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Ayrton Wildsun K25, pour l’éclairage plein jour des arenas

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Nous l’avons découvert à l’occasion des Ateliers Axente organisés à Longjumeau en février. Le Wildsun K25 est une galette de grand diamètre, montée sur lyre motorisée, avec 217 leds parfaitement calibrées dans un blanc « lumière du jour » à 6000k, agencées en 9 couronnes à contrôle individuel et équipée d’un zoom (10° – 60°).

Visant à remplacer une source HMI de 4000 W à 6000 W, le flux annoncé par le fabricant est de 100 000 lumens, la destine à de l’éclairage puissant des grandes arénas couvertes ou autres lieux nécessitant une grande flexibilité de lumière avec une puissance considérable et tous les avantages que peut représenter l’usage d’un projecteur à leds qui plus est motorisé, sur tous les systèmes qui existaient jusque ici pour ce type d’application comme les grosse sources Fresnel fixes.
Sa gestion par couronnes lui permet d’une part, d’offrir une surface émissive de plus petit diamètre pour s’adapter à toute hauteur de salle, et d’autre part apporte à cette violente source une vraie notion d’effet.

Ayrton Wildsun K25

Quelques Caractéristiques :

  • Contrôle : DMX-RDM par câble ou récepteur Lumen Radio intégré (3 modes DMX – de 11 à 22 canaux), ArtNet & sACN
  • Dimensions : 539 x 696 x 348 mm (l x h x d)
  • Poids : 37 kg
  • Prix catalogue : 13 585,00 €  HT

Plus d’infos sur :

Martin Sceptron destinée aux chasseurs d’ombre

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Découverte et utilisée par Nicolas Savigny, de la société Pre-Vues, lors de nombreuses tournées telles que Christine and the Queens, Louane, Eric Serra et L.I.J, la barre de leds modulaire VOD Sceptron de Martin arrive en force chez les prestataires de l’hexagone tels que Dushow, Régie Lumière ou SLS.
Utilisable dans tous les lieux et par tous les temps, elle est très appréciée pour sa puissance mais aussi pour sa polyvalence. Grâce à un grand nombre d’accessoires, c’est un caméléon qui s’adapte à toutes les situations.
* Dans la série télé américaine Shadowhunter, Le Sceptron est une arme puissante utilisée par des Chasseurs d’Ombres contre certains types de démons appelés les Asmodei. 

Utilisée sur la tournée Christine & the Queens par le concepteur lumière Philippe Mathieu, et fournie par Nicolas Savigny (Pré-Vues) : Magnifique !
Utilisée sur la tournée Christine & the Queens par le concepteur lumière Philippe Mathieu, et fournie par Nicolas Savigny (Pré-Vues) : Magnifique !
Une démo du Sceptron organisée par jérôme Garnier pour SLU : c'est cool !
Une démo du Sceptron organisée par jérôme Garnier pour SLU : c’est cool !

Cette source, développée par Martin, est équipée de leds vidéo RGB moulées dans de la résine et montées sur un support en aluminium extrudé également utilisé comme radiateur.
Ce projecteur est IP65, donc hormis l’immerger ou le laver avec un nettoyeur haute pression, vous pourrez l’utiliser dans toutes les conditions climatiques.
Elle se décline en 2 longueurs, 32 cm et 1 mètre, et en 3 pitches 10 mm, 20 mm et 40 mm.

“ Les prestataires français ont choisi le pitch de 10 mm ”, nous explique Jérôme Garnier, directeur technique de Martin, qui nous a programmé un petit show de démo relayé dans la vidéo de SoundLightUp ci-dessous.

Le pitch de 10 mm
Le pitch de 10 mm
En haut, le pitch de 20 mm et en bas celui de 40 mm
En haut, le pitch de 20 mm et en bas celui de 40 mm

Pas d’Ombre au tableau

L’optique de cette barre est interchangeable, et c’est un atout énorme.
La marque danoise a déjà développé une douzaine de lentilles et diffuseurs qui permettent de configurer les barres au plus près des besoins du concepteur lumière. Il existe plusieurs lentilles. La plus serrée permet de concentrer la lumière dans un faisceau de 12°. Suivant le rendu souhaité, on utilisera des diffuseurs plats, carrés, semi-circulaires ou ronds.

Quelques-uns des diffuseurs proposés en version blanche ou fumée
Quelques-uns des diffuseurs proposés en version blanche ou fumée

Ils existent tout en blanc ou fumé pour mieux se fondre dans le décor.
Suivant l’option que l’on choisit, on obtient un visuel allant de la lumière diffuse au pixel en passant par le tube. Elles peuvent être aussi bien utilisées en habillage lumineux, en créant des lignes ou des surfaces, que pour mettre en valeur ou surligner des éléments de décor.
Martin a créé un petit accessoire très astucieux, à la fois outil de test et de démontage. Il est équipé d’un aimant que l’on passe sur la barre pour allumer les leds couleur par couleur. Cet outil permet aussi de démonter facilement les optiques. Le 2 en 1 de chez Martin !

L'outil magique pour tester et démonter
L’outil magique pour tester et démonter

Cette barre n’est en plus pas gourmande.
En 10 mm de pitch elle ne consomme que 33 W, et diffuse 8300 Nits (8300 candelas par mètre carré).
Au niveau assemblage et accroche,
tout a été prévu pour faciliter la vie des utilisateurs.
Plusieurs éléments se fixent dans la glissière à l’arrière de la barre, un support de crochet, des écarteurs de 30, 40 ou 50 mm servant à lier les barres les unes au dessus des autres façon cluster ou un coupleur pour créer des lignes.
Au niveau connectique on ne se casse pas la tête: Le data et l’alimentation sont dans le même tuyau et on dispose d’une entrée et d’une sortie pour passer d’une barre à la suivante.

Le support de crochet, un écarteur pour "staker" les barres et une barre servant à les lier bout à bout
Le support de crochet, un écarteur pour « staker » les barres et une barre servant à les lier bout à bout

Sur une alimentation P3 Power Port, on connectera jusqu’à 40 barres en 10 mm de pitch.
Pour obtenir l’IP 65, il a fallu sacrifier l’afficheur, les options se modifient donc en RDM ou via un boîtier vidéo P3 de Martin. Ce dernier permet de contrôler les barres via un signal vidéo en utilisant n’importe quel média server ou diffuseur de signal.
Le premier avantage est qu’il n’y a aucune assignation a faire, il suffit d’implanter les barres comme elle viennent, de les relier entre elles, puis de les connecter au P3.
Elles sont alors automatiquement reconnues par le processeur.
L’utilisation de leds vidéo est un avantage pour jouer la même lumière et les mêmes teintes que des écrans leds. On peut ainsi diffuser des médias communs à la vidéo et aux décors.

Les barres peuvent être jointes en ligne
Les barres peuvent être jointes en ligne
Ou les unes sous les autres en cluster
Ou les unes sous les autres en cluster

En pilotage DMX, suivant les modes et les modèles, on dispose de 3 à 307 paramètres pour le contrôle unitaire des leds.
Il est alors possible, suivant l’optique et le pitch utilisé, de faires des effets de couleurs fixes ou dynamiques, par barre, par led, avec une ou plusieurs couleurs. La palette de possibilités est très vaste que ce soit dans le choix des teintes ou des effets internes ou programmés.

On peut dire que Nicolas Savigny a eu du flair, cette barre de leds a tout pour plaire. Elle est puissante, homogène et surtout polyvalente.
La dernière bonne surprise est son prix très abordable. La barre de 1 m est a 500€ HT en pitch de 10mm, 400€  en pitch de 20 mm et 350 € en pitch de 40 mm.
Cette barre qui écume déjà les routes de France ne devrait pas quitter la scène de si tôt !

Plus d’infos sur le site Martin

Schertler lance le préampli micro Yellow Mic500

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Réputé fabricant Suisse de capteurs pour instruments à cordes et d’amplificateurs pour instruments acoustiques depuis 30 ans, Schertler se lance dans les électroniques professionnelles de studio au format 500 par le biais de trois préamplificateurs monophoniques, les Yellow Mic500 en version Mic500-TL, TO et TT.

Basés sur une topologie en pure Classe A, ces trois préamplificateurs n’en sont qu’un mais décliné en trois versions différentes en fonction de la présence de transformateurs ou pas sur les entrées et les sorties.
L’électronique de haute qualité, symétrique de bout en bout, ne présente pas de condensateurs sur le trajet du signal en dehors du modèle TT équipé de transfos Lundahl sur l’entrée et la sortie.
Le modèle TO dispose du même transfo uniquement sur la sortie.
Le TL, comme son nom le suggère est Transformerless. Chaque module est blindé afin de garantir la meilleure immunité aux sources de pollution externe.

Schertler Préampli micro Yellow Mic500

La face avant en aluminium anodisé donne accès aux commandes parmi lesquelles un gain rotatif à 12 positions par pas de 3dB pour des signaux allant de -15 à -48 dB, et une seconde commande agissant sur un étage offrant 20 dB de gain additionnel bien utile avec des micros à ruban ou par exemple le SM7 de Shure pour ne pas le citer.
Un VU mètre à 10 leds mémorisant les pics, garantit un suivi précis des niveaux allant de -20 à +3 dB. Enfin deux commutateurs offrent pour l’un la mise en service de l’alimentation phantom et pour l’autre l’inversion de la phase.
Conçus pour délivrer le son le plus pur, les trois modules Yellow Mic 500 sont conçus autour d‘un circuit discret équipé de transistors appairés de That Corporation fonctionnant sans contreréaction afin d’améliorer le temps d’attaque et la vitesse de balayage. Enfin les rails d’alimentation à filtrage actif sont conçus dans le but d’améliorer le PSSR (Power Supply Rejection Ratio).
Commentant l’entrée de sa société dans le marché de l’audio pro, Stephan Schertler, fondateur et PDG de la société éponyme explique : « Pendant plusieurs années Schertler a flirté avec l’audio pro grâce à son incessant travail visant à offrir à l’industrie musicale la meilleure qualité possible de rendu instrumental.
Quelques unes des technologies mises en œuvre dans nos produits et fruit de notre bureau d’études, ont servi de socle et ont facilité notre entrée dans ce nouveau segment de marché. Les Yellow Mic500, qui sont des versions plus évoluées des préamplis Yellow Single et Yellow Blender sont à, ne pas en douter, les portes fanions d’une gamme de nouveaux produits à venir »

Schertler est présent au Music Messe de Francfort dans le Hall 8 et sur le stand G92.
D’autres informations sur www.schertler.com

SGM G1, mini, autonome et IP 65

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SGM G1

SGM nous montre la version définitive maintenant commercialisée de sa petite G1 lancée à Prolight+Sound 2015.
Unique en son genre, par sa taille, son indice de protection IP65 et ses batteries embarquées, cette jolie lyre Beam sans fil à la patte, offre une vraie solution aux prestataires événementiels pour des usages spécifiques.

De petite taille et trapue (30 cm de large pour 38 cm de haut, hors tout), la G1 propose un faisceau à effet très serré, de 0,3° à 2,8° (angle variable obtenu avec le jeu de son focus motorisé), à base d’une source à leds blanches de 6500K.

Son joli bâton de lumière est modelé par une roue 19 gobos, dont 8 ouvertures différentes (pour un effet d’iris) avec possibilité de rotation continue et effet « shake ».
Il est coloré via une roue de 14 filtres dichroïques. Un dimmer et effet strobe sont évidemment inscrits au menu.

SGM G1

SGM G1
A Prolight+Sound en 2015, montée sur un socle mobile télécommandé, la G1 faisait son petit tour des allées sans fil à patte : vraiment craquante !

Un projecteur d’effet simple et rapide.

Mais la G1 se distingue surtout par des caractéristiques uniques qui la rendent seule capable de certaines performances. Sa consommation minime (60 W) la place dans la catégorie des machines peu gourmandes, mais surtout, elle est équipée de 3 modules de batteries (optionnels) lui permettant d’être alimentée de façon autonome pendant environ 10 heures.
Vidéo ci-après : Un test de la G1 en conditions d’utilisation extrêmes

Si on ajoute à ça son récepteur DMX Lumen Radio (et RDM, s’il vous plait !), et son indice de protection IP65 qui la rend utilisable dans toutes les conditions et surtout sous la pluie en extérieur, on a là un petit projecteur parfaitement autonome et pilotable, à installer partout sans aucune limite.

SGM G1
Dans un bassin, copieusement arrosée toute la journée, elle ne bronche pas grâce à son IP 65 qui la rend idéalement étanche.

Bien entendu, la G1 peut aussi être alimentée sur secteur via son câble Neutrik True-One, et recevoir ses données de commande par câble (XLR-5) toujours en gardant son indice IP 65.
On peut parfaitement imaginer un set de G1 déployable en quelques minutes sur n’importe quel terrain et utilisable quasiment sans contrainte.
Et ça c’est réellement quelque chose de nouveau, dans la lignée de ce que propose sa grande sœur le G-spot (la lyre à à leds RGB «gros modèle » également étanche, du même constructeur).


Le G1 est commercialisé au prix public de 3690 € HT sans batterie.
Le prix d’une batterie est de 250 € HT, et il est possible d’intégrer 3 batteries dans la base du projecteur pour bénéficier de l’autonomie maximale.

Plus d’infos sur le site Sonoss et sur le site SGM

 

Clay-Paky et Dimatec fêtent leur réussite et annoncent le nouvel Hepikos

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Pio Nahum et Olivier Bordini
Pio Nahum et Olivier Bordini

Célébrer l’accord de distribution exclusive validé entre Clay Paky et Dimatec sur la France et faire taire en passant les rumeurs qui ont la peau dure…
Fêter une progression de CA à deux chiffres…
Découvrir l’équivalent Wash du Mythos à naître à Prolight+Sound…

Lors de cette soirée Light Passion Night, 300 passionnés de lumière de l’hexagone ont bravé le vent glacial des jardins de la Villette le 20 janvier dernier, pour entourer les équipes franco/italiennes au chaleureux Cabaret Sauvage.

Nous étions accueillis par Olivier Bordini, P.DG de Dimatec et son équipe, mais aussi honorés de la présence de Pio Nahum P.d.g de Clay Paky et d’Emilio Cornelli directeur des ventes Europe, pour partager un moment de convivialité et fêter la remarquable progression de Dimatec dont le CA est en évolution de 50 % en 2015 par rapport à 2014.

Hepikos, le pendant Wash du Mythos.
Hepikos, le pendant Wash du Mythos.

L’équipe italienne avait apporté du lourd en nouveauté :
Le Scenius Profile et un prototype équipé d’une nouvelle source arc court Osram à réflecteur de 700 W ! domptée dans un projecteur hybride Wash/Beam, autrement dit l’équivalent Wash du Mythos.
Le faisceau beam de 4°, passe à 14° via un frost. Il est ensuite linéaire de 14 à 35°.
Restait à définir entre autre ( nous étions fin janvier) le système de couleurs, les filtres du petit monstre générateur d’une grande quantité de lumière en faisceau large., et de le poser sur la balance…)

Dans quelques jours à Prolight+Sound, nous aurons toutes les réponses, certainement une vraie démo, et d’autres nouveaux produits à découvrir.


Hepikos n'était pas terminé, mais déjà très séduisant en faisceau large...
Hepikos n’était pas terminé, mais déjà très séduisant en faisceau large…
... et en beam. On sent la puissance sous le capot.
… et en beam. On sent la puissance sous le capot.

SLU : Alors Olivier, heureux de cette soirée ?

Olivier Bordini, Président de Dimatec : “Oui, très, c’est la nuit des passionnés de lumière, la nuit des lighteux. C’était l’objectif de partager un moment de convivialité, juste pour le plaisir d’être ensemble, parce que nous sommes un peu orphelin d’un salon, le SIEL, qui était pendant des décennies un point de rencontre. Donc nous avons voulu partager un moment d’échange.

SLU : C’était aussi pour valider la confiance de Clay Paky dans Dimatec. Clay Paky France a disparu et Dimatec est le partenaire assumé…

Olivier : Oui, pour des raisons administratives il y a eu abandon de cette filiale, c’était plus simple lors du rachat de Clay Paky par Osram. Mais nous étions déjà distributeur exclusif par contrat et Clay Paky l’a renouvelé début 2015.

SLU : Tu annonces une augmentation de chiffre d’affaire en 2015…

Olivier : Oui, et une belle de 50%, mais 2014 n’était pas une année exceptionnelle pour diverses raisons et notamment des retards de production de certaines machines.

SLU : C’est Essentiellement le Mythos qui fait la différence ?

Olivier : C’est vrai que le Mythos a fait un beau début de carrière en 2015 mais nous avons aussi continué à vendre du K10, K20, Sharpy, Super Sharpy, des 300… L’équipe aussi a grandi. Nous étions 12 et surtout concentrés en région parisienne par nécessité. Nous avons embauché trois personnes dont deux technico-commerciaux pour être présents dans toute la France. On grandit doucement, pas plus d’un recrutement à la fois, au rythme des grossesses (rire) !

Soirée Clay-Paky Dimatec
Stéphane Samama et Jean-Luc Wase (Dimatec)
Soirée Clay-Paky Dimatec
De gauche à droite, Sébastien Caplot et Anne-Marie Ouvrard (Dimatec avec Clément Soutenet (Dushow)

Dimatec est détenue à 90% par des membres du personnel, Anne Marie Ouvrard, assistante à la direction commerciale), Stéphane Samama, (responsable commercial secteur audiovisuel) et moi.
Les 10 % restant sont détenus par des amis, Réginald Dujardin (ex directeur financier à la retraite) et Desisti.
Et nous formons une équipe volontaire, branchée, sympathique… C’est un plaisir de travailler.”

Quelques images de la soirée

Stéphane Fleury (Impact Evénement) à gauche et Leon Van Empel (S Group).Les dirigeants de Boîtes de presta ont toujours des histoires de presta à se raconter...
Stéphane Fleury (Impact Evénement) à gauche et Leon Van Empel (S Group).Les dirigeants de Boîtes de presta ont toujours des histoires de presta à se raconter…
Athur Oudin, (LD) toujours souriant, c'est top !
Athur Oudin, (LD) toujours souriant, c’est top !

Jacques Giovanangeli à gauche et Pascal Neniez (Opéra Garnier)
Jacques Giovanangeli à gauche et Pascal Neniez (Opéra Garnier).
“Fredo” (Régie Lumière) me fait son regard qui tue, même pas mal ! Près de lui c'est Hugues Vittone (MPM).
“Fredo” (Régie Lumière) me fait son regard qui tue. Même pas mal ! Près de lui Hugues Vittone (MPM)

Nicolas Savigny (Pre-Vues).
Nicolas Savigny (Pre-Vues).
De gauche à droite, Olivier Bordini (Dimatec), Pascal et Zippo (Palais des Congrès).
De gauche à droite, Olivier Bordini (Dimatec), Pascal et Zippo (Palais des Congrès).
Bjorn Hermann (LD) et assis à droite Emilio Cornelli (Clay Paky) pendant la projection des événements auxquels Clay Paky a participé dans le monde.
Bjorn Hermann (LD) et assis à droite Emilio Cornelli (Clay Paky) pendant la projection des événements auxquels Clay Paky a participé dans le monde.
Antonio de Carvalho (directeur photo), Didier Paillet (Opéra Bastille), Alfred Santilli “Fredo” (Régie Lumière) et Thierry Mauger (POPB).
Antonio de Carvalho (directeur photo), Didier Paillet (Opéra Bastille), Alfred Santilli “Fredo” (Régie Lumière) et Thierry Mauger (POPB).
Xavier Demay (Dushow)
Xavier Demay (Dushow)

Olivier Boissières (Magnum), le pouce levé pour dire qu'il aime cette soirée et Jean-Marc Jolivet (éclairagiste indépendant)
Olivier Boissières (Magnum), le pouce levé pour dire qu’il aime cette soirée et Jean-Marc Jolivet (éclairagiste indépendant)
Entre, Gaetan Delmotte et Régis Casus (Regietek), c'est Nicolas Gras (directeur technique indépendant).
Entre, Gaetan Delmotte et Régis Casus (Regietek), c’est Nicolas Gras (directeur technique indépendant).

Rémi Derruau (Dimatec) et David Créteur (Novelty). A droite, c'est Stéphane Samama (Dimatec)
Rémi Derruau (Dimatec) et David Créteur (Novelty). A droite, c’est Stéphane Samama (Dimatec)
Bouchon (éclairagiste indépendant), Vincent Lherisson (LD) et Sébastien Sacco (technicien indépendant)
Bouchon (éclairagiste indépendant), Vincent Lherisson (LD) et Sébastien Sacco (technicien indépendant)
Même de profil on les reconnait ! A gauche, Didier Baldacchino (Novelty), puis Didier Belzeaux (Magnum). Au centre de l'image, Christophe Roirand (LD) discute avec Max Hass et à droite, de dos c'est Frédéric Fayard “Aldo” (Concept K)
Même de profil on les reconnait ! A gauche, Didier Baldacchino (Novelty), puis Didier Belzeaux (Magnum). Au centre de l’image, Christophe Roirand (LD) discute avec Max Hass et à droite, de dos c’est Frédéric Fayard “Aldo” (Concept K)
Pascal Bonnet (Impact Evénement).
Pascal Bonnet (Impact Evénement).
Christophe Roirand (LD), Stéphane Mocret (éclairagiste indépendant et SLU) Pascal et Zippo (Palais des Congrès)
Christophe Roirand (LD), Stéphane Mocret (éclairagiste indépendant et SLU) Pascal et Zippo (Palais des Congrès)

Alexandre Cusey à gauche, Fabien Panes (Disney) et à droite...
Alexandre Cusey à gauche, Fabien Panes (Disney) et à droite…
Max Haas (LD) à gauche et Emilio Cornelli (Clay Paky)
Max Haas (LD) à gauche et Emilio Cornelli (Clay Paky)

Steven Barthelemy (Puy du Fou) et Christophe Malmejat (Disney).
Steven Barthelemy (Puy du Fou) et Christophe Malmejat (Disney).
Xavier Demay (Dushow), Jacques Damiens et Raphael Forster (Osram)
Xavier Demay (Dushow), Jacques Damiens et Raphael Forster (Osram)

Olivier Bordini (Dimatec), entouré de François Lamberdière et Laurent Le Bozec (Sound Light Event)
Olivier Bordini (Dimatec), entouré de François Lamberdière et Laurent Le Bozec (Sound Light Event)
Soirée Clay-Paky Dimatec
Pio Nahum à gauche et Raphael Forster (Osram)

Encore plus d’images sur l’album photo de Dimatec en cliquant dessus

Album photos Dimatec

Sommer Cable présente SC-STRATOS

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En tant que fournisseur spécialisé dans le câblage et la connectique, Sommer Cable connaît les ingrédients indispensables à la confection de câbles de haute qualité présentant neutralité et musicalité. Les nouveaux câbles de la série SC-STRATOS répondent à ces critères.

Sommer Cable SC-STRATOS
Sommer Cable SC-STRATOS

Bénéficiant en plus d’un système de « compensation thermique », leur usage est particulièrement effectif en combinaison avec les amplificateurs de haute puissance dégageant beaucoup de chaleur.
Selon Pascal Miguet, Directeur de production & distribution chez Sommer Cable « Beaucoup de câbles á prix modéré subissent très vite une dégradation des qualités acoustiques : porosité des gaines de protection, contraction des isolants ou oxydation du cuivre des âmes sont des problèmes fréquents. Notre série SC-STRATOS met l’accent sur une qualité haut de gamme.

Sommer Cable SC-STRATOS

Notre but était d’élaborer un produit convaincant par sa sonorité et par ses qualités techniques. Grâce à leur grande longévité et à leur fidélité de reproduction spatiale, nos nouveaux câbles BF phono sont adéquats pour les utilisations avec les amplificateurs de haute performance, en entrée ou en sortie, ou comme câbles d’instrument pour les utilisations en studio ».
Comprenant un blindage multiple par tresse de cuivre enrobée d’une couche semi-conductrice, et de plus une gaine extérieure dissipant la chaleur, ce câble innovant garantit une excellente protection contre les perturbations électromagnétiques et contre la surchauffe.
De par la combinaison des âmes en cuivre sans oxygène et des connecteurs HICON RCA/Cinch avec contacts plaqués or, broche massive et pince de délestage à griffes, les câbles de la série STRATOS se positionnent comme conducteurs de référence pour les secteurs Hitech et studio d’enregistrement.

Ces nouveaux câbles sont d’ores et déjà disponibles, pré-confectionnés en longueurs standard ou (sur demande) en longueurs spéciales.

D’autres information sur le site www.sommercable.fr

 

Leopard de Meyersound : petit format, gros son

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On a à peu près tout dit sur le Leopard, le petit dernier de la famille Leo de Meyersound, tout sauf l’essentiel. Est-ce que ça sonne ?
Profitant des démos de Best dans le studio de Dushow, nous nous sommes glissés entre deux clients pour écouter ce petit monstre bien plus moderne qu’il en a l’air.

Bonne nouvelle, le régime, le numérique omniprésent et la petite taille de cette boîte n’ont pas impacté son potentiel, loin de là. Après Alice au pays des merveilles, voici Ludo au pays des décibels.

La configuration en place dans le studio Dushow. Pour une fois les bananes et les stacks de subs sont éclairés. Même trop ! Remarquez aussi les 1100-LFC de part et d’autre des stacks de 900-LFC
La configuration en place dans le studio Dushow. Pour une fois les bananes et les stacks de subs sont éclairés. Même trop ! Remarquez aussi les 1100-LFC de part et d’autre des stacks de 900-LFC

La gamme Line-Arrays de Meyer est désormais coupée en deux avec les trois LEO en tête de gondole et trois rescapés de la famille Milo pour faire la maille. Il ne faut pas être devins pour imaginer une dernière déclinaison vers le bas des LEO et la progressive mise à la retraite des « M ». On a même ce qui pourrait être son nom : Lynx !

MeyerSound Tableau

Un rapide coup d’œil montre l’avantage du numérique sur l’analogique qui a été l’apanage de cette marque durant de nombreuses années. Sans être officiellement le remplaçant du Mica, le Leopard fait aussi bien si ce n’est mieux dans le haut du spectre et n’est à peine en retrait qu’au milieu du grave, là où le couplage des têtes en fabrique des semis. La grande différence se mesure au niveau de la taille et du poids, donc en possibilité d’en accrocher plus à moteur égal et d’en transporter plus à encombrement égal. Des arguments en béton par les temps qui courent.

Le bon vieux Mica à l’aigu fin et ciselé mais à l’embonpoint certain face au Leopard
Le bon vieux Mica à l’aigu fin et ciselé mais à l’embonpoint certain face au Leopard

Comme le Mina qui a ouvert la voie, le Leopard peut donc désormais se frotter à la concurrence sans rougir au moment de passer sur la balance.
Meyer a totalement rattrapé son retard, et se place avec ce modèle, au niveau de la concurrence, malgré l’amplification et le processing embarqués.

Le Leopard, 10 cm plus profond que le Mica, mais 37 moins large et deux fois plus léger.
Le Leopard, 10 cm plus profond que le Mica, mais 37 moins large et deux fois plus léger.
Marc de Fouquières en visite dans le studio. Directeur technique du groupe Dushow, grand passionné de technique, intarissable source de savoir pour la chose sonore et mec en or quand on veut se coucher moins con que le jour avant. Il est ici sur son jouet, le Source Independent Marco ou SIM ;0)
Marc de Fouquières en visite dans le studio. Directeur technique du groupe Dushow, grand passionné de technique, intarissable source de savoir pour la chose sonore et mec en or quand on veut se coucher moins con que le jour avant. Il est ici sur son jouet, le Source Independent Marco ou SIM ;0)

Interrogé il y a quelques mois, Marc de Fouquières nous avait fait part de son enthousiasme et décrit quelques-uns des choix techniques très novateurs présents dans le Leopard et le sub qui l’accompagne, le 900-LFC.
Des choix qui n’impactent pas, selon lui, les performances de ce nouveau modèle.
Voir en cliquant sur ce lien l’interview de Marc De Fouquières par SLU

La fenêtre affichant l’état de chaque enceinte avec une représentation graphique par ampli
La fenêtre affichant l’état de chaque enceinte avec une représentation graphique par ampli

C’est donc avec beaucoup de curiosité que nous avons découvert cette enceinte ou plutôt 6 d’entre elles accrochées dans le studio de Dushow, complétées par un renfort de basses 900-LFC en tête de ligne et deux 900-LFC par côté au sol, le tout alimenté par la toute nouvelle S6L d’Avid.

En avant les décibels

Une partie des forces de Best. De gauche à droite José Chaves, chargé d’affaires, Matthieu Chenuil en charge du service après-vente et Sébastien Nicolas aussi chargé d’affaires.
Une partie des forces de Best avec de gauche à droite José Chaves, chargé d’affaires, Matthieu Chenuil en charge du service après-vente et Sébastien Nicolas aussi chargé d’affaires.

Le montage et le calage ont été effectués par les équipes de Best Audio, Sebastien, José, Cyril et Matthieu assistés par José Gaudin, un des spécialistes du support technique de Meyer. Inutile de vous préciser aussi que Marco qui parle le SIM couramment, est venu nous rendre visite.
Saluons enfin la présence de Stéphane Boutinaud, un batteur pro disposant d’un gros son dans ses baguettes et dans sa splendide DW.
Il a tapé des programmes variés et complets, permettant de juger du potentiel du système, et tout un chacun a eu le loisir de retoucher le mix de son instrument sur la S6L, ce qui nous a par exemple permis de calmer le pied de sa très grosse caisse qui s’est prise un peu pour Spoutnik dans le studio de Dushow.
Le premier contact avec les Leopard a lieu avec “The Curse”, un titre d’Agnès Oble qui porte en lui tout ce qui peut mettre à mal une enceinte : une voix puissante d’une redoutable précision, un violoncelle à l’archet bien râpeux, et enfin des pizzicati de cordes habillés d’une réverbe aussi dense que du miel sorti du frigo. Le constat est sans appel. Le Leopard est une fausse petite boite.

L’autre star de cette écoute, la S6L d’Avid, l’un des deux exemplaires en parc chez Dushow
L’autre star de cette écoute, la S6L d’Avid, l’un des deux exemplaires en parc chez Dushow

On demande à écouter le même titre sur les 12 têtes sans aucun renfort dans le bas. L’assise reste excellente et le violoncelle continue de creuser des sillons dans le béton du studio. Bien sûr les notes les plus basses manquent un peu de bave type « concert », mais sans plus. Le rendu est très cohérent et on sent bien le travail fait sur la phase qui tient entre +/- 30° entre 92 Hz et 18 kHz.

Dans le studio de Dushow, et de gauche à droite Stéphane Boutineau batteur professionnel, Sébastien Nicolas chargé d’affaires et enfin José Gaudin, un des spécialistes du support technique de Meyer basé en Europe.
Dans le studio de Dushow et de gauche à droite, Stéphane Boutineau batteur professionnel, Sébastien Nicolas chargé d’affaires et enfin José Gaudin, un des spécialistes du support technique de Meyer basé en Europe.

La dynamique de ce titre, certes masterisé mais gardant beaucoup de fraicheur dans ses attaques, est bien reproduite, avec surtout un très beau respect des timbres et absolument aucun son typé « renfort sonore ». On a le sentiment d’être face à un système plus gros.
Une petite dureté dans le haut médium nous pousse malgré tout à réclamer une écoute flat, ce qui améliore le rendu. José, qui connait parfaitement bien le système, nous propose de ne faire jouer qu’une boite pour savoir si le problème est lié à l’enceinte ou au couplage.
Une expérience intéressante et qui se révèle judicieuse puisque c’est bien le couplage des 6 têtes qui provoque localement et de près cette dureté. Gros avantage avec Meyer, n’écouter qu’une enceinte dans une ligne est possible et très simple à réaliser et, surtout, le son qu’elle produit est plaisant et équilibré tel quel.

TruePower et RealGrosSon

Une vue de détail des 900-LFC, des subs qui ne sont pas qu’une moitié de 1100-LFC mais bien des enceintes embarquant un 18’’ à double bobine et deux amplis, une stratégie visant donner plus de puissance au cône sans pour autant chuter trop bas en impédance avec une seule bobine
Une vue de détail des 900-LFC, des subs qui ne sont pas qu’une moitié de 1100-LFC mais bien des enceintes embarquant un 18’’ à double bobine et deux amplis, une stratégie visant donner plus de puissance au cône sans pour autant chuter trop bas en impédance avec une seule bobine

Le deuxième titre qui nous est proposé est “Everybody here wants you” de Jeff Buckley et RMS va voir ce qu’il va voir. Nous poussons le système dans ses limiteurs pour écouter la façon avec laquelle le félin retombe sur ses pattes quand on le maltraite.

Sonomètre en LEQ et en A, sur la longueur du titre on atteint les 110 dB avec une certaine grâce.
On n’ira pas jusqu’à dire que le rendu est naturel et qu’il respire. Manifestement, les 12 dB de dynamique que les limiteurs mettent de côté sont entamés, mais le procédé TruePower, embarqué dans chaque boîte, veille au grain, et à 110 dBA, on ne risque pas encore de se prendre les membranes sur la tête.
Pour mémoire, la trouvaille de TruePower est de mesurer à la fois la tension et l’intensité et donc de déterminer avec précision la puissance dissipée dans chaque bobine, ce qui revient à tenir compte de l’impédance, de l’échauffement et des caractéristiques de chaque HP.
Cela permet de tirer sans risque le meilleur de chaque transducteur, et de s’autoriser des crêtes et donc des pics de dynamique bénéfiques au son.

Interrogé à ce sujet, José Gaudin confirme : « A l’auditorium Miles Davis à Montreux, une jauge de 4000 personnes, il y a 10 Leopard par côté. Tous les jours c’est la même rengaine.
-C’est trop petit, cela ne va jamais marcher-.
Je me souviens qu’au début je n’en menais pas large, mais après avoir fait passer Grand Nation et James Blake, on a retrouvé le sourire. »

Quand des peaux parlent à des membranes

Place à présent à Stéphane Boutineau dont je recommande à tous les batteurs un peu flemmards question exercices, son site Apprendre la batterie (voir lien en fin d’article). Allez directement à l’indépendance jazz et n’oubliez pas votre tisane pour vous calmer !

La DW de Stéphane Boutineau en mode prise de son bien bardée de micros
La DW de Stéphane Boutineau en mode prise de son bien bardée de micros

Dès les premières mesures sur la DW, la sensation reste la même. La dynamique a beau être plus que présente, le Leopard trace sa route avec une plénitude, un impact et une facilité de grosse boîte, la même qu’avec les sources masterisées, une polyvalence très appréciée et pas toujours si évidente ailleurs. J’avoue ne pas avoir été spécialement séduit par le montage proposé avec le 900-LFC en tête de ligne dont le comportement, omnidirectionnel n’a pas grand-chose à voir avec la directivité du grave produit par les 6 têtes, et ne s’accorde pas idéalement bien avec les subs au sol.

Il est possible aussi que le studio de Dushow mette quelques fréquences en avant ; le fait est que j’ai naturellement filtré le pied avec le coupe-bas de la S6L et lui ai donné plus d’attaque et de niveau ce qui s’est révélé très agréable à l’oreille. Pour être tout à fait sincère, ce qui a manqué c’est un bon bassiste, une idée à creuser pour la prochaine fois. On a des noms ;0)

Facile, dynamique et très agréable à l’oreille, la petite dernière de Meyer a tout ce qu’il faut pour séduire les intégrateurs comme les prestataires. Si tout le monde connaît les avantages de la proximité des étages de sortie avec les haut-parleurs, nombreux sont encore ceux qui préfèrent garder les amplis à portée de clé Allen en cas de défaillance, surtout sur le vieux continent.
Pas fiable Meyer ? Cela fait des années que des jazzmen s’évertuent à défoncer sans y parvenir, les boîtes qui garnissent les légendaires piliers d’un club de la rue des Petites-Ecuries. Hein ? Mais non je ne l’ai pas dit ;0)

D’autres informations avec les liens ci-après sur les sites de :

Studio Novum, le tracking du « Follow », et les solutions techniques sur mesure

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Bernard Garabedian et Sébastien Beslon proposent au monde de la scénographie, de l’éclairage ou de l’événementiel, la conception et la mise en œuvre de systèmes novateurs en matière de technologie pour des besoins spécifiques et pointus.
Ils nous ont présenté leur dernier né : le « Follow », un ingénieux système de « tracking » qui permet d’asservir tout système de projecteurs à une localisation géométriquement définie « en live » dans l’espace.

L’entité Studio Novum et son champ d’activités nous sont présentés par ses deux fondateurs et associés, qui se connaissent depuis une vingtaine d’années et qui ont décidé d’entreprendre ensemble.

L'équipe de Studio Novum avec de Gauche à Droite, Bernard Garabedian, fondateur et ingénieur de développement du Studio Novum, Géraldine Fournier, coordinatrice/assistante de direction, Sébastien Beslon, fondateur et directeur du Marketing du Studio Novum et Vincent Ydé, directeur financier.
L’équipe de Studio Novum avec de Gauche à Droite, Bernard Garabedian, fondateur et ingénieur de développement du Studio Novum, Géraldine Fournier, coordinatrice/assistante de direction, Sébastien Beslon, fondateur et directeur du Marketing du Studio Novum et Vincent Ydé, directeur financier.

Tout d’abord Bernard Garabedian, dont le parcours professionnel a débuté dans la technique et l’électronique pour ensuite dévier dans le monde du spectacle (et plus particulièrement du son dans un premier temps).
Depuis un certain nombre d’années, il développait et construisait des surfaces de contrôle électroniques novatrices pour les instrumentistes de musique contemporaine, créant des « moutons à cinq pattes » au service des musiciens électro et de l’expérimental. Une « lutherie numérique » sur mesure et unique en son genre.
Il s’est toujours intéressé aux technologies qui concernent la captation physique (de mouvement, de position…), et en réponse à des besoins de scénographes ou de compagnies de théâtre, il a développé ses premiers systèmes de capteurs et leur électronique permettant librement l’interaction entre des Artistes et leur environnement sonore ou lumineux.

Sébastien Beslon se déplace en étant serré de près par 3 faisceaux de Clay-Paky Mythos.
Sébastien Beslon se déplace en étant serré de près par 3 faisceaux de Clay-Paky Mythos.

Dans le Binôme de Studio Novum, le deuxième associé est Sébastien Beslon. Sébastien vient de la stratégie de marketing autour des événements et du spectacle, dans le cadre de la direction de salles de spectacle et de la production artistique.
Son expérience l’a souvent amené à approcher les metteurs en scène, scénographes et artistes intéressés par les techniques de pointe, et c’est tout naturellement qu’il a fondé avec Bernard cette entreprise qui représente si bien ce domaine et son envie de développer une sorte d’agence de développement très spécialisée dans ce secteur d’activité.

Bernard Garabedian nous montre l'un de ses capteurs de position. Il n'y a pas à dire, ça passe partout!
Bernard Garabedian nous montre l’un de ses capteurs de position. Il n’y a pas à dire, ça passe partout!

Dans un premier temps, Sudio Novum n’a pas nécessairement vocation à commercialiser des produits industriels, mais à développer, autour de cahiers des charges spécifiques, des outils uniques et sur mesure, pour les besoins de productions ou d’artistes. Ils accompagnent le projet depuis sa conception jusqu’à sa mise en œuvre.
En terme d’outil, celui qu’il nous ont présenté, le « Follow », utilise un système de capteurs miniaturisés sans fil, permettant d’asservir tout un ensemble de projecteurs, motorisés ou non, a une position déterminée par un opérateur (un poursuiteur par exemple). Il s’agit d’un réel travail en trois dimensions d’une localisation dans l’espace et de sa gestion pour y appliquer tous les effets possibles et imaginables en lumière (et pourquoi pas en son également !).

Projecteur de poursuite équipé d'un capteur "Follow" dans le cas d'un asservissement de position par le poursuiteur
Projecteur de poursuite équipé d’un capteur « Follow » dans le cas d’un asservissement de position par le poursuiteur

Pour être concret, et pour prendre un premier exemple simple d’application, le « tracking » bête et méchant, imaginez vous un poursuiteur visant un artiste avec sa poursuite équipée d’un capteur. Il est donc possible d’asservir à la position que suit l’opérateur, un dispositif d’autres projecteurs qui vont suivre ce même artiste et « coller » sur le même point tous ses déplacements. Cela peut concerner plusieurs projecteurs, mais aussi jusqu’à un très grand nombre ! Qu’ils soient situés à la face, latéralement ou à contre-jour…
Très fort et très utile également, le système étant parfaitement capable d’une localisation précise en distance, il est imaginable de piloter des projecteurs automatisés en suivant un artiste en salle, même sous un balcon inaccessible à une poursuite, avec un opérateur manipulant le capteur depuis la scène… Un artiste peut aussi lui-même manipuler un capteur pour « viser » quelque chose ou quelqu’un qu’il désire éclairer en temps réel…

Ce système sera aussi paramétré pour réagir avec de l’éclairage traditionnel, et donc des gradateurs, qui peuvent être asservis en fonction de la position des capteurs… Bref, tout un tas d’applications, et celles que je décris ne sont que quelques exemples infimes de la multitude de choses que l’on peut imaginer faire avec ce système.

Follow est en cours de finalité de développement, notamment son interface, avant commercialisation, alors l’équipe du Studio Novum assure elle-même les prestations pour le moment.
Contactez-les pour plus d’informations car leurs capacités de créations peuvent vous ouvrir de nouveau horizons, repoussant loin certaines limites techniques dans notre beau métier !

Contact : studio-novum.fr et/ou Sebastien Beslon : [email protected]

ARX USB DI Plus

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ARX va introduire à Prolight+Sound sa seconde génération de boîtes de direct USB qui présente la particularité de comporter également une interface analogique complètement isolée par transformateur audio.
Deux modèles seront disponibles, différenciés par l’ajout d’un contrôle de volume sur un des deux. Ce dernier modèle permet d’envoyer directement le signal audio avec un niveau ajusté à des enceintes amplifiées par exemple.

Le modèle DI Plus outre le port USB dispose de deux types d'entrées analogiques par Jacks 6,35 mono ou mini Jack 3,5 stéréo.
Le modèle DI Plus, outre le port USB, dispose de deux types d’entrées analogiques par Jacks 6,35 mono ou mini Jack 3,5 stéréo.

En mode USB, les boites DI Plus intègrent un module USB et un convertisseur numérique / analogique 24 bits haute résolution qui remplacent avantageusement l’emploi de la carte son d’un ordinateur avec son bruit inhérent.
Le module USB est un « USB audio device » générique qui ne demande pas l’installation d’un driver spécifique.

Le convertisseur fournit des signaux au niveau ligne à un transformateur d’isolement qui attaque les sortie gauche et droite en XLR Amphenol avec des broches plaquées or. Dans ce mode, l’électronique est alimentée par le bus USB et ne nécessite aucune alimentation interne ou fantôme.

La face arrière est identique sur les modèles DI Plus et DI plus VC avec un commuteur mono-stéréo et le « Ground Lift »
La face arrière est identique sur les modèles DI Plus et DI plus VC avec un commutateur mono-stéréo et le « Ground Lift »

Dans le mode analogique, commutable via un poussoir, les boîtes DI plus peuvent recevoir les signaux d’une tablette, d’un iPad voire d’un smartphone qui ne disposent pas de port USB et les convertir en signaux symétriques G et D au niveau professionnel.
Ce mode est totalement passif et ne requiert pas d’alimentation. Là encore les signaux audio sont isolés par transformateur. Les deux modes disposent d’un commutateur de masse (Ground Lift) éliminant les éventuelles boucles de masse et le bruit afférent.

Face avant du modèle DI Plus VC avec son réglage de volume
Face avant du modèle DI Plus VC avec son réglage de volume

Le modèle DI Plus VC, intègre, comme son nom l’indique, un contrôle de volume pour adapter le niveau à distance d’une table de mixage ou pour attaquer des enceintes amplifiées à entrées symétriques.

D’autres informations sur les sites ARX et Audiolead

ETC contribue à la pérennité technique du Malmö Live

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Quand les responsables techniques de la salle de concert du Malmö Live (en Suède), qui vient juste d’être terminée, pensaient l’éclairage, ils savaient qu’ils devaient en garantir la durabilité, tout en réduisant les coûts.
Atendi, le fournisseur danois de matériel ETC, connu auparavant sous le nom de Bico Professionnel, a donc fourni un système de contrôle d’énergie ETC Sensor3 complet équipé de modules ThruPower à trois fonctions : gradateur, relais et direct. Il a également fourni 100 projecteurs à LED Selador® D40 Desire Studio Tungsten LED, à la place des projecteurs à lampe halogène spécifiés à l’origine.

Les 100 projecteurs à leds ETC Desire D40 Studio Tungsten fournissent 2000 lux en tout point de la scène. Photo : Carl-Jonsson
Les 100 projecteurs à leds ETC Desire D40 Studio Tungsten fournissent 2000 lux en tout point de la scène. Photo : Carl-Jonsson

Les 100 projecteurs à LED sont installés au-dessus de l’estrade de l’orchestre dans la salle principale de 1 600 places et produisent une lumière blanche puissante mais peu gourmande en énergie. Ils parviennent à fournir quelque 2 000 lux partout sur la scène, malgré une consommation d’énergie totale de 3 kW seulement.
Avec un système Unison Paradigm d’ETC, le système de scène et les éclairages de travail, ainsi que la lumière pour les répétitions, sont entièrement intégrés. On peut exploiter tous les projecteurs aussi bien à partir des consoles lumière que des surfaces de contrôle audiovisuel Creston existantes.

« À l’origine, le système était prévu avec 80% de gradateurs et 20% de circuits sans gradation. En passant au système ThruPower, nous sommes passés d’une solution figée à une solution flexible car les circuits sont indifféremment directs ou gradués. Sur l’ensemble de l’installation, nous avons économisé des gradateurs, du câblage et de la distribution d’énergie. Cela nous a permis de maintenir le système dans le budget et de le rendre encore plus pérenne. » relate Le consultant Søren Nylin.

Le Malmö Live utilise un système de contrôle ETC Sensor3 avec gradateurs ThruPower et 100 projecteurs à leds Desire D40 de la gamme ETC. Photo : Carl-Jonsson
Le Malmö Live utilise un système de contrôle ETC Sensor3 avec gradateurs ThruPower et 100 projecteurs à leds Desire D40 de la gamme ETC. Photo : Carl-Jonsson

La salle de concert, ainsi que la salle polyvalente plus petite, baptisée « le Cube », sont toutes deux contrôlées via une structure complète de réseau sACN, avec le logiciel ETC Concert PC, qui sera utilisé pour gérer les paramètres de ThruPower, les 24 nodes DMX/RDM Gateways et les projecteurs compatibles RDM. Cela s’étend avec un système DMX sans fil, composé de 30 récepteurs et émetteurs, d’origine tierce. Grâce au protocole ACN, on peut débrancher n’importe quel équipement et le rebrancher en n’importe quel autre endroit, tout en en gardant facilement la trace.

Michael Derving, responsable des bâtiments et de la logistique du Malmö Live et logistique, déclare : « Nous sommes heureux qu’il ait été possible de modifier la conception du système et d’adopter ThruPower, et nous pensons que nous avons un système totalement flexible, prêt à relever tous les défis auxquels nous serons confrontés à l’avenir. La conception des commandes qui combine le DMX sans fil et nodes câblés sACN DMX/RDM Gateway permet de s’adapter facilement à toutes les situations possibles dans la salle. »
Le complexe Malmö Live, qui comprend aussi un hôtel cinq étoiles, un centre de conférences, deux restaurants et un bar, est en passe de devenir un point de rencontres culturelles de la ville. L’Orchestre symphonique de Malmö y a élu domicile, et une série d’événements notamment destinés au jeune public, y a lieu tous les samedis. Le site est chaudement applaudi, aussi bien par les visiteurs que par les techniciens, et ce dès les premiers mois qui ont suivi son ouverture.

Plus d’informations sur :

De la musique à la politique, Eldra mise sur L-Acoustics

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Créée en 1991, la société Eldra basée à Bregana, près de Zagreb, est devenue une des plus grandes maisons de location et de vente de matériels audio, éclairage et vidéo de Croatie avec pour objectif d’apporter les meilleures technologies sur le marché local. Récemment, Igor et Damir Drazic, fondateurs et codirigeants d’Eldra, ont décidé d’investir dans les systèmes Kara et K2.

Une vue du show de Zeljko Joksimovic sonorisé avec succès en L-Acoustics.
Une vue du show de Zeljko Joksimovic sonorisé avec succès en L-Acoustics.

Le portefeuille d’Eldra comprend des émissions de télévision, de l’événementiel, des festivals, des tournées de grande envergure et même la sonorisation des visites officielles de chefs d’Etats internationaux.

Le système principal à cour, 14 K2 avec accrochés derrière 4 K1-SB, sans oublier un total de 16 SB28 au sol
Le système principal à cour, 14 K2 avec accrochés derrière 4 K1-SB, sans oublier un total de 16 SB28 au sol

« Le Kara est un petit système qu’on peut utiliser pour de grandes choses », affirme Damir Drazic.
« Nous l’utilisons en sono principale sur les petits concerts et il est presque sur tous les coups pour des fonctions comme les délais, le renfort de proximité et les retours des DJ. On l’utilise donc tout le temps. Il est léger, très facile à manipuler et fonctionne étonnamment bien sur l’événementiel et les spectacles vivants. »

Eldra est la première société de l’Adriatique oriental à investir dans un système K2 et Damir Drazic est sûr qu’il sera très demandé.
« Le K2 est tout simplement le meilleur système sur le marché. Léger et puissant, c’est l’un des plus recherchés et nous sommes sûrs qu’il le sera encore pendant de nombreuses années », dit-il.
Fournis par Dicroic, le distributeur croate de L-Acoustics, les deux systèmes ont été utilisés à la mi-février pour un spectacle de Željko Joksimovic, l’un des plus prestigieux chanteurs pop de la région, qui s’est joué à guichets fermés à l’Arena de 20.000 places de Zagreb.

De gauche à droite : Andrej Drnic, ingénieur système d’Eldra et concepteur du système déployé pour le show de Zeljko Joksimovic, Damir Drazic et Igor Drazic, codirigeants d’Eldra et Sinisa Mijaljica, un autre ingénieur système d’Eldra, encadrés par 16 K2.
De gauche à droite : Andrej Drnic, ingénieur système d’Eldra et concepteur du système déployé pour le show de Zeljko Joksimovic, Damir Drazic et Igor Drazic, codirigeants d’Eldra et Sinisa Mijaljica, un autre ingénieur système d’Eldra, encadrés par 16 K2.

Conçu par l’ingénieur système d’Eldra Andrej Drnic sur Soundvision, le système comprenait 28 K2 et huit K1-SB accrochés derrière les lignes principales, complétés par 16 K2 pour les extérieurs et 16 subs SB28. 18 Kara dans trois tours étaient utilisées en délais.
« Le système devait porter à une distance de 110 m, et il l’a parfaitement fait, » dit Damir Drazic. « Nebojsa Sajic et Marijo Suijca les producteurs de l‘artiste, étaient enthousiasmés de disposer du K2 pour un spectacle de cette ampleur. On m’a rapporté que Željko Joksimovic était enchanté lui aussi. Il a déjà donné quelques spectacles utilisant le système K2 et il avait été surpris par sa qualité. ».

« La Croatie est un pays clé d’une région dynamique et en croissance pour L-Acoustics. Eldra y est très bien implantée, et avec ses systèmes Kara et K2, elle sera en mesure de fournir une qualité supérieure au marché local », dit Jochen Frohn, directeur du développement des affaires internationales à L-Acoustics. « Je les connais, ils sont un partenaire idéal pour enrichir notre réseau de location en plein développement en Europe du Sud-Est. »

Une vue du show de Zeljko Joksimovic sonorisé avec succès en L-Acoustics.
Une autre vue du show de Zeljko Joksimovic.

Web : www.l-acoustics.com

Cordial entre dans le giron d’Algam Entreprises

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algam Entreprises et Cordial

Cordial, fabricant allemand de câbles destinés au marché de la musique et du son professionnel, est heureux d’annoncer son nouveau partenariat avec Algam Entreprises, désormais distributeur exclusif de la marque pour le marché français.

Depuis la fondation de l’entreprise en 1995 près de Munich, Cordial a su s’imposer rapidement comme un acteur incontournable et s’est fait une place aux côtés des plus grandes marques, grâce au respect d’une philosophie claire et efficace : une qualité de fabrication allemande sans faille, une disponibilité rapide des produits grâce à quatre centres de production, et une écoute très attentive des désirs et retours de sa clientèle. Cette absence de compromis sur la qualité et la disponibilité des produits, associée à une connaissance aigüe du marché, font de Cordial une marque très appréciée par les consommateurs.
Au-delà de cette philosophie respectueuse du client, le succès de Cordial s’explique par l’investissement quotidien des équipes pour être constamment à la pointe de l’innovation. Grâce à ces efforts constants pour répondre aux besoins précis du marché, Cordial a développé une offre complète de câbles au mètre et de cordons prêts à l’emploi, permettant de répondre aussi bien aux exigences du marché de la musique qu’aux prestataires et installateurs. Le nom de la société est associé à des installations dans des lieux prestigieux à travers toute l’Europe.

Cordial CCAT 7A Long Run

Et parmi les nouveautés proposées par le fabricant allemand, nous pouvons citer le nouveau câble Réseau CCAT 7A « long run » disponible en brut en longueur de 100 ou 500 m ou en câble raccordé sur bobine de 75,100, 125 et 150 m.

Avec son double blindage (par paire et sur l’ensemble des paires), il est très résistant aux perturbations radioélectriques. Par ailleurs les conducteurs en multibrin de jauge AVG23/1 offrent de très faible pertes et permettent d’atteindre de grandes distances.

Ce câble est parfaitement adapté aux réseaux Gigabit Dante et Ravenna et en plus il est garanti PoE+ jusqu’à 25,5 W pour alimenter les appareils connectés au réseau. Son revêtement en polyuréthane (PUR) offre une bonne flexibilité et allié aux connecteurs Neutrik etherCON CAT 6A, il garantit une conformité d’étanchéité IP65.

Caractéristiques :

  • Impédance caractéristique : 100 ohms +/- 5 ohms
  • Résistance linéique : 125 ohms au km
  • Capacité linéique : 43 nF au km (43 pF/m)

D’autres informations sur le site d’Algam-Entreprises

 

RCF introduit la colonne de diffusion NXL 44-A

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Après les NXL 24-A, la série NX s’enrichit d’une nouvelle colonne de diffusion, la NXL 44-A. Basée sur les mêmes principes, la NXL 44-A intègre trois transducteurs de 10’’ Néodyme à bobine de 2,5’’ et une compression à gorge 1,’44 (bobine de 3’’) dans une configuration deux voies bi-amplifiée.

Les différentes façons d’exploiter les colonnes NXL 44-A.
Les différentes façons d’exploiter les colonnes NXL 44-A.

D’une hauteur de 1,2 m, elle peut être utilisée seule ou couplée par paire à l’aide d’une pièce spécifique (Fly Link Kit NXL 44-A) permettant des inclinaisons inter-boîte de 0,15 et 20° en empilement, sur pied ou en accroche.

La pièce de couplage permet des inclinaisons entre boîte de 0, 15 et 20°.
La pièce de couplage permet des inclinaisons entre boîte de 0, 15 et 20°.

Système 2 voies amplifié, (d’où le A de la référence), la NXL 24-A embarque un processeur numérique (DSP) pour les protections, la limitation d’amplitude, l’alignement temporel, le filtrage de raccordement et les égalisations selon les types d’exploitation. Notamment lors d’un couplage de deux NXL 44-A en verticale (colonnes montées tête-bêche), l’égalisation « boost » devra être choisie.

RCF Colonne diffusion NXL 44-A

Cette colonne réalisée en multipli de bouleau balte, avec renforts internes métalliques pour les fixations, met en œuvre trois transducteurs 10’’ à double spider pour le bas du spectre (en bass reflex) et un moteur à compression à bobine 3’’, diaphragme en Titane, et gorge 1,4’’ sur guide asymétrique en vertical pour le haut du spectre.
Le raccordement, grâce au moteur Néodyme haute efficacité, s’effectue à 800 Hz, ce qui lui permet de couvrir presqu’entièrement le spectre vocal.

L’amplification fait appel à des modules classe D de 700 W RMS (1400 W crête), 200 W pour la compression et 500 W pour le bas médium-grave.
La dispersion est de 90° en horizontal et de 30° en vertical (asymétrique +5°/-25°) et l’enceinte couvre de 45 Hz à 20 kHz avec un niveau max SPL de 134 dB.
Ce système vient donc renforcer la position de RCF sur un marché des colonnes de diffusion en pleine croissance là où l’utilisation de colonnes à dispersion contrôlée électroniquement ne se justifie pas mais où l’encombrement, le niveau max délivré et la restitution vocale sont de prime importance.

D’autres informations sur le site RCF

DMX2Vegas, solution simple pour animer des rubans leds

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Daniel Fayolle, fondateur et dirigeant de la société Fatec, a développé beaucoup d’outils pour faciliter la vie des utilisateurs de produits DMX. Son dernier né, DMX2VEGAS, simplifie la commande et l’animation de rubans de leds RGB agencés en matrice, en ligne ou en étoile et permet de piloter jusqu’à 256 univers avec seulement 16 canaux DMX.
Cet outil qui se veut simple et rapide à programmer, propose une grande variété d’effets.

Au bol Center de Grenoble, quelques une des 40 branches de 5 m de l'étoile qui domine le plafond. Elle est commandée par une carte Master et 10 cartes filles.
Au bol Center de Grenoble, quelques unes des 40 branches de 5 m de l’étoile qui domine le plafond. Elle est commandée par une carte Master et 10 cartes filles.

Le point de départ

Cette histoire commence il y a trois ans par un trait lumineux sur la façade du casino d’Évian. Le projet consistait à remplacer les néons et Daniel Fayolle a proposé d’utiliser des Strip led SPI (leds pilotables une par une) pour non seulement conserver la ligne mais pouvoir aussi l’animer.

Daniel Fayolle, dont la passion est vraiment rafraichissante, nous présente son Show Store dans les bureaux de SLU
Daniel Fayolle, dont la passion est vraiment rafraichissante, nous présente son Show Store dans les bureaux de SLU

Hélas, en déroulant 5 mètres de ruban garni de 30 leds RGB par mètre, il atteint tout de suite 150 fois 3 canaux, pour une distance finalement très courte. Ce système est vite gourmand en univers DMX.
Il faut donc un contrôleur puissant et beaucoup de temps pour programmer des effets qui seront à refaire si le patch change ou si le nombre de sources est modifié.
La restitution n’est pas non plus très simple car les shows store sont limités en nombre de canaux DMX.
En tournant et retournant le problème dans sa tête pour trouver une solution pouvant être utilisée sur des consoles basiques, Daniel Fayolle pense à développer une carte avec des effets intégrés auto indexables au nombre de leds implantées. Il voit plus loin qu’une liste d’effets à envoyer, et développe une base pouvant évoluer suivant les besoins, les idées et les lieux.

Sa première version de carte contrôle 2 univers

Elle permet de piloter 2 fois 330 leds RGB via 8 canaux DMX. On dispose d’un canal permettant de sélectionner un chenillard, qui constitue la base de l’effet. Le nombre évoluera au fur et à mesure des créations pour atteindre au final 255.
Ils sont triés par catégories prenant chacune 10 plages du 1er canal DMX (première catégorie 1 à 10, seconde 11 à 20… ). Ensuite on choisit la couleur sur le 2e canal, puis sur le canal 3, le dimmer divisé en 3 parties. Sur la première moitié se trouve l’intensité seule, sur les 25 % suivants l’intensité avec un effet de scintillement et à la fin la plage de stroboscopes.
Le paramètre de vitesse avec le choix du sens de l’effet arrive en 4e position. Les deux canaux suivants sont utilisés respectivement pour la taille de l’effet et l’espacement entre chaque répétition.

Pour finir, on peut sélectionner une couleur de fond sur laquelle va s’appliquer le chenillard ainsi que le niveau de cette couleur. La combinaison de ces 8 paramètres permet de créer une multitude d’effets du plus simple au plus compliqué en très peu de temps. La partie logiciel, tournant sous windows, permet de faire des mémoires qui pourront être retravaillées. La carte gérant les 2 univers, pour restituer les effets il suffit de créer ou de capturer sur n’importe quel contrôleur DMX une séquence de mémoires des 8 canaux.

L’évolution

DMX2VEGAS, la carte mère et les cartes filles. Chaque carte contrôle 2 univers DMX soit environ 340 leds.
DMX2VEGAS, la carte mère et les cartes filles. Chaque carte contrôle 2 univers DMX soit environ 340 leds.

L’étape suivante est venue grâce aux illuminations du bowling d’Échirolles, un énorme complexe où il a fallu animer les 32 pistes avec plus d’un kilomètre de leds sur 64 lignes.
Les 2 univers DMX étaient loin de suffire pour piloter la totalité des sources, et il a fallu faire évoluer le projet DMX2VEGAS.
Afin de ne pas être limité par le nombre de leds, la solution a été de développer une carte mère gérant les animations et les dispatchant sur des cartes filles chargées de contrôler les leds directement en SPI ou en DMX via des convertisseurs RGB.
Chaque carte permet de piloter, pour le moment, 800 leds en SPI ou  340 sur 2 univers DMX. La liaison entre les cartes se fait en DMX ce qui permet, via un mode transparent, de pouvoir à tout moment prendre en direct la main sur les leds.

Elles sont paramétrées en RDM via le logiciel de commande téléchargeable sur le site : DMX2VEGAS.

Pour que les effets ne soient pas identiques sur toutes les lignes, 8 canaux de contrôle ont été ajoutés à ceux déjà existants. Ils permettent de créer des décalages sur l’ensemble de la matrice, ajoutant ainsi de nombreuses possibilités à celles déjà existantes.

Le simulateur

Pour préparer un projet et le présenter aux clients, Daniel Fayolle a ajouté à son logiciel un simulateur permettant de créer une matrice ou une étoile formée de pixels RGB simulant les leds. On peut rapidement et de manière très simple implanter une série de lignes définies par un nombre de points carrés ou ronds, en ayant la main sur la taille de ces pixels. Une fois l’implantation terminée il suffit de monter les faders et laisser son imagination faire le reste.

Le simulateur permet d'importer une photo du lieu pour avoir une idée du rendu. Ici une matrice...
Le simulateur permet d’importer une photo du lieu pour avoir une idée du rendu. Ici une matrice…
... ou une étoile. Alors ? Vous choisissez laquelle ?
… ou une étoile. Alors ? Vous choisissez laquelle ?

Le simulateur offre aussi la possibilité de positionner la matrice dans le lieu où elle sera implantée en important une photo de la salle. Même si cette fonction donne un aperçu basique du résultat, elle permet à l’installateur comme au client d’apprécier les effets, le volume du projet dans le lieu et son rendu. Grâce à ce simulateur, on peut aussi réfléchir tranquillement en amont à la programmation de l’installation et faire des propositions dès que les leds sont connectées.

Fatec DMX2 Vegas

Fatec DMX2 Vegas

Au final

DMX2VEGAS est un concept 100% français, du logiciel jusqu’à la réalisation des cartes électroniques. A 350 € HT la carte (qu’elle soit mère ou fille), son tarif est plus que séduisant. Ce n’est évidemment qu’une indication car il faut ajouter l’alimentation, le coffret, le ruban de leds et le coût de main d’œuvre pour obtenir le prix d’une installation qui restera dans tous les cas, extrêmement compétitif.  DMX2VEGAS devrait ravir un grand nombre d’installateurs de produits leds. Il est très simple à mettre en œuvre et ne requiert aucune connaissance spécifique en programmation lumière.
Les possibilités offertes par ce produit sont presque infinies, il suffit de laisser vagabonder son esprit ou donner toutes ses chances au hasard.

Deux autres versions sont à l’étude, une version plus légère avec uniquement des macros pour les petits budgets et une version « Pro » avec des canaux supplémentaires pour un contrôle indépendant des couleurs RGB et un peu plus tard RGBW.
DMX2VEGAS n’est qu’au début de son aventure, une fois qu’il aura prouvé sa valeur dans l’hexagone il pourra partir conquérir l’Europe et prendre son envol vers d’autres continents.

Contact : DMX2VEGAS

La MagicQ 80 ChamSys rejoint les parcs de Magnum et GL-Events.

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Ce sont des qualités de compacité, d’ergonomie et un excellent rapport qualité prix qui ont d’abord décidé les prestataires à s’équiper de la MQ 80 ChamSys, évolution de la MQ 60.
Avec 24 univers et un pixel mapper intégré, elle a séduit l’ensemble des opérateurs collaborant avec la société GL-Event, qui a décidé d’acheter 2 MagicQ 80 après un sondage minutieux auprès de ces derniers, souhaitant satisfaire les utilisateurs de ce nouveau pupitre avant tout.

ChamSys MQ80
ChamSys MQ80

Après une formation rapide et efficace effectuée par les équipes de Sonoss, les ChamSys MagicQ 80 de GL-Events sont déjà sorties dans de très beaux lieux : du Palais Brongniart à Paris, en passant par la la Fête des Lumières à Lyon, et bientôt au Grand Palais pour un retour dans la capitale.

Alexandre Trapon, Responsable technique lumière chez GL-Events évoque sa recherche d’une console «complète mais compacte» pour enrichir le parc. Une «vraie» console lumière qui conviendrait d’abord aux opérateurs l’utilisant tout les jours, et surtout un suivi et une réactivité sans faille des équipes de développement du soft (et du distributeur Sonoss), alertées pour les quelques bug des débuts, très vite résolus. Emballé par le produit, il espère pouvoir rapidement rentrer d’autres MagicQ 80, idéales en prestations et lieux de taille moyenne.

C’est aussi ce que confirme Stanislas Surun, Directeur général associé de la société Magnum qui a acheté 5 MagicQ 80, essentiellement pour une exploitation sur la COP 21. Encore une fois il évoque le besoin réel d’une petite console, « compacte et pratique mais complètement aboutie avec ses 24 univers dmx.».
Le prix a évidemment aidé à la prise de décision (moins de 10 000 euros), non regrettée à ce jour, Stanislas Surun pensant déjà à réinvestir dans plus de pupitres ChamSys.
Pour cela, il va falloir, selon lui, éveiller l’intérêt des opérateurs, afin qu’ils se forment encore plus à cette console. En effet, même si celle-ci a déjà de belles opérations derrière elle, la ChamSys MagicQ 80 pourrait sortir encore plus du dépôt Magnum, si seulement ses principaux utilisateurs, les pupitreurs la connaissaient !

ChamSys MQ80

Et c’est tout ce que l’on souhaite à cette console puissante mais de petites dimensions (8 kg pour 57 cm, de quoi l’emmener partout !), qu’elle se démocratise et que les sessions de formation, déjà engagées par son distributeur et certains de ses utilisateurs avertis, soient encore plus nombreuses pour que les techniciens désirent l’objet comme un outil de travail simple et performant.

Plus d’infos avec les liens ci-après sur les sites de : Magnum, GL Events, Sonoss, Chamsys.