nous savions qu’avec un équipement Robert Juliat il n’y aurait aucun problème. »

Merlin et Aramis sont parfaites pour les festivals comme Cap Roig. Merlin en particulier est tout particulièrement adaptée aux tournées et concerts. Puissante et robuste, Merlin est dotée d’un zoom 3°-12° qui la rend unique et particulièrement adaptée aux utilisations de moyennes et longues portées. Aramis est une valeur sûre : son zoom 4.5°-8° et sa constitution robuste en font un outil résistant aux tournées et adapté aux longues portées en salle ou en extérieur.
«Merlin et Aramis ont eu un fort impact à Cap Roig grâce à leur performance spectaculaire» explique Diana Garcia responsable marketing chez Entertainment Equipment Supplies (EES), le distributeur exclusif de Robert Juliat en Espagne. «La performance des poursuites a mis en valeur l’engagement d’ABS Entertainment Service et de Robert Juliat à fournir des produits de qualité. Ça a été génial de faire équipe avec eux pour un si beau projet»

Robert Juliat était ravi d’apprendre que Jose Luis Unzueta, assistant du concepteur lumière et opérateur sur le festival était très satisfait par la performance et la fiabilité des poursuites, expliquant : « Nous sommes toujours heureux de savoir que Robert Juliat a été reconnu ; là où les produits de la marque sont utilisés, nous pouvons garantir que le spectacle se passera bien ! ».

ABS a également été extrêmement satisfait par la performance des quatre poursuites. « Pour ABS Iluminación, Robert Juliat est une référence dans l’industrie du spectacle » conclut Gartzia. « Notre aventure avec leurs poursuites a démarré il y a un an en raison d’une forte demande de la part de nos clients. Nous avons commencé avec Aramis et maintenant nous sommes heureux d’avoir ajouté Merlin à notre catalogue. La puissance en sortie et la robustesse de ce produit ont plus que comblé nos espérances et celles de nos clients.

Plus d’informations sur le site de Robert Juliat

 

Un bois allemand d&b GSL pousse dans les stades américains

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Morris Light & Sound le bien connu prestataire de Nashville, nous offre un sneak peek sur les premières sorties du dernier système cardioïde de d&b, le GSL, dans un stade. Comme quoi, Noël ne tombe pas le même jour dans le Tennessee.
Il n’est pas peu fier de pouvoir l’offrir à ses clients et semble chaud baraque (ça, c’est du belge NDR) d’accrocher ses premières lignes de GSL 8 et GSL 12 et de SL-Sub.

Un typique stade comme il en existe des centaines aux USA, le terrain de jeu du GSL.
David Haskell, le PDG de Morris Light & Sound qui va fêter en 2018, ses 25 ans d’existence.

David Haskell, le PDG de Morris Light & Sound tourne déjà avec le fleuron de d&b qui n’hésite plus à dire que cette tête fait partie d’une série appelée SL. Alors voyons, si le L c’est le gros, et le J l’ex champion, le petit ou moyen sera le M ou le K ;0)

Les fameux évents latéraux…

Retrouvons nos deux compères Matthias Christner, le chef de la R&D et Werner Bayer Manager Produit et comparse dans les désormais célèbres films de la firme allemande, accompagnés de David Haskell pour une minute dans un bois allemand au beau milieu d’un stade américain ici.

On devrait très bientôt pouvoir prendre ce type de photos en France. Avec le casque et les gants aussi !

Et gageons que nous pourrons bientôt écouter le premier système cardioïde en France. C’est qu’on deviendrait impatient, et Lulu aussi ! En attendant, si vous voulez savoir tout sur la série GSL, enfin…tout ce que l’on a pu glaner, cliquez ici

Et plus d’infos sur :