Durham Marenghi a choisi Lancelot et Cyrano Robert Juliat pour les JO de Rio

Durham Marenghi, le concepteur d’éclairage des Jeux olympiques de Rio 2016, a choisi des poursuites de Robert Juliat pour les cérémonies d’ouverture et clôture au stade Maracanã de Rio de Janeiro : 10 Lancelot 4000 W HMI et 4 Cyrano 2500 W HMI. Les projecteurs à longue portée Lancelot étaient montés sur le cercle le plus élevé des tribunes couvrant plus de la moitié de la périphérie du stade.
Ils ont fourni les puissantes lumières nécessaires aux plans de prise de vue des acteurs principaux de cet événement diffusé dans le monde entier. Avec l’emplacement de la scène qui a changé d’une cérémonie à l’autre, les projecteurs devaient porter à des distances comprises entre 100 et 300 m.

Crédit photo : Dave Crump CT

Crédit photo : Dave Crump CT

Les quatre poursuites Cyrano, implantées aux quatre “coins” du terrain, étaient impliquée à chaque fois que les angles critiques des projecteurs automatiques accrochés risquaient de créer des ombres intolérables sur la surface du plateau de projection. Les Cyrano étaient installées sur des chariots qui permettaient de les déplacer pour rester à l’écart des mouvements des acteurs et de les mettre à l’abri en cas de fortes pluies. Ces chariots mobiles ont également été utilisés au cours de la cérémonie de clôture pour positionner les Cyrano lors de séquences particulières, tout en dégageant les rangées de sièges des athlètes situées dans la partie centrale de la pelouse.

Crédit photo : Dave Crump CT

Crédit photo : Dave Crump CT

Chris Henry, qui pilote des projecteurs choisis par Marenghi, a travaillé avec Agora, le fournisseur de l’éclairage des cérémonies, basé en Italie. Elle a été très satisfaite des performances des poursuites Robert Juliat: « Les Lancelot et Cyrano ont fait à la perfection tout ce qu’on attendait d’eux, même aux plus longues distances », dit-elle.
« La lumière s’est parfaitement intégrée sur l’ensemble de la surface éclairée, et au cours de la clôture, le filtre frost de verre des Cyrano au niveau du terrain s’est avéré très utile. Nous avons également pu l’utiliser efficacement, combiné à un frost léger, pour éclairer l’arbre lorsqu’il s’élevait au cours de la cérémonie de clôture. Nous avons pu réaliser l’équilibre entre les projecteurs, aussi bien en termes de couleur que d’intensité lumineuse, ce qui était indispensable compte tenu du niveau de la projection du spectacle.
« J’étais déjà convaincue des qualités des poursuites Robert Juliat et je n’ai pas été déçue. Les poursuiteurs étaient à l’aise car les commandes sont ergonomiques et les projecteurs bien équilibrés. »

De son côté, Marenghi déclare : « Pour nous, les poursuites sont des lumières clés, en particulier dans les phases protocolaires comme les drapeaux, les déclarations et la séquence de la torche. Leurs qualités sont donc essentielles pour la réussite du spectacle, autant que leur orientation au bon moment, dans la bonne direction et avec la bonne couleur, ce que Chris a magnifiquement coordonné avec quelques opérateurs excellents ». Après les cérémonies olympiques, les Lancelot et Cyrano ont repris du service pour les Jeux paralympiques qui ont eu lieu début de Septembre.

Crédit photo : Dave Crump CT

Crédit photo : Dave Crump CT

Marenghi a été assisté par Joyce Drummond, son concepteur d’éclairage associé brésilien, et les programmeurs du Royaume-Uni – Andy Voller et Ross Williams – et du Brésil Paulinho Lebrão.
L’équipe de poursuiteurs brésiliens a été coordonnée par Chris Henry, venue du Royaume-Uni, et supervisée, ainsi que plusieurs techniciens brésiliens, par Jennie Marenghi, la chef d’équipe de l’éclairage. Le directeur de l’éclairage pour la télévision était Nick Collier, et Nicola Manuel Tallino et Giulio Ravelli ont dirigé l’équipe d’Agora.
D’autres informations sur www.robertjuliat.com

 

Vidéo Ayrton

Ayrton MagicBurst, le premier stroboscope dynamique à LED

Ayrton réinvente le stroboscope avec un panneau à leds blanches de très grosse puissance, contrôlable par petites sections et allié à la rotation Pan Tilt continue. Et Stéphane Migné s’est régalé à concevoir un concept extêmement innovant filmé sur cette vidéo, sans doute la plus difficile à réaliser tellement les strobes se régalent à griller les capteurs des caméras numériques.

AYRTON – MagicBurst – 40 Unit Demo from Ayrton on Vimeo.

La face carrée de 384 x 384 mm du MagicBurst™ supporte 3 840 leds blanches de forte puissance, regroupées en 64 pixels sur une matrice de 8 x 8. Avec une nouvelle alimentation ultra-compacte de 1,300 W, le MagicBurst peut produire pendant plusieurs secondes un flux lumineux de plus de 240 000 lumens en pointe, calibré à 5600K, et le faire tourner de manière continue.

Ayrton présente le MagicBurst™, le premier stroboscope motorisé à LED de l'industrie, fournissant 240 000 lumens

Ayrton présente le MagicBurst™, le premier stroboscope motorisé à LED de l’industrie, fournissant 240 000 lumens

On peut contrôler indépendamment la durée, la vitesse et l’intensité des éclairs de chaque groupe pixels de LED ainsi que chacune des sections pour créer des motifs graphiques, des damiers animés, des lettres clignotantes, etc.
Le MagicBurst dispose également d’une bibliothèque préprogrammée d’images fixes et d’effets dynamiques.
Avec un design minimaliste et une empreinte visuelle réduite, le MagicBurst est similaire en dimensions à la famille des MagicPanel™-FX et DreamPanel Shift et Twin.
Ce format standardisé permettra de les assembler en panneaux graphiques géants, avec des résultats forcémment étonnants.

Equipé de ventilateurs à vitesse variable, le MagicBurst permet de choisir entre les modes de ventilation Auto, Scène et Studio, avec un fonctionnement silencieux en mode Auto.
Grâce à sa connectivité série étendue, le MagicBurst peut être contrôlé en DMX-RDM, ArtNet ™, sACN ou via une liaison sans fil grâce au module CRMX TiMo RDM intégré de LumenRadio ™.

Plus d’infos sur le site Axente et sur le site Ayrton

 

À Göteborg en Suède

LumenRadio fournit une solution de DMX sans fil au Stora Teatern

Initialement construit en 1859 dans le style Renaissance, le Stora Teatern de Göteborg est l’un des bâtiments historiques les plus populaires de la fourmillante ville portuaire suédoise. Il propose une programmation très dynamique qui mélange concerts, théâtre et spectacles de danse.
C’est aussi un lieu incontournable pour les week-ends de la saison estivale, avec « Backstage », une expérience de DJ club très populaire dans la région. Du fait de ce programme de spectacles véritablement ouvert et des nombreuses configurations différentes selon les événements, les grills d’éclairage des spectacles sont perpétuellement en changement.

Pour gagner du temps et s’épargner bien des soucis, Joel Karlberg, le responsable de l’éclairage, a installé un système DMX sans fil LumenRadio, qui permet de réacheminer rapidement et facilement les signaux de données entre les projecteurs et le pupitre de commande.

Photo ©Joel-Wolter

Photo ©Joel-Wolter

Joel coordonne tous les éléments techniques de l’éclairage. Il a trouvé que le système DMX sans fil est une solution souple et commode pour l’adressage et réadressage de la trentaine de projecteurs motorisés du grill, qui sont utilisés en permanence pour tous les spectacles et les événements, mais dans des situations et des réglages différents. Quand le club Backstage fonctionne, la piste de danse principale et le bar occupent ce qui est normalement la scène, et l’espace se prolonge dans les coulisses et sur les côtés de la scène et à l’extérieur, juste à l’arrière de la salle, par un grand espace extérieur qui permet d’accueillir 1 200 personnes.

Le système d’éclairage du club est complètement différent de celui des spectacles de danse ou d’art dramatique invités, qui utilisent la scène. Les projecteurs sont donc réinstallés dans des endroits différents, mais avec le système LumenRadio, Joel n’a pas à se soucier du cheminement des câbles de données ou des liaisons vers la console d’éclairage, tout se fait sans fil.
Pour cette saison, les principaux projecteurs club comprennent 10 Robe Pointe, 12 Robe LEDWash 800, quatre Clay Paky Mythos et quatre Vari*Lite VL1100 fonctionnant via DMX sans fil, plus un supplément de 30 barres et washes statiques à LED. En utilisant les cartes sans fil intégrées dans les Robe LEDWash 800, on peut fournir des signaux de données sans fil à l’ensemble de la plate-forme.
Il y a un double émetteur-récepteur LumenRadio permanent (installé à poste fixe dans le plafond), deux récepteurs, une unité flexible (qui peut être configurée comme un émetteur ou récepteur) et un émetteur supplémentaire. Les projecteurs sont reliés par leur intermédiaire sans qu’il soit nécessaire de s’embêter avec tout un tas de câbles de données… un gain de temps précieux pour la mise en œuvre.

Photo © Fredrik-Sundqvist

Photo © Fredrik-Sundqvist

Une grille système standard pour recevoir des productions théâtrales reçoit 12 LEDWash 800, 10 Martin Quantum Profile et quatre découpes à LED Robe DL4 associés à 8 Vari*Lite VL1100 et un complément de 50 projecteurs conventionnels. A l’aide du système sans fil, on peut parfaitement relier à la console des appareils d’éclairage supplémentaires ou des dispositifs comme les machines à fumée.
Pour les concerts et les spectacles, les 800, DL4S et LEDWash peuvent être mises vers le bas et déplacés ou posés au sol, à la position qui convient le mieux pour éclairer le spectacle mis en scène, et facilement connectés au système sans tirer de lignes de données.

Avant de s’engager, Joel a consulté plusieurs utilisateurs de LumenRadio dont le centre des arts du spectacle du Riksteatern qui dispose également d’une solution DMX sans fil. Ils ont ont tous confirmé la fiabilité et stabilité du systeme sans fil. Joel a donc préconisé la marque pour le Stora Teatern.
« Honnêtement, nous économisons énormément de temps de travail supplémentaire », conclut Joel, ajoutant de plus que le service et le soutien de LumenRadio sont « excellents ».

Plus d’infos sur le site Avab Transtechnik et sur le site Lumen Radio

 

Durham Marenghi dirige l’éclairage des cérémonies Olympiques de Rio

© Dave Crump CT

© Dave Crump CT

A peine rentré de Rio, où il a conçu l’éclairage des cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Olympiques de 2016, Durham Marenghi a partagé avec nous ses réflexions sur le projet, pour lequel il a utilisé une grande quantité de projecteurs SGM : des P-2, P-5, Q -7 et G-1 Beam, fournis par la société de location italienne Agorá.
Marenghi n’est pas novice en matière de conception d’éclairage en contexte olympique. Il était engagé pour les Jeux olympiques d’hiver de Turin en 2006, dans la passation à Londres 2012 lors de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques de Pékin en 2008, et dans les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Paralympiques d’hiver de Sotchi en 2014.

Les problèmes de la conception olympique

Marenghi et son équipe ont été embauchés par Cerimonias Cariocas 2016 et n’ont été impliqués que dix mois avant la cérémonie d’ouverture de Rio, ce qu’on peut considérer comme relativement tardif, comparé aux Jeux olympiques d’hiver de Turin sur lesquels Marenghi avait travaillé pendant quatre ans en amont. Comme le thème et le contenu des cérémonies d’ouverture et de clôture de Rio avaient déjà été déterminés, le rôle de Marenghi était d’améliorer les projets des deux cérémonies d’une manière plus subtile en évitant les traditionnels effets de beams et de strobe couramment utilisés sur de nombreux événements olympiques dans le passé.

© Dave Crump CT

© Dave Crump CT

Pour tenir compte des indications qu’il avait reçues, Marenghi a regroupé les projecteurs, plutôt que de les étaler sur les poutrelles, afin de créer un éclairage clé plus défini ainsi qu’un aspect plus intimiste. La cérémonie d’ouverture était douce et théâtrale, alors que la cérémonie de clôture exprimait entièrement la fête brésilienne. A chaque séquence de la cérémonie d’ouverture était associés un artiste et un style. Marenghi a donc créé des projets spécifiques. Le thème du carnaval de la cérémonie de clôture a également guidé la conception de l’éclairagiste.

Pour Marenghi et son équipe, les problèmes consistaient à viser le juste équilibre entre « effleurer » les projections avec des lumières pour éclairer les artistes, tout en évitant de délaver les images projetées dans la zone de spectacle. Donc, comparés aux spectacles qui se déroulent habituellement dans les stades, les niveaux de lumière étaient extrêmement faibles.
Cela imposait d’autant plus l’utilisation de projecteurs faciles à contrôler, et les projecteurs de SGM, selon Marenghi, « ont parfaitement rempli ce contrat ». Un autre problème venait du fait que toutes les séquences artistiques participaient à un spectacle lié à un code temporel, de sorte que les modifications même mineures avaient un impact significatif sur l’éclairage.

Quels projecteurs recommander pour la météo incertaine du Brésil ?

Depuis un certain temps Marenghi utilise régulièrement les produits SGM. Comme le temps peut être assez imprévisible au Brésil, ce qui s’est confirmé avec la soirée orageuse de la cérémonie de clôture, il était impératif de spécifier des projecteurs étanches, capables de travailler sous toutes les conditions météorologiques. Une autre exigence de Marenghi était une faible consommation d’énergie et un bon contrôle optique à distance. Et il a donc décidé d’utiliser un wagon de luminaires SGM (660 au total) pour concrétiser ses calculs .
Marenghi a utilisé les Q-7 pour éclairer le public et pour créer de larges effets de “chase” sur tout le stade. Pendant le défilé des athlètes, les Q-7 reprenaient aussi les couleurs des différents drapeaux des athlètes. Au sujet du Q-7, il précise : « C’est un de mes préférés, un wash brillant et ses effets dynamiques sont excellents pour souligner les événements de la bande son. »

Les P-2 ont été disposés au sol autour du terrain du stade Maracanã et de la même façon autour des multiples (plus de 50) scènes “box city” de la cérémonie d’ouverture. Les P-5 éclairaient le cyclorama de la cérémonie d’ouverture, et ils ont été déplacés pour la cérémonie de clôture afin d’éclairer les groupes de sièges des athlètes après changement de leur optique. En outre, ils ont été utilisés pour éclairer la section de miroir de la sculpture lors de la séquence de la vasque de la cérémonie de clôture.
A propos des P-5 et P-2, Marenghi dit : « Ce sont d’excellents projecteurs Wash, lumineux, compacts, efficaces et étanches. Grâce à leurs volets (optionnels), on pouvait cadrer précisément leur projection, ce qui était indispensable ».

Enfin, lors de la cérémonie d’ouverture, on a déployé des G-1 Beam juste au-dessous de la vasque de la flamme et au sol autour du stade pour fournir des effets beam après des séquences comme des feux d’artifice, qui dégageaient de la fumée. Marenghi affectionne particulièrement ce petit projecteur beam sans fil adapté aux déploiement rapide sur tout type d’événements.
Il s’explique : « Le G-1 est tout simplement unique. Pour certains événements, tels que la séquence de l’allumage de la flamme, qui est d’une importance extrême, il nous a permis un déploiement rapide là où la mise en place de projecteurs câblés n’aurait pas été possible dans les temps. Et comme il est étanche, ils convenaient de manière idéale sous l’effet de la pluie pour la très belle séquence d’extinction de la Flamme Olympique lors de la cérémonie de clôture ».

© Dave Crump CT

© Dave Crump CT

Dans le sillage des Jeux Olympiques Rio 2016, Marenghi et son équipe ont maintenant le recul sur deux cérémonies menées avec succès. Revenant sur sa coopération avec SGM, Marenghi conclut : « SGM a beaucoup soutenu le projet et a pu faciliter certains changements d’optiques de dernière minute lorsqu’on a déplacé les sièges des athlètes. SGM a réussi à surmonter les obstacles des procédures d’importation du Brésil, et nous avons eu les bons projecteurs et leurs accessoires en temps voulu avant le spectacle. »

Tableau de synthèse

SGM eclairage ceremonies JO Rio

D’autres informations sur le site SGM

 

Pour un contrôle simple et précis des couleurs

Dalis Robert Juliat et ETC Eos parlent le même langage

Robert Juliat annonce la compatibilité de Dalis 860, son projecteur cycliode à 8 couleurs de leds avec les consoles ETC Eos®. Les pupitreurs et éclairagistes vont ainsi pouvoir bénéficier de la simplicité et la clarté d’utilisation des consoles Eos pour obtenir un contrôle total et précis du large spectre couleurs offert par le Dalis.

Collaboration Robert Juliat - ETC

Ludwig Lepage de Robert Juliat (au centre), Matt Halberstadt (à droite) et Steve R. Terry de ETC. Ludwig montrent le Dalis et Source Four Lustr parfaitement calibrés en couleur grâce à cette nouvelle collaboration entre les deux sociétés. © ETC

C’est pour répondre aux demandes des utilisateurs que Robert Juliat et ETC ont décidé de travailler ensemble à l’intégration du Dalis dans les pupitres de contrôle de la gamme Eos. Les pupitreurs peuvent exploiter tout le potentiel de leur console Eos, sélectionner et calibrer les couleurs souhaitées quelle que soit la méthode employée pour créer les couleurs. Ils peuvent ainsi paramétrer leurs projecteurs Dalis et régler une nuance précise, ou bien choisir une couleur correspondant à une référence de gélatine, puis affiner le spectre à leur convenance.

« Le choix, l’harmonie et le contrôle des couleurs ont toujours été nos priorités que ce soit pour nos projecteurs ou pour nos consoles, » déclare David Lincecum, Vice-Président du marketing ETC. « Nous sommes heureux des excellents résultats obtenus avec le Dalis. Les éclairagistes vont découvrir que Dalis et Eos forment une brillante équipe ! »
ETC a mené des recherches approfondies pour décoder les spécifications couleurs et les standardiser dans leurs pupitres de contrôle. En utilisant le même raisonnement appliqué à son projecteur à 8 couleurs de leds, Robert Juliat offre au Dalis une analyse et un contrôle des couleurs très précis, avec pour conséquence directe la création d’une bibliothèque dédiée.

« Robert Juliat est fier de cette association au service de la créativité des éclairagistes. Elle permet au Dalis de pleinement exprimer sa large palette de couleurs et de nuances pour illuminer les cycloramas, » conclut François Juliat, directeur général Robert Juliat.

Plus d’informations sur :

 

Plasa Awards : les lauréats 2016

Organisés par Peter Heath, le nouveau directeur général du Plasa, et présentés par Ed Pagett, président du Plasa, ces prix visent à reconnaître et à récompenser les produits innovants. Ils sont décernés par un jury indépendant constitué d’experts de l’industrie.

Plasa Awards : les lauréats 2016

Plasa Awards : les lauréats 2016

Pour remporter un prix de l’innovation, chaque produit nommé a dû convaincre le président du jury qu’il satisfait les critères d’innovation en montrant clairement qu’il illustre un nouveau style de pensée, améliore la pratique technique, introduit de nouvelles technologies, de nouveaux matériaux, intègre des brevets ou une propriété intellectuelle originale, apporte un nouvel avantage commercial, ou améliore la sécurité.

Les juges ont décerné huit trophées dont les gagnants sont :

d3 Generative

D3 Technologies pour son logiciel D3 r14
Avec la possibilité de capturer en direct plusieurs flux de données de l’automatisation, du suivi de mouvement [motion tracking] et d’autres sources, et de les relire instantanément.
Ce système fournit, au niveau de la visualisation, l’équivalent d’un sound-check virtuel.
D’autres informations sur le site d3 Technologies


Ten 47 pour le Powerline QC
Le jury a estimé que cette conception innovatrice fournit une solution attendue depuis longtemps à un problème ancien lié aux connecteurs à fort courant.


LSC Lighting pour son Mantra Lite & Wings
Cette console lumière de type “Appli” apporte une ergonomie qui la rend très accessible aux non-professionnels de l’éclairage comme aux utilisateurs expérimentés. Le jury [qui ne manque pas d’ironie, NdT] a été jusqu’à indiquer que « même un ingénieur du son est capable de l’utiliser ».


d&b audiotechnik pour son NoizCalc
Avec le succès croissant des événements en plein air, les problèmes de pollution sonore sont récurrents. Être capable de prédire avec précision non seulement la couverture du système de diffusion, mais aussi son impact sur l’environnement dans un voisinage plus large est de plus en plus important. NoizCalc aborde cette question avec un programme complet qui est à la fois précis et facile à utiliser.


Hall Stage pour LivePipe
Le jury a vu dans ce produit une application innovante rentable de la technologie, associée à une installation simple. Il sera sans aucun doute très apprécié dans de nombreux studios, des théâtres et des établissements d’enseignement.

Hall Stage pour LivePipe


Clay Paky Scenius Profile

Scenius Profile

Clay Paky pour le Scenius Profile
Les juges ont estimé simplement que dans ce produit, l’innovation partant de la lampe et de son réflecteur est présente tout au long du chemin optique.

Scenius Profile Plasa 2016


Artistics Licence

Artistic Licence pour Art-Net v4
Ce prix bien mérité s’adresse à une technologie qui évolue sans cesse pour soutenir l’ossature de la technologie de production en incorporant des protocoles complémentaires avec une compatibilité complète.
Voilà un produit qui a impressionné les jurés au point de mériter une médaille d’or.
D’autres informations sur le site Artistic Licence


KLANG:fabrik, le Gold Award
Le Gold Award est allé à Klang pour son appareil KLANG:fabrik. Les jurés ont déterminé que c’est la première fois que le retour binaural est mis en œuvre avec succès sous forme d’une une solution pratique et rentable. On pressent que ce sera un grand plus dans de nombreux spectacles.

Des mentions spéciales ont également été décernées à deux produits

Le Dalis 862 Footlight de Robert Juliat, Les jurés ont estimé que c’était un réel progrès par rapport au Dalis, le projecteur de cyclorama de la société.

Deux versions de Dalis. En haut le Cycliode Dalis 860, en bas le bain de pieds Dalis 862.

Deux versions de Dalis. En haut le Cycliode Dalis 860, en bas le bain de pieds Dalis 862.

Dautres informations sur le site de Robert Juliat

Le ColorForce2 de Chroma-Q, représente selon eux, une évolution notable de la gamme de produits ColorForce d’origine de l’entreprise.
D’autres informations sur le site chroma-Q

Prix pour la durabilité

GDS pour le Fade to Warm ArcLamp
Ce prix reconnaît les produits qui peuvent prétendre à une réduction significative de la consommation d’énergie pour leur type ou leur application, l’utilisation efficace des sources d’énergie renouvelables, ou la réduction significative de l’impact environnemental du cycle de vie produit.
Le Fade to Warm ArcLamp de GDS a été conçu pour une grande efficacité environnementale dans sa fabrication et, plus important encore, un recyclage facile et rapide de ses composants individuels.

Le Jury 2016

  • James Eade (président), consultant indépendant en sécurité électrique
  • Jon Burton, ingénieur du son live
  • Tapio Ilomäki consultant en acoustique
  • Nick Read, spécialiste en éclairage et électricité de Howard Eaton Lighting
  • Ben M Rogers, concepteur d’éclairages et décorateur
  • Ed Manwaring, installateur son, lumière et vidéo chez EM Communications
  • Stephanie Baldwin, chef de projet technique au Royal Albert Hall
  • Matt Drury, chef de l’éclairage au National Theatre de Londres
  • Flip Tanner consultant théâtre chez Fischer Dachs Theatre Consultants
  • Chris Henry technicien de production indépendant
  • et Simon Allen, ingénieur du son/producteur freelance.

Le Gottelier Award

La remise des prix a culminé avec l’annonce du lauréat du prestigieux prix Gottelier, remporté par Anne Valentino, senior Controls Product Manager chez ETC.
Ainsi nommé en mémoire de Tony Gottelier, innovateur de renom et commentateur de l’industrie qui est décédé en 2006, le prix annuel Gottelier vise à reconnaître les développeurs de produits qui ont contribué à long terme de manière significative aux progrès du divertissement, de la présentation ou de la technologie d’installation que ce soit dans l’audio, l’éclairage, les structures scéniques, la mise en scène, ou tout autre domaine connexe.
Cette année, la compétition a été serrée entre les candidats : Chris Cronin, fondateur de Total Solutions Group (TSG), Wayne Howell fondateur d’Artistic Licence, le Dr Christian Heil, fondateur de L-Acoustics, ‘Mick’ Okabayashi Masaaki, responsable de l’équipe de développement des consoles de mixage numérique de Yamaha, Yvan Péard, co-fondateur d’Ayrton, L’équipe R & D de Strand Lighting, des années 1960-1980, dirigée par Marin Moore puis par David Bertenshaw, et la lauréate Anne Valentino.

Anne Valentino

Anne Valentino

Anne a passé la majeure partie de sa vie professionnelle à contribuer à la création de pupitres lumière. Après des débuts comme directeur technique dans un centre des arts du spectacle à Houston, elle a travaillé pour le fabricant d’éclairage Kliegl avant de rejoindre Strand Lighting.
C’est là qu’elle a commencé à développer des pupitres qui allaient influencer l’industrie, depuis les dernières versions de la Light Palette de Strand, en passant par les consoles Obsession et Expression d’ETC, jusqu’à l’emblématique Virtuoso de Vari-Lite et son retour vers ETC où elle a développé les consoles Eos, Ion et Gio.

Anne Valentino : « Je suis profondément honorée. Tony Gottelier a été l’un de mes personnages préférés de l’industrie et me trouver associée à son nom me touche beaucoup. En ce qui concerne le développement de produits, c’est un fait qu’il y a toujours une personne en vue qui reçoit les honneurs.
Pour chaque projet sur lequel j’ai travaillé, j’ai eu la chance immense d’avoir des collègues vraiment fantastiques qui ont été de vrais collaborateurs et ont vraiment contribué à façonner les produits. Sur Obsession c’était Jon Ide, sur Virtuoso chez Vari-Lite, c’était Michael Snyder et sur la famille de produits Eos, Dennis Varin et Matt Halberstadt et nos développeurs Dan Duffy, Chris Mizerak, Alice Kahn, Ray Hill, Andrew Daniel. C’est toujours un travail d’équipe, alors c’est pour nous tous que je suis honorée. »

« Pour terminer, précisons que le magazine LSi, qui organise les Plasa Awards, fera un don de £ 1000 sur les recettes d’inscription de cette année à Backup, l’organisation caritative choisie par le Plasa, qui soutient les professionnels du spectacle dans le besoin. »

 

ETC annonce l’extension de ses locaux dans le monde

Depuis sa création il y a 40 ans, ETC a parcouru un long chemin qui l’a mené à la position de leader mondial des fabricants de matériel d’éclairage et de structures scéniques, ETC emploie plus de 1 000 personnes dans 10 pays.
La surface de ses locaux équivaut à plus de 10 terrains de football. Ces dernières années, la croissance de l’entreprise a été particulièrement spectaculaire. Pour maintenir la cadence et permettre de futurs développements, un programme d’extension de ses bureaux est en marche.

Les bureaux londoniens d’ETC après la rénovation

Les bureaux londoniens d’ETC après la rénovation

La base d’ETC Ltd à Londres est le dernier établissement de la société à connaître un remaniement important. Les récents travaux de construction du bâtiment de deux étages comprennent une refonte complète de l’étage supérieur, avec la création d’une mezzanine abritant plusieurs zones de de travail en open space, des bureaux individuels et une salle de réunion. L’étage inférieur a également été reconfiguré, il intègre désormais un laboratoire dédié à la R & D et de nouveaux postes décloisonnés pour le service technique, la logistique et les équipes de réparation.

L’espace de bureau situé sur la nouvelle mezzanine

L’espace de bureau situé sur la nouvelle mezzanine

On a préservé l’architecture théâtrale de l’espace commun, pour lequel le site (The Playhouse at Gypsy Corner, littéralement le Théâtre du coin des gitans) est bien connu. Parallèlement, on a rénové le reste du bâtiment en lui donnant un caractère général de clarté et d’espace.
« Le bien-être de nos employés est très important et, avec ces travaux de rénovation, nous avons créé un environnement de travail confortable et plus agréable. ETC n’est pas une société très hiérarchisée et la configuration de l’espace est conforme à cette culture d’entreprise », explique Matthew Brookfield, directeur général d’ETC Ltd.

La phase suivante du programme verra l’installation d’un environnement très moderne de style conteneurs au siège de la société à Middleton (Wisconsin, USA). Adoptée dans le monde entier pour son aspect industriel et son esthétique originale, l’architecture à base de conteneurs maritimes offre une séduisante combinaison d’agréments et de fonctionnalités qui convient parfaitement à ETC.
Ce développement nécessitera une nouvelle extension au bâtiment de l’usine, où l’ensemble de la R & D sera regroupée dans un nouveau  » Hall de conteneurs » où des piles de trois haut-conteneurs jalonneront des allées jouxtées de salles de réunion, des espaces de détente et de zones de travail ouvertes.

Le premier des nombreux bureaux en conteneur du siège d’ETC

Le premier des nombreux bureaux en conteneur du siège d’ETC

Ce projet d’expansion témoigne de l’engagement durable d’ETC vis-à-vis de son personnel. Fred Foster, fondateur et PDG d’ETC, affirme rapidement à tous ceux qui l’interrogent : « Nous avons les meilleurs collaborateurs. Et quand on a les meilleurs, on ne peut pas s’arrêter de grandir. C’est pour cette raison aussi qu’on peut facilement faire ce genre d’investissement pour qu’ils restent heureux. »

Plus d’infos sur ETC sur le site Avab Transtechnik et sur le site ETC

 

Bruno Poet choisit la polyvalence des GLP X4 Bar pour la tournée de Sigur Ros

La X4 Bar GLP est proposée en deux versions. X4 Bar 10, équipée de 10 sources RGBW et X4 Bar 20 dotée de 20 sources, toutes deux motorisées en tilt sur 210°.

La X4 Bar GLP est proposée en deux versions. X4 Bar 10, équipée de 10 sources RGBW et X4 Bar 20 dotée de 20 sources, toutes deux motorisées en tilt sur 210°.

Concepteur lumière dans des domaines très différents, passant du pur éclairage de théâtre pour Faith Healer de Brian Friel au concert pop rock onirique et éthéré du groupe culte islandais Sigur Rós, Bruno Poet a opté pour la rampe leds, GLP X4 Bar, dont la polyvalence lui donne à chaque occasion bien plus qu’un banal rideau de lumière.
La X4 Bar est une barre à leds RGBW, chacune contrôlable individuellement, motorisée en tilt et dont le zoom (7° – 50°) permet de passer de la lame de lumière au wash.

Quand Dave Isherwood de White Light lui a présenté ce luminaire et Bruno Poet a été immédiatement emballé. « J’ai toujours aimé les rideaux de lumière numériques de DHA, mais ils ne sont pas pratiques pour les tournées. Les barres GLP me semblent être les premières à produire un effet similaire. Toutes celle que j’ai vues jusqu’alors n’offrant pas la densité de lumière que j’attendais. »

GLP X4 Bar tournee Sigur Ros

Au moment même où il préparait la tournée de Sigur Rós, Bruno concevait l’éclairage de Faith Healer, une pièce du dramaturge irlandais Brian Friel, au Donmar Warehouse, exploitant avec succès 16 X4 Bar 20 pour éclairer un rideau de pluie.
« Dans Faith Healer, ils n’ont qu’une seule fonction, éclairer le rideau de pluie qui entoure la scène, mais ils le font très bien. On les a choisis parce que rien d’autre ne pouvait produire un tel faisceau en forme de rideau, intense, et très serré, avec aussi peu de débordements ».
Mais c’est avec Sigur Rós que ça va vraiment faire des vagues. Bruno a commencé à travailler avec le groupe après avoir éclairé une tournée en solo du chanteur Jónsi Birgisson en 2010. Après le succès de la tournée initiale de 2012-2013, il a été réengagé pour la tournée actuelle.

GLP X4 Bar tournee Sigur Ros

Dans l’éclairage d’un spectacle de ce genre, le plus gros problème, dit-il, c’est le manque d’action. « Dans presque tous les autres projets que je traite, la production raconte une sorte d’histoire, et l’éclairage devient une partie du scénario. Avec Sigur Rós, la lumière est une réponse directe à la musique.
Le groupe est au centre d’un monde de lumière et de vidéo qui doit paraître comme naturellement entraîné par les sons qu’il produit. « Au théâtre et à l’opéra aussi, j’ai l’habitude de travailler avec un espace défini physiquement par un grand décor, pour Sigur Rós c’est principalement un environnement de vidéo et de projections défini par le scénographe Chiara Stevenson et les créateurs vidéo Sarah Hopper et Damien Hale. Nous travaillons en étroite collaboration, c’est essentiel.»

GLP X4 Bar tournee Sigur Ros

« Le groupe était enthousiaste à l’idée d’un décor qui semble se dilater et se contracter selon les différents titres.
Passant de l’intime à l’épique, de la douceur lyrique au hardcore outrancier, très loin des impressions plus douces et plus naturelles de la tournée précédente. »
Complétant l’utilisation extensive de la vidéo, 18 impression X4 Bars (principalement des X4 Bar 20), fournis par Neg Earth, à raison de neuf sur chacun des deux ponts, constituent des rideaux de lumière polyvalents.
« Parfois, ils scintillent, parfois ils restent statiques, parfois, on les utilise comme ambiances, parfois comme éclairage du groupe à contre » explique-t-il. « Je voulais créer quelques effets de faisceaux triangulaires que l’on obtient normalement à partir de sources de lumière ponctuelles. Les X4 Bars ont très bien fonctionné avec les formes très graphiques des structures du décor, notamment quand on les utilise pour créer un plafond de lumière continu ».

GLP X4 Bar tournee Sigur Ros

Une fois de plus, Bruno a collaboré avec Matt Daw, depuis longtemps son fidèle directeur et programmeur d’éclairage de tournées, pour qui il ne tarit pas d’éloges. « Son arrivée est vitale et le spectacle visuel lui doit autant qu’à moi. »
C’est peut être la première fois que Bruno Poet utilisait les impression X4Bar, mais après ce début fructueux, ça sera loin d’être la dernière. « Ce sont d’excellents appareils et nous négocions déjà pour les utiliser sur plusieurs productions à venir ».

Plus d’infos sur le site La BS et sur le site GLP

 

A Macao

Le parc interactif Planet J s’anime sous les x7 color d’ETC

Pour renforcer la magie des parcs à thème, l’éclairage joue un rôle de tout premier plan. Bien plus qu’un simple outil pour éclairer ou décorer, c’est, une des clés qui emporte le public dans un univers fantastique. Avec l’expérience des parcs à thème qui grandit de jour en jour et les nouveaux outils numériques qui se développent rapidement, l’interactivité est en train de métamorphoser les projets d’éclairage des parcs à thème modernes.
Planète J, situé au Sands Cotai Central à Macao, a fait sa révolution culturelle en associant des éléments interactifs futuristes et un système de commande d’éclairage élaboré. Exploitant des projecteurs Selador Desire et Source Four LED d’ETC et des systèmes de commande architecturaux Unison Mosaic et Paradigm, c’est le premier parc à thème au monde basé sur les jeux de rôle en direct qui s’ouvre au public.

Photos : ©Derek Marion, StandardVision

Photos : ©Derek Marion, StandardVision

« L’éclairage évolue quand les joueurs interagissent avec leur environnement », explique Derek Warrick, responsable de la conception des éclairages et des systèmes de StandardVision, la société qui a conçu et spécifié le système d’éclairage du projet Planète J.
« Cela veut dire beaucoup de programmation et d’interactions entre les systèmes informatiques. Cela signifie aussi que le parc paraîtra différent de minute en minute, pour que chaque visite soit unique. » Totalisant 8 800 mètres carrés d’espace intérieur, le parc est divisé en huit zones, chacune ayant un thème propre et un concept d’éclairage différent.
Pour instaurer un univers magique et placer les visteurs au cœur de l’histoire, Warrick utilise un système à leds qui implique des projecteurs ETC dont le système de couleur exclusif x7, mélange sept couleurs de LED, intégrés dans des éléments scéniques en complément des appareils d’éclairage ambiant. « Le x7 Color System fournit un tel spectre de couleurs, que les gens qui traversent le parc ont une apparence magnifique, et nous n’avons pas eu trop de surprises en allumant le décor», précise Warrick. « les projecteurs sont très bien conçus ! »

Photos : ©Derek Marion, StandardVision

Photos : ©Derek Marion, StandardVision

Planet J dispose de plusieurs centaines de projecteurs à leds ETC : 483 Source Four LED Lustr +, 575 Desire D60 Vivid, 255 Desire D22 Lustr+ et 37 Desire D40 Vivid. « Ces appareils ont une luminosité élevée et un excellent rendu des couleurs », explique Warrick. « La fonction RDM nous a permis d’épargner d’innombrables heures et des journées entières de travail. »
Le système de contrôle est une combinaison de contrôleurs architecturaux Unison Mosaic et Paradigm utilisant les protocoles DMX et DALI avec 92 univers et 16 boucles. « L’association des deux types de contrôleurs, Paradigm et Mosaic, donne un système qui est souple tout en étant fiable.

Nous n’avons pas beaucoup chargé les systèmes car l’interactivité est encore en cours de programmation, mais je suis convaincu que tout fonctionnera comme prévu », dit Warrick. Beaucoup d’interactivité provient des interfaces de jeu. Cela veut dire qu’on ne pourra tester la programmation finale que lorsque le parc sera pleinement opérationnel.
Warrick est familiarisé avec les produits ETC qu’il utilise depuis quinze ans, autant les projecteurs que les systèmes de contrôle et il conclut : « Je suis extrêmement satisfait chez ETC, aussi bien avec les produits que le service des équipes. »
Plus d’infos sur le site Avab Transtechnik France et sur le site ETC.

 

Pour la dernière tournée mondiale du groupe

Rainer Becker et Manfred Nikitser éclairent les Scorpions avec Clay Paky

En termes d’histoire, de succès et de popularité internationale, aucun groupe allemand ne peut être comparé aux Scorpions. A l’origine, le groupe s’appelait « Nameless » (sans nom, NdT). Il a été formé en 1965 à Sarstedt par le guitariste Rudolf Schenker et le batteur Wolfgang Dziony.
Et c’est la même année qu’ils ont adopté le nom «Scorpions» sous lequel ils ont acquis la célébrité. Au cours des décennies qui ont suivi, le groupe s’est inscrit dans l’histoire : 18 albums, une liste interminable de récompenses et d’innombrables tournées, qui ont mené les Scorpions partout dans le monde. Aujourd’hui, le groupe a entamé sa dernière tournée mondiale.

Roland Beckerle est le directeur de production de la tournée et Olaf Schröter, le directeur de production, tous deux étant responsables de son organisation.
C’est à Günter Jäckle qu’ils ont demandé d’imaginer le décor du spectacle et à Rainer Becker de concevoir les éclairages. Concepteur et directeur des éclairages associé, Manfred Nikitser complète l’équipe.
« La conception puise essentiellement son inspiration dans le mélange de spots, de Wash, de stroboscopes et d’effets visuels habituels au rock and roll, sans oublier les faisceaux et effets beam, explique Manfred Nikitser. Au premier abord, c’est la vidéo qui domine l’ensemble. À mon avis, l’intégration des vidéos et des éclairages est extrêmement importante pour l’apparence d’une scène.
La conception se compose d’un grand écran incliné vers l’arrière, d’un écran de décor, et deux écrans IMAG, alors que quatre barres transversales et des échafaudages ferment le décor sur les côtés, de telle sorte que les caméras de télévision, partout où elles peuvent être placées, aient assez de recul ».

Nikitser a choisi dans son kit lumière 36 wash A.leda B-EYE K20, 8 Sharpy Wash 330, 10 Mythos et 20 Stormy CC de Clay Paky. « La configuration « ondulée » des traverses donne à la fois de la profondeur à la scène et une meilleure apparence aux caméras de télévision », poursuit Manfred Nikitser. « Grâce au grand nombre d’écrans, on peut déplacer le direct vidéo, ce qui rend le spectacle visuellement encore plus dynamique. Les caméras ne sont jamais au repos. Grâce aux effets et au masquage, elles participent toujours à l’ensemble, et tout fonctionne harmonieusement.
Sans aucun doute, la plate-forme volante supportant la batterie est l’élément original du concept scénique, avec les Sharpy Wash disposés en dessous. Il était tout naturel de choisir les Sharpy Wash : aucun autre projecteur n’a des caractéristiques de compacité, de luminosité et de vitesse comparables. »

L’ensemble du matériel a été fourni par PRG Nocturne. MANIK show Lighting / Manfred Nikitser a assuré la gestion des consoles d’éclairage (GrandMA2 full-size, une GrandMA2 light, 2 NPU, deux commutateurs réseau MA Network Switch) et des 2 unités de traitement vidéo MA VPU. Le contenu visuel était traité par Hans-Otto Richter et Manfred Nikitser.

Plus d’infos sur le site Dimatec et sur le site Clay Paky

 

A Gand en Belgique

Le Festival Boomtown s’éclate avec les MLA Martin Audio !

Boomtown est un festival de musique pop qui a lieu chaque année à Gand en Belgique pendant les Fêtes gantoises. Le MLA Martin Audio utilisé est à la fois un très bon système de diffusion audio et un précieux moyen de contrôle du son, très avantageux pour les festivals urbains où la pollution sonore est un sujet qui fâche !
Pour le festival, toute l’installation lumière et son de la scène dite Kouter, a été fournie par ARC Productions, des spécialistes du son, de l’éclairage et de la projection vidéo intervenant depuis la conception du projet personnalisé jusqu’à la fourniture de la prestation.

Par rapport aux configurations de tournées classiques, le système de haut-parleurs multicellulaire MLA améliore considérablement le niveau de performance et de cohérence de la couverture du public. Contrairement aux line arrays, qui visent à produire des fronts d’onde qui sont isophases dès qu’ils quittent la ligne (généralement en hauteur dans les applications concrètes), la technologie cellulaire MLA est étudiée pour réaliser la sommation en cohérence de phase au niveau du public lui-même.

Les lignes composées de 16 MLA Compact au total. On aperçoit au sol les infills, des W8VDQ.

Les lignes composées de 16 MLA Compact au total. On aperçoit au sol les infills, des W8VDQ.

Pour que les spectateurs de Boomtown profitent au maximum de leurs groupes nationaux et internationaux préférés, ARC Productions a travaillé avec 16 MLA Compact en principal, 8 MLA Mini pour les delay, deux enceintes W8VDQ en débouchage, et 12 subs WS218X en configuration matricielle. Pour les retours de scène, ARC Productions a fourni les désormais classiques retours LE1500.
La technologie MLA donne à l’ingénieur système des outils permettant de contrôler le son dans toute la zone de couverture avec une confiance totale, et l’ingénieur façade peut mixer avec la certitude que la balance obtenue à la console sera la même partout. Pour le festival Boomtown, ARC Productions tire en plus profit des MLA Compact et Mini pour maintenir la pollution sonore aussi basse que possible.

Le W8VDQ de Martin Audio combine les technologies de line array et de dispersion différentielle pour fournir la meilleure réponse à l’exigence d’une couverture uniforme des premiers rangs sur de grandes distances. Le diagramme de rayonnement résultant est idéalement adapté pour le public situé face à la scène.
Le WS218X de Martin Audio est un système de sub à haute performance conçu pour l’utilisation dans des lieux de taille moyenne à grande. Avec les caissons disposés dans une configuration matricielle, le contrôle du diagramme de rayonnement dans les très basses fréquences s’effectue de manière efficace.
Dans cette configuration, il y a une réduction significative à l’arrière et sur les côtés du montage, mais on conserve la puissance maximale et l’équilibre tonal dans la zone d’écoute.
L’utilisation d’une « zone d’évitement absolu » sur scène dans la conception du Compact MLA associée à la réduction du niveau à l’arrière des subs crée une scène silencieuse, ce qu’apprécieront beaucoup les musiciens et les techniciens des retours.

Les subs WS218X en configuration matricielle

Les subs WS218X en configuration matricielle

« C’est un son clair et propre qui atteint directement et avec précision l’ensemble du public. Le MLA Compact est un excellent système avec lequel les ingénieurs du son peuvent travailler avec précision. Le contrôle sophistiqué du diagramme de rayonnement du système nous procure un outil remarquable supplémentaire pour les situations délicates que nous rencontrons sur les festivals urbains », ajoute Jeroen Willems, directeur de compte chez FACE, le distributeur de Martin Audio en Belgique.

Plus d’informations

 

GLP choisit LA BS pour conquérir le Marché Français

XL4 L, lyre wash à leds dépourvue de base pour s'adapter à toute contrainte de positionnement.

XL4 L, lyre wash à leds dépourvue de base pour s’adapter à toute contrainte de positionnement.

LA BS devient le distributeur exclusif de GLP en France, un des pionniers des lyres à leds dans le monde, qui s’engage avec une garantie de 5 ans pour les circuits de leds et 2 ans sur l’électronique des ses projecteurs fabriqués en Allemagne. Rappelons que GLP (German Light Products) a été fondée en 1994 à Karlsbad, par Udo Künzler)

« Pour nous, c’était important de trouver un partenaire stratégique en qui nous pouvons faire confiance pour étendre notre présence en France », commente Udo Künzler, Directeur Général de GLP.
« Avec le potentiel du marché français, nous avons de fortes attentes et je pense qu’avec LA BS, nous avons trouvé le bon partenaire. »

Bruno Souchaud, Chef produits lumière de La BS, pose avec l'Impression X4 L.

Bruno Souchaud, Chef produits lumière de La BS, pose avec l’Impression X4 L.

“Cette marque allemande prestigieuse, renchérit Bruno Souchaud (chef de produits lumière, effets spéciaux et consommables à La BS) est connue dans le monde entier pour équiper des concerts ou tournées non moins prestigieuses (Madonna, Lenny Kravitz, l’Eurovision, Bruno Mars, Chris Isaak, Fleetwood Mac, et bien d’autres).
GLP renforce notre portefeuille de marques exclusives comme par exemple Lee Filter, Astera, Smoke Factory, innovantes comme Blustream, Cymatic, 9 Solutions. Et d’autres encore comme Tex-Styles, BE1stPRO, Kupo etc”, rajoute Bruno Souchaud.

Le showroom de La BS

Le showroom de La BS

Avec plus de 45 salariés comprenant une force de vente importante, LA BS va maintenant distribuer toute la gamme impression qui se distingue par un design original. Dépourvus de base, l’électronique étant positionnée dans le moyeu central et les bras de la lyre, les projecteurs de cette gamme peuvent ainsi s’adapter facilement à des contraintes de place, jouer au raz d’une scène ou collés à un plafond.
En outre, GLP utilise des composants de qualité, des leds Osram Ostar au binning serré qui garantit la régularité colorimétrique d’un groupe de projecteurs et développe des optiques innovantes qui conduisent à de larges plages de zoom jusqu’au rapport 7:1.

Le nouveau bâtiment de LA BS. 12000 m2 de bureaux, showroom et stockage en banlieue Sud de Paris

Le nouveau bâtiment de LA BS. 12000 m2 de bureaux, showroom et stockage en banlieue Sud de Paris

Pour mémoire, la BS s’adresse à plus de 30.000 clients, de toutes catégories sur l’ensemble du territoire français et même au-delà. Ce grossiste distributeur dispose maintenant de 2 entités que sont la « Boutique du Spectacle » avec un show-room/boutique/retrait express de 2.000 m² dans Paris près de la Place d’Italie et « la BS.com » avec son entrepôt de 12.000 m² en banlieue Sud.

Plus d’infos sur les sites de
La-bs.com et de GLP

 

Ampco Flashlight investit dans Robe, DL7S et LEDBeam 1000

Le prestataire Ampco Flashlight Rental, basé aux Pays-Bas, vient de réaliser un gros investissement en projecteurs motorisés Robe, en achetant 80 découpes motorisées à leds DL7S Profile et 80 LEDBeam 1000, livrés par Controllux, le distributeur de Robe au Benelux.

Vrienden van Amstel LIVE 2016. © Andre van Wijhe (Tribe Company)

Vrienden van Amstel LIVE 2016. © Andre van Wijhe (Tribe Company)

Marco de Koff, directeur des opérations d’éclairage d’AFR, explique qu’ils ont un œil sur Robe depuis un certain temps, mais c’est en 2010 qu’ils ont commencé à regarder de plus près la marque avec le lancement dans la gamme ‘Robin’, du MMX Spot et de la série LEDWash. « Clairement, Robe a pris une direction très novatrice dans le développement de ses produits et c’est une tendance qui se poursuit », dit Marco.
Quand AFR a commencé à recevoir de plus en plus de demandes de projecteurs Robe dans les fiches techniques d’artistes et de concepteurs d’événements, ils ont renforcé leur propre parc pour répondre à cette demande. En 2013, ils ont acheté 100 Pointe, rapidement suivis par des CycFX 8, puis l’année dernière, les 32 premiers BMFL Spots complétaient l’inventaire d’AFR basé à Utrecht… c’était aussi la plus grosse commande de BMFL aux Pays-Bas à l’époque.

Vrienden van Amstel LIVE 2016. © Andre van Wijhe (Tribe Company)

Vrienden van Amstel LIVE 2016. © Andre van Wijhe (Tribe Company)

Les LEDBeam 1000 ont été choisis pour leur flux et leur souplesse en tant que projecteur «hybride» beam/wash après avoir connu un énorme succès au début de l’année 2016 sur les spectacles live de Vrienden van Amstel dans l’Ahoy Arena de Rotterdam, dans un éclairage conçu par Gert Jan Schreuder.
Les DL7S Profile ont été acquis quand Marco et l’équipe d’éclairage d’AFR ont identifié le potentiel de cet élégant projecteur de découpe à LED de haut de gamme, comme futur projecteur universel de la société, sur l’ensemble de ses marchés de base : le théâtre, la télévision et les concerts.

« C’est encore peu courant pour une source LED d’être capable de fournir l’intensité, les couleurs, la finesse de gradation, un silence de fonctionnement et un mouvement de qualité comme le DL7S », dit Marco, et il ajoute qu’il est élégant, adaptable et ne nécessite pas de lampes de rechange. Dans les opérations de location, on gagne sur tous les plans, avec un retour sur investissement extrêmement attrayants.

Vrienden van Amstel LIVE 2016. © Andre van Wijhe (Tribe Company)

Vrienden van Amstel LIVE 2016. © Andre van Wijhe (Tribe Company)

Récemment, le concepteur lumière Martin Beekhuizen a utilisé 40 des DL7S Profile d’AFR sur la dernière série d’émissions de jeux scientifiques loufoques Professeur Nicolai & Dr. Beckand, enregistrés aux Aalsmeer Studios.
Marco qui a récemment visité pour la première fois l’usine Robe de Valmez, précise : « A chaque étape du processus de fabrication… l’accent est mis sur la qualité ».

D’autres informations sur www.robe.cz

 

A Nantes avec L-Acoustics

Urban Voices, le son s’accorde à la vision avec L-ISA Live

Depuis 6 ans, Urban Voices se tient à Nantes tous les mois de juillet et dispose d’un solide chœur de 1 000 chanteurs âgés de sept à quatre-vingt-neuf ans.
C’est déjà spectaculaire en soi, mais cette année le ressenti du public a été encore amélioré avec l’utilisation de L-ISA Live, le dernier concept de sonorisation introduit par Christian Heil, le fondateur de L-Acoustics.

Le chœur Urban Voices au Grand Auditorium de la Cité des Congrès de Nantes.

Le chœur Urban Voices au Grand Auditorium de la Cité des Congrès de Nantes.

Organisé par l’association Cité Monde, Urban Voices est un projet multiforme ouvert à toute la ville de Nantes qui s’étend sur plusieurs mois.
Karim Ammour est le directeur artistique et créateur du projet, intitulé La Ville est belle. Il en est aussi le compositeur et chef d’orchestre. C’est un programme éclectique qui célèbre l’humanité et la nature. Il présente des compositions qui vont du reggae au rythm and blues en passant par la soul, la pop et le gospel. Les mille chanteurs sont accompagnés par un chanteur/guitariste, trois beatboxeurs, un percussionniste et un DJ.

Klaus Blasquiz sur scène avec le chœur Urban Voices

Klaus Blasquiz sur scène avec le chœur Urban Voices

Avec ses 40 répétitions de chant qui durant huit semaines à partir de la fin de Avril et se déroulent dans 18 endroits différents, Urban Voices est une étonnante aventure musicale dont le point culminant est le Grand Collectif Urbain Nantais, qui a eu lieu les 9 et le 10 juillet au Grand Auditorium de 2 000 places de La Cité Des Congrès de Nantes.
Directeur musical d’Urban Voices, Klaus Blasquiz, musicien de renom plus connu comme ancien chanteur du groupe Magma, a approché L-Acoustics en souhaitent proposer, pour l’édition de cette année, quelque chose de particulier et plus immersif.

« Accompagné de Karim Ammour, il a visité notre auditorium L-ISA à Paris » dit Sherif el Barbari, Chef des applications chez L-ISA. « Nous leur avons présenté les possibilités de notre concept L-ISA Live, et ils ont été immédiatement convaincus que cela s’appliquerait très bien à ce qu’ils voulaient réaliser. » 
Pour Urban Voices, Sherif et son équipe ont donc conçu un système L-ISA Live composé de cinq lignes de Kara de six éléments chacune pour couvrir la largeur de la scène et deux 12XT de chaque côté pour l’expansion panoramique.

Des 12XT fournissent les retours de l’orchestre au chœur

Des 12XT fournissent les retours de l’orchestre au chœur

Pour les basses fréquences, le système frontal a été complété par deux SB18 en tête des deux lignes extérieures et des stacks de 3 SB28 en montage cardioïde posés sur le plancher de la scène pour l’infra-grave. Le débouchage avant est pris en charge par six enceintes 8XT réparties le long du bord de scène.
« Le chœur a été divisé en deux groupes de 500 chanteurs passant en alternance sur l’ensemble des six représentations du week-end », explique Sherif. « Les beatbox engendraient un invraisemblable contenu basse fréquence, c’est ce qui justifie l’utilisation des SB28 pour les reproduire.
« Les grands chœurs offrent une expérience d’immersion très large qui a incontestablement bénéficié de la configuration L-ISA : la localisation des voix de Karim et des instruments était présente à chaque siège du public, avec une clarté qui est habituellement absente dans une approche gauche/droite classique ».

Cinq lignes de six Kara sont déployées sur la largeur de la scène, complétées par deux 12XT de chaque côté pour l’extension panoramique. Quatre SB18 accrochés et six SB28 posés sur scène en montage cardioïde

Cinq lignes de six Kara sont déployées sur la largeur de la scène, complétées par deux 12XT de chaque côté pour l’extension panoramique. Quatre SB18 accrochés et six SB28 posés sur scène en montage cardioïde

« L-ISA Live raccorde le son à l’image des artistes sur scène », ajoute Mickaël Sourisseau, directeur technique de la Cité des Congrès. « Chaque spectateur, et pas seulement ceux qui sont placés dans l’axe de la scène, reçoit un son optimisé et cohérent avec ce qu’il voit. C’était une excellente occasion pour déployer le système L-Acoustics acquis il y a deux ans lors d’une mise à niveau de la sono de la Cité, dans une nouvelle configuration, qui donne au public une véritable sensation d’immersion »

Plus d’infos sur le site L-ISA

 

Aux CMC Music Awards

Le Scenius Clay Paky fait ses débuts australiens !

Les CMC Music Awards 2016 (Country Music Channel) ont eu lieu au Queensland Performing Arts Centre (QPAC), où quelques-uns des plus grands noms de la musique country sont montés sur scène, au nombre desquels on comptait les superstars Jason Aldean et Florida Georgia Line, l’Australien Adam Harvey, et Kelsea Ballerini, l’étoile montante de la Country.
Diffusé en direct sur la chaîne Country Music Channel de Foxtel, l’événement a célébré la musique et les artistes les plus aimés des fans de musique country en Australie.

Clay Paky Scenius CMC Music Awards

C’est Mandylights qui était responsable de la conception et de la gestion de production, de la gestion de la scène, de la conception et de la mise en œuvre des éclairages. Le matériel provenait de Crystal Productions, Resolution X et de Mandylights eux-mêmes. Avec cet événement, c’était la première fois qu’on utilisait en Australie les projecteurs à tête mobile Scenius de Clay Paky, dont Crystal Productions avait reçu quatorze exemplaires quelques jours auparavant. « Nous sommes parmi les premières sociétés à offrir le Scenius en Australie, ce qui nous donne un avantage », commente David Thomas, directeur général de Crystal Productions.
« En l’ayant adopté précocement, Crystal se démarque, car le Scenius est la nouvelle norme en matière de technologie d’éclairage. Il a une large plage de zoom, 8 ° à 50 °, il est super silencieux et très rapide pour un appareil de sa taille. La profondeur de champ des images projetées est incomparable. »
Le Scenius dispose d’une optique de pointe et d’une nouvelle lampe à décharge Osram de 1 400 W qui fournit un flux lumineux beaucoup plus élevé que les lampes de 1 500 W de la génération précédente. Pour cette production, sept Scenius étaient accrochés et sept autres posés sur le plateau de la scène.

Clay Paky Scenius CMC Music Awards

« Le Scenius est fantastique ! », commente Richard Neville, directeur général de Mandylights. « Nous les avons utilisés tous sur scène à contre, vers le public. Sa large plage de focales fait que, à la caméra, ils donnent l’impression d’être nets lorsque la caméra est juste à côté du projecteur, par exemple derrière un présentateur, alors que simultanément l’image du gobo projetée au plafond est également nette. La mise au point est parfaite sur toute la longueur du faisceau. »

Le Scenius produit une lumière très, très lumineuse aux bords précis et Richard apprécie son « ouverture qui fournit un immense diamètre de lumière. Le blanc à 6500 K reste stable au cours du temps. Le Scenius a a un IRC très élevé, ce qui est rare pour une source de lumière aux halogénures métalliques. Ses couleurs couvrent un large spectre comprenant des nuances pastel homogènes.
« Il a un champ vraiment cohérent, toutes les couleurs sont fantastiques et il n’y a pas de points chauds visibles lorsqu’on fait un mélange de couleurs pastel », confirme Richard. « Il est incroyablement apte aux couleurs uniformes ».

Clay Paky Scenius CMC Music Awards

Le Scenius offre toute une gamme d’effets avec deux roues de gobos rotatifs, portant chacune six gobos interchangeables, un prisme rotatif et une roue d’animation interchangeable qui donne de nouveaux effets spectaculaires. L’appareil peut également être utilisé en mode Wash par l’insertion d’un nouveau système de filtre Frost.

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