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Prism Sound présente ATLAS

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Toute la famille des interfaces audio USB de Prism Sound est actuellement présentée au NAMM 2014 et c’est l’occasion pour le fabricant britannique de révéler officiellement Atlas, sa troisième interface audio lancée en à peine 8 mois. Complétant les interfaces Orpheus, Lyra et Titan, Atlas offre des performances de conversion similaires sans compromis.

Prism Sound (Cambridge) est connu (et reconnu) pour ses convertisseurs ADA-8RX, ainsi que pour ses analyseurs audio DSA-1 (portatif) et dScope série III, largement utilisés dans le monde.

PrismSound Atlas

Exploitant sa technologie de synchronisation d’horloges CleverClox et intégrant en standard huit des célèbres préamplificateurs micro de la société, la nouvelle interface USB Atlas est destinée spécialement aux applications d’enregistrement multipiste. Elle offre aux professionnels de l’enregistrement le nec plus ultra en matière d’entrées/sorties jusqu’à 192 kHz pour Mac ou PC sous Windows sur un simple port USB.

En plus de l’interface USB hôte, Atlas dispose aussi du nouvel emplacement d’extension MDIO de Prism Sound, qui a été annoncé à l’AES de New York en Octobre 2013 et intégré pour la première fois dans le Titan. En utilisant cet emplacement miniaturisé, on peut, par exemple, raccorder directement un système Pro Tools HDX. Toute une gamme d’autres produits MDIO est prévue. Atlas fonctionne aussi avec les applications natives Apple et Windows sur USB.

Selon Graham Boswell, directeur commercial de Prism Sound : « la plus grande nouveauté des Atlas, Titan et Lyra est de permettre d’agréger des environnements MAC et Windows. On peut ainsi relier un certain nombre d’unités pour réaliser des configurations multipiste, par exemple 24, 32 pistes et même plus, tout en conservant la connexion de type USB pour chacune des machines ».

Dans l’environnement Windows, Prism Sound fournit un nouveau pilote qui agrège les machines et présente une interface de routage multipiste unique pour votre application de station de travail audio.

Atlas propose 8 entrées analogiques, 8 sorties analogiques, plus des accès numériques S/P-DIF et optiques Toslink. On peut aussi utiliser les ports optiques en ADAT, ce qui confère à l’Atlas une capacité de 18 canaux d’entrées/sorties simultanés plus deux casques stéréo de monitoring.

Atlas dispose de préamplificateurs de haute qualité à commande numérique (8 pour micros et 2 pour instruments) qui s’insèrent automatiquement lorsqu’on raccorde les sources respectives. Un encodeur rotatif peut être assigné à n’importe quel groupe de voies de sortie et assure la commande de niveau de sortie et de contrôle. Les deux sorties pour casque stéréo disposent chacune d’un réglage de volume indépendant.

Atlas intègre également des fonctions de traitement numérique du signal dérivées du DSP des interfaces Orpheus et Titan avec, entre autres, un mélangeur complet sur chaque voie de sortie, y compris les canaux ADAT. On peut attaquer chaque sortie avec son propre mélange sans latence de voies d’entrées et de signaux de travail, ce qui permet de créer des retours avec beaucoup de souplesse de même que des départs de contrôle stéréo ou surround 5.1 / 7.1, le tout contrôlé par le bouton du panneau avant si nécessaire.

Indépendamment des commandes de niveau de contrôle et de casque de la face avant, toutes les fonctions de l’Atlas sont accessibles depuis une application de panneau de contrôle virtuel qui s’ouvre sur l’écran dans une fenêtre à côté de la fenêtre de montage de l’utilisateur.

Pour de plus amples informations : www.prismsound.com
ou
visiter en ce moment le stand Prism Sound (7123) au Namm (Anaheim) http://www.namm.org

 

D80 : la nouvelle plateforme d’amplification d&b

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En test sur différentes opérations en Allemagne et aux Etats-Unis courant 2013 et depuis le début octobre chez d&b France, le D80 longtemps attendu, entre dans sa phase de commercialisation fin janvier.
Donc après les D6 et D12, voici le D80, la nouvelle plateforme d&b qui affiche des performances alléchantes avec ses 4 x 4 kW crête sous 4 ohms (4 x 2 kW sous 8Ω), les quatre canaux en simultané, pour un facteur de crête* de 12 dB (4 x 2,6 kW sous 4 Ω avec CF = 6 dB) et un traitement de signal embarqué « up to date ».

D80_front_diagonalFacteur creteLe D80 se présente en rack 2U (pour un poids de19 kg et une profondeur hors tout de 495 mm) avec en face avant un écran LCD tactile couleur de 8 cm et un encodeur rotatif (avec poussoir de validation) pour la visualisation et le paramétrage de tous les canaux et de l’appareil.

La supervision et le paramétrage peuvent aussi s’effectuer avec le logiciel de monitoring R1 (et les passerelles USB et Ethernet vers CAN R60 &R70).

D80-ecranL’affichage fixé sur un pan incliné de la façade permet de mieux contrôler plusieurs amplis empilés au sein d’une même baie comme dans le rack de touring Z5330 dédié au D80 qui accueille trois unités. Par rapport aux autres amplis d&b (D6 et D12 par exemple), le système de refroidissement par convection forcée opère à l’inverse, l’air chaud étant recraché vers l’arrière (air froid aspiré à l’avant). Il est donc fortement déconseillé de panacher des D80 et D12 (par exemple) dans un même rack.

Le D80 amplifie quatre canaux d’entrée affectés par matrice à une quelconque des sorties de puissance. Avec la connectique de face arrière, l’appareil accepte quatre entrées analogiques et quatre entrées numériques AES3 avec renvois, panachables : 4 analogiques, 4 numériques ou 2 analogiques et 2 numériques. Les connecteurs XLR 2 et 4 du D80 s’utilisent soit comme entrées analogiques soit numériques, et les connecteurs 1 et 3 uniquement comme entrées analogiques. L’interfaçage réseau se réalise par RJ45 pour le bus Can (en chaîne) et sur 2 connecteurs EtherCON pour les deux ports Ethernet (switch incorporé 10/100).

Les connecteurs des sorties de l’amplificateur D80 sont de type EP5 ou NL4, et il y a même un connecteur NL8 regroupant les 4 canaux (donc entièrement câblé). Ce dernier sert d’interface vers des baies de brassage, des câbles multiconducteurs et des adaptateurs de dérivation. Attention, chaque canal, A à D, en classe D est configuré en pont (en H), il est donc impossible de ponter deux canaux, même à l’extérieur. C’est de toute façon inutile vu la puissance disponible sous quatre et huit ohms (voir plus bas).

D80 frontAvec des enceintes caractérisées dans le logiciel (R1-V2), la fonction d&b LoadMatch (logicielle) permet au D80 de compenser électriquement les propriétés du câble (donc l’impédance de source vue par l’enceinte ou le groupe d’enceintes) et sa longueur. Cette fonction opère sur toute la bande passante jusqu’à 20 kHz (prise en compte de la résistance  du câble) et pour des longueurs de câble allant jusqu’à 70 m. Cela se réalise sans câblage complémentaire (comme une prise de tension aux bornes des enceintes).
D80 backAvec les enceintes d&b actuelles, le D80 permet un gain de 4 dB (là, c’est important) sur le V Sub (de 133 à 137 dB max) et de 3 dB sur le J Infra (1 dB pour le Jsub), pas de gain à cause des limitations sur les HP pour les autres mais il est prêt pour les systèmes à venir …

Afin de (mieux) comprendre les choix technologiques opérés par d&b sur cette nouvelle plate-forme d’amplification, il nous semble utile de faire quelques rappels sur l’évolution des systèmes de diffusion, ceux de d&b compris évidemment, puisqu’avant tout le D80 est destiné à animer les systèmes de diffusion de la marque allemande avec tous les presets des enceintes, et couplage d’enceintes, présentes et à venir. Il permet même un paramétrage direct depuis le logiciel de prédiction- simulation ArrayCalc via le logiciel de gestion-monitoring R1 (version 2, V2). R1 communique avec les amplificateurs soit par CANBus (dbCAN) soit par OCA** (Open Control Architecture alliance) sur Ethernet. La plate-forme D80 est sensée servir les futurs systèmes d&b pour au moins les six prochaines années.

Mise en situation, quelques rappels

La tendance depuis quelque temps pour les systèmes de diffusion consiste à utiliser des transducteurs à haut rendement, à fort facteur de force (le produit B.l, induction x longueur de bobine mobile) et longue élongation, ce qui permet d’obtenir plus de pression acoustique et une meilleure linéarité aux fortes excursions dans des volumes de charge plus réduits et surtout de considérablement augmenter l’efficacité des systèmes (puissance acoustique/puissance électrique).

Avec les moteurs à aimant Néodyme, on gagne sur le poids conjointement à la réduction de volume des caisses et bien sûr à taille et poids d’aimant plus faibles, l’induction dans l’entrefer peut facilement être doublée. Couramment, certains transducteurs actuels affichent un Bl de 30 N/A voire plus. La réponse en transitoire s’en trouve améliorée, il y a beaucoup moins de traînage puisque le cône ou le diaphragme est mieux « tenu ». La contrepartie est une augmentation sensible de l’impédance de charge vue par l’amplificateur, particulièrement au voisinage de la résonance, et surtout de la partie réactive de cette dernière (avant et après résonance).

Par ailleurs cela nécessite un besoin de correction, d’égalisation, dans les basses fréquences pour linéariser, aplanir, la réponse (raison pour laquelle ce type de transducteurs n’était jusqu’à présent pas utilisé sur des enceintes large bande). Avec le traitement de signal embarqué aujourd’hui, notamment sur le D80, cela ne pose pas de problème. L’augmentation de l’impédance, en revanche, impose des excursions de tension plus importantes pour un courant équivalent (la force motrice est B x l x i) et surtout, sa composante réactive, impose des topologies qui restent stables et capables de délivrer la pleine puissance sur charges complexes.

Là, il y a un net avantage à la classe D qui s’accommode très bien des charges réactives et « recycle » l’énergie « réfléchie », ce qui n’est pas le cas des classes AB ou dérivées à commutation de rails d’alimentation (H, G, …) où ce sont les transistors de sortie qui l’ingurgitent (avec beaucoup de mal). De plus, en utilisant la classe D en pont complet (en H), la recirculation du courant « réinjecté » se fait entre les rails d’alimentation (+V et –V par rapport à la masse), sans pompage, c’est-à-dire sans augmentation instantanée de la tension des rails d’alimentation en cas de forts appels dans les basses fréquences. Le deuxième bénéfice est qu’on double l’excursion de tension pour une même tension d’alimentation, ce qui satisfait les conditions exposées plus haut.

La deuxième tendance importante consiste à améliorer également le rendement électrique des amplificateurs, c’est-à-dire la puissance électrique absorbée sur la source d’énergie par rapport à la puissance fournie aux charges, dans un souci d’économie d’énergie certes mais surtout d’exploitation : dimensionnement moins important (moins de pertes et donc de calories à évacuer), gain de poids, d’encombrement et donc logistique, plus grande facilité (et rapidité) de mise en œuvre et pour finir, meilleur dimensionnement des sources d’énergie à puissance délivrée égale.

Là encore la classe D avec des rendements souvent supérieurs à 90% s’impose mais surtout les alimentations travaillant également en commutation si elles sont précédées d’un correcteur de facteur de puissance (PFC) bien dimensionné qui permet de tirer le meilleur parti de la puissance de la source (sur toute la sinusoïde secteur et non uniquement au sommet de cette dernière à la mise en conduction des diodes de redressement).

Outre une meilleure exploitation de la source d’énergie, on la pollue moins, courant et tension restent en phase avec une distorsion (THD) en courant très faible, inférieure en général à 10%, ce qui notamment sur une distribution triphasée étoile (avec neutre), structure généralement adoptée, permet d’avoir moins de « courants parasites » (la somme quadratique des courants efficaces des harmoniques des 3 phases) sur le neutre et donc de ne pas enclencher les protections prématurément alors que la puissance max normalement disponible n’est même pas atteinte. Si, si, cela s’est déjà produit …

C’était le point le plus délicat à satisfaire jusqu’à présent technologiquement, en termes de coût et de contraintes techniques mais désormais on sait le faire à coût raisonnable. C’est principalement dû aux progrès des semi-conducteurs de puissance travaillant en commutation : MOSFETs, IGBTs (Insulated Gate Bipolar transistor) et principalement pour le PFC, diodes de commutation HT de puissance rapides (à très faible recouvrement inverse) au carbure de silicium (SiC) qui autorisent des fréquences de commutation plus élevées avec moins de pertes (dans les dispositifs de commutation) et une réduction de taille des composants magnétiques (inductances de PFC et transfos d’alimentation PWM) à forte puissance.

Après cette mise en jambes, peut-être un peu rébarbative, revenons-en au D80.

Le D80, côté puissance

Nous avons évoqué la puissance max par canal, tous en fonction, avec différents facteurs de crête sous 4 ohms. Sous 8 ohms, les 2 kW par canal peuvent être fournis de façon quasi continue. Rappelons qu’il s’agit d’une topologie classe D en pont complet (H) qui assure une très grande excursion de tension (environ 360 V crête à crête) et qui accepte des charges fortement réactives.

d&b ZRackLe D80 est muni d’une alimentation à découpage universelle (100 -127 V/208-240 V) précédée d’un correcteur de facteur puissance capable d’extraire 7 kW de la source sans broncher. Par conséquent le D80 se satisfait avec une marge de sécurité, d’une alimentation en 16 A monophasée sur 220/230 V ou 32 A (30 A) sur 110V (entrée sur PowerCON) pour délivrer la puissance crête max annoncée. Au sein d’un Z rack de touring avec une distribution en 32 A tri, chacun des trois amplis D80 est raccordé à une des trois phases pour équilibrer la consommation sur chaque phase avec un courant de neutre qui reste bien inférieur aux limites.

L’appareil est doté d’un circuit de démarrage en douceur (soft start) contrôlé par le microcontrôleur (ou microprocesseur) interne pour limiter le courant d’appel lors de la mise sous tension, et d’un limiteur programmable MCL (main current limiter) qui permet de régler l’intensité maxi entre 50 et 100 % du courant nominal (16 A sous 230 V et 30 A sous 110 V) ainsi que de protections en cas de sous ou surtension secteur (85 VRMS et 274 V RMS respectivement).

Le D80 est un ampli « green » car il dispose d’un mode stand-by où seule l’alimentation auxiliaire fonctionne pour la partie processeur, ce qui fait qu’il est toujours réceptif aux ordres transmis soit par le réseau soit par le panneau avant, ce qui réduit la consommation secteur à 9 W. En mode veille (consommation de 180 W), tous les circuits sont alimentés et par conséquent les HP raccordés sont contrôlés.

D80-diagramme d'entréesLes protections aval (courant, tension DC, thermique, HF, …) sont actives pour chaque canal indépendamment, ce qui signifie qu’en cas de problème (qui s’affiche) sur un canal, les autres restent en fonction.
Différents modes de sortie peuvent être sélectionnés pour une paire de canaux :

  • Mode deux canaux
  • Mix top/sub
  • Système 2 voies actives
  • Configurations mixtes entre les quatre canaux

Le D80, côté traitement de signal

La gestion de l’appareil est confiée à un processeur tournant sur un OS Linux embarqué et la partie traitement de signal à un DSP Sharc Analog Devices 32 bits virgule flottante ; les convertisseurs A/N sont des modèles 27 bits/ 96 kHz et le système opère en 96 kHz en acceptant bien sûr en AES des données en 48 kHz.

Trois types de filtres selon les configurations d’enceintes sont disponibles : filtres cross-over ou coupe-bas (haut) de raccordement, filtres HFA (atténuation des aigus pour les points source en proximité), de compensation d’absorption ou d’alignement sub-bass cardio, et enfin filtres de compensation de couplage (CPL) pour les configurations en ligne (selon l’angulation et la position au sein de la ligne). A quoi s’ajoutent la correction paramétrique (gain, fréquence et Q ou largeur), les corrections « shelving » (fréquence de coupure, pente et gain), les filtres asymétriques (fréquence basse et haute, gain, et pentes) et le délai réglable par canal entre 0,3 et 10 000 ms par pas de 0,1 ms.

Le menu speaker permet d’entrer directement une enceinte d&b à partir de sa série et du type et obtenir ainsi les presets usine selon les configurations adoptées.

D80-chaîne signalEnfin chaque canal peut recevoir le signal d’un générateur indépendant, soit en bruit rose soit en sinus avec un réglage entre 10 Hz et 20 kHz par pas minimum de 1/96e d’octave en fréquence et en niveau par pas de 0,5 dB de -57,5 dB à + 6 dB.

Caractéristiques techniques D80* * OCA : Open Control architecture Alliance. Association pour la mise en oeuvre, jusqu’à présent en TCP/IP (OCA 1.1), d’un protocole de contrôle de medias en réseau dont d&b est un des membres fondateur et qui comprend notamment Yamaha commercial audio, Loud Technologies, Presonus, FocusRite, Audinate, Bosch Communications Systems (Electro Voice, Dynacord) et depuis peu RCF. Va faire l’objet d’une standardisation AES (en cours) sous le code X210. Cela signifie entre autres que la plate-forme D80 n’est pas exclusivement dédiée d&b.

 

Duo Adamson E15 – E12 sur le Black City Tour d’Indochine

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BCT_1Débutée en février 2013 la tournée-concept du groupe Indochine, Black City Tour, trace sa route dans les plus grandes salles de France, Belgique et Suisse, et s’achèvera en apothéose au stade de France les 27 juin (complet) et 28 juin 2014.



Pour cette tournée évènement, Nicolas Sirkis a rêvé un dispositif scénique (son, éclairage et vidéo) hors norme et époustouflant ! Philippe Dubich, l’ingénieur du son du groupe, a sélectionné le système de diffusion Adamson E15.

Aussi, Dushow le prestataire global sur la tournée, s’est-il rapproché de Concept Audio à Niort pour la première phase du BCT puis de Lagoona pour la seconde phase, afin de fournir le système de diffusion.


BCT_5C’est Julien Poirot qui a conçu le design du système de diffusion du Black City Tour. Avec son assistant, Wilfried Lasbleiz, ils mettent en œuvre chaque soir le système de diffusion Adamson qui exploite la compatibilité E15 – E12 pour un duo qui s’adapte à toutes les configurations de salles.



BCT_6Pour BCT2, le système se compose de :
 2 x 12 E15 en système principal G/D,
 2 x 9 E12 en « outfills » G/D,
 2 x 6 E12 utilisés en système secondaire en salle (contraintes des écrans)
, 2 x 4 E12 installés en downfill dans le gril scénique pour les premiers rangs afin de dégager complètement la vision de la scène et des multiples écrans.
 20 subs T21 sont installés en 2 colonnes de 10 G/D
.

BCT_2BCT_4

Pour Julien Poirot, l’ingé système de la tournée : « Le E15 est un système très, très puissant alliant dynamique, clarté et précision… Je suis définitivement conquis par ce système qui permet de travailler sur beaucoup de projets différents ! Sur Indo, l’association E15/T21/E12 fonctionne à merveille et nous apporte une homogénéité sonore optimum sur l’ensemble de l’audience. Le résultat est top. »



  • Tournée : Dushow

  • Prestataire E15 pour BCT1 : Concept Audiovisuel- Niort

  • Prestataire E15/E12 pour BCT2 : Lagoona – Strasbourg

  • Design : Julien Poirot

  • Système : Adamson E15 et E12

  • Subs : T21

  • Amplification/Processing : Lab PLM20000Q

  • Réseau audio-numérique : Dante by Audinate

 

Meyer va dévoiler le LYON

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Deux lignes de LYON en accroche
Deux lignes de LYON en accroche (Crédit photos Bill Graham)

Meyer Sound vient d’annoncer LYON, le second membre de systèmes de diffusion linéaires de sa nouvelle famille appelée LEO du nom de la première boîte amplifiée désormais bien connue.

Le LYON incorpore dans un format plus petit et plus léger, la totalité des innovations propres à cette famille de produits et donne à cette technologie la possibilité d’être employée dans un grand nombre de salles et d’événements de taille plus modeste

LYON va être officiellement lancé au cours du salon ISE qui se tiendra du 4 au 6 février 2014 au RAI d’Amsterdam.

John Meyer devant son dernier fauve
John Meyer devant son dernier fauve (Crédit photos Bill Graham)

 » Avec le LEO, nous avons démontré la façon dont un système, qui reste linéaire sur l’ensemble du spectre y compris à de fortes pressions acoustiques, est en mesure d‘apporter de nouvelles sensations d’écoute, que le message sonore soit issu du Philarmonique de New York ou du DJ Lorin Ashton plus connu sous le nom de Bassnectar  » dit John Meyer co-fondateur et directeur général de Meyer Sound.  » En apportant cette linéarité dans un format plus abordable, LYON va permettre à un plus grand nombre de spectateurs et d’auditeurs de découvrir les avantages de cette technologie « .

Les enceintes LYON existent en deux versions, le LYON-M pour  » main  » est la boite standard longue portée là où le LYON-W pour  » wide  » assure, à couverture verticale équivalente, une plus grande ouverture horizontale en cédant sans doute quelques dB de rendement. Epaulé par le sub 1100-LFC et le contrôleur Callisto, le LYON-M peut être déployé dans des salles de jauge importante mais aussi en tant que système principal pour des tournées et des festivals. Le LYON-W peut compléter des lignes de LYON-M en tant que downfill. Enfin les deux versions sont le meilleur choix pour élargir la couverture du LEO en profitant de la signature sonore très proche.

Meyer LYONPeu d’informations ont encore filtré sur le LYON, sauf le format qui est de 90 cm de large, 38 de haut et 53 de profondeur, le poids qui atteint les 90 kg et les HP qui sont des 12 pouces d’origine Meyer et disposant de radiateurs pour le bas du spectre et deux moteurs d’aigu 3 pouces refroidis par le biais du guide d’onde aluminium auxquels ils sont fixés.

Meyer LYON Structure

A titre d’information, le LEO mesure 113 cm de large, 45 de haut et 60 de profondeur pour un poids de 120 kg, et dispose de deux 15 pouces pour le bas du spectre et deux moteurs 4 pouces pour le médium et l’aigu. Le LYON pèse donc 25% de moins que son grand frère, un gain important pour une boîte amplifiée et forcément plus lourde que les modèles passifs et peut être alimentée en 110 Volt contrairement au LEO, ce qui trahit une puissance embarquée moindre et/ou la mise en œuvre d’une autre alimentation.

18 LYON peuvent être accrochés avec un facteur de sécurité de 7:1 et jusqu’à 22 avec un facteur réduit à 5:1. Un cadre d’adaptation permet de compléter des lignes de LEO avec des LYON. Enfin 4 LYON à la fois peuvent être transportés anglés et protégés par une housse en nylon.

 

Peavey commercialise MuseBox

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Fruit de la collaboration entre Peavey Electronics et Muse Resarch, MuseBox™, le nouveau module plug- and-play d’instruments et d’effets musicaux logiciels pour guitare électrique et acoustique, claviers, chant et à batterie, est désormais disponible auprès du réseau Peavey Electronics dans toute l’Europe. Compact en demi-rack 2U et facile à utiliser, MuseBox dispose d’une vaste bibliothèque de sons et d’effets de qualité studio.

Peavey-MuseboxMuseBox exploite la même technologie d’instruments virtuels et les logiciels d’effets qu’on retrouve dans la production des meilleurs albums actuels et sur scène dans les tournées des plus grands groupes Ce qui est nouveau, c’est la facilité avec laquelle tous les musiciens peuvent désormais maîtriser les synthés logiciels de pointe, les sons et les effets, aussi bien en studio qu’à la scène.

Le MuseBox est pré-chargé avec plus de 4 Go d’instruments virtuels et d’effets professionnels : principaux claviers, sons, réverbérations, chorus, compresseurs et autres. Au total, la suite logicielle propose Universons, Wave Arts, AAS, Camel Audio, Forefront, MuTech et autres, ainsi que le logiciel de modélisation d’ampli intégré ReValver de Peavey, le tout pré-autorisé et prêt à fonctionner.

Grâce à sa large gamme de préréglages, et aux multiples options d’entrées/sorties, il permet de jouer de la guitare, chanter, mixer, jouer sur des pistes d’accompagnement et, évidemment, créer des sons de clavier avec un contrôleur MIDI.

Peavey-Musebox front

  • Les guitaristes peuvent utiliser la modélisation d’amplis et les bibliothèques d’effets multiples, etc.
  • Les chanteurs peuvent agrémenter leur voix de réverbération, compression, de-esseur et harmonisation en temps réel.
  • Les claviéristes apprécieront les centaines de sons échantillonnés, modélisés et synthétisés avec une très faible latence et une excellente stabilité.
  • Les batteurs auront le choix parmi une large collection de percussions acoustiques, électroniques et exotiques.

Avec MuseBox, les ingénieurs du son disposent de la souplesse nécessaire pour traiter les effets de la diffusion et des retours dans un coffret stable, portable, construit pour les tournées, entièrement en acier et aluminium.
La fonction SoundFinder permet de parcourir les différentes catégories de sons ou d’effets, et de sélectionner l’un des milliers de réglages d’usine seulement en tournant une molette et en appuyant sur un bouton. On peut facilement créer de nouveaux presets en combinant différents sons ou des effets ensemble, puis les enregistrer sous forme de presets utilisateur, qu’on peut rappeler lors d’un concert , soit à partir du panneau avant ou d’une pédale raccordée à l’arrière de l’appareil (mains libres).

Peavey-Musebox backMuseBox est également évolutif. On peut lui raccorder un moniteur VGA, un clavier et une souris (USB) pour profiter de l’interface graphique DuoHost. Il dispose d’un emplacement pour une carte d’extension CompactFlash à l’arrière, qui permettra d’ajouter de nouveaux instruments et effets virtuels au fur et à mesure qu’ils seront disponibles chez Muse Research.

MuseBox offre des entrées/sorties 24 bits/ 48 kHz ainsi que deux entrées guitare/micro avec alimentation fantôme en face avant ; sans oublier les entrées clavier MIDI et USB et un port Ethernet.

Le système est architecturé autour d’un processeur Intel Core Duo sous OS Linux avec 2 Go de mémoire RAM DDR-2 et 8 Go de disque IDE Flash.

Pour de plus amples informations, notamment logicielles : http://www.peavey.com/products/musebox

 

Wicreations réalise les effets scéniques motorisés de Timeless, la tournée de Mylène Farmer

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Wicreations, le spécialiste de la conception d’automatismes pour le spectacle, basé en Belgique, a conçu et réalisé cinq éléments automatiques majeurs de la tournée 2013 “Timeless”, de Mylène Farmer, inscrits dans le concept d’architecture scénique animée du regretté Mark Fisher.

Wicreations, a été approché par Didier Gaume, Directeur de la production et Pascal « George » Meley, Directeur technique de la tournée ; ils avaient déjà travaillé ensemble sur un certain nombre de projets.  Pour trouver les solutions à leurs demandes, l’équipe de Wicreations a utilisé une combinaison de produits standards et réalisés sur mesure.

Wicreations-L'effet générateur de particule
L’effet générateur de particule met en scène 8 panneaux motorisés.

Le spectacle commence par l’apparition de Mylène Farmer dans un “générateur de particules” après une intro vidéo pendant laquelle l’excitation du public progresse jusqu’au paroxysme. L’écran vidéo à LED de fond de scène est accroché sur un système Wicreations de guidage WI qui permet de le diviser en six sections, mobiles indépendamment, une passerelle télescopique rotative en forme de cuillère a été intégrée dans le plancher de la scène, une structure d’éclairage circulaire massive sur mesure a été suspendue au-dessus de la zone avant-scène, et à l’intérieur de cette cerce, une deuxième structure circulaire plus petite est également actionnée par des treuils motorisés… et enfin, le cinquième effet en mouvement est constitué par 11 nacelles d’éclairage.

Wicreations-MFarmerTous les mobiles aériens ont été commandés par un système de contrôle Kinesys Vecteur exploité par l’opérateur de Wicreations, nécessitant 57 canaux de contrôle des moteurs et 68 “cues” de mouvements différents.
Ce projet considérable a été géré pour Wicreations par Koen Peeters qui commente : «Travailler sur la tournée a été un grand défi et une opportunité pour nous d’utiliser notre imagination et notre expertise, non seulement pour trouver des solutions personnalisées vraiment créatives… mais aussi pratiques pour la tournée « .

Le générateur de particules

Cet effet saisissant arrive au début du spectacle. Le générateur de particules est formé de cinq écrans vidéo de forme trapézoïdale suspendus et guidés sur deux lignres de WI-Track et 15 moteurs asservis. Ces 5 panneaux doivent s’aligner avec trois autres panneaux qui s’élèvent du sol.

Détail d'accroche d'un écran vidéo
Détail d’accroche d’un écran vidéo de l’effet Générateur de particules
A droite, un des panneaux video de l’effet générateur de particules
A droite, un des panneaux video de l’effet générateur de particules, en position horizontale au dessus de la scène.


Cette forme doit s’assembler à un moment précis du spectacle pour l’entrée en scène de Mylène Farmer, et les cinq panneaux suspendus doivent ensuite pouvoir se déplacer pour former plusieurs autres configurations au dessus de la scène. La définition précise au  millimètre près des points de départ des cinq écrans est capitale pour la conception. Cela a donné lieu à de nombreux tests en atelier suivis d’une période d’essai prolongée à Lyon, avant de déterminer les positions parfaites pour reproduire l’effet.

Essais de positionnement
Essais de positionnement du Générateur de particules en Atelier
Et essais lumière et vidéo
Et essais lumière et vidéo


Pendant le spectacle, les panneaux partent d’une configuration horizontale à plat pour rejoindre la « position de l’accélérateur » centralisé, courbée tout autour pour former l’arc autour de la pièce centrale avec seulement quelques centimètres d’intervalle entre eux … et à partir de là, ils repartent dans une troisième position  redressée verticalement.

La passerelle

la passerelle télescopique
la passerelle télescopique transporte Mylène Farmer au dessus du public …

Autre « gag » magnifique qui a captivé le public venu en masse pour voir Mylène Farmer qui a tourné à guichets fermés dans cinq pays, la passerelle reste cachée du public jusqu’au début de la chanson  » Bleu Noir « , après environ une heure de spectacle, où elle apparait, s’élevant du sol alors que Mylène Farmer pénètre sur la plate-forme. Le mât télescopique émerge alors complètement du fond de scène et s’étend tout droit au-dessus du public, balayant de gauche à droite et revenant au-dessus de la foule en délire.

PasserelleLa passerelle mesure 11,5 mètres de long. Elle a été construite à partir de sections de “towers” standards d’aluminium, prolongées par une section conique fabriquée sur mesure avec son mât télescopique et rotatif dissimulé sous la scène.

L’unité de base centrale, extrêmement compacte, tient dans une baie d’échafaudage de 2m x 2m , et la structure complète de la passerelle pèse 5,7 tonnes au total.

Son mouvement est actionné par un ensemble hydraulique intégré relié à l’ordinateur de contrôle Wicreations pour obtenir un mouvement ultra-fluide et précis.

... est fixée sur un mât télescopique rotatif
… est fixée sur un mât télescopique rotatif dont l’unité de base tient dans une baie de seulement 2 m x 2 m

La plate-forme, terminée avec ses panneaux à led, a été dimensionnée pour transporter des charges allant jusqu’à 110 kg (artiste plus matériel) avec l’extrémité atteignant une vitesse d’un mètre par seconde en rotation.

La passerelle a été conçue et construite robuste par Wicreations et simple à monter chaque jour. Elle est constituée de plusieurs modules pour faciliter le transport et optimiser le temps de chargement et déchargement.

Les cercles de lumière

La cerce support de projecteurs, de 4 m de diamètre, a aussi été conçue pour être rapidement mise en place et démontée. Pour ce faire Wicreations a également conçu un chariot spécial. Une plus petite cerce de 3 m, équipée de machines à fumée, était hissée à l’aide de trois treuils motorisés Wicreations.

Les nacelles de projecteurs

Les nacelles des projecteurs
Les nacelles auxquelles sont accrochés les projecteurs de Dimitri Vassiliu fournis par Dushow

Pour concevoir les 11 pods d’éclairage qui étaient au cœur du design lumière de Dimitri Vassiliu, Wicreations a travaillé avec des ponts standards et a conçu des supports spéciaux pour un ou deux moteurs asservis, leurs contrôleurs et tous les raccordements nécessaires dans la section du pont alu.
Cela facilitait l’installation et la mise en place quotidienne des nacelles. Les 6 sections de structure hors scène ont été équipées d’un palan à double chaîne (capacité 2 x 250 kg) pour que les nacelles restent toujours parfaitement horizontales.

Ecrans à LED guidés

Un écran à leds de 19,2 x 8.64 m forme la toile de fond du spectacle. Il était suspendu à un système de guidage WI Tracking de 30 mètres afin de pouvoir le séparer en 6 colonnes. Des unités de levage nouvellement intégrées ont été utilisées pour placer l’écran vidéo aussi près que possible du pont de guidage, maximisant la hauteur du gréement.

Le pont de guidage Wi Track
Le pont de guidage Wi Track des écrans et ses unité de levage

Le pont de guidage WI Stack Truss est un produit qui a été développé pour intégrer le WI Tarck très rapidement et sans perdre de place.

Son système de connexion polyvalent intégré signifie qu’il peut être utilisé pour les rails de guidage droits ou courbes, ce qui en fait le système de guidage le plus rapide disponible sur le marché pour le touring.

Les temps de chargement de déchargement qui en résultent parlent d’eux-mêmes : le chargement de l’ensemble (25 camions) pouvait être effectué en 12 heures seulement, tandis que le déchargement pouvait être achevé en 3,5 heures !

Sur cette tournée, l’équipe de Wicreations était composée d’Axel Van Bree, Erik Gielen, Thomas Van Keymolen et Miro Kusik. 39 spectacles ont été donnés dans 5 pays durant plus de trois mois et ont rencontré un grand succès.

Plus d’infos et de photos techniques sur le site de Wicreations : http://www.wicreations.com/Portfolio/Project-Details/Myl-ne-Farmer-FR

 

 

RCF introduit la VMAX

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RCF V45Sortie fin 2013, la nouvelle série VMAX de RCF comprend 3 modèles : deux enceintes large bande 2 voies passives et un sub en double 18“ bass reflex.
Cette série est sensée combler un vide dans la gamme “Live” de RCF, qui jusqu’à présent ne comportait que des modèles actifs en forte puissance, en permettant aux exploitants d’utiliser leurs racks d’amplification.

Il s’agit d’enceintes de forte puissance, respectivement 900 W AES pour la V35 en mono 15”, 1800 W AES pour la V45 en double 15” et 3 kW AES pour le sub V218-S en double 18”. L’appellation VMAX fait d’ailleurs penser dans un autre registre au monstre rugissant surpuissant de la marque aux trois diapasons : est-ce voulu ?
Ces enceintes sont dotées d’une ébénisterie en multipli – avec poignées en inserts latéraux de 15 mm et renforts internes- recouverte d’un polyuréthane et comportant des d’inserts de fixation.

La V45, grille ôtée
La V45, grille ôtée. Des 15” à membrane traitée et suspension multipli à longue élongation. Le guide CMD de la compression est le même que celui de la V35.

Elles utilisent un filtre passif de raccordement de type LICC (Low Impedance Compensation Crossover) qui atténue les effets de l’inductance série et améliore la réponse en phase et la restitution des transitoires. Les transducteurs HF sont montés sur un guide à directivité constante de dispersion 90° H x 40° V dénommé CMD (Constant Matching Design) pour un raccord optimum avec les transducteurs LF.

Le modèle V35, deux voies, mono 15”, délivre un niveau max de 132 dB SPL pour 900 W AES sous 8 ohms de puissance admissible, et met en œuvre un 15” à moteur ferrite longue excursion à bobine 4” et culasse “hyper ventilée” secondé pour la HF par une compression à diaphragme 3” Titane et moteur Néodyme. La réponse dans le grave s’étend jusqu’à 40 Hz et le raccordement s’effectue à 1400 Hz. Le pan coupé arrière dans l’ébénisterie permet de l’utiliser en retour de scène. 

Le modèle V45 utilise le même 15” mais en double et une compression Néodyme à diaphragme Titane de 4” qui permet un raccord à 1200 Hz et une réponse allant jusqu’à 30 Hz. La V45 admet une puissance AES sous 8 ohms de 1800 W (sensibilité de 99 dB/1 W/1 m) et délivre un SPL max de 137 dB.

Avec les 15” ferrite et le volume de la caisse, son poids atteint 63 kg, soit presqu’autant que le sub V218-S avec ses deux 18” à moteur Néodyme et bobine 4”. Du costaud, mais mieux vaut être deux pour la mise en place.

Le V218-S, grille frontale ôtée
Le V218-S, grille frontale ôtée : une structure efficace avec des 18” haut rendement. 78 kg sur la balance, faible encombrement, un poids moyen avec du punch.

RCF-V218-S


Le V218-S délivre un niveau max de 141 dB SPL avec une puissance admissible de 3 kW AES (8 ohms). Les 18” sont montés en radiation directe et en bass reflex, les deux évents à faible turbulence débouchant au centre de la boîte toujours réalisée en multipli de bouleau balte de 15 mm d’épaisseur. Le 30 Hz est reproduit sans difficulté.

Cette série est d’ores et déjà commercialisée au tarif public suivant :

  • V35 : 1500 € HT
  • V45 : 2300 € HT
  • V218-S : 2150 € HT

 

2014 : Les Ateliers Lumière deviennent Dushow Bordeaux !

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Dushow Bordeaux

Dushow Bordeaux

Les Ateliers Lumière démarrent l’année avec un nouveau patronyme, Dushow Bordeaux, confirmant leur appartenance au groupe Dushow SA, et leur agence Spotco devient Dushow Toulouse. L’épopée commencée il y a 32 ans continue.

Une Nouvelle dimension.

Dushow BordeauxC’est officiel. La société créée à Bordeaux en 1982 aujourd’hui implantée à Mérignac qui a rejoint le groupe national Dushow SA prend le nom de Dushow Bordeaux.

La PME “Les Ateliers lumière” spécialiste de la lumière, du son, de la structure et de l’image, qui accompagne les réalisations artistiques et techniques d’acteurs régionaux et nationaux emploient plus de 30 collaborateurs permanents sur les sites de bordeaux et Toulouse et signent plus de 1 800 contrats annuels d’intermittence selon les besoins de ses prestations.

Le groupe Dushow SA, positionné sur les mêmes secteurs métiers donne une nouvelle dimension à la PME aquitaine qui pourra rayonner sur un large territoire avec les sites de Paris, Lyon, Marseille, Nice, Rennes mais aussi Monaco, Barcelone, Rio, et un accès à des marchés nationaux et internationaux nécessitant des moyen humains et matériels de très haut niveau, tout en gardant sa liberté d’accompagner les manifestations locales qui lui sont chères.

Avec un accès direct et permanent à un gigantesque parc de matériel de pointe sans cesse renouvelé, la proximité territoriale, la puissance de réactivité, des moyens humains décuplés, un niveau d’expertise technologique élevé grâce à la formation continue des techniciens, la recherche et un pôle créatif image et lumière intégré…, les apports qui font la différence sont nombreux et rejaillissent incontestablement sur chaque prestation, quelle que soit sa taille, en faveur de chaque donneur d’ordre, quelle que soit sa localisation.

Thierry Perceval

Thierry Perceval, Directeur Général de Dushow Bordeaux déclare : “Après un temps d’approche de découverte approfondie et de partenariats avec nos confrères du groupe Dushow SA, nous avons pu vérifier la compatibilité totale de nos ADN en termes de valeurs, de compétences et de vision.
Etre au sein d’un groupe, son-lumière-vidéo-structure, solide et reconnu tel que Dushow SA assure à notre entreprise la continuité sereine de son développement. C’est aussi et surtout assurer à nos clients, les meilleures prestations en phase avec les technologies de pointe en évolution constante, et doter chaque projet, quelle que sa taille, quelle que soit leur localisation, d’un label haute qualité, haute sécurité, haute performance.

Les équipes des deux sociétés sont inchangées et grâce au groupe Dushow SA, elles pourront intervenir à Paris, Marseille, Nice, Lyon, Rennes, Monaco, Barcelone et Rio.

 

 

 

Mister Mojo en Adamson E15

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MA l’automne 2013, Matthieu Chedid repartait sur la route en E15. 

C’est durant les festivals d’été que Charlie (Charles De Schutter), ingé son de M, a découvert et adoré le nouveau système Adamson E15 au point de l’imposer pour cette deuxième partie de tournée qui s’est achevée par 3 concerts au POPB, l’arène de Bercy.



Charlie partage son temps, entre son studio en Belgique et le live, il travaille en orfèvre et ne cisèle ses mixes que pour quelques artistes  “sélectionnés” !.

Sur la route il est assisté de Typat- Patrick Passerel, ingé système et de Nico Meynard.

Tournée M

Tournée : Dushow
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  • Tournée MPrestataire Système de diffusion : Audiolite

  • Main L/R : 24 x E15

  • Outfills : 20 x Y10

  • Subs : 18 x T21

  • Fills : Spektrix & M15

  • Amplification PLM / processing Lake

 

Darklight Gantom iQx se contrôle en DMX

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Gantom IQ, le plus petit projecteur de gobo au monde, développé par la jeune société californienne Darklight, n’est pas un jouet. Ultra miniaturisé, plusieurs fois primé sur des salons (dont le Siel) pour ses qualités optiques, il vient de sortir en version iQx, contrôlable en DMX et rafle encore un prix de l’innovation, cette fois au LDI.

Darklight IQx

Il a la taille d’un crayon de 90 mm de long par 30 mm de diamètre, monté sur une petite lyre de 50 mm de haut et intègre deux lentilles ajustables (manuellement)  pour régler l’angle de projection entre 25° et 40° et le focus sur gobo.

Présentation de Gantom iQ :

En métal, verre ou encore transparent de bureau imprimé, le gobo requis est riquiqui : 19 mm de diamètre extérieur, (15 mm de diamètre pour l’image et 10 mm pour du texte) maintenu grâce à une bague interne vissable. Gantom iQx utilise une puissante source Led Cree XP-G de 3 W, en blanc froid (6000K) qui lui assure un éclairement au centre de 350 lux à 1m en faisceau serré à 25° : étonnant !

C’est bien évidemment la gradation de la Led qui se commande en DMX ainsi que la vitesse du strobe et de restitution des effets programmés, pas le zoom ni le focus, enfin pas encore :).
Car la force de ce petit projecteur c’est aussi d’intégrer une Eprom qui permet de mémoriser différents effets: vibration (flickering), strobe, fade in et fade out, programmés depuis un pupitre et qu’il restituera de façon autonome. 

Gantom iQx reçoit le DMX sur un petit jack 2,1 mm via un adaptateur XLR/Jack ou bornier Jack et l’alimentation 12 V par un Jack 5,5 mm. Un convertisseur Ethernet/DMX était aussi  présenté au LDI.

Gantom iQx dans la main de Christian Paillard
Gantom iQx dans la main de Christian Paillard sur le stand Alterlite aux JTSE…
projette un gobo sur la chemise de Romain Blondel
… projette un gobo sur la chemise de Romain Blondel, (commercial Alterlite sur la région parisienne)


Sa discrétion, sa lumière, son indice de protection IP 65 lui ouvrent un vaste champ d’applications : muséographie, vitrines de magasins, restaurants, accentuation d’éléments de décor, à l’Opéra, au théâtre, en architecture… Partout où un minuscule projecteur de gobos performant est nécessaire. 

Caractéristiques :

Alimentation : 12 V
Consommation : 2,7 W (12 V- 225 mW)
Durée de vie de la source : 50 000 h
Led : Cree XP-G blanc froid 6000K
Corps en aluminium anodisé noir
Indice de protection : IP 65

Mesures photométriques (Darklight) :

Mesures Darklight-iQx 

 

Journées d’écoute Clair Bros chez Audio Concept

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Audio Concept, le distributeur français de Clair Brothers organise les « Clair Brothers’ days », deux journées de présentation, d’écoutes et de partages d’avis sur les produits Clair Bros qui auront lieu au Bascala* le vendredi 31 janvier de 14h à 19h et le lundi 3 février de 10h à 17h.

A l’écoute, le système line array i212, les petites enceintes large bande de la gamme, les systèmes Traveller et les wedges dont « The Wedge ».

ClairBros i212-M
Le i212 en version mobile (touring), i212-M. Le i212-i est la version installation.

Pour s’inscrire, il suffit d’envoyer un e-mail à Audio Concept en indiquant le jour de votre venue à l’adresse: [email protected]. Vingt invitations pour le concert de Robben Ford du samedi 1er février seront remis aux premiers inscrits.

Le catalogue Clair Bros complet 2013 est par ailleurs disponible en téléchargement sur le site audioconcept.fr (et le tarif 2014 disponible sur simple demande).

* Le complexe « Le Bascala » à Bruguières (12, rue de la Briqueterie 31150 Bruguières), est situé à 15 minutes de l’aéroport Toulouse et à 5 minutes Autoroute A62. La grande salle de spectacle de 700 m2 peut accueillir de 400 à 1800 spectateurs avec une scène de 200 m2 équipée d’une régie son – lumière up to date.

 

Clay Paky, une valeur sûre pour les shows de Rod Stewart en résidence à Las Vegas

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Rod Stewart, l’icone  internationale du rock, est en résidence au Caesar Palace de Las Vegas sous les projecteurs Clay Paky Alpha spot QWO 800 et Alpha Wash 1500.

Mark Payne, l’éclairagiste de Rod Stewart depuis 20 ans, qui avait déjà utilisé les projecteurs Clay Paky pour la tournée “Live the Life” en 2013 a été tellement impressionné par leurs performances qu’il les a à nouveau spécifiés dans son kit lumière au Caesar Palace pour la résidence de l’artiste.

Avec plusieurs grands écrans vidéo sur scène formant l’un des plus grands écrans à LED d’Amérique du Nord en couvrant la totalité du fond de scène, Mark Payne avait besoin de projecteurs capables de fournir une lumière propre, pure et puissante pour renforcer la vision de sa conception lumière.

la tructure hélicoïdale mobile
En haut de l’image, la tructure hélicoïdale mobile qui reçoit les Alpha Spot QWO 800

“Je n’utilise pas de fumée, explique Mark Payne, la scène est propre et nette, la lumière est en majorité blanche afin favoriser la vision de l’image au centre de la scène. La lumière s’exprime essentiellement au sol, sans matérialisation de faisceaux dans l’espace.

Payne a accroché les QWO 800 à la structure hélicoïdale animée de mouvements pendant le show.
“Les Alpha Spot QWO sont petits et légers, poursuit Mark Payne, très riches en effets internes. Ils sont parfaits sur une structure mobile car ils assurent une charge minimale et me fournissent tous les effets dont j’ai besoin. Je les utilise aussi pour éclairer Rod sur la partie la plus intime du show, le set acoustique. J’ai choisi les  Alpha Wash 1500 car ils sont lumineux et assurent une lumière uniforme. Je les utilise en couleurs saturées, et en faisceaux larges blancs”.

Rod-StewartRod-Stewart


Rod Stewart, The Hits, se produit actuellement au Caesar Palace et jusqu’au mois de mai l’année prochaine. C’est un show riche en énergie, auquel participeront de nombreux artistes dont Rudy Stewart, la propre fille de Rod.

 

 

Première sortie nord américaine du L-Acoustics K2

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Très belle vue de la scène et de la ligne à jardin de tout nouveaux 18 K2 d'ESI Audio
Une très belle vue de la scène et de la ligne à jardin de tout nouveaux 18 K2 d’ESI Audio. Bien visibles aussi les 3 ensembles de 12 SB28 posés au sol au pied de la scène. (Photo : Leigh Barnes, Kerrigan Studios)

Le 26 décembre dernier, ESI Audio a eu l’honneur d’être le premier prestataire à mettre en œuvre le nouveau système L-Acoustics K2 en Amérique du Nord.

Ce déploiement a eu lieu pour le festival The Gift, qui s’est tenu sur le parking jouxtant le Raymond James stadium de Tampa (Floride), et réunissant durant une unique journée, un plateau électronique avec pour vedette deadmou5.

Pour assurer une bonne couverture aux 12000 spectateurs massés devant la scène érigée sur les terres de l’équipe de football des Buccaneer’s, les équipes d’ESI ont accroché deux lignes de 18 têtes K2 soutenues par pas moins de trois douzaines de SB28 : un apport en bas du spectre très apprécié en electro dance. Ces 36 subs ont été arrangés en 3 ensembles de 12, composés chacun de 4 stacks de 3 caissons empilés.

Le groupe de subs central a été complété par 2 Kara en lipfill, et les deux groupes latéraux par deux infills de deux ARCS II chacun. Cet ensemble d’enceintes a été amplifié et processé par le biais de 8 LA-RAK chacun équipé de trois contrôleurs à quatre canaux LA8 grâce au logiciel LA Control Manager.

Sur scène et entre les lignes de K2, deadmou5 en plein show
Sur scène et entre les lignes de K2, deadmou5 en plein show TRÈS puissamment servi par des retours composés de deux ensembles de trois Kara posés sur deux SB18… (Photo : Leigh Barnes, Kerrigan Studios)

« En deux mots le K2 c’est épatant“ nous a dit avec enthousiasme le PDG d’ESI Audio Erick « Otto » Celeiro. “Le rendu sonore du festival “The Gift” a été remarquable avec une portée utile atteignant 120 mètres. Le K2 s’est aussi révélé très facile à déployer. Le V-DOSC à été ma boîte de référence au cours de nombreuses années. Le K2 ajoute à cette signature sonore des améliorations tant au niveau de l’ergonomie que du poids et de la flexibilité d’emploi.
Au terme du festival nous avons été chaudement félicités par l’ensemble des acteurs présents comme l’organisateur, le prestataire vidéo et lumière, le public et le manager de deadmou5. Tous n’ont pas tari d’éloges”.

Malgré un parc composé aussi de modèles d’autres marques, le PDG d’ESI Audio Erick « Otto » Celeiro à toujours considéré L-Acoustics comme « The crème of the crème » : “Nous avions contacté L-Acoustics avec l’intention d’acquérir des K1”, précise Otto, “mais après avoir eu accès aux premières données sur le K2, nous avons été immédiatement séduits.

L'équipe d'ESI Audio en plein montage d'une ligne de K2 par blocs de quatre boîtes.
L’équipe d’ESI Audio en plein montage d’une ligne de K2 par blocs de quatre boîtes. (Photo : Leigh Barnes, Kerrigan Studios)

Même avant d’avoir pu voir ou écouter ces nouvelles boîtes, nous avons choisi de suivre notre instinct en pleine confiance vis-à-vis de cette marque et de son passé d’excellence et bien nous en a pris ! Nous venons de signer une nouvelle commande de 24 K2 car nous pensons que cette boîte correspond exactement aux besoins de notre marché régional et des tournées dont nous avons la charge. Ces boîtes sont remarquables et certainement le meilleur investissement que nous ayons jamais fait”.

Les retours ont aussi été sélectionnés dans le catalogue L-Acoustics afin de répondre aux besoins en pression sonore de Joel Zimmermann plus connu sous son nom de scène de deadmou5, ainsi que ceux des autres artistes de dance électronique présents au festival. Pour “The Gift”, et par côté, ont été posées trois Kara sur deux SB18, le tout amplifié par deux LA8.

Fondée en 1996 et basée à Tampa en Floride, ESI audio a fait le choix de L-Acoustics pour la première fois en avril 2012 en fournissant un set de retours 115XT HiQ pour la tournée de Gavin DeGraw et de Colbie Caillat. Depuis lors, ESI a complété son parc en L-Acoustics jusqu’à ce dernier achat de 36 K2, 12 KARA, 16 SB28, 4 SB18 et six LA-RAK. 

Plus d’informations sur ESI audio sur le site : www.esiaudio.com

 

Et équipe le Groupe de Recherches Musicales de l’INA

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Différentes versions de PMX 4
Différentes versions de PMX 4 sur le stand Amadeus aux JTSE 2013

Lors des derniers JTSE, Amadeus a présenté la dernière adjonction à sa série d’enceintes deux voies coaxiales PMX avec la PMX4 mais Gaëtan Byk (Directeur du Marketing) nous a également fait part de la contribution de la marque au système de monitoring de référence du groupe de recherches musicales (GRM) de l’INA.

La PMX 4 est la plus petite et dernière enceinte coaxiale de la gamme PMX d’Amadeus (modèles allant du 5’’ au 15’’), conçue pour répondre à une demande des professionnels souhaitant une version encore plus compacte de la PMX5 en conservant naturellement ses qualités acoustiques.

Elle met en œuvre un woofer 4’’ à aimant Néodyme et un tweeter à dôme de 0,8’’ (20 mm) montés en coaxial au sein d’une ébénisterie occupant un volume 50 % moindre que la PMX 5.

Outre la version en multipli avec différentes finitions de couleur, elle peut être proposée dans différents types de bois exotiques (Wengé, Wacapou ou encore ébène) voire encore en Sycomore ou en chêne.

Colonnes de monitoring (INA155) du GRM de l’INA in situ
Colonnes de monitoring (INA155) du GRM de l’INA in situ

Pour le système de monitoring du GRM de l’INA, Amadeus a été sélectionné après des sessions d’écoute de différents systèmes étalées sur six mois.
Ce système de monitoring de référence est installé depuis le début novembre au Studio 116 comptant parmi les plus importants des 66 studios de la Maison de Radio France, et qui accueille depuis plus de vingt ans le groupe de recherches musicales créé par le chercheur, compositeur et écrivain français Pierre Schaeffer.

Philippe Dao, responsable de la production musicale, compositeur et ingénieur du son auprès du GRM, rappelle la génèse du projet :

 « Depuis la création du GRM, les enceintes acoustiques occupent une place primordiale dans nos activités de recherches et de créations musicales. Nous recherchions depuis 2008 une véritable écoute de référence.

Nous avons finalement décidé de lancer un appel à candidatures en 2013 ; chaque membre, compositeur, musicien ou ingénieur du son du GRM a ainsi pu écouter et comparer un très large éventail de produits dédiés au monitoring studio ou à la HI-FI orientée mastering, issus notamment de marques danoises, finlandaises, japonaises, britanniques, et françaises.
Une première ébauche de système encastré, conçu sur-mesure par Amadeus, a très vite retenu notre attention. Le format initial ne correspondant pas à nos contraintes, nous avons demandé à Amadeus de concevoir une version colonne qui conserve la neutralité, la précision des timbres, la dynamique et la vivacité qui nous avaient séduits. »

Michel Deluc, directeur de la R&D Amadeus décrit le système retenu :

«  Le monitor conçu et fabriqué spécifiquement pour le Groupe de Recherches Musicales de l’INA et naturellement baptisé « INA 155 » est une déclinaison du système de monitoring encastré « Model 155 » conçu par Amadeus. Le système a été modifié et optimisé pour une utilisation studio en  non encastré. Ce système 3 voies actives accueille un tweeter à dôme Dynaudio Esotar de 1 pouce pour la partie HF et un médium ATC de 76 mm (3 pouces), alliant sensibilité élevée et taux de distorsion extrêmement faible. Les basses fréquences sont confiées à un boomer de 38 cm (15 pouces) TAD, monté en radiation directe et charge bass-reflex, dont la membrane conique est capable de résister à des niveaux de débattement très élevés, sans aucune déformation.

L’ébénisterie de très grand volume, conçue entre autres au moyen de parois multicouches formées à partir de différents bois, de bitume à haute densité modifié et de polymères, offre un rapport rigidité/amortissement optimum pour une réponse en fréquence très étendue, allant de 25 Hz à 40 kHz.

Un ensemble de rigidificateurs et résonateurs internes fonctionne en mode collaboratif pour dissiper l’énergie vibratoire et la géométrie du bafflage est étudiée afin de minimiser les effets de la diffraction. 
Chaque système est tri-amplifié grâce à une section amplification propriétaire surdimensionnée, développant 3 x 1000 W sous 8 ohms et chaque canal embarque un système de traitement de signal DSP très puissant permettant une utilisation conjuguée de filtres IIR et de filtres FIR à très faible latence, pour obtenir un calibrage de la réponse amplitude/fréquence et phase irréprochable. » 

 

Le son Neumann se pare de blanc, et de noir

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Neumann lance deux éditions limitées de son micro voix de scène KMS 105, une version en blanc laqué (GW) et une version en noir laqué (PBK) ainsi qu’une version blanche (parure d’hiver) de son moniteur de studio actif deux voies KH 120 A.

Les micros KMS sont devenus un standard reconnu pour la scène grâce à leur haute résolution acoustique, une réponse en fréquence régulière (coupe-bas 120 Hz toujours enclenché), un faible bruit propre (18 dB(A)) ainsi que leur capacité à supprimer les sons venant
 de l’hémisphère (180°) arrière du microphone avec leur réponse polaire super-cardioïde.

Neumann KMS105 GW BlancNeumann KMS105 GW Noir


De plus ces micros sont dotés de filtres acoustiques réduisant les plosives et améliorant l’admissibilité sans dégradation de la réponse polaire. Ils sont également dotés d’une correction dans le grave pour compenser l’effet de proximité.
Les versions blanche et noire laquées (magnifiques !) sont disponibles depuis le courant décembre. Et la version blanche est même proposée avec un pied K&M apparié et même un cordon Klotz blanc.

Neumann KH 120 AWLe KH 120 A gris anthracite, et maintenant le KH 120 AW (white), est conçu pour une exploitation en proximité, en enregistrement, mixage ou en mastering, en project studio comme en post-production.

Au sein d’une ébénisterie en aluminium injecté, il est équipé d’un guide d’onde elliptique de type MMD™ (Mathematically Modeled Dispersion™) pour charger le tweeter tissu/Titane et d’un woofer longue élongation avec cône en sandwich de matériaux composites.

Les amplificateurs analogiques incorporés travaillent en Classe AB (2 canaux de 50 W RMS) avec une alimentation à découpage universelle (100- 265 V).