Au Stade Sangma de Séoul

Powersoft amplifie la «ligue des légendes»

Construit pour la coupe du monde de football de 2002, le stade Sangam de Séoul aurait difficilement pu accueillir une « Finale mondiale » plus insolite que celle qui a eu lieu dernièrement, lorsque quelques-uns des meilleurs gamers de la planète se sont regroupés pour disputer le tournoi de la « Ligue des Légendes ».

Powersoft ligue des légendes

Quelque 45 000 spectateurs se pressaient pour être témoins de ce sport en ligne (ou e-game) basé sur le fameux jeu qui a déferlé sur le monde et en particulier sur la Corée. Et avec 40 millions de spectateurs estimés à travers le monde, soit en ligne, soit dans les cinémas ou encore sur la chaîne sportive ESPN3, la production prenait d’autant plus de valeur.

powersoft EAWBasée à Séoul, la société Rhino Sound Systems a conçu la sonorisation du stade. Pour ce faire, elle a réuni une légion d’amplificateurs Powersoft pour alimenter les enceintes KF740/KF730, les subs et les retours accompagnant son nouveau système EAW Anya (actif avec des modules d’amplification Powersoft)).

L’ingénieur système était Gwon Seung Cheoul (également connu sous le nom de M. Paman), et ce n’était pas la première fois qu’il avait de bonnes raisons de se féliciter de la polyvalence des commandes sophistiquées intégrées dans les amplis Powersoft.

Powersoft ligue des légendesGwon a déclaré que bien que ce soit très différent d’un concert de rock, les deux disciplines présentent des similitudes, et qu’il s’est efforcé d’obtenir un son puissant. Après avoir essayé plusieurs simulations, le modèle choisi a permis d’éliminer les réflexions sur le mur arrière, et les retards appliqués aux KF740 ont fait en sorte que le son parvienne de manière uniforme dans toutes les parties du stade.

Le plus grand défi qui se présentait à lui était la position de la tour principale, placée derrière la scène, alors que la production exigeait d’avoir une vue parfaitement dégagée sur l’ensemble de la scène.

M. Paman a composé et configuré ses racks d’amplis à l’entrepôt de la société, déployant 80 puissants K10 et 43 exemplaires du K3. « J’ai passé deux semaines à préparer le spectacle qui était d’une dimension peu ordinaire », a-t-il dit. « En utilisant le DSP de Powersoft, je pouvais contrôler et surveiller tous les amplificateurs à partir de mon ordinateur portable, en utilisant le logiciel Armonía ».

Powersoft ligue des légendesRhino a fourni un système Anya de 32 enceintes, toutes pilotées depuis le logiciel dédié Resolution 2 au travers d’un réseau Dante. C’est d’ailleurs sans doute la première fois au monde qu’était déployé un système de deux lignes de 16 éléments. Un second ordinateur servait seulement à piloter le logiciel EAW Resolution 2 qui gérait l’Anya. La section de subs était constituée de SB1002 et SB2001 d’EAW à raison de 20 exemplaires de chaque.

Powersoft a également fourni les plugins spécifiques à l’EAW Greybox pour le logiciel Armonia. « On a piloté les retours de scène EAW MW12 et MW15 avec ces plugins chargés sur Armonia dans les DSP de Powersoft, et ça sonnait vachement bien » rapporte le technicien système.

Il précise aussi que lorsque Rhino a investi la première fois dans le matériel Powersoft, c’était parce qu’ils appréciaient l’économie de place permise par les coffrets 1 U et leur puissance énorme. « Ces amplis étaient parfaits pour nous, avec, en plus, une très basse consommation, ce qui ne gâte rien. »

Au stade Sangam, tous les amplis Powersoft reçoivent les signaux audio d’un contrôleur EAW UX8800 sur un réseau combiné de telle manière qu’on puisse tout contrôler à partir de la console de façade par l’intermédiaire des 11 contrôleurs UX8800.

powersoftLes subs EAW ont été assignés aux Powersoft K10 et n’ont jamais mieux sonné que lors d’un concert des Imagine Dragons, dit M. Paman. « J’ai systématiquement utilisé la fonction de contrôle d’amortissement. Avec des longueurs de câble de 20 ou 25 mètres, par exemple, on perd toujours de la puissance.

Mais en utilisant la fonction de contrôle d’amortissement de Powersoft (qui ajuste l’impédance de sortie en fonction de la longueur des câbles), la qualité du son change instantanément et était vraiment excellente. Sur les caissons de basses, le son changeait radicalement, il devenait plus tendu, avec beaucoup de pêche… J’ai adoré ! » 

En résumé, il affirme que la finale mondiale de la « League of Legends » a été l’événement le plus important pour lequel il a eu à concevoir un réseau. « Mais la réussite, on la doit à la technologie de Powersoft, pas seulement aux amplis Powersoft, mais aussi aux modules Powersoft intégrés à l’Anya lui-même »

Pour voir la vidéo officielle du spectacle de la League of Legends Show : www.youtube.com/watch?v=8Y3t52hWIas
Pour voir la vidéo de DasanSR sur l’installation : www.youtube.com/watch?v=0bhfmJ6Xudc 

Pour plus d’informations : www.powersoft-audio.com

 

 

 

 

NEEC Audio acquiert Ecler

Avec effet au 1er décembre 2014, la société NEEC Audio de Barcelone a fait l’acquisition de la marque audio professionnelle Ecler et de toute son activité, avec le personnel et l’équipe de direction. Enric Casimiro continuera à en assurer la direction.

Luis Hinojar (Directeur des ventes), Domingo Melé (Directeur I+D), Enric Casimiro (DG), Joan Rius (Directeur de la Production) et Daniel González (Directeur du marketing)

Luis Hinojar (Directeur des ventes), Domingo Melé (Directeur I+D), Enric Casimiro (DG), Joan Rius (Directeur de la Production) et Daniel González (Directeur du marketing)

Ecler est appréciée pour sa technologie. La marque est aussi réputée pour sa gamme innovante d’enceintes acoustiques Audeo, réalisées en collaboration avec la société italienne Italdesign Giugiaro.

NEEC désire investir dans l’innovation dans le domaine de l’audio professionnel pour maintenir son avance technologique et son savoir-faire dans la conception.

Au cours des dix dernières années, Ecler a concentré ses efforts sur la qualité sonore, l’originalité et la durabilité de ses produits. Ses principaux marchés sont l’équipement des commerces, des établissements d’enseignement, des  entreprises, des hôtels et des salles de sport et fitness.

On peut trouver des installations à base de produits Ecler dans certaines universités bien connues, par exemple à Bristol (Royaume-Uni), à Paris Descartes (France) ou à l’Università di Roma (Italie), dans des hôtels cinq étoiles comme Le Fouquet (Paris-France) ou le Fullerton Bay Hôtel (Singapour), ainsi que dans des points de vente de luxe comme Louis Vuitton ou Burberry. Basé à Barcelone, Ecler exporte 80% de sa production.

À l’approche de son 50e anniversaire, suite à l’acquisition par NEEC, Ecler a reçu un  apport en capital de 1 million d’euros pour mener à bien un ambitieux programme de développement de produits qui sera dévoilé lors du salon ISE Amsterdam.

 

 

Christie acquiert Coolux

Christie

Christie, le grand spécialiste des systèmes d’imagerie et des technologies audio a annoncé qu’il vient d’acquérir la société allemande Coolux GmbH basée à Cologne.

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Coolux développe et commercialise des systèmes de compositing et de rendu 3D est particulièrement réputée pour sa famille de média serveurs Pandora Box. Coolux sera intégrée dans l’équipe Global Market Solutions de Christie tout en conservant ses bureaux allemands à Cologne.
Jennifer Smith, VP exécutif de Christie Global Market Solutions, précise : “Christie doit conforter son avance sur le marché en proposant des solutions complètes pour les applications avancées telles que le mapping de projecteurs, la diffusion d’images et tous types de créations issus des grands réseaux numériques. La synergie entre nos produits et services et ceux de Coolux est donc tout à fait évidente”.

Coolux Pandoras quad server

Le Pandora Quad Server Coolux

Jean Huewel, P.d.g de Coolux, qui rendra compte à Jennifer Smith dans ses nouvelles fonctions de directeur senior des systèmes de traitement, ajoute ce commentaire : « Dans un monde où les expériences visuelles et auditives prennent une importance nouvelle dans l’inspiration et l’animation du public, l’orchestration et la synchronisation de la diffusion des contenus est primordiale.

Christie, qui dispose déjà d’une position impressionnante dans ce domaine, vient de s’adjoindre une nouvelle ligne de produits et une équipe de développement à la pointe du progrès.”

 

Plus d’infos : http://www.christiedigital.com/ et http://www.coolux.de/

 

 

 

 

 

Tournée Fleetwood Mac

Les projecteurs Clay Paky prennent la route avec Paul Guthrie

Le groupe de rock emblématique Fleetwood Mac n’arrête jamais de penser aux lendemains et de projeter de futures tournées pour ravir ses fans.
Pour leur tournée actuelle « On with the Show », le concepteur des éclairages et de la production Paul « Arlo » Guthrie a complété son kit avec des lyres motorisées à LED Clay Paky B-EYE K20 et des Sharpy Wash.

Clay Paky Fletwood Mac

Le groupe a lancé sa tournée nord-américaine de 40 villes le 30 septembre 2014 et, après avoir joué à guichets fermés, a ajouté déjà 28 autres dates dans une deuxième phase qui débutera en Janvier 2015. « On with the Show » marque la première tournée complète de Fleetwood Mac depuis 1997.

« Concevoir un design pour Fleetwood Mac représente toujours un défi car on a affaire à cinq personnalités différentes », dit Paul Guthrie. Cela a commencé en leur donnant « le concept scénique le plus grand, le plus net, le plus ouvert que je pouvais réaliser, de sorte que toutes les places dans la salle jouissent d’une vue dégagée de la scène. J’ai fait en sorte de réduire les obstacles pour que tous les spectateurs puissent voir distinctement les membres du groupe ».

Paul Guthrie a ajouté un grand mur d’images en fond de scène, trois murs d’images formant un ruban au-dessus et 12 modules de lumières.
Une douzaine de B-Eye K20 sont placés sur la face des modules tournée vers le public pour éclairer les fans. « Ils font des effets de pixels et réalisent facilement d’énormes effets de wash très rapides. Avec 12 watts par pixel, ils arrivent à éclairer l’ensemble du public », dit Guthrie. « On n’utilise pas de fumée ni de brouillard, ce qui fait qu’on n’utilise pas vraiment les effets de faisceau. Mais on utilise beaucoup d’animation de pixels. Pour certains morceaux, les projecteurs reproduisent ce qui passe sur le mur d’images ».

Clay Paky Fletwood Mac

Guthrie a découvert le B-Eye K20 l’année dernière à LDI. « C’est la première fois que je les utilise. Les couleurs, la gradation et les effets sont grandioses. Le principe des12 modules que l’on peut contrôler pour éclairer l’ensemble de l’aréna est génial ! »
Chris Lose, Directeur des éclairages, ajoute « ce qui m’a le plus impressionné sur le B-eye, c’est sa capacité à fonctionner comme un projecteur à LED et, d’une simple pichenette sur un canal, se comporter exactement comme un projecteur à incandescence. La plupart des systèmes LED du marché manquent totalement de  cette chaleur et de cet éclat ».

Trois sharpy Wash sont montés sur chaque module, soit un total de 36 projecteurs. « Ils servent d’éclairage de base sur le dessus », explique Guthrie. « Grâce à leur luminosité, on obtient un peu d’un effet de faisceau, même sans fumée. C’est un vrai plus ».

Clay Paky Fletwood Mac

C’est l’année dernière avec Fleetwood Mac que Guthrie a utilisé les sharpy Wash pour la première fois. Par la suite, il les a déployés pour Nine Inch Nails. « J’aime le fait qu’ils ne s’éteignent pas comme des leds, leur gradateur mécanique est fantastique. J’adore leur taille, leur vitesse et leurs couleurs.
C’est un petit projecteur à tout faire de grande valeur. Il reste encore de la place dans mes spectacles pour des projecteurs qui font vraiment de la lumière, et avec Fleetwood Mac, il faut voir le groupe et la scène, et pas seulement avoir des millions de pixels dans les yeux ».

Plus d’infos : http://www.dimatec.net/ et www.claypaky.it

 

 

 

 

 

Carlos Colina choisit les Robe Pointe pour les Latin Grammy Awards 2014

La 15eme édition annuelle des Latin Grammy Awards s’est déroulée à la MGM Grand Garden Arena à Las Vegas. Les plus grands noms de la musique latine y ont assisté dans une salle comble, devant 17 000 spectateurs et environ 10 millions de téléspectateurs sur le réseau Univision.
Pour la 2e année consécutive, l’éclairagiste Carlos Colina intègrait des Robe Pointe dans son kit.

Robe Pointe Grammy Awards 2014

Photo Louise Stickland

Carlos Colina, concepteur lumière de tous les grands spectacles et événements d’Univision assure la conception de l’éclairage des Latin Grammy Awards depuis 5 ans. Après avoir utilisé les Pointe de Robe sur le show l’an dernier, il les a choisis à nouveau cette année. Colina a travaillé en étroite collaboration avec le scénographe Jorge Dominguez pour concevoir le design du spectacle. Ils ont pleinement profité de l’espace et de la largeur du MGM Garden Arena, où le spectacle avait lieu pour la première fois (il se tenait précédemment au Mandalay Bay).
L’ensemble s’est fortement appuyé sur la vidéo, et l’espace scénique a été divisé en trois zones distinctes, gauche, droite et centre, qui étaient utilisées en alternance. Les groupes pouvaient ainsi se préparer à jouer tout en étant masqués par des écrans LED escamotables.

Photo Louise Stickland

Photo Louise Stickland

Lorsque Ricky Martin a joué « Perdon » avec le duo mexicain Camila sur la partie centrale de la scène, Colina a utilisé 24 Pointe positionnés au-dessus de la section des cordes de l’orchestre, à 60 cm au-dessus des musiciens, permettant aux faisceaux de pénétrer l’orchestre, et à droite vers les caméras avec une sélection de gobos et de faisceaux.

Au cours du numéro musical de Pepe Aguilar et Miguel Bose, les Pointe ont été utilisés d’une manière semblable sur la scène de gauche. Le concept de cette pièce était un décor de vieille grange, avec un bardage de planches de bois, toutes les estrades de l’orchestre et les caisses en bois réparties autour de la scène. L’idée de Colina était de faire émerger les faisceaux des Pointe derrière le groupe pour reproduire un effe de lumière du soleil à contre, ce qui produisait un effet surprenant sur les caméras. 

« Il me fallait un appareil à faisceau extrêmement lumineux et puissant qui soit aussi suffisamment petit pour que les personnels de scène puissent l’installer et l’enlever rapidement », a expliqué Colina, « et les Pointe satisfaisaient toutes ces exigences ».
C’est en premier lieu le concepteur d’éclairages Tom Kenny qui lui a recommandé  de regarder le Pointe l’année dernière (Kenny était le premier concepteur lumières à utiliser les Pointe aux États-Unis).

Colina aime beaucoup les fonctionnalités des Pointe et en particulier « la variété des effets qu’ils peuvent produire, le faisceau fantastique qui va à l’infini, les prismes, etc. A la base, c’est un projecteur extrêmement polyvalent, que je peux mettre n’importe où et avec lequel je peux tout faire.»
Maintenant, il les utilise sur divers autres spectacles d’Univision, aussi bien dans le studio principal situé à Miami, que sur d’autres émissions en extérieurs.

Photo Louise Stickland

Photo Louise Stickland

Aux côtés de Colina, une équipe très dévouée et talentueuse a travaillé sur cet événement : John Daniels et Darren Langer directeurs des éclairages ; Félix Peralta et Kevin Lawson, LD et pupitreurs ; Kevin Harvey, LD ; Laura Frank qui a programmé le contenu vidéo ; Brett Puwalski et Alex Flores, électriciens ; John Ellar, David George, Tony Garcia et Daniel McDonough, techniciens lumière.

Plus d’infos : www.robe.cz

 

 

 

 

 

 

Hommage de Kate Bush à son ingé retours

Ian Newton est décédé

L’ingénieur du son retours Ian Newton, est décédé subitement le 19 décembre. Il n’avait que 52 ans. Barbra Streisand, Kate Bush, Madonna, Mariah Carey, Oasis, Roger Waters, Sting , P!nk… la liste des artistes dont il a mixé les retours avec talent est longue et prestigieuse.
Kate Bush, sur son site officiel (https://www.katebush.com/news/memory-ian-newton), lui rend un hommage débordant d’admiration et lourd de tristesse.

Kate Bush : « C’est avec une immense tristesse que j’ai appris le décès brutal de Ian Newton, notre ingénieur de retours, il y a quelques jours, le 19 décembre. Nous sommes tous bouleversés par cette nouvelle et nous adressons notre plus profonde sympathie à sa famille.

Ian Newton - Photo Stephen Tayler

Ian Newton – Photo Stephen Tayler

C’était un homme doux et tout à fait adorable. Il était extrêmement important pour notre équipe de son, et ce, depuis le tout début de notre projet de concerts, avant même les premières répétitions. Puis pendant toute la mise au point technique, et enfin sur les spectacles en vraie grandeur à Hammersmith.

C’est Ian qui m’a incité à utiliser les retours intra-auriculaires et qui a supervisé l’ensemble du processus avec son immense expérience du live. Il a encouragé tout le groupe ainsi que les choristes à utiliser les moniteurs intra-auriculaires. Finalement, tout le monde utilisait le même système pour tous les spectacles. Beaucoup de gens ont rapporté la grande qualité de l’écoute et du système audio de la salle, et on le doit en très grande partie à Ian.
Personnellement, il m’aidait beaucoup. Il y avait tout un tas de choses qui me rendait nerveuse, et ce d’autant plus que je n’avais pas chanté en public depuis pas mal de temps. Ian adorait son travail et soignait vraiment la qualité dans le moindre détail. Il passait beaucoup de temps à s’assurer que mes écouteurs recevaient exactement le mixage approprié à chaque morceau, et il faisait la même chose pour tous les membres du groupe et des chœurs. Grâce à cela, on pouvait travailler en confiance totale avec les autres et le système de la salle de Hammersmith. Rien ne l’ennuyait, il cherchait simplement à être le meilleur possible.

Il va vraiment nous manquer à tous, à toute l’équipe, particulièrement à l’équipe son, aux musiciens, aux chanteurs, et bien sûr à moi-même. C’est très dur d’admettre qu’il n’est plus parmi nous. C’est une lourde perte pour l’industrie du concert live. Il n’avait que 52 ans. Il était gentil, chaleureux, d’un esprit très généreux, il avait un merveilleux sens de l’humour.

Merci à toi, Ian, d’avoir été un membre aussi inestimable de notre équipe, merci d’avoir été aussi fiable, merci d’avoir été présent pour moi, de m’avoir donné la confiance nécessaire à en arriver là et à chanter en direct. Je garderai à jamais le souvenir de toi, assis derrière la console de retours, avec ton grand sourire plein de chaleur ».
Hommage de Kate Bush, sur son site officiel (https://www.katebush.com/news/memory-ian-newton)

 

 

 

 

 

 

Le Source Four LED ETC mène la danse dans le cyclorama du Ballet de Hong Kong

Pour célébrer son 35e  anniversaire, le Ballet de Hong Kong a donné trois grands spectacles de danse intitulés « Célébration de la danse » dans la grande salle du Centre Culturel de Hong Kong. Pour éclairer ces trois ballets, le concepteur lumière et directeur de C’est Bon Projects, Kwok Fai Mak, a utilisé de nombreux projecteurs Source Four® LED CYC and Selador® Desire® d’ETC.

35e anniversaire du Ballet de Hong Kong. Serenade, Chorégraphie de George Balanchine © The George Balanchine Trust. Photo : Photo ©Cheung Wai Lok avec l’aimable autorisation du Ballet de Hong Kong.

35e anniversaire du Ballet de Hong Kong. Serenade, Chorégraphie de George Balanchine © The George Balanchine Trust. Photo : Photo ©Cheung Wai Lok avec l’aimable autorisation du Ballet de Hong Kong.

Les représentations comprenaient le chef d’œuvre de Balanchine Sérénade, le ballet contemporain provocateur Castrati de Nacho Duato et la mise en scène du troisième acte du Lac des Cygnes de Natalia Conus, qui reprend la chorégraphie originale de 1895 de Marius Petipa.
Kwok Fai Mak a cherché à conserver l’ambiance lumineuse d’origine pour Sérénade et Castrati, en y introduisant une petite touche personnelle, mais il a abordé le Lac des Cygnes d’une manière tout à fait nouvelle.

35e anniversaire du Ballet de Hong Kong. Le Lac des Cygnes (acte III), danseur invité Artem Ovcharenko. Photo : Conrad Dy-Liacco avec l’aimable autorisation du Ballet de Hong Kong.

35e anniversaire du Ballet de Hong Kong. Le Lac des Cygnes (acte III), danseur invité Artem Ovcharenko. Photo : Conrad Dy-Liacco avec l’aimable autorisation du Ballet de Hong Kong.

35e anniversaire du Ballet de Hong Kong. Le Lac des Cygnes (acte III), danseuse invitée Kristina Kretova. Photo : Conrad Dy-Liacco avec l’aimable autorisation du Ballet de Hong Kong.

35e anniversaire du Ballet de Hong Kong. Le Lac des Cygnes (acte III), danseuse invitée Kristina Kretova. Photo : Conrad Dy-Liacco avec l’aimable autorisation du Ballet de Hong Kong.


Après avoir découvert que les nouveaux projecteurs LED CYC de la salle ne convenaient pas à sa première proposition pour le projet, il les a remplacés par 12 projecteurs Source Four LED Series 2 Lustr® d’ETC équipés d’adaptateurs Source Four LED CYC.

ETC Four LedLes Source Four LED CYC lui ont visiblement fait forte impression : « C’était la première fois que j’en utilisais sur scène. Ils font exactement ce que je souhaite, avec de bonnes possibilités en termes de couleur et même de couverture.

En fait, J’ai même été étonné d’avoir une si bonne couverture verticale. Les cyc RGBA d’origine de la salle ne permettaient pas de faire le L200 (bleu double C.T) dont j’avais besoin pour Castrati ».

Et dans Sérénade, il fallait toute une gamme de bleus pour exprimer la beauté et le côté mystérieux du ballet. En exploitant la souplesse du système de 7 couleurs des Source Four LED Series 2 Lustr, Kwok Fai Mak a pu mettre en scène les différents bleus. « Le chorégraphe a prévu presque toute la pièce en bleu, explique t’il. Le système de 7 couleurs permet vraiment d’obtenir la plus large gamme de couleurs possible à partir de systèmes à leds ».

35e anniversaire du Ballet de Hong Kong. Serenade, Chorégraphie de George Balanchine © The George Balanchine Trust. Photo : Photo ©Cheung Wai Lok avec l’aimable autorisation du Ballet de Hong Kong.

35e anniversaire du Ballet de Hong Kong. Serenade, Chorégraphie de George Balanchine © The George Balanchine Trust. Photo : Photo ©Cheung Wai Lok avec l’aimable autorisation du Ballet de Hong Kong.

Pour soutenir l’action du spectacle, Kwok Fai Mak a accentué les tableaux avec des PAR led Selador Desire D40 Lustr+ installés sur des tours d’éclairage latéral et des Selador Desire D60 Lustr+ placés sur des échelles. « Je les aime bien, ils me donnent exactement la bonne couleur et la luminosité qui conviennent aux trois spectacles : les différents bleus pour Sérénade, du blanc froid pour Castrati et un ton chaud ambré pour le Lac des Cygnes. Les Selador Desire sont tout simplement excellents ! » dit Kwok Fai Mak. 

Plus d’informations sur les projecteurs à LED Source Four et Desire : www.etcconnect.com

 

 

 

 

 

 

“Under the Influence”

La magie d’Ayrton opère avec Jason Bollock sur la tournée de Wiz Kalifa

Jason Bullock, le concepteur lumières d’Infinity Point Design, Inc. a introduit un monde de nouveaux projecteurs Ayrton dans son kit lumière pour la dernière édition de la tournée « Under the influence of Music » de Wiz Kalifa. Il s’agit d’un événement annuel qui produit les principaux nouveaux talents du hip-hop dans des salles partout à travers des Etats-Unis.

Wiz Khalifa in front of Ayrton fixtures

L’année dernière, Bullock a été l’un des premiers à utiliser le MagicPanel™ 602 d’Ayrton, et cette année, il a de nouveau intégré 48 exemplaires dans son projet. Il leur a adjoint les luminaires de la toute nouvelle série Radical, en utilisant 36 rampes motorisées MagicBlade™-R et 12 gros projecteurs MagicRing™-R9. Tout comme Wiz Khalifa, Bullock est décidé à développer l’aspect visuel des tournées en utilisant la dernière technologie de projecteurs et en explorant le potentiel créatif exceptionnel apporté par les nouveaux produits.

« Après le succès du MagicPanel 602, j’ai rencontré Ayrton en Europe et évoqué les développements prévisibles de la technologie qu’ils avaient mise en œuvre » dit Bullock. « La série Radical (-R) a pris en compte certaines idées dont nous avions discuté. C’est pourquoi nous avons consacré la plus grosse partie de notre budget aux nouveaux appareils MagicRing-R9 et MagicBlade-R. Par chance, Upstaging, Inc., qui a équipé cette tournée, possède déjà un stock important de MagicPanel 602 maintenant que tout le monde veut les utiliser ! »
Les MagicPanel 602, équipés d’une matrice de 6 x 6 modules led RGBW 15W et d’optiques de 45mm à haut rendement (ouverture 7 °) ont été montés sur le mur de contre pour former la structure géométrique qui signe les conceptions de Bullock.

Les 120 MagicRing-R9, à rotation pan-tilt continue, ont été montés de chaque côté de la scène sur les pont latéraux, et utilisés à la fois pour l’éclairage et les effets. Le MagicRing-R9, grosse soucoupe de 60 cm de diamètre, reçoit 61 sources led RGBW de 15W couplées à des optiques de 67 mm de diamètre pour une ouverture de faisceau de 4,5 °. Il peut être utilisé dans différents modes en utilisant de 18 à 256 canaux.

Démo Ayrton du MagicRing-R9. Conception de Stéphane Migné, programmation d’Arnaud Pierrel

AYRTON – MagicRing-R9 – Seven Unit Demo from Ayrton on Vimeo.

Bullock a choisi le mode à 256 canaux, bien que le projecteur dispose d’une multitude de macros de couleurs et d’animations graphiques. « Une fois qu’il est configuré en mode pleine résolution, le nombre de canaux commence à croître. Il faut donc un peu de temps pour voir comment on va les utiliser et chercher comment on va configurer la console », dit-il. «  Avec deux projecteurs par univers on commence à comprendre combien le nombre de paramètre accessibles est important. »

Bullock avait à l’esprit un autre usage pour le MagicBlade-R, un appareil unique en son genre, une rampe à rotation pan-tilt infinie, dotée de sept leds RGBW de 15W couplées à des optiques de 67 mm projetant un faisceau de 4,5°. Il a monté dix-huit MagicBlade sur le mur de contre, huit soulignent la passerelle supérieure et quatre sont accochés sur les ponts latéraux. « Avec les MagicBlade, on peut très facilement créer une asymétrie » remarquait-il dans une interview à PLSN. « Ils se prêtent à toutes les bizarreries avant-gardistes et, comme ils sont incroyablement rapides, on peut faire effets très sympathiques.

Démo Ayrton du MagicBlade-R. Conception de Stéphane Migné, programmation d’Arnaud Pierrel

AYRTON – MagicBlade-R – Twenty Four Unit Demo from Ayrton on Vimeo.

« Toute la série Radical d’Ayrton est en train de façonner une nouvelle tendance dit-il ». Les lyres motorisées à leds de premières générations manquaient de définition. On pouvait programmer individuellement chaque source et obtenir des graphiques sympas, mais on ne pouvait pas projeter l’effet en volume. Les projecteurs d’Ayrton sont la combinaison parfaite d’un projecteur de faisceau et d’un projecteur d’effets, et ils sont assez lumineux pour battre les appareils les plus ambitieux.
Dans la série –R, chaque source est focalisée jusqu’à 4,5 degrés, ce qui permet aux appareils comme le MagicRing-R9 de devenir, intrinsèquement, de grands projecteurs de faisceaux avec la puissance lumineuse d’un appareil de grande taille, mais seulement une fraction du poids et des exigences de câblage ».

En termes d’utilisation en touring, Bullock ne tarit pas d’éloges pour les appareils Ayrton : « Les équipements d’Ayrton se sont comportés de manière fantastique sur la route », dit-il. « Ils ont été arrosés par la pluie, posés sans ménagement, branchés n’importe comment, et ils continuent à fonctionner sans broncher ! Tant qu’on ne les détruit pas physiquement, ces projecteurs marchent ! 

Pour plus d’informations, visitez : www.ayrton.eu et www.infinitypointdesign.com

 

 

 

 

 

 

 

Les Supersharpy jouent avec Tim Routledge sur le show de Gary Barlow

Gary Barlow, l’un des plus grands auteurs et interprètes de la pop, a créé à Dubaï une version en plein air tirée de sa récente tournée « Since I Saw You Last ». Pour cet événement particulier, le Lighting Designer Tim Routledge a spécifié tout un éventail d’appareils Clay Paky super lumineux, incluant le Supersharpy, l’un des plus récents produits de Clay Paky, fourni par Eclipse Staging Services.

Supersharpy GaryBarlow Dubai

Routledge a prescrit 55 Sharpy, 12 Sharpy Wash 330, 36 A.leda B-EYE K20, 10 A.leda B-EYE K10, 15 Alpha Profile 1500 and 20 SuperSharpy pour offrir une extrême polyvalence et l’impact maximum à ce spectacle très varié produit par Louder Entertainment.

Supersharpy GaryBarlow Dubai« La luminosité même de ces projecteurs était la principale motivation qui a poussé à utiliser les SuperSharpy cette fois-ci », dit-Routledge. « Comme c’était la première fois que nous donnions ce spectacle à l’extérieur, j’avais besoin de quelque chose pour le rendre particulier. Alors que nous avions joué précédemment dans l’obscurité qui régnait au centre-ville, cette fois-ci il y avait beaucoup de lumière ambiante. Il me fallait donc quelque chose d’extrêmement lumineux pour donner de l’ampleur à notre spectacle et lui procurer un aspect de festival en plein air. Cela, les SuperSharpy l’ont réalisé sans peine.

« Le SuperSharpy dispose d’une lampe de 470 watts et d’un faisceau trois fois plus lumineux que celui du Sharpy d’origine. Pour le spectacle de Barlow, on en a disposé deux rangées de dix au-dessous des deux écrans IMAG latéraux.

Supersharpy GaryBarlow Dubai« L’écran IMAG central a constitué la base de ma conception. Je voulais une impression audacieuse de largeur qui me permette de faire des arrangements d’éclairages simples mais ambitieux », dit Routledge. « Pour moi, ce qui donne le plus d’impact aux grands moments dynamiques, ce n’est pas de balancer sans arrêt les lumières tout autour de la scène, mais d’instaurer des ambiances statiques programmées avec une extrême précision.

J’aime aussi utiliser une gamme de couleurs modernes et de nuances plus fraîches, comme aquas, jades, tungstènes, roses pâle et une gamme de blancs pour donner au spectacle une perception plus contemporaine ».

Supersharpy GaryBarlow Dubai

« Le SuperSharpy offre aux designers une infinité de choix de couleurs, avec un système CMY, 11 filtres de couleur spéciaux sur trois roues et deux filtres CTO qui créent de magnifiques nuances chaudes »

Supersharpy GaryBarlow Dubai« Pour moi, la clé de ce spectacle était la polyvalence, dit-Routledge. La musique de Gary couvre un large éventail de styles et j’avais besoin de toute la latitude de choix possible, ce qui est le cas, en particulier, lorsque les B-EYE entrent en jeu. Entre le Wash à LED extrêmement lumineux et l’immense gamme d’effets qu’ils fournissent, ils ont toujours un rendu très agréable des seconds plans et m’ont donné énormément de possibilités de création ». 

A propos de l’acquisition récente des SuperSharpy de Clay Paky par Eclipse Staging Services, Tom Ralston, directeur de projet pour le spectacle de Dubaï de Gary Barlow, dit: « Le concert Gary Barlow est la meilleure vitrine possible pour nos SuperSharpy tout neufs et pour nos autres projecteurs Clay Paky. Nous sommes totalement convaincus que les Supersharpy sont un formidable investissement et seront très demandés. Ce sont des projecteurs très polyvalents, ils sont suffisamment lumineux pour être utilisés seulement comme traceurs et ils fournissent aussi tous les effets scéniques des Sharpy d’origine. Grâce à leur taille réduite, ils s’adapteront aussi en événementiel.

Supersharpy GaryBarlow Dubai

Pour plus d’informations : www.claypaky.it

 

Lyre spot RGB et IP65

Le G-Spot SGM dans la capitale mondiale des Roller Coaster

Ces derniers mois  aux Etats-Unis, trois grands parcs de loisirs ont installé des lyres spot à leds RGB étanches SGM G-Spot sur leurs principales attractions :  Cedar Point et King’s Island en Ohio et Carowinds en Caroline du Nord.

Les conditions météorologiques constituent toujours un risque majeur et le principal souci des organisateurs d’événements en extérieurs. Au-delà du simple impact sur l’afflux des participants, les conditions atmosphériques défavorables imposent d’énormes coûts supplémentaires en matériels d’éclairage, ou du moins, c’était ainsi jusqu’à présent.

Non content d’être classée IP65, ce qui lui permet de résister aux intempéries, la lyre motorisée G-Spot  SGM inclut un système de déshumidification actif qui réduit les risques de condensation interne.

Cedar Point photographer Edward Pottorff

Cedar Point (photo Edward Pottorff)

C’est Andrew Strain de Blue Haze Entertainment qui est derrière ces installations. Passionné par l’industrie du loisir,  il a débuté comme concepteur lumière chez Knotts Berry Farm en Californie. Il a ensuite travaillé pour Cedar Fair avant de fonder sa propre société, Blue Haze Entertainment,  avec son associé Foxton. Sa société est désormais un prestataire extérieur de Cedar Fair pour la conception des lumières, les conseils techniques et la gestion.

« La première chose qui a attiré mon attention sur le G-Spot, c’était son nom et son slogan accrocheur », dit Andrew Strain.  « Après avoir vu  de quoi il était capable, j’ai compris que ce n’était pas qu’un simple gadget.  Le G-Spot fournit toutes les fonctions d’un spot motorisé tout en étant capable de résister à des conditions météorologiques difficiles.  Il peut survivre à une tempête, et ce n’est pas seulement une façon de parler. Il a fait preuve de son extrême fiabilité et nous a véritablement comblés. Quand on  travaille dans l’installation et l’éclairage architectural, le fait de disposer des caractéristiques avancées d’un appareil motorisé est énorme, mais l’indice de protection (IP) est toujours un must.

A Cedar Point, on utilise principalement les G-Spots sur un spectacle d’attraction familial effectué en direct, de nuit, en plein air, sur une scène immense, par des acrobates et des chanteurs, qui se transforme en soirée dansante à la fin de la nuit.

Cedar Point photographer Edward-Pottorff

Cedar Point (photo Edward Pottorff)

A Kings Island, les G-Spots éclairent la voie des nouvelles montagnes russes Banshee, qui suivent l’histoire du fantôme Banshee. La ligne, composée de pierres tombales éclairées par des leds, mène à la vieille gare de style Celtic. Pour cela, Blue Haze a réalisé pour les G-Spots des gobos personnalisés pour finaliser le thème de Banshee.

kings island banshee G-Spot

kings island banshee G-Spot

Enfin, à Carowinds, on utilise neuf G-Spot pour le Snoopy Starlight Spectacular, qui est un spectacle de lumière composé de musique de tendance populaire, qui a lieu le soir. Les têtes mobiles G-Spot sont disposées le long de l’allée du parc dans le thème du célèbre personnage des Peanuts.

Andrew commente : « Chez Blue Haze, pour les installations de parcs à thème, l’indice IP65 est un atout très puissant. Qu’elles soient là pour trois mois ou pour trois ans, on les considère toujours comme des installations permanentes. Le fait d’avoir une telle fonctionnalité pour une lumière change radicalement notre point de vue sur la conception et les choix.  On adore repousser les limites de la conception, mais nous voulons aussi favoriser les meilleurs produits et les plus fiables pour nos clients. 

Les événements en extérieurs représentent une activité populaire en forte croissance.  Nous pensons que l’indice IP65 sera, si ce n’est déjà le cas, indispensable pour les concepteurs d’installations et d’éclairages architecturaux », conclut Andrew.

 

 

 

Limiteur de niveau acoustique Audiopole SPL-ONE

Le respect rigoureux des normes en matière de pression acoustique maximale dans les espaces sonorisés nécessite des outils particuliers. Audiopole propose désormais le sien sous la référence SPL ONE (et SPL-ONE FB).
Aux JTSE, le distributeur présentait dans sa salle de démonstration privée son limiteur de niveau acoustique, développé avec AMIX, le grand spécialiste de la question.

Audiopole SPL One complet

Intégré dans un coffret 19 pouces de 1U de hauteur, le SPL-ONE est un limiteur/régulateur de niveau sonore stéréo, en niveau global, répondant au décret 98-1143 et conforme à la norme Afnor NF S31-122.
Une version de limitation du niveau sonore par bandes d’octave est également disponible sous la référence SPL-ONE FB.

Le  limiteur mesure le niveau sonore grâce à un capteur externe (SPL-CAP) et, selon qu’il est ou non inséré sur le trajet du signal audio analogique, fonctionne selon deux principes différents :

– Inséré dans le système de diffusion, le SPL-ONE utilise ses amplificateurs à gain variable (VCA) pour gérer en temps réel le niveau sonore et éviter le dépassement de la valeur programmée.  Il limite le niveau sonore en niveau global, conformément à la classification 2a de la norme NFS 31-11.  Le SPL-ONE FB intègre une carte permettant également la régulation par bandes de fréquences, selon la classification 2b de la NFS 31-11.

– Le SPL-ONE peut également fonctionner en surveillance de niveau sonore avec avertissement par alarme lumineuse sur la face avant, éventuellement rappelée sur un boîtier extérieur. S’il n’est pas inséré dans le trajet du signal audio du système de sonorisation, en cas de dépassement prolongé, il provoque la coupure de l’alimentation secteur en commandant un commutateur de puissance externe classique au moyen d’une boucle sèche à relais intégré.

Deux modèles d’afficheurs sont disponibles pour être utilisés avec ou sans le SPL-ONE ou SPL-ONE FB. 

Audiopole SPL One

L’appareil se configure via serveur web. Ici la fenêtre donne le niveau par bande en bleu et les limites de consigne entrées en rouge.

Le capteur du SPL-ONE et SPL-ONE FB a été conçu de manière à limiter au maximum toutes tentatives de fraude et prévenir les défaillances du système. Il intègre à cet effet un transducteur piézoélectrique (dans le capteur acoustique) qui émet à la mise en route, et par la suite de façon aléatoire, une onde acoustique wobulée autour de 20 kHz (et donc inaudible), qui permet de vérifier l’intégrité du capteur.  En cas d’anomalie, l’appareil génère une alarme enregistrée dans l’historique.

L’octave centrée sur 63 Hz n’est prise en compte ni dans le dans le décret 981143 ni dans celui de 2006. Afin de palier toutes sortes de gênes importantes (émergences) pour le voisinage causées dans les basses fréquences (qui se propagent facilement par conduction dans les solides, notamment les murs en béton), le SPL-ONE FB intègre le 63 Hz dans son processus de limitation par bandes d’octave.

Les SPL-ONE et SPL-ONE FB peuvent être contrôlés classiquement par leur face avant. Ils intègrent également un serveur web embarqué, donnant accès à des pages de configuration et de consultation des niveaux à l’aide d’un simple navigateur standard à partir d’un ordinateur (Mac ou PC) sans avoir à télécharger un logiciel spécifique.

 

 

 

Sur la tournée mondiale ArtRave

Les B-Eyes accompagnent Roy Bennet et Lady Gaga

Pour la tournée mondiale ArtRave de Lady Gaga, 78 dates en Amérique du Nord, en Europe, en Océanie et en Asie, Roy Bennet a choisi d’intégrer dans son kit lumière 120 B-Eye Clay Paky et plus de 100 Sharpy fournis par PRG, et contrôlés par 3 grandMA2s full size et 10 NPU.

La démarche de Roy Bennett, concepteur de la production et des éclairages pour le spectacle était d’en faire une rave immersive qui reflète l’esthétique d’une soirée sans fin de Gaga, » dit le programmeur Jason Baeri. « Cela implique beaucoup d’énergie et de force active, vivante, vibrante – elle nous oblige à être aussi actif sur la scène que dans la foule. Le public fait partie intégrante du jeu car il occupe une partie de l’espace, nous avons donc dû l’intégrer dans l’espace scénique. Du point de vue du séquencement, cela revient presque à programmer deux spectacles à la fois, les deux devant se comporter comme des éléments d’un tout ».

Lady Gaga Artrave

Bennett décrit l’ensemble comme trois étages reliés entre eux par des passerelles au-dessus du public de telle sorte que la foule peut danser en regardant Gaga au-dessus d’eux. « C’est très interactif. Avec sa danse et une folle ambiance de rave, elle joue avec le public », dit-il. Bennett avait déjà utilisé des B-Eye pour le concert de Lady Gaga au Roseland Ballroom. Sur cette tournée, ils sont montés au-dessus du mur d’images vidéo au fond de la scène, qui mesure 3 x 12 m. « Ils agissent principalement en effets visuels», explique-t-il. « Ils travaillent beaucoup ; ils ont été très fiables.»
Pour la tournée ArtRave le concepteur d’éclairage a déployé des Sharpy « partout : sur la scène principale, devant, derrière, sur les côtés, ainsi que au-dessus du public. Les Sharpy nous servent comme une autre lumière principale d’effets. J’en ai toujours au moins 100 ou 200 cents sur chaque spectacle ».

Baeri évoque le défi que représente la gestion des données de la tournée étant donné « l’énorme quantité de pixels que nous contrôlons. Il y a environ 120 B-Eye sur le spectacle, tous utilisés en mode  en mode Full Tilt. Ils représentent à eux seuls 4 500 pixels, et on les utilise dans toutes les configurations possibles. La musique de Gaga est extrêmement détaillée, nous exploitons donc toutes les possibilités pour marquer les différents tons et inflexions de chaque chanson. » 

Solotech est le maître d’œuvre de la vidéo et 8th Day Sound le prestataire audio du spectacle.
Pour plus d’informations consulter le site www.claypaky.it

 

 

 

Ayrton lance le MagicRing-R1 ™ au PLASA Londres

Ayrton MagicRing-R1Grand innovateur français dans le domaine de l’éclairage à LED, Ayrton prend un malin plaisir à surprendre ses clients avec le lancement inattendu d’une nouvelle ligne de produits.
Ayant déjà lancé la série Radical au Prolight + Sound au début de cette année, Ayrton vient tout juste d’annoncer le MagicRing-R1 ™, un nouveau complément à sa série Radical, qui sera présenté en première mondiale au salon PLASA Londres.

Le MagicBeam-R1 ™ est le dernier à recevoir le traitement Radical. Identique en taille et en forme au WildBeam-R ™, le MagicRing-R1 ™ possède toutes les caractéristiques de son prédécesseur, mais avec, en plus, les propriétés de rotation pan et tilt continue exclusives d’Ayrton tout comme son grand frère le MagicRing-R9.

Se présentant avec le WildBeam-R ™ comme l’un des plus petits appareils de la gamme Radical, le MagicRing-R1 ™ dispose de sept sources LED RGBW de 15W avec des optiques de 67 mm. Il fournit un flux de 3 200 lumens et un éclairement au centre du faisceau de 380 000  candelas pour une modeste consommation d’énergie de 130 W.

Très compact, léger, ultra-rapide et puissant, le MagicRing-R1 ™ bénéficie d’une gestion thermique améliorée et d’une carte de contrôle rapide à 32-bit lui permettant de réagir très rapidement aux commandes qui peuvent lui être envoyées en DMX ou RDM.
Ses faisceaux étroits de 4,5° présentent une empreinte visuelle réduite et peuvent être commandés individuellement ou en groupes pour produire des motifs et des effets visuels étonnants.

Ayrton expose au Plasa sur le stand 70 où toute la gamme Radical fera sa première apparition au Royaume-Uni.

Caractéristiques du MagicRing-R1 ™ :

  • Collimateurs de 67 mm 
  • Ouverture de faisceau de 4,5 °
  • Rotation continue en PAN et en TILT
  • Electronique rapide à 32 bits 
  • Gestion thermique améliorée
  • contrôle : DMX, RDM, ArtNet, KlingNet
  • Récepteur DMX-RDM sans fil Lumen Radio intégré.

Pour plus d’informations sur les nouveautés à LED  Ayrton, visitez www.ayrton.eu

 

 

 

 

 

Ambersphere Solutions, nouveau distributeur Ayrton au Royaume-Uni

Ambersphere Solutions vient d’être nommé distributeur exclusif au Royaume-Uni pour la gamme de Luminaires et de solutions créatives d’imagerie à LED d’Ayrton. Cette nomination permet à Ambersphere Solutions d’élargir ses services uniques au Royaume-Uni de ventes, de support et de formation aux produits Ayrton.

Yvan Peard (Directeur Général d'Ayrton), Lee House et Matt Cowles (technico commerciaux d'Ambersphere) et Valère Huart-Gyors (Directeur commercial d'Ayrton).

Yvan Peard (Directeur Général d’Ayrton), Lee House et Matt Cowles (technico commerciaux d’Ambersphere) et Valère Huart-Gyors (Directeur commercial d’Ayrton).

Doté d’une qualité de fabrication exceptionnelle et du souci du détail, l’éventail des solutions à LED d’Ayrton offre aux concepteurs d’éclairage des projecteurs véritablement créatifs conçus pour résister aux conditions difficiles des tournées et des installations fixes. Très innovante, la gamme comprend des projecteurs intérieurs et extérieurs, des appareils à tête fixe et mobile, et la gamme exclusive MagicPanel.

Ambersphere Solutions est le distributeur exclusif de Clay Paky, MA Lighting et Robert Juliat au Royaume-Uni. « Ayrton propose une gamme de haute qualité de produits modulaires créatifs à LED qui complètent parfaitement la gamme de produits distribué par Ambersphere », déclare Glyn O’Donoghue, directeur général d’Ambersphere.
« Je pense que nos clients apprécieront vraiment de connaître la gamme Ayrton, pleine de solutions ingénieuses, très astucieuses et impressionnantes, qui  conviennent parfaitement aux tournées, à la télévision et aux marchés architecturaux ».

Valère Huart-Gyors, directeur commercial d’Ayrton commente : « Nos produits sont conçus pour les professionnels de la création d’éclairages et au Royaume-Uni,  Ambersphere est positionné de manière idéale pour accéder à cette clientèle. Ambersphere Solutions offre un support et des services de qualité pour accompagner nos produits, ce qui est primordial pour nous permettre de prendre position sur l’important marché du Royaume-Uni « .
Vous pouvez voir toute la gamme Ayrton au PLASA Londres sur le stand R70

Contact : www.ayrton.eu et www.ambersphere.co.uk

 

 

Sadler’s Wells et Robert Juliat : une heureuse alliance !

Depuis 1683, il y a un théâtre sur le site de Sadler’s Wells et l’actuel bâtiment est la 6e construction édifiée à cet endroit marqué par le nom du premier fondateur (Salder) et des puits (wells) qui se trouvent toujours dessous.  

Christian Wallace, le Directeur Technique du théâtre nous expose la mission de ce lieu culturel : « Sadler’s Well présente tous les genres de danses, aussi bien de Grande Bretagne que de compagnies étrangères, incluant le tango, le hip-hop, le ballet classique, le flamenco et la danse contemporaine. Nous présentons des œuvres de haut niveau, internationalement reconnues. Nous avons donc  besoin de proposer le meilleur équipement, ce qui, bien entendu, intègre le matériel d’éclairage ».

Christian WallaceLe bâtiment actuel a été inauguré en 1998 et les projecteurs pour la plupart ont maintenant seize ans. Wallace admet volontiers que, malgré le maintien d’un programme d’entretien rigoureux, il était temps de considérer les appareils plus modernes et plus sophistiqués actuellement sur le marché. Le moment était venu d’effectuer une remise à jour.

“Notre budget d’éclairage n’est qu’une petite portion d’un vaste programme de mise à niveau et d’amélioration technique des installations. Nous allons mettre à niveau notre système d’accroche, passer aux LED pour tout l’éclairage du théâtre, remplacer les gradateurs et moderniser notre réseau. Nous allons aussi offrir  une salle plus confortable à notre public en renouvelant les moquettes et les fauteuils. Rien de tout cela n’aurait été possible sans le soutien financier de plusieurs alliés de Wells Sadler et en particulier, en ce qui concerne l’éclairage, de la Fondation Wolfson. »

Alors, pourquoi Robert Juliat? « Pour nos Fresnel, nous avons eu à l’origine un certain nombre de Strand Alto 2K PC et Robert Juliat 310 en 1,2 kW », poursuit Wallace. « Les Robert Juliat ont été excellents. Un seul est tombé en panne en 16 ans et nous les avons donc conservés.

Nous hébergeons de nombreuses troupes de danse européennes ; elles demandent toujours Robert Juliat ou ADB, et nous avons noté que plus personne n’avait vraiment envie d’utiliser les Altos. Nous avons opté pour l’achat de quelques Robert Juliat 310 1,2 kW supplémentaires  et quelques 329 en 2,5 kW. Maintenant, tous nos Fresnel sont des Robert Juliat aussi bien sur la scène principale que dans notre espace Lilian Baylis Studio ».

Parallèlement à la commande des Fresnel, on a acquis de nouveaux genres de projecteurs. Il y a eu tellement de modèles sur le marché et tellement d’innovations depuis l’investissement initial de Sadler’s Well en 1998 que ça n’a pas été chose facile. « Dans cet esprit, nous avons fait des essais comparatifs des principales découpes », explique Wallace. « Les découpes de la gamme 600 SX étaient les plus brillantes, (au sens propre du terme !). Le fonctionnement de leur système de découpe  est le meilleur que j’aie vu. Il est le plus facile à utiliser, et les couteaux sont les plus nets en projection avec en plus la possibilité de les verrouiller et d’en ajouter d’autres si nécessaire ».

Ambersphere Solutions est le fournisseur exclusif du matériel Robert Juliat au Royaume-Uni. C’est Matt Cowles, le technico-commercial, qui a facilité les démonstrations de l’ensemble. « Matt a été au centre de notre décision de réinvestir dans les découpes Robert Juliat, précise Christian Wallace, aussi bien au cours des essais que des négociations qui ont suivi. La certitude d’avoir leur support et leur service après-vente disponible en permanence a indubitablement  joué un grand rôle dans notre décision finale ». 

Contact : www.robertjuliat.com

A propos de Robert Juliat :
Fondée en 1919, la société Robert Juliat est toujours détenue à 100 % par la famille. Robert Juliat est le fabricant réputé de matériels d’éclairage de très haute qualité alliant de très belles optiques et une conception ergonomique. Tous les luminaires de Robert Juliat sont conçus et fabriqués en France.