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Martin Mac Encore Wash CLD & WRM

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Sorti en septembre 2017, le Mac Encore Performance venait envoyer du lourd dans le domaine des lyres spot / couteaux à leds pour le spectacle, la télévision et l’événementiel.
Aujourd’hui, voici le wash, lui aussi en deux versions de blanc qui se présente sous la forme d’une machine séduisante et destinée aux lieux et projets où les exigences de qualité de lumière seront élevées.

Encore un wash chez Martin, mais pas le même. Pour faire simple, la tendance actuelle en matière de wash va assez souvent vers des machines assez compactes, diffusant un faisceau aux bords diffus, directement sorti de leurs lentilles ajustées sur une « galette » de leds. C’est léger, c’est polyvalent, et ça tient dans la main (j’exagère, mais à peine).

Là, Martin (qui, rappelons-le est le papa du Mac-Aura ou du Quantum Wash) nous propose un projecteur au design très semblable à celui de la version spot / couteaux (nommée « Performance »), un bestiau de 28,5 kg, dans une réalisation très aboutie, en rupture avec la tendance au micro-matos que l’on retrouve sur le marché des projecteurs wash.

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Comme le Mac Encore Performance, le « Wash » est proposé en versions « Wash CLD » pour cold, 6000K, lumière du jour et « Wash WRM », Warm délivrant une lumière chaude (type tungstène) en 3000 K.
La source led, d’une puissance de 468 watts, délivre donc une lumière blanche traitée par un classique système de trichromie et d’effets mécaniques entrant dans le faisceau.
Ça permet par exemple d’avoir une sortie de lumière assez discrète, très loin des grosses et brillantes galettes qui, bien souvent, polluent le visuel et nécessitent des dispositifs parfois compliqués pour réussir à se passer des désagréables halos qu’elles génèrent. Ici, le faisceau est maitrisé à 100% et la pollution lumineuse hors de son faisceau est quasi nulle.

Elle ressemble à quoi cette machine-là ?

Question design, Martin a conservé un look assez proche de celui du Quantum, avec une base rectangulaire assez plate, la même lyre aux bras finement arrondis terminés par une bien pratique deuxième poignée de transport de chaque côté, et une tête du même genre, mais beaucoup moins filiforme puisqu’épousant les différents éléments internes de la machine trapue vers l’arrière, effilée vers le nez, ce qui lui donne un peu l’aspect d’une pièce d’artillerie. En tout cas l’ensemble est particulièrement réussi et équilibré.

Wash à leds

Comme sur le Quantum Profile, le fabricant a opté pour un moteur à grand nombre de leds assemblées en corolle derrière des optiques qui concentrent le flux de lumière vers les effets. Le moteur est large et le faisceau est déjà de belle dimension en sortie de la boîte à lumière.


Mesures photométriques Mac Encore Wash CLD

Après un dérating qui atteint son maximum de 7 % après 5 minutes de chauffe les mesures de flux donnent des résultats très satisfaisants.
On est face à un beau faisceau bien pêchu qui devrait convenir dans de nombreuses applications, même sur des grosses scènes ou des événements demandant de belles capacités d’éclairement.

Voici les mesures de la version blanc froid dont l’IRC est annoncé supérieur à 80.

Faisceau Serré

Faisceau 20°

Faisceau Large

La version blanc chaud avec un IRC plus élevé, supérieur à 90, un TM-30 Rg (IES TM-30-15 Gamut Index) supérieur à 98 et un TCLI supérieur à 90 montre aussi une baisse normale de flux de 22 %.


La construction mécanique : Pensée pour l’utilisateur

L’ensemble de la machine est un exemple de démontage facile et d’entretien relativement aisé, jusqu’aux différents blocs de ventilation qui sont montés sur des supports facilement extractibles, idem pour les grilles, les mousses… C’est un excellent point pour le MAC Encore Wash!

La carrosserie rationnellement conçue

La base très sobre, reçoit d’un côté l’afficheur et ses boutons d’accès au menu, et de l’autre, deux connecteurs DMX, XLR5, l’arrivée secteur en True-one, et un connecteur USB pour les mises à jour du software. C’est tout.

Le dessous de l’appareil avec les points d’accroche.

Deux larges et belles poignées entourent le socle, et en dessous, on vient y fixer les Omegas d’accroche, dans différentes positions, comme d’hab.
Cette base contient tout d’abord une carte d’alimentation générale de l’appareil et ses moteurs, et une carte bien distincte d’alimentation des sources led. Une carte mère principale gère le DMX, et le software du MAC Encore, et une carte séparée gère le module zoom / focus.

La base ouverte et la lyre. On distingue les plaques de plastique qui protègent l’électronique.

Au démontage, on s’aperçoit de la présence de deux petites plaques de plastique souple qui viennent se positionner au-dessus des cartes électroniques en les protégeant des risques de contacts intempestifs qui pourraient survenir. Il conviendra de les retirer pour avoir accès aux cartes. Elles sont juste pincées par deux petits rails métalliques qui les maintiennent en place.

Les bras se démontent via quelques vis, et laissent découvrir l’étrier et ses éléments mécaniques. Nous retrouvons ici la motorisation pan et tilt avec l’ensemble des circulations de câbles qui passent de la base jusqu’à la tête. Fait un peu inhabituel, les moteurs sont comme « coiffés » d’un petit capuchon conique du côté opposé à la sortie de l’axe, constituant l’habitacle du capteur de position (système de capteurs « à effet Hall ») qui est directement monté sur l’axe du moteur, à l’arrière de celui-ci.

Le moteur PAN avec la technologie de capteur à effet Hall.

Pour info, grâce à ce système, la machine sait toujours précisément où elle se trouve, plus besoin de dire à l’électronique de compter les dents d’une roue crantée, si bien qu’on peut très bien, via le display, décider que la machine n’a plus besoin de faire un reboot en butée pour pan-tilt en cas de reset à distance.)

Autre détail important concernant les bras et la motorisation, tout le câblage peut être débranché via des petits connecteurs, et la courroie de tilt sera donc remplacée en quelques secondes, sans la moindre opération complexe concernant les lignes de câblages qui circulent dans les axes Y de la tête. Fini la lyre avec la courroie cassée (ça arrive à n’importe quelle machine) qui reste marquée avec une grosse croix au gaffer dans son flight en attendant un désossage en règle en atelier. Bravo.

La tête de la bête

La boîte à lumière, avec la sortie du faisceau.

La tête contient depuis l’arrière, la boîte à lumière, qui occupe tout le premier tiers de son volume.
La lumière s’en échappe via une ouverture d’environ 6 cm de diamètre vers les effets.
Là encore, la construction diffère un peu de ce qu’on peut voir sur les machines concurrentes montrant des radiateurs énormes bardés de caloducs.
Dans le Mac Encore Wash, le moteur de leds est monté sur un dissipateur encadré de blocs de ventilateurs, pour son refroidissement.

La boîte à lumière vue de l’arrière

Des grilles de chaque côté de l’arrière de la tête viennent ajourer le tout pour que l’air circule.
Les effets sont contenus dans un genre de « sandwich », c’est à dire un seul module compact et épais, comportant la trichromie, la roue de couleurs, les couteaux, ainsi qu’un filtre frost et un iris.
Ce module est seulement retenu par quelques vis et deux connecteurs de câblage.


Le module d’effet / couleurs / couteaux.

On accède facilement aux éléments séparés de ce contenu en ôtant quelques nouvelles vis. La trichromie elle-même se démonte très facilement en en retirant 4.
Un astucieux jeu de petits tendeurs et rails cylindriques permet de virer une à une les mini courroies qui tiennent les drapeaux de couleurs pour leur éventuel remplacement.
Bon, il faut être minutieux, mais c’est à la portée de n’importe quel tech-auto débutant.

Démontage du module de trichromie.
Module de découpe.

Pareillement pour le module de couteaux qui se démonte par 4 vis et qui est entièrement accessible. Les connecteurs qui relient les éléments de la tête à l’électronique sont conçus pour être interchangeables, dans la limite de la tension des câbles.
Pas besoin de prendre des repères précis, si vous inversez les connecteurs, la machine reconnaîtra de toute façon le signal qui va bien et ce qu’il doit contrôler. Chouette !


Les lentilles du zoom.

Dans le dernier tiers de la tête, un gros dernier tiers même, se trouve le zoom. Il s’agit d’un chariot avec deux jeux de lentilles qui circulent d’avant en arrière.
Détail d’importance, leur positionnement est géré par un petit capteur magnétique situé sur le côté du rail et détectant la position de chaque élément.

Les capteurs de position du zoom.

Ce système de lentilles n’est pas démontable mais ultra simple à nettoyer, tout est accessible sans même avoir besoin de tordre la main.

La lentille de Fresnel avec son échelonnage en spirale.

La lentille de Fresnel enfin, une belle pièce de verrerie réalisée suivant le principe de la lentille à échelon inventée par Augustin Fresnel pour les phares, voit ici ses échelons disposés en spirale.
Martin nous précise qu’il est possible également, en option, d’opter pour une lentille de type Plan Convexe, proposant une diffusion différente de la lumière.

Encore une fois et j’insiste, c’est vraiment une machine qui, en cas de problème (et ça arrive toujours vu les contraintes d’exploitation de ce type de matériel) nécessitera un temps de maintenance minimum en atelier. C’est un point fort de ces appareils par rapport au souci d’un investisseur et exploitant. Si vous avez quelques pièces (et avec Martin, on sait qu’au niveau des pièces on a tout très vite), la machine sera de nouveau sur la route en un minimum de temps, quoi qu’il puisse arriver.

Menu et Display

Menu et display.

Le menu est simple et complet. Il comporte toutes les options classiques d’une machine de ce type.
On a évidemment l’adressage du DMX, les différents mode de « personality », les différents modes de vitesse pan/tilt et des effets, les courbes de dimmer, un émulateur de courbe de dimmer de type tungstène.
On a aussi 4 modes de ventilation différents pour gérer le bruit de la machine (avec pour certains une incidence sur la puissance lumineuse of course !), les infos de température sur tous les modules, les sources, les calibrages, les séquences de test, contrôle manuel paramètre par paramètre, etc… bref, il y a TOUT !

Quelques petites options sympas

  • La possibilité d’activer un mode veille « hibernate » qui peut se contrôler ensuite depuis la console pour couper toute activité à distance (utile pour certaines installations fixes où les machines peuvent être alimentées en permanence, mais laissées au « repos » pendant certaines périodes prolongées.).
  • La fonction « fan clean » qui envoie toutes les turbines à fond (dans un boucan tonitruant) permettant de décrasser éventuellement des ventilateurs qui seraient à moitié obstrués par de la poussière ou autres saloperies incrustées au niveau de la dalle de leds par exemple. Bien sûr ça ne nettoie pas la machine, mais ça peut déboucher pour assurer une presta avant un gros nettoyage en atelier. Vu qu’il n’y a aucune circulation d’air dans la tête, il n’y a aucun risque d’encrasser les modules.
  • La possibilité d’activer le « pan-tilt feedback », qui permet de faire en sorte que la machine n’aille pas faire d’allers et retours en butée en cas de reset (elle ne bouge pas).

Faisons joujou avec cette belle machine !

Le pilotage du MAC Encore Wash se fait par 26 canaux DMX. Encore une bonne chose ! J’aime quand on ne se prend pas le chou pendant une heure pour savoir comment est configurée la machine, avec douze modes qui ne servent à personne (juste à refaire des patchs toutes les 5 minutes…) UN mode, une gestion simple et rationnelle, on a TOUT, et ça marche. Encore bravo. Voilà. Les autres, par pitié prenez en de la graine…

Zoom serré et zoom large.

On a allumé les deux MAC Encore Wash côte-à-côte. Le froid et le chaud. Pour voir ! et ça nous donne aussi des indications utiles quant à leur usage et leurs différences (outre la température de couleur de base, évidemment…) Le faisceau est très beau. Il est ample et très malléable.
Le zoom est rapide, ça ouvre fort, ça serre bien, nickel ! Un iris vient compléter les capacités de fermeture du faisceau, au prix d’un certain nombre de lux, comme il se doit.
Pour le coup, je connais peu de wash à leds dont les propriétés de lumières sont aussi souples dans cette catégorie de puissance.
Pour le CLD, on a juste l’impression d’avoir une belle grosse bécane à lampe et on n’est absolument pas préoccupé par les compromis à faire en matière de couleur et de faisceau.

Les faisceaux en zoom serré et ouvert.

Pour le WRM on a l’impression d’avoir un projo trad sans limites et dont on peut faire ce qu’on veut depuis la console, sans avoir à demander à un technicien d’aller le bricoler en haut d’une tour ou d’une nacelle (et pour le coup, on peut lui faire faire plein de trucs différents pendant le show !)…

Différents aspects du faisceau.

A contre-jour, la sortie de lumière du projecteur est élégante. Si on fait de la face ou tout autre angle, on ne souffre pas de parasites autour du projecteur, ça ne brille pas de partout et c’est trop bon !
La régularité du dimmer est très belle, dès les premiers pourcentages. C’est top. Et en mode émulation de tungstène, on s’y croirait ! Ce faux filament n’en finit pas de s’éteindre quand on fait un noir sec.

Courbe du Dimmer de 0 à 100 % en mode Square Low
Zoom sur les premiers pourcentages, de 0 à 10%

Question couleurs, on est aussi vraiment bien. Sans surprise, les couleurs chaudes sont tout à fait exceptionnelles sur la version WRM, mais pas que. Même les couleurs froides sont sympas et ne manquent pas de pêche. La seule nuance qui me vient concerne le congo blue bien sûr (c’est tout à fait normal), mais aussi le CTB qui absorbe beaucoup de lumière, tout en restant très exploitable ! Je chipote un peu !

Les couleurs de base CMY + CTO/CTB. En haut CLD, en bas WRM.
Les faisceaux avec la trichromie CMY.

La roue de couleurs additionnelles peut adopter tout positionnement précis, inter-couleurs à volonté, sur une plage des valeurs, et une autre plage sélectionne d’office les couleurs pleines. Une troisième plage, concerne les rotations continues à différentes vitesses de ladite roue de couleurs (pour faire du disco, du psychédélique. Wow !).

Les faisceaux ici dans des teintes mélangées.

Les couteaux s’avèrent très utiles sur ce type d’engin pour réaliser des travaux de mises en lumière précis. Les utilisateurs de découpes bardées de filtres en tous genres devraient, s’ils se donnent la peine d’essayer ce genre d’outil moderne, y trouver un projecteur bigrement intéressant pour modeler une lumière fine telle qu’ils l’aiment.

Les couteaux en action.

Je vais faire mon vieux radoteur, mais ce wash ne sert pas juste à faire un nappage bleu rouge ou jaune entre des beams qui tournicotent en « cercle » dans la fumée… On a à faire à un outil de précision.
Le frost vient encore adoucir le faisceau en cas de besoin, permettant des raccords parfaits entre les projecteurs ou pour nuancer des impacts ou des étales de lumière.

En conclusion

Voici une très belle machine qui, sans être révolutionnaire dans ses fonctions, est exemplaire dans sa réalisation sur bien des points, en utilisant une technologie LED dont elle tire avantageusement parti. Elle est par essence ce qu’attend un éclairagiste qui, en phase de création et d’encodage, obtiendra tout ce qu’il souhaite d’un outil aussi efficace que versatile et précis.
C’est une machine avec peu d’équivalence, qui devrait s’imposer rapidement auprès d’éclairagistes exigeants de spectacle et de théâtre. Un outil qui se positionne à l’opposé de la philosophie des compromis pratiques qui domine le marché de l’événementiel et du showbiz.

Plus d’infos sur le site Algam-Entreprises

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DiGiCo facilite l’accueil son du Pukkelpop

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Pukkelpop s’est déroulé sur quatre jours en août dernier, présentant une incroyable variété de genres musicaux allant du rock à la pop, à la house et au metal. Il a accueilli également des compagnies de théâtre, des spectacles de rue et de la nourriture du monde entier. La majeure partie de l’équipement audio de l’éclectique mixture de divertissement qui a élevé Pukkelpop au rang du plus gros festival alternatif de Belgique, était fourni par PRG.

Les consoles Digico ont été choisies sur trois des scènes du festival, y compris la scène principale (main), pour accueillir certaines des plus grosses stars : Dua Lipa, N.E.R.D, Arcade Fire et Kendrick Lamar.
Le line up DiGiCo était composé de SD10 sur les scènes Main et Marquee aussi bien à la face comme aux retours. Le Dance Hall a bénéficié de deux SD7. La plupart des groupes ont d’ailleurs profité de ces consoles. Pour la diffusion, PRG a déployé les systèmes ADAMSON E15, E12 et des subs E219.

“Au cours des deux premiers jours du festival, nous avons compté huit SD12 parmi celles des groupes accueillis” nous explique Jaap Pronk de chez DiGiCo qui avec Mark Saunders était sur place pendant toute la durée du festival pour fournir un support aux ingénieurs. “L’un d’eux Frank Voet, est venu à Pukkelpop directement depuis le Lowlands festival. Il a mixé Warhola sur la Marquee stage, puis s’est déplacé vers la Main Stage où il a mixé Oscar and the wolf qui a sonné fabuleusement bien. Le jour suivant, ses talents étaient dévoués à Bazart. Tout ceci étant rendu possible grâce à la pre-programmation de la console.”

Patrick Demoustier de chez PRG était en charge de la salle de préparation pour les mixeurs de passage (prep room) avec une SD7 et une SD10 et la possibilité de travailler offline et de convertir ses sessions. “De cette manière, nous pouvions facilement convertir une session depuis n’importe quel fichier SD vers une SD10 ou une SD7 et implémenter tous les settings du festival dans les consoles” nous explique Jaap.

“Pour les ingénieurs qui n’avaient pas préparé les fichiers de leur session, des templates standards étaient chargés sur les consoles. Les ingénieurs invités n’avaient donc plus qu’à implémenter leurs voies. Si besoin, Patrick, l’équipe de notre distributeur en Belgique ou moi-même, pouvions leur fournir une “formation à la volée”.
Une fois la session prête, les fichiers étaient uploadés vers la dropbox du festival. Toutes les consoles face et retours étaient online en permanence, donc avant que l’ingénieur de chaque artiste n’arrive en régie, le fichier était chargé et fonctionnait sur la console.

Le festival Lowlands s’est tenu aux Pays-Bas en parallèle du Pukkelpop. Le distributeur hollandais de DiGiCo, Ampco Flashlight Rentals & Sales l’a équipé avec un équivalent de la “prep room” DiGiCo du Pukkelpop ajoutant un lien entre les deux. Cela a permis aux artistes se produisant dans les deux festivals de bénéficier d’un accès aux deux Dropbox et leur sessions converties et prêtes avant que les artistes ne rejoignent l’un ou l’autre des festivals.
“Avoir cette possibilité m’a facilité la vie” nous confie Andy Egerton, ingénieur retour pour les Wombats. “J’ai ainsi converti ma session SD5 du Lowlands pour la SD10 du Pukklepop. Avoir accès à la prep room DiGiCo m’a aussi permis de vérifier mes fichiers sur la console avec l’aide de l‘équipe support, tout en lui appliquant le patch du festival. Ils m’ont même formé aux racks de conversion et au travail en multicanal pendant j’étais là-bas. Cela a rendu mon arrivée sur la console plus facile quand j’ai lancé mon fichier car les racks et le patch étaient parfaitement configurés. Un service cinq étoiles !”

DiGiCo a également utilisé la prep room pour présenter Quantum 7, permettant aux ingénieurs sur place de tester le nouveau moteur de la SD7. “Quand je mixe pour des ears, je dois souvent doubler les canaux sur les voix et les cuivres”, nous confie Duncan Wild, ingénieur retour pour Jess Glyne, après la présentation de Quantum 7.
“Cela parce qu’il faut donner à chaque membre du groupe sa dynamique originale, mais des versions compressées du son des autres membres sur scène. Avec Quantum 7, vous n’avez pas besoin de doubler les canaux quand il y a des demandes spéciales en rapport avec la couleur et la dynamique d’une partie du mix.”

“Tous les ingénieurs invités étaient heureux d’utiliser la prep room, même s’ils n’avaient jamais utilisé une DiGiCo auparavant,” nous explique Jaap.
“Nous étions chanceux d’avoir Patrick Demoustier avec nous. Cela fait longtemps qu’il connaît DiGiCo, faisant lui-même partie des utilisateurs de la première heure.”
“De retour en 2002, j’ai fait le pas avec EML de choisir DiGiCo. J’étais convaincu qu’un jour la marque deviendrait un standard mondial,” sourit Patrick. “J’avais raison !”

Plus d’information sur le festival Pukkelpop, sur le site de PRG, et sur le site de DiGiCo

 

Le plus grand groupe de rock au monde compte sur Yamaha

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Juillet 2015, Fabio Zaffagnini réunit 1000 musiciens dans un pré à Cesena en Italie pour jouer un titre des Foo Fighters et ainsi convaincre le groupe de venir s’y produire. Gagné, il viendra. Depuis Rockin’1000 est devenu 1500 et Yamaha participe à la fête avec ses consoles.
Rockin’1000 That’s Live a pris une telle importance du fait de son succès, qu’il a fallu déménager « The biggest rock band on earth » dans le stade de foot Artemio Franchi de Florence à deux heures et demi de Cesena.

Luca Stefani face à ses deux PM10

Yamaha Commercial Audio Italie est partenaire de l’événement et pour l’édition de cette année, l’équipe technique a dû relever le défi de fournir un mix face et retours non pas pour un morceau, mais bien 18 titres de classiques de rock, interprétés deux heures durant par plus de 1500 artistes comprenant des chanteurs, guitaristes, batteurs, bassistes, claviers et cuivres.

Plus de 300 voies ont été nécessaires, d’où le déploiement d’un système PM10 Rivage pour le mix façade avec deux surfaces CSR-10, quatre RPio622 et un RPio222 I/O racks, réunis par une boucle optique TWINLANe.
En parallèle et pour fournir les retours aux musiciens, un réseau Dante alimente une QL5 et QL1, un Rio1608-D2 I/O rack et deux racks RMio64D Dante/MADI de conversion. En plus des retours, ce second réseau fournit aussi les signaux pour l’enregistrement multipiste de l’événement et le mix aux amplis de la diffusion.
« Les 1500 artistes ont été regroupés par instruments et coupés en deux, donc deux groupes de batteurs, deux de bassistes et ainsi de suite » nous précise Alessandro Arturi, le spécialiste consoles et produits numériques de Yamaha Italie.

« Comme vous pouvez aisément l’imaginer, plusieurs centaines de kits de batterie et d’amplis guitare, cela génère beaucoup de bruit même tel quel ! Nous avons donc complété ce son direct à l’aide de notre mix basé sur une captation, soit de proximité, soit un micro pour deux ou trois instruments. » « Les chanteuses et chanteurs ont bénéficié d’un micro pour deux et nous avons enfin accroché un certain nombre de couples stéréo en montage Jecklin à quatre mètres de haut au-dessus des musiciens. »

Les différents groupes d’instrumentistes en plein show.

L’ensemble des transducteurs a été route vers les 5 RPio et ensuite en direction du coeur du système Rivage, le DSP-R10, la première surface effectuant un pré-mix des sources et la seconde le mix façade. Les retours ont été gérés par la QL5 recevant aussi ces pré-mix du système Rivage et dont le rôle a été de les distribuer en direction des différents groupes d’instruments. A sein de chaque groupe, chaque musicien a reçu un récepteur HF pour entendre le mix.
« Avec autant de micros ouverts, l’accrochage s’est révélé être un ennemi redoutable, » nous précise Alessandro Arturi. « Il était donc important que chaque musicien dispose d’un retour personnel avec des ears et que tous les instruments et micros soient placés de telle sorte à minimiser la repisse autant que possible. »

Protégés du soleil, à gauche Francesco Penolazzi et à droite Luca Stefani

Le Sound Designer pour cet événement était Francesco Penolazzi avec au mix face Luca Stefani. Les musiciens ont été dirigés et aidés à jouer le plus possible ensemble par Peppe Vessicchio.
« Arriver à obtenir un rendu clair et cohérent d’un tel nombre d’instrumentistes est un challenge, mais cet événement s’est aussi révélé être un plaisir à la fois côté production comme du côté des musiciens, » conclut Alessandro.
« La musique doit rester avant tout du plaisir et nous sommes ravis que les systèmes Yamaha aient pu à nouveau contribuer à cela. Nous serons prêts l’année prochaine et qui sait, peut-être y aura-t-il encore plus de musiciens à mixer »

Et d’autres informations sur le site Yamaha Audio

 

Les Scenius Unico sur la tournée mondiale de Justin Timberlake

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© Ralph-Larmann

Justin Timberlake qui a lancé sa tournée “Man of the Woods”, voyage autour du monde avec des Scenius Unico Claypaky. “Man of the Woods” est la sixième tournée mondiale de Justin Timberlake. Elle suit la sortie de son cinquième album studio du même nom.

© Ralph-Larmann

Le spectacle présente la musique de l’artiste selon différents “mondes”, dont le thème tourne autour de l’origine des chansons. Le décors circulaire massif est composé de plusieurs scènes couvrant l’espace de l’aréna.

“C’est un spectacle très chorégraphié parce que nous ne voulions pas de sièges sans visibilité nous explique Nick Whitehouse, producteur créatif et concepteur lumière du tour.
Un gros travail a été effectué pour que tout puisse être vu depuis n’importe quel endroit. Même quand les écrans déroulants transparents sont déployés pour projeter de la vidéo, les spectateurs peuvent voir à travers, ce qui donne un effet très réussi.”

© Ralph-Larmann

Nick Whitehouse a choisi 70 Scenius Unico, fourni par Solotech, qui est basé à Montréal, pour le gril principal. “C’est la première fois que j’utilise l’Unico. Je cherchais un Spot /Beam et ayant eu une très bonne expérience avec les produits Claypaky auparavant, j’ai décidé de les utiliser.”
Le directeur lumière Brian Vaughan précise “ Les Unico sont de véritables bourreaux de travail. Nous utilisons toutes leurs fonctionnalités. C’est un très bon Wash, un superbe spot avec un choix de gobos intéressant. Ils sont la clé de l’éclairage du groupe, les danseurs et Justin, et ils peuvent évoluer vers un Beam de type Sharpy. Nous utilisons même les volets pour cadrer les bords de la scène et ainsi obtenir un rendu très propre.”

© Ralph-Larmann

68 Unico sont accrochés alors que deux sont positionnés au sol directement derrière la scène pour les entrées et les sorties. 36 sont dédiés à ce que Whitehouse décris comme “un moment instagram”.
Pour ouvrir le spectacle un panneau de 9 m x 9 m entouré par 36 Unico descend du plafond, s’incline et produit différents univers. “C’est comme un gigantesque OVNI qui descend” nous dis whitehouse. “Je suis vraiment content de ces Unico. Ils nous permettent de créer des effets incroyables.”

© Ralph-Larmann

Plus d’information sur le site Dimatec et sur le site Claypaky

 

Le GovBall Festival de New York, des stars et Adamson

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La huitième édition du Governors Ball Music Festival a reçu cette année sur sa grande scène, une brochette de stars qui ont toutes bénéficié d’un très gros système E Adamson fourni par un non moins gros prestataire de Cleveland, Eighth Day Sound.
Près de 150 000 spectateurs se sont presses sur Randall’s Island au cœur de New York début juin pour ce festival se déroulant durant trois jours, avec des pointures telles que Jack White, Eminem, Travis Scott, Yeah Yeah Yeahs, Chvrches ou Halsey.

La grande scène avec, bien visibles derrière les têtes, 9 subs E119.

“On a exploité avec succès notre parc Adamson sur un certain nombre de tournées et festivals au cours de l’année passée, et à la lecture du lineup de cette édition du GovBall, on s’est dit qu’on n’allait pas changer de main,” commente Chris Berry, le responsable système pour le compte d’Eighth Day Sound.
“Avec un gros système en E sur la scène et un seul rappel en S, nous avons pu couvrir aisément 180 mètres et faire apparaître un chouette sourire sur le visage de quelques mixeurs de renom.” Le gauche droite de la grande scène est composé de 17 E15 prolongés par 3 E12. Pour les côtés, nous avons accroché 8 E15 et 3 E12 en downfill.

Pour le bas du spectre nous avons une ligne de 9 E119 accrochée derrière les têtes et au sol, 36 autres E119 sont alignés devant le nez de scène. Pour déboucher les premiers rangs, 8 S10 sont poses sur les subs, enfin une seule ligne de 12 S10 est placée derrière la régie pour redonner vie à cette habituelle zone d’ombre.

“La série E a une très belle clarté de rendu, spécialement le medium. On a l’impression de mixer avec une paire de petites écoutes en studio, » nous dit Harley Zinker, le mixeur face des Yeah Yeah Yeahs.
« La moindre correction de fréquence s’entend immédiatement, la réponse des transitoires est remarquable, tout comme le grave, consistent, précis et net sur l’ensemble de la zone d’écoute. Un vrai plaisir de mixer avec. Le E15 est une boîte que je vais avoir plaisir à retrouver au plus vite. »
“Chaque fois que j’ai l’occasion de mixer sur du E15, c’est le pied,” ajoute Brett Orrison l’ingé son face de Jack White. « Aucun autre système ne reproduit mon mix aussi facilement. Je suis toujours ravi de le retrouver. »

D’autres informations sur Le site Adamson, sur Le site Eighth Day Sound et sur Le site DV2

 

ETC invente l’asservi pour le théâtre, le Relevé

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Un nouvel acte vient de démarrer pour ETC avec la sortie de leur première lyre, un Spot asservi dédié au théâtre. Celui-ci porte le nom délicieusement rétro de « Relevé », en français dans le texte.
Cette création n’est pas tant à mettre au crédit de leur récente acquisition d’High End, dont la gamme Sola est en train d’exploser aux Etats-Unis, mais procède d’une réflexion bien plus ancienne. En effet, il y a maintenant trois ans, ETC a décidé de créer son premier projecteur automatique, de A à Z et de le fabriquer aux Etats-Unis.

L’harmonie de la première lyre ETC, la Relevé Spot, est une réussite. Sa maniabilité aussi, avec deux larges poignées au-dessus des bras.

En acceptant ce challenge, le responsable du développement d’ETC Matt Stoner, suivi par son équipe, a voulu aller encore plus loin en développant sans doute le premier asservi purement dédié au théâtre.

Le Relevé Spot bénéficie en premier lieu d’un moteur à leds inspiré de la gamme ColorSource, basé sur quatre couleurs spécifiques : rouge, vert, bleu indigo et lime, (citron vert). Le mélange de cette quadrichromie permet de créer des teintes particulièrement subtiles, tout en privilégiant des transitions harmonieuses entre couleurs chaudes et froides, avec une température de couleur naviguant de 2700 K à 7000 K.

Les 54 leds Luxeon® C Lumileds furent choisies pour le rendement associé à leur taille, avec une puissance totale de 150 W environ, d’après nos estimations. Comparativement aux découpes traditionnelles, le guide optique entre les leds et les lentilles doit être beaucoup plus fin dans une lyre asservie, afin de rentrer dans un espace réduit tout en proposant un faisceau vraiment homogène.

Le Relevé Spot est dédié aux scènes moyennes de théâtre, où la course à la puissance ne vaut rien sans une qualité de projection irréprochable. Son flux est étudié à 6 000 lumens, avec une marge de manœuvre suffisante pour pouvoir être compensé dans le temps sans modifier la cohérence d’un parc complet de projecteur. La différence entre la luminosité au centre et les bords – ce fameux point chaud adoré en concert mais indésirable sur les planches – est inférieure à 15 %.

Voici en image un des traits de génie de la Relevé, l’Ani-Gobo. Une succession de gobos incorporés les uns aux autres.

Ce beau Spot de 30 kg et de 80 cm de haut, bénéficie de fonctions attractives, avec en premier lieu le système de couleurs additives évoqué ci-dessus, un zoom de 18° à 54°, cinq gobos rotatifs accrocheurs, un strobe, un iris à vingt-cinq lames et une gestion de sa ventilation en mode standard, studio et sans-bruit.

Mais, pour vraiment parfaire son cursus théâtral, ETC l’a doté de fonctions inédites. Ainsi un système révolutionnaire de roue de gobo continue, appelé ani-gobo, qui consiste à utiliser une large roue métallique semblable à une roue d’animation, et d’y graver une fresque continue de six gobos se mélangeant les uns aux autres. Cela permet de changer de projection d’ambiance comme un plan séquence de cinéma. Allié à ce système, un vrai frost progressif de théâtre, reprenant les codes en vigueur avec l’utilisation de filtres similaires aux 114 et 119 Rosco, permettra d’adoucir les bords nets du faisceau.

Enfin, le système Whisper Home, est une autre grande innovation. Il permet aux Relevé de se calibrer au démarrage avec un minimum de déplacements, quasiment imperceptibles, et de garder constamment une position d’attente vers la scène. Encore plus pointu, le projecteur peut être programmé pour rester dirigé dans une zone scénique, et ne jamais venir éclairer les coulisses, les perches ou autres projecteurs.

Pour résumer en images, voici la vidéo officielle du Spot Relevé

Le Relevé Spot, riche de ces options, sans sacrifier à un trop-plein de technologie (pas de contrôle en Art-Net ou sACN par exemple, simplement en DMX compatible RDM), mais fort bien pensé (à l’instar des poignées en haut des bras) fut logiquement récompensé d’un PLASA Innovation Award il y a quelques jours à Londres :

“The Relevé is a moving LED light with some professional features at an attractive price. It was commended for its fast calibration and resetting as well as the modular nature of the electronics making it easy for non-technical people to maintain the fixture.”*

*“Le Relevé est un spot asservi à led, de prix serré, équipés de fonctions professionnelles. Il a été félicité pour sa calibration et réinitialisation ultrarapides et la modularité de son électronique qui facilite sa maintenance par du personnel peu qualifié.”

L’attente d’une gamme, suite à cette première mondiale, est dans toutes les têtes, et personne ne doute de l’arrivée prochaine de modèles Profile et Wash.

Relevé est distribué en France Par Avab Transtechnik et d’autres infos sur le site ETC

Scène de Nuit organise la Journée de l’évènement le 11 Octobre 2018

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Scène de Nuit, un des prestataires majeurs en Touraine, organise le 11 octobre 2018 la Journée de l’Événement avec le concours d’une vingtaine de partenaires :
Robert Juliat, d&b, Yamaha, APG, Midas, Arkaos, ASD, Ayrton, Black Magic, Christie, Fohhn, Amix, MA Lighting, Panasonic, RGB Link, Robe, Shure, Starway, Tesca, …

Sébastien Bargue, qui dirige Scène de Nuit depuis 2015, vous convie dans son agence de Tours à assister à des conférences sur des sujets techniques et juridiques d’actualité, des ateliers et la présentation des dernière nouveautés son lumière et vidéo des exposants participants avec lesquels il travaille régulièrement pour apporter à ses clients une offre plurielle, à l’image de l’entreprise.


Les six conférences

  • Dès 10h du matin, vous assisterez à la présentation du système cardioïde SL de d&b et du logiciel NoizCalc en parfaite corrélation avec le sujet suivant. 
  • 11h un point salutaire sur le nouveau décret 102 qui va être votre quotidien dès le 1er octobre 2018 avec Amix,
  • 14h30 vous découvrirez le pupitre lumière GrandMA3
  • 15h30 un focus sur l’Array Processing de d&b
  • 16h30 un non moins salutaire point de Philippe Abergel, Délégué Général du Synpase, sur les CDD et le juridique pour les organisateurs de spectacles
  • 17h30 Patrick Fromentin président du Synpase, conclura les conférences par un rappel sur la sécurité.

 

Les ateliers non-stop de 10 h à 18h

  • La présentation du système de poursuite semi automatisé  Spot Me de Robert Juliat avec François Juliat
  • Les nouvelles séries xS de d&b dédiée à l’installation avec Arnaud Gantier
  • Les nouvelles consoles dLive Allen & Heath
  • Les liaisons Axient Digital de Shure avec Arnaud Flatres
  • Les consoles numériques Midas avec Yann Matté
  • Les nouvelles technologies vidéo Panasonic avec Arnaud Le Baron
  • L’éclairage des musées et expositions par SPX Lighting avec Luc Royer
  • Vidéo & mapping avec Arkaos par Freevox
  • Les nouveautés de ETC
  • Les réseaux et distribution Artnet/DMX par ELC/Axente
  • Un focus sur les optiques et sources LED par Ayrton
  • Les nouvelles technologies lumière de Robe avec Jean-Philippe Fouilleul

Pour plus de précisions, contactez Scène de Nuit au +33 2 47 73 36 36 ou par l’adresse mail [email protected]

L’accès est libre sur inscription préalable en cliquant ici

Le lieu : Scène de Nuit : 3 Rue de la Sublainerie : 37510 Ballan Miré (Un catering est prévu entre 12 et 14h.)

Sennheiser entre en scène avec les in-ear IE40 Pro

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Sennheiser lance une nouvelle série d’écouteurs dynamiques de retour in-ear. 1er modèle proposé, le IE40 Pro sera commercialisé fin septembre. Début 2019, il sera rejoint par le IE 400 Pro et le modèle haut de gamme IE 500 PRO.
« L’IE 40 PRO est le premier modèle le plus accessible d’une nouvelle série d’écouteurs dynamiques in-ear professionnels au son fantastique », déclare Jannik Schentek, chef de produit Professional Audio chez Sennheiser.

Jannick Schentek

Lors de la phase de test sur le terrain, la reproduction du son de l’IE 40 PRO a stupéfait les ingénieurs et les groupes qui ont pu tester les prototypes. Ils se sont dit enchantés par la clarté de la reproduction naturelle, qui leur permet de mieux se connecter avec chaque membre du groupe et d’assurer le retour précis de leur performance. »

Parmi les premiers à l’avoir testé, Paul Di Leo qui joue de la basse avec la superstar allemande Nena. Paul a testé l’IE 40 PRO sur scène lors de sa tournée actuelle avec Nena : « Je suis un grand fan de Sennheiser dont j’utilise les produits en tournée depuis plusieurs années parce qu’ils sont réellement fiables. Pour moi, c’est ce qui compte le plus quand on se produit sur scène.

La tranquillité d’esprit ça n’a pas de prix ! Je viens d’avoir la chance de tester les écouteurs in-ear IE 40 PRO en live sur scène. Je n’ai pas été déçu par la qualité légendaire de Sennheiser.
Ces écouteurs offrent un son clair et puissant au chant comme aux instruments ; je les recommande vivement sur scène et en-dehors ! ».

Un audio naturel et détaillé qui permet de réduire la pression acoustique

Un transducteur Sennheiser de grande qualité se trouve au cœur de l’IE 40 PRO et délivre un son naturellement chaud, puissant et d’une grande clarté. La distorsion est à très bas niveau, à 0,1% à 1kHz et 94dB. Les basses et bas-médiums s’entendent et se ressentent ; un délice pour les bassistes, guitaristes et batteurs.

De puissants aimants néodymes assurent un maximum de punch avec un niveau de pression acoustique de 115dB. Ce son clair et naturel offre l’avantage supplémentaire de réduire le stress acoustique pour l’utilisateur, qui peut régler les récepteurs au niveau le plus bas.

Conception mécanique brevetée

A cette performance audio méticuleuse s’ajoute une conception mécanique soignée incluant un câble avec gaine incassable brevetée. La connexion se fait dans l’embout si bien qu’elle est protégée de l’usure liée à une utilisation intensive.

Le connecteur certainement plus robuste que les habituelles deux pinoches…

Pour protéger les utilisateurs des bruits de scène ambiants, les IE 40 PRO peuvent réduire le bruit ambiant jusqu’à 26dB.
Ceci est rendu possible par un choix d’embouts en silicone de trois tailles et un embout spécial en mousse à mémoire de forme qui vient épouser parfaitement le conduit auditif.
Comme la longueur du conduit d’une oreille humaine varie, la canule des écouteurs propose deux positions où attacher les embouts. Cette parfaite étanchéité offre l’avantage supplémentaire d’assurer une puissante reproduction des basses.

Les écouteurs IE 40 PRO seront disponibles en version noir et transparent à compter de fin septembre. Ils sont livrés avec un étui souple, un outil de nettoyage et des embouts en silicone en trois tailles (S, M, L) ainsi qu’une paire d’embouts à mémoire de forme, taille M.

Nous allons très rapidement écouter les IE 40 PRO, et dès le début de l’année prochaine les 400 et 500 et vous préparerons une synthèse.

Données techniques des écouteurs professionnels IE 40 PRO

  • Type de transducteur : dynamique
  • Réponse en fréquence : 20 – 18.000 Hz
  • Impédance : 20 ohms
  • Pression max : 115 dB (à 1 kHz, 1 Vrms)
  • Distorsion harmonique totale : < 0.1 % (à 1 kHz, 94 dB)
  • Atténuation des bruits : < 26 dB
  • Longueur de câble : 1,3 m
  • Poids (avec branchement et câble) : 18 g


Et d’autres informations sur le site Sennheiser

 

Avec Focusrite et le Plug-In Collective, découvrez Bias Amp2

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Les bons plans de rentrée sont de retour pour les nouveaux acheteurs et tous ceux qui ont enregistré leur interface audio Focusrite. Pendant deux mois et avec la collaboration de Positive Grid, vous pourrez télécharger gratuitement Bias Amp2 LE.

Du 6 septembre au 1er novembre 2018, Focusrite vous propose de bénéficier gratuitement du plug-in Bias Amp 2 LE de Positive Grid et de 20% de remise sur la version Bias Amp 2 complète du même éditeur. Pour cela, il suffit de s’enregistrer après avoir acheté une interface Focusrite ou, si vous l’avez déjà fait, d’aller dans votre espace personnel pour pouvoir le télécharger.

En vidéo, une idée de ce qu’offre la version complète de Bias Amp 2 :


Bias Amp 2 LE vous donne un avant-goût de Bias Amp 2 Elite, le « designer » d’ampli guitare phare de Positive Grid ! Bias Amp 2 constitue la fabrique d’amplis virtuels ultime, recréant de manière authentique le son des amplis à lampes, tout en vous permettant d’associer des composants pour créer votre modèle idéal. Bias Amp 2 représente une révolution dans le monde de l’ampli virtuel, fournissant les outils nécessaires pour que votre son de guitare puisse être accessible, que ce soit en studio ou sur scène.

Bias Amp 2 LE comprend :

  • 20 modèles d’amplis comprenant les produits de lancement, dont Clean, Blues, Crunch, Metal et Bass.
  • La possibilité de créer virtuellement un nombre illimité d’amplis avec un préampli entièrement personnalisable.
  • Disponible en version standard ou en plug-in audio (VST/AU/AAX)
  • 9 réverbérations riches et complètes.
  • Intégration transparente, avec Bias FX ouvrez et enregistrez vos modèles d’amplis dans votre fenêtre Bias FX.
  • Personnalisez l’apparence de votre ampli.
  • Customisez votre ampli en changeant le nom, le tolex, le panneau avant et les boutons.

Et d’autres informations sur le site Focusrite et sur le site Algam Entreprises

Le Shure France Audio Tour bientôt chez vous

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Shure lance du 1er au 19 octobre 2018 le Shure France Audio Tour, la meilleure manière pour les prestataires, intégrateurs, ingénieurs du son, consultants, managers AV et utilisateurs finaux de se former sur les nouveaux produits de la marque une journée durant.

La tournée Shure France Audio Tour s’inscrit dans le cadre d’une campagne européenne ayant pour but la présentation et la formation sur les nouveaux produits de la marque américaine, avec le support d’Algam.
Quatre villes ont été choisies et accueilleront à chaque fois deux événements distincts, le premier dédié à l’audio pro et le second à l’intégration. Chaque formation, gratuite et sur inscription, durera une journée entière entre 9h et 17h. Le déjeuner est prévu.


Les journées audio pro se tiendront à :

  • Lille, le 1er octobre, hôtel Crowne Plaza Euralille
  • Paris, le 4 octobre, hôtel Hyatt Paris Etoile
  • Lyon, le 15 octobre, hôtel Marriott Cité Internationale
  • Strasbourg, le 18 octobre, Strasbourg, hôtel Mercure Palais des Congrès
  • D’autres villes sont prévues au printemps 2019
Le système Axient Digital.

Les présentations audio pro couvriront les domaines suivants :

  • Technologie HF : les principes physiques et comment mettre en œuvre un système sécurisé et fiable.
  • Changements récents dans les allocations du spectre des fréquences : ce que vous devez savoir et pouvez faire pour limiter les risques.
  • Formation au logiciel Wireless Workbench 6 : comment scanner l’environnement HF, coordonner les fréquences et surveiller les systèmes pendant une prestation.
  • Les participants pourront découvrir aussi les solutions sans fil de Shure dont : Axient Digital, ULX-D, QLX-D et GLX-D.

Demande d’inscription des journées audio pro sur le site Shure


Les journées intégration se tiendront à :

  • Lille, le 2 octobre, hôtel Crowne Plaza Euralille
  • Paris, le 5 octobre, hôtel Hyatt Paris Etoile
  • Lyon, le 16 octobre, hôtel Marriott Cité Internationale
  • Strasbourg, 19 octobre, Strasbourg, hôtel Mercure Palais des Congrès
  • D’autres villes sont prévues au printemps 2019
Le système MCS. Microflex Complete Wireless

Au Programme :

  • Découvrez comment les produits intégration de Shure peuvent améliorer la rentabilité via un gain en productivité, en collaboration et en bien être des équipes.
  • Comprenez les applications, bénéfices et usages des différentes technologies microphoniques de manière à sélectionner les meilleures solutions possibles.
  • Apprenez comment installer et exploiter la gamme Shure Microflex et les solutions DSP dans des salles de conseil, salles de conférence et dans tout type d’espace de travail collaboratif.
  • Gagnez en compréhension globale des standards IT communément rencontrés dans les réseaux audio numériques d’aujourd’hui.

Demande d’inscription des journées intégration sur le site Shure


Après l’envoi de votre demande d’inscription, des information complémentaires vous seront communiquées.

Journée technique ESL Paris, le 3 octobre

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L’agence ESL Paris, vous invite à découvrir les nouveautés de son catalogue à l’occasion d’une journée technique, organisée le 3 octobre dans ses locaux du Plessis Robinson. Convivialité assurée.
De 11 h à 23 h vous pourrez découvrir et essayer les nouveaux produits en situation dans le showroom et en profiter pour partager vos projets avec l’équipe qui vous aidera à trouver les solutions les mieux adaptées…

L’équipe ESL Paris : Entre Marc Pioger à gauche et Franck Veber à droite, leur assistante Emmanuelle Neau.

Focus particulier sur les produits star

Trois nouveaux produits du catalogue s’inscrivent particulièrement dans la tendance 2018 répondant aux attentes des prestataires de service.

  • C’est le cas du logiciel de poursuite Follow Me jouant l’interface entre l’utilisateur et les projecteurs.
  • C’est le cas aussi de la DTS Synergy, lyre spot à source led blanche de 420 W, équipée d’un module de couteaux, trichromie, zoom, gobos, prismes iris, frost…
  • Et du Whash à leds RGBW Prolights Panorama IP WBX classé IP 65 pour résister en extérieur aux contraintes climatiques.
Le grand showroom ESL Paris réservé à l’éclairage scénique

Toutes les marques seront représentées en démo par solutions

  • L’éclairage scénique et événementiel par DTS, Chroma-Q, Prolights, Antari,
  • Le contrôle proposé par Artistic Licence, LSC, Madrix, Visual Production, Wysiwyg,
  • L’éclairage architectural avec CLS, Madrix, Prolights Soraa, Enttec,
  • Le textile et la machinerie : textiles scéniques, patiences, levage assurés par ESL, EXE Technology et Milos
  • La vidéo et les média serveurs : Madrix et Green Hippo,

Et le petit showroom dédié à la vidéo et aux média serveurs.

Et bien sûr me précise Marc Pioger avec humour, comme les nourritures de l’esprit ne suffiront pas, un buffet est prévu tout au long de la journée.
L’entrée de cette journée technique est libre. Il suffit de s’inscrire sur le site ESL

Master Class RME & Audio-Technica chez Near Deaf Equipement le jeudi 27 Septembre à partir de 14h

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La masterclass RME & Audio-Technica fait sa rentrée chez Near Deaf Equipement et vous donne rendez-vous à partir de 14h, le jeudi 27 Septembre.
Bertrand Allaume, chef produit Audio-Technica et spécialiste RME, présentera différents cas concrets de configurations pour découvrir toutes les solutions studio et techniques de prise de son.

Coordonnées : Keruzaouen keravel, 29620 Saint Jean Du Doigt – Tel : 06 33 68 76 77

Retrouvez les détails de cette Masterclass en ligne sur

Follow-Me, une nouvelle approche de la poursuite

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Aperçu global d’un poste de travail Follow-Me : un Mac, une souris 3D et quelques contrôleurs.

A l’heure du numérique et de la digitalisation, les constructeurs ne cessent de rivaliser d’innovations dans les métiers du spectacle. Ces derniers mois, ont vu naître de nouveaux systèmes de poursuite intelligents. Chaque marque souhaitant tirer son épingle du jeu, Follow-Me mise sur l’hyper-flexibilité et la puissance de son interface très travaillée.

Le principe fondamental de cet outil est simple : un logiciel (tournant exclusivement sur Mac OS) joue le rôle d’interface entre des projecteurs et l’utilisateur. Après avoir renseigné le programme avec les caractéristiques de la scène ou plus généralement de l’espace à exploiter intégrant le positionnement des machines, installé une caméra en hauteur et connecté une souris 3D, Follow-Me se charge de transformer nos asservis en poursuites automatisées.

Le système se pilote par une console lumière, qui peut contrôler en temps réel les paramètres que l’on  souhaite déléguer au logiciel. Follow-Me peut n’avoir à gérer que les canaux de pan/tilt ou prendre le contrôle de tous les paramètres d’une machine ou d’un groupe de machines. La version étendue du système permet de suivre jusqu’à 10 cibles et de configurer un nombre illimité de projecteurs asservis.

Détails sur l’une des caméras du système, qui devient alors l’œil du poursuiteur.

Le pilotage manuel via une souris (de préférence 3D) est extrêmement travaillé pour permettre à l’opérateur de gérer les mouvements avec précision tout en appliquant une inertie mesurée.
Autre exemple probant de la puissance de calcul, le logiciel peut gérer les zooms, focus et iris avec précision pour conserver un degré d’ouverture constant malgré les changements de profondeur.

L’utilisation d’une caméra infrarouge décuple les capacités du programme, permettant de suivre automatiquement des artistes ou objets équipés d’une simple LED qui émet une longueur d’onde non visible à l’œil.
De petites interfaces dédiées et configurables à volonté sont également disponibles depuis cette année. Preuve du potentiel de ce système, Follow-Me est déjà utilisé sur de nombreux concerts et tournées tels que Radiohead, The XX, Fall Out Boys, Katy Perry, Cher, Pink, Stereophonics, Justin Timberlake.

Follow-Me sur Rock en Seine avec Concept K

Le système ayant été utilisé sur Rock en Scène par l’équipe de Concept K, nous avons appelé Aldo, histoire d’en savoir un peu plus sur l’outil et d’avoir son avis. Frédéric “Aldo” Fayard est dirigeant de Concept K et Lighting Designer de toutes les scènes du festival équipées en lumière par Dushow.

La caméra accrochée au pont de face assure la visualisation à distance.

Frédéric “Aldo” Fayard : “Pour revenir à la genèse, c’est Jean-Marc Jolivet d’ESL qui m’a proposé d’essayer le système Follow-Me sur Rock En Scène. Ca m’a paru une bonne idée et avec l’accord de Xavier Demay de Dushow, j’ai choisi de l’essayer sur la petite scène N°4. Cette scène présentait le double avantage d’accueillir des éclairagistes mais aussi des groupes sans éclairagistes ce qui nous a permis à la fois de proposer le système à des lighteux et à la fois de l’utiliser nous-mêmes pour faire le tour de la question.

Concept K ayant aussi fourni les opérateurs d’accueil, j’avais sur la scène 4 un jeune geek de 18 ans et Loïc Marafini, qui a plus de 10 ans d’expérience. Ca permettait d’avoir deux avis de gens très différents sur le produit.

Deux interfaces sont ici utilisées chacune par un opérateur, on reconnait Aldo à droite. Ils visualisent la scène sur le même écran.

J’ai eu une bonne préhension de l’outil. Il est assez convivial, il se met assez vite en place. On avait avec nous Dirk de Follow-Me qui est venu le premier jour pour faire le calibrage. Ca s’est fait assez vite et assez bien.
Il y a dans le système une petite caméra qui se fixe sur le pont de face. Elle permet de voir ce que l’on fait et c’est aussi une aide à la calibration et au suivi. On utilise un jog shuttle pour le suivi. Je dois dire que manipuler ce jog demande un peu d’apprentissage au début. Ensuite on a découvert la souris, une simple souris et c’était plus facile.

Selon le nombre de machines que l’on patche dans le système, et qui sont patchées aussi dans la console, on peut récupérer tout ou partie des machines et ce qui est très intéressant.
Le système que l’on a essayé pouvait gérer jusqu’à 4 poursuiteurs différents. Nous avions deux poursuiteurs, Marc Pioger (ESL Paris) qui s’est transformé en opérateur Follow-Me pour l’occasion et un opérateur Concept K.
On arrivait ainsi à suivre deux artistes sur scène avec 3 projecteurs chacun. Et c’est là que ça commence à devenir intéressant.

Après avoir constaté que le système faisait bien le job de poursuite on a cherché à faire des choses intéressantes au niveau du rendu et infaisables en programmation. On a suivi les leads avec du contre histoire d’essayer de tordre le cou au système. Tu places 3 machines sur un artiste et 3 machines sur un autre, tu les suis et du coup ça donne un résultat plutôt pas mal.”

Follow-Me sera en démonstration le 3 octobre prochain lors d’une journée technique organisée par l’équipe d’ESL Paris dans leurs locaux situés au Plessis-Robinson. Inscrivez-vous ici

Le logiciel Follow-Me, distribué par ESL, est proposé à 14 700 € HT en version étendue et 4 270 € HT en version “Lite”.

Retrouvez plus d’informations sur le site ESL et sur le site Follow-Me

 

Les Tutos Days de LA BS, les 26 septembre et 19 octobre

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La BS organise deux journées de formation dans ses locaux du 13e à Paris. Le 26 septembre il sera question du DMX512 filaire et sans fil. Le 19 octobre sera consacré à la découverte des consoles lumière Infinity Chimp.

LE DMX512, filaire ou non ?

Le 26 septembre, Bruno Souchaud, chef produits et spécialiste lumière de La BS retracera l’historique du signal DMX512, tant en version filaire que HF.
Il détaillera le large éventail des maillons de la chaîne DMX512, leurs possibles problèmes ou dysfonctionnements et les meilleurs outils à utiliser pour fiabiliser vos réseaux.
A l’issue de cette intervention, une phase questions /réponses vous permettra d’exposer des problèmes et d’obtenir des solutions.

Trois sessions sont organisées dans la journée : De 10 h 00 à 11 h 30 – De 14 h 00 à 15 h 30 – De 16 h 00 à 17 h 30


Les consoles lumière Infinity CHIMP

Le 19 octobre, Simon Maignial, responsable commercial de Highlite France Nord, fera une présentation des modèles CHIMP300 (à écran tactile 22’’ intégré) et Tour Pack de cette gamme innovante et dotée d’un excellent rapport qualité/prix, et facile à prendre en main.

A l’issue de cette intervention, une phase de questions/réponses permettra de satisfaire vos interrogations.

Là encore, trois sessions sont organisées dans la journée : De 10 h 00 à 11 h 30 – De 14 h 00 à 15 h 30 – De 16 h 00 à 17 h 30


Un tirage au sort clôturera chaque session, de chaque journée avec goodies à la clé. Ces formations gratuites se feront à La BS, 17 rue Vergniaud – 75013 Paris.

Pour y assister, inscrivez-vous sur le site LA BS

 

MF Audio et RégieTek se regroupent. Saison 1

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RégieTek et MF Audio ont décidé d’associer leurs forces et leurs compétences en se regroupant dans de nouveaux locaux de 3 500 m2 situés à Gonesse (95).

MF Audio, qui fêtera ses 20 ans cette année, et RégieTek qui vient tout juste de célébrer ses 15 ans, vont mettre leurs 35 années d’expérience en commun pour proposer un service de prestation technique toujours plus performant et réactif.
Leurs spécialisations et leurs renommées cumulées vont ainsi former un pôle de compétences doté d’un parc de diffusion (Adamson, Coda Audio) de régies (DiGiCo, Midas, Yamaha, Avid, Soundcraft), de HF et ears-monitors (Axient, Axient Digital, PSM1000, PSM900)… unique en île de France.

Selon Cédric Duminy de RégieTek : « Lorsque l’on observe les changements qui ont lieu dans notre secteur, les rachats de groupes par des groupes et les mastodontes étrangers qui pointent leurs crocs, il nous est paru évident de regrouper nos entités à taille humaine, spécialisées et complémentaires, pour proposer une nouvelle offre dédiée au Live qui est l’ADN des deux sociétés. Comme tout le monde le sait, 1+1 = 3, et en vrai, je dirais même que ça peut faire plus dans certains cas 🙂 »

Sébastien Fleury de MF Audio : « Le savoir-faire de MF Audio en matière de design et de diffusion sonore, allié à celui de RégieTek en matière de régies de tournées présente un potentiel qui va au-delà de nos capacités respectives. Nous sommes des artisans, capables de gérer un stade, une aréna aussi bien qu’accompagner un petit théâtre dans ses choix techniques, et nous gardons cette envie du travail bien fait, sur mesure, à l’écoute de nos clients. »

Régis Casu de RégieTek : « Au-delà de notre amitié respective, et du profond respect que nous avons l’un pour l’autre, cette association nous permet de nous différencier et de proposer un parc de consoles et de systèmes de diffusion plus que conséquent, tout en perfectionnant la maîtrise des technologies que nous utilisons »

RégieTek et MF Audio mettent également leur parc lumière, vidéo, structure, levage, électricité et leurs moyens logistiques en commun pour renforcer leur offre « clé en main » de prestation technique.    « Nous n’avons qu’une seule et même ambition : mutualiser notre expertise et nos expériences pour apporter des solutions techniques innovantes et compétitives. »

Plus d’infos sur le site RégiTeK et sur le site MF Audio