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Soirée Hog chez ETC France le 19 mai

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ETC vous invite à partager un moment de convivialité autour d’un verre, dans ses locaux de Saint-Denis le 19 mai, à partir de 18 h. Tout le monde est convié, directeurs de sociétés de prestation, techniciens, pupitreurs et éclairagistes…

Il n’y aura ni présentation officielle, ni show de démonstration, simplement des discussions informelles avec l’équipe, si vous avez des questions à poser sur le pupitre HOG et les nouveaux projecteurs High End Systems, le scanner Cyberlight LED et le profile Lonestar.

Les conditions sanitaires le permettant, ETC France en profite pour renouer avec les After Work pour passer de bons moments avec ses utilisateurs et clients.

ETC France, 6 boulevard de la Libération, Zone Urbaparc – Bât E, 93200 Saint-Denis

 

Le PANTHER de Meyer pour la tournée de Ed Sheeran

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Plus de 80 000 fans irlandais ont poussé des cris de joie lorsque les premiers accords de « Tides » ont ouvert chacun des deux shows d’Ed Sheeran fin avril au Croke Park Stadium de Dublin. Même si tous savaient que ces spectacles étaient les premiers de la série « + – = ÷ x », peu de personnes en dehors de l’équipe de production savaient que c’était aussi la première mondiale de la nouvelle enceinte line array grand format PANTHER de Meyer Sound.

Fourni par le prestataire britannique Major Tom, Ltd. et accroché à un ensemble de mâts reliés par un ensemble complexe de câbles, le système consiste en 212 enceintes PANTHER. Les concerts de Dublin ont également été les premiers à bénéficier d’un réseau complet AVB Milan, du mixage FOH jusqu’aux enceintes.

Bien que le système en PANTHER soit considérablement plus petit, léger et économe en énergie que le LEO de la tournée précédente de Sheeran, tous les membres de l’équipe de production audio étaient convaincus que cette nouvelle boîte donnerait des résultats équivalents. Cependant, selon le directeur de production et ingénieur FOH Chris Marsh, les débuts à Dublin montrent que leurs attentes étaient peut-être trop frileuses.

Une des lignes de PANTHER constituée d’un mix de modèles L pour long throw, M pour main et W pour wide.

« L’un des principaux critères pour les tournées depuis que nous avons commencé il y a 11 ans est qu’Ed doit être entendu fort et clair à chaque siège de la salle », déclare Marsh. « J’ai toujours été impressionné par la façon dont les lignes de LEO peuvent apporter ce sentiment d’intimité même aux derniers rangs des stades.
Et à cet égard, j’ai été surpris de voir comment PANTHER, une boîte plus légère et plus petite, pouvait en faire autant. J’ai réussi à me promener un peu pendant les premières parties, et j’ai tout de suite remarqué la clarté remarquable même aux sièges les plus éloignés. »

Chris Marsh

Marsh continue : « La clarté est généralement perçue en termes de qualité dans le haut du spectre et de rendu analytique, mais PANTHER est également très précis dans le bas médium, ce qui n’est pas toujours le cas au lointain. Tout est présent et détaillé, y compris les nuances subtiles comme les fins de réverbération, qui se perdent souvent avec la distance. »

Pour les shows de Croke Park, le système a consisté en 14 lignes de PANTHER réparties sur deux anneaux. Les six array intérieurs comprenaient chacun 10 boîtes à longue portée « L » et deux des versions principales « M ».
Les huit arrays extérieurs comprenaient 10 « L », deux « M » et enfin deux versions « W » à large couverture. Les trois guides d’ondes permettent aux concepteurs système d’adapter la dispersion pour obtenir des niveaux et une réponse en fréquence uniformes à différentes distances.

Le complément de grave était fourni par six lignes de 1100-LFC, chacune disposant de 10 subs en montage directif. Enfin, 20 LEOPARD® ont été placés autour de la scène circulaire pour couvrir l’avant-scène, les basses étant fournies par six groupes de trois 1100-LFC en montage cardio.

Mixer les shows avec sa Quantum 7 « a été une expérience remarquable », déclare Marsh. « Avec LEO, j’avais l’impression que tout était bien en place dans le mix, avec un grand espace ouvert. Mais maintenant, je sens que PANTHER me donne encore plus d’espace, une toile encore plus grande sur laquelle peindre. »

Chris Marsh, Directeur de production et mixeur avec à ses côtés Charlie Albin, Ingé Système.

La plateforme réseau primaire certifiée Milan GALAXY 816 à la face se connecte à un réseau Milan End Point (MEP), configuré en étoile, qui se compose d’un GALAXY™ 816, de trois GALAXY 408 et de 20 commutateurs Luminex Gigacore 26i.

En tant que sauvegarde, les entrées analogiques toujours actives étaient connectées via un réseau Milan redondant primaire et secondaire avec des unités GALAXY dédiées.

Le système a été conçu en collaboration avec Bob McCarthy, directeur de l’optimisation des systèmes de Meyer Sound, avec l’aide sur place de Josh Dorn-Fehrmann, spécialiste principal du support technique. Charlie Albin, ingénieur système audio chevronné, s’occupe quant à lui du calage, du réglage et du contrôle du système pour chaque show.

Les avantages de PANTHER portent également sur l’efficacité et la durabilité de la tournée, selon Marsh. « Avec leur système d’accroche, les 14 lignes montent et descendent très rapidement. De plus, nous prenons beaucoup moins de place que si nous utilisions d’autres systèmes.
L’ensemble du système audio tient dans seulement trois camions, ce que nous ne pourrions pas faire avec du LEO ou probablement avec tout autre système. Enfin et bien que je n’aie pas encore les données précises, je suis sûr que la consommation d’énergie est bien inférieure à celle de notre précédente tournée. »

La tournée d’Ed Sheeran  » + – = ÷ x  » ( » Mathematics « ) Tour est actuellement sur la route jusqu’au 12 mars 2023, avec 54 spectacles en Europe dont deux au Stade de France les 29 et 30 juillet.
Elle fait suite à la tournée 2017-2019 « ÷ » (« Divide ») Tour, qui détient actuellement les records de Pollstar pour les recettes brutes et le nombre de spectateurs.

D’autres informations sur le site Meyer Sound et sur le site Best Audio

 

Sennheiser lance le système in-ear XS Wireless IEM

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XS Wireless IEM (ou XSW IEM) est un système in-ear très abordable, ultra simple, flexible et fiable qui permet d’établir rapidement une connexion sans fil facile à gérer dans la plage UHF.

« En répétition comme sur scène, le système XSW IEM permet au musicien de se déplacer librement tout en donnant plus d’amplitude au son quel que soit le genre de musique », déclare Bertram Zimmermann, responsable produit chez Sennheiser. « La qualité du retour a un réel impact sur la performance avec les garanties de qualité de son et de fiabilité du système XSW IEM. »
La prise en main simple et rapide des systèmes XS Wireless IEM ne requiert aucune expertise technique. Et en désencombrant la scène, ils contribuent à libérer de l’espace sur scène et en studio.

Un kit complet pour démarrer dans les meilleures conditions

Les systèmes XSW IEM offrent une connexion sans fil professionnelle dans la plage UHF avec des préréglages de fréquences prêts à être sélectionnés. Il est également possible de choisir manuellement les fréquences de transmission.
Les témoins rétroéclairés sur le récepteur de poche et l’émetteur aident à vérifier les réglages même en situation de faible luminosité. Un limiteur est fourni pour protéger l’ouïe de l’utilisateur et un booster hautes fréquences pour plus de détail et d’intelligibilité.

Pour le retour son, il est possible de choisir entre un mix mono (un mix, avec réglage du volume pour l’oreille gauche et l’oreille droite) ou stéréo, avec alors deux options :
avec le mode Focus désactivé, le volume gauche/droite est ajusté ;
en mode Focus, l’utilisateur choisit l’un des deux signaux d’entrée dont le volume sera monté, avec à la clé un mix mono personnel spécifiquement adapté aux besoins du musicien.
Un capteur infrarouge permet la synchronisation de plusieurs récepteurs de poche avec un émetteur.

Détail de l’offre

Le kit XSW IEM inclut un récepteur de poche stéréo avec intra-auriculaires et batteries, plus un émetteur stéréo avec antenne, kit de montage et alimentation avec plusieurs adaptateurs selon le pays. Quand on démarre, un émetteur avec plusieurs récepteurs de poche donne d’excellents résultats pour un prix très avantageux. Et si les musiciens ressentent à un moment le besoin de mix plus individuels, ils pourront ajouter un émetteur IEM.

Le système XSW IEM est disponible au prix de vente recommandé de 599 euros (MSRP). Les récepteurs et émetteurs supplémentaires sont vendus 349 euros l’unité.

Le système XSW IEM est disponible dans cinq plages de fréquences UHF, communes avec les micros sans fil et pour instrument XSW

Caractéristiques techniques

Émetteur stéréo XSW IEM SR

– Modulation : stéréo FM
– Plages de fréquences et puissance HF max. :
A : 476 – 500 MHz (30 mW)
B : 572 – 596 MHz (30 mW)
C : 662 – 686 MHz (30 mW)
E : 823.2 – 831.8 MHz (30 mW)
K : 925.2 – 937.3 MHz (10 mW)
– Largeur de bande : jusqu’à 24 MHz
– Réponse fréquence AF : 45 Hz à 15 kHz
– Entrées audio : 2x XLR-3 / jack ¼“ (6,3 mm), symétriques
– Distorsion harmonique totale : <0.9 %
– Rapport signal-bruit : ≥88 dB
– Plage de températures : 0 °C à +40 °C
– Tension entrée : +12 V DC
– Consommation : env. 400mA (selon le volume)
– Dimensions : env. 200 x 128 x 42 mm
– Poids : env. 700 g


Récepteur stéréo XSW IEM EK

– Largeur de bande : jusqu’à 24 MHz
– Rapport signal-bruit (déviation maximale 1 mV) : ≥88 dB
– Distorsion harmonique totale : ≤1 %
– Puissance AF à 3.5 mm : 2 x 1.25 Vrms à 16 ohms
– Boost HF (EQ) : +10 dB à 13 kHz
– Limiteur : -10 dB
– Réponse fréquence AF : 45 Hz à 15 kHz
– Plage de température : 0 °C à +40 °C
– Alimentation : 2 batteries AA, 1.5 V
– Autonomie : env. 6 hr (selon le volume)
– Dimensions : env. 95 x 70 x 26 mm
– Poids (avec batteries) : env. 110 g


Intra-auriculaires IE 4

– Transducteur : dynamique
– Réponse en fréquence : 40-20.000 Hz
– SPL (1 kHz, 1 mW) : 106 dB
– Impédance nominale : 6 ohms
– Longueur de câble : 1,4 m
– Connectique : fiche stéréo 3,5 mm (1/8”), plaquée or
– Température : –5 °C à +50 °C


D’autres informations sur le site Sennheiser

 

France Télévision éclaire son nouveau studio virtuel avec ETC

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ETC fos/4 panel

France Télévisions de Vendargues s’agrandit avec un nouveau plateau fond vert de 600 m2 qui permettra de tourner des scènes dans un décor virtuel en temps réel. Il est éclairé par 46 projecteurs fos/4 panel ETC.

L’exploitation de ces studios situés près de Montpellier a débuté en 2018 avec la série quotidienne “Un si grand soleil“diffusée en avant prime time sur France 2, qui réunit chaque soir entre 3 et 4 millions de téléspectateurs. Après 3 saisons réussies, le lieu de tournage géré par france.tv studio et la Fabrique France Télévisions s’agrandit pour produire d’autres œuvres de fiction destinées aux chaînes du groupe et à des productions externes comme des longs métrages.

Le nouveau studio de France Télévision à Vendargues

En plus des actuels studios A et B de 1100 m2 chacun, un studio C de la même taille est en cours de finalisation tandis qu’un studio D, livré en décembre 2021, est dédié à la production virtuelle. Il permet de tourner en temps réel des scènes qui exploitent des décors numériques, affranchissant des nombreuses contraintes liées aux décors physiques.
C’est sur ce plateau que les 46 fos/4 panels viennent d’être installés, tous fournis par Texen, distributeur ETC dans le sud-est de la France, aidé par Alterlite, un autre distributeur ETC en île de France. Si l’éclairage d’un fond vert est un exercice périlleux, le challenge prend une autre dimension quand il s’agit de temps réel. Ici, la caméra équipée du StarTracker, un dispositif de tracking

Mo-Sys de dernière génération, filme les acteurs sur le fond vert et les intègre en direct dans les décors virtuels générés par le moteur Unreal Engine. L’incrustation ne passe donc pas par la case “postproduction“ et le fond vert n’a donc pas le droit à l’erreur. Il doit être irréprochable pour que le résultat obtenu sur le plateau soit exploitable comme s’il avait été tourné dans un décor physique.

Pour y parvenir, l’équipe technique des studios a effectué plusieurs essais de sources lumière. Texen qui assure déjà la maintenance des projecteurs du studio a profité de cette phase de tests pour présenter les fos/4 panels. « Nous connaissions le niveau d’exigence de l’équipe technique, explique Nicolas Bellino, responsable de l’agence Texen de Vendargues. Avec le système LED à 8 couleurs, le projecteur a un spectre extrêmement riche. C’est un argument de taille quand il s’agit d’éclairer les acteurs pour obtenir de belles teintes de peau. Cette qualité de lumière est un atout pour répondre aux contraintes de rendu de ce fond vert. »

Le nouveau studio de France Télévision à Vendargues

Philippe Malleck, responsable lumière des studios a adopté sans hésitation cette proposition après différentes comparaisons avec d’autres types de projecteurs. « La surface de projection est vraiment uniforme. Avec le spectre très riche des fos/4 panels, nous bénéficions d’un confort d’exploitation. On le voit à l’oscilloscope où la courbe de vert se détache bien de celles de rouge et de bleu, permettant à l’outil d’incrustation de bien détacher ce qui doit être supprimé. Pendant longtemps, les projecteurs LED n’étaient pas assez qualitatifs pour arriver à rivaliser avec les sources traditionnelles mais c’est maintenant le cas. »

En effet, la nouvelle matrice LED développée par ETC joue un rôle fondamental dans le flux lumineux capté par la caméra. Aux mesures, les fos/4 panels équipés de la dalle LustrX8 (c’est-à-dire un mélange de 8 teintes de leds : rouge, rouge profond, ambre, vert, vert citron, cyan, bleu, indigo) couvrent 94 % de l’espace colorimétrique REC. 2020 (la nouvelle recommandation utilisée dans l’audiovisuel pour l’ultra haute définition) quand les panneaux RGBAM (rouge, vert, bleu, ambre, vert menthe) ne dépassent pas 87 %.

fos/4 est la toute première gamme de projecteurs ETC spécifiquement conçue pour la production audiovisuelle. Pour développer ces nouveaux produits, 3 années de Recherche et Développement ont été nécessaires avec la création d’un nouveau groupe nommé ARG (Advanced Research Group) dont la première mission a été de comprendre ce qui ferait la meilleure lumière pour les caméras.

Cette nouvelle matrice ajoute une LED Deep Red (Rouge Profond) aux 7 teintes de leds qui équipaient déjà les découpes Source Four LED. Grâce à la Deep Red, la matrice LustrX8 apporte une richesse au spectre en améliorant les tons chair et en donnant une nouvelle profondeur aux bleus, verts et ambres, satisfaisant les chefs opérateurs les plus exigeants. Une autre version de dalle est également disponible, la Daylight HDR pour les applications qui ne nécessitent de travailler qu’en blanc variable.

Le nouveau studio de France Télévision à Vendargues

La gamme fos/4 se compose de 3 tailles de projecteurs de type panneaux, les fos/4 panels 8 pouces, 16 pouces et 24 pouces, et d’un Fresnel avec une optique de 7 pouces (qui sera bientôt rejoint par deux autres modèles, avec des ouvertures de 5 et 10 pouces). L’équipe technique du studio a choisi ici la version 8 pouces, le plus petit modèle.
Car si le modèle de 24 pouces produit un flux de 62 000 lumens en sortie, qui peut être très utile en extérieur, mieux valait ici privilégier la multiplication des sources pour une meilleure homogénéité de la lumière. « Les panneaux 8 pouces sont bien assez lumineux, ils ne jouent d’ailleurs souvent qu’au tiers de leur puissance nominale, commente Philippe Malleck. »

Pendant les essais, Nicolas de Texen était accompagné de Philippe Roy, coordinateur de projets terrain chez ETC. « C’est très agréable de savoir que la marque travaille avec ses partenaires et accompagne le déploiement du produit sur site pour répondre à nos demandes spécifiques, poursuit Philippe Malleck. On voit qu’ils maîtrisent la technologie LED. Les projecteurs RVB qui éclairent nos anciens fonds verts étaient déjà satisfaisants, mais le rendu des fos/4 panel est incomparable. »

Et si la qualité de rendu est importante pour Philippe, la qualité de fabrication et le support technique le sont tout autant pour Jean-Paul Fauré, directeur de production du site. « Nous avons 260 jours de tournages/an, avec plus de 3 équipes par jour, soit près de 1000 tournages par an. On ne peut pas se permettre d’arrêter le studio à cause de problèmes techniques. Avoir un produit de qualité et un bon accompagnement de Texen sont des critères rassurants. »

Les fos/4 panels, entièrement fabriqués sur les chaînes de production de la marque aux États-Unis ont donc répondu à ce critère, tout comme le support technique de la marque, disponible 365 jours par an, 24 heures sur 24.
Les projecteurs devaient également s’attirer les faveurs de l’équipe des effets spéciaux qui vont exploiter le studio. Il s’agit de la société Les tontons truqueurs, pionnière dans le domaine des VFX on set, au capital de laquelle france.tv studio est récemment entré.

Le nouveau studio de France Télévision à Vendargues

Les tontons truqueurs exploitent déjà la technologie de prévisualisation du résultat sur le plateau. Dans les studios A et B, les décors physiques sont entourés de fonds verts, permettant aux techniciens des effets spéciaux de traiter les extérieurs (fenêtres) et les prolongations de décors (couloirs) de manière virtuelle. Cela offre également la possibilité de faire varier la saison, la météo et l’heure du jour d’un clic de souris, allégeant énormément les contraintes du tournage.

L’équipe VFX devait donc valider les propositions de l’équipe lumière. Le fos/4 panel n’a pas eu de difficulté à passer ces tests, comme nous l’explique Pierre-Marie Boyé, directeur de production de la société Les Tontons Truqueurs. « Ce sont des outils extrêmement précieux car pilotables assez facilement. Sans ces panels, nous n’aurions pas des fonds verts aussi propres. J’ai fait venir plusieurs collègues d’autres entreprises de VFX et ils sont impressionnés. Ils ont rarement vu un fond vert aussi étale et aussi riche. »

Dans le studio D, le rapport entre réel et virtuel se trouve inversé. Tout le décor est virtuel et l’équipe vient simplement intégrer quelques éléments de décors pour créer des zones d’interaction avec les acteurs, comme une porte ou une fenêtre qu’ils vont ouvrir. Il y a alors un véritable travail du chef opérateur pour faire correspondre les sources lumineuses du plateau aux sources lumineuses présentes dans le décor virtuel créé sur Unreal.

Pour mettre en place ces décors virtuels, les VFX travaillent main dans la main avec les équipes des décors pour faire font correspondre les éléments physiques aux décors virtuels. Les aménagements du site sur 16 000 m2 au total comportent justement tout le nécessaire, puisque le bâtiment abrite aussi une menuiserie, une serrurerie, un atelier de peinture et un large stock d’accessoires et de mobiliers.
Le site France Télévisions de Vendargues est un magnifique outil au service de la fiction, à la pointe de la technologie, qui voit maintenant sa surface de tournage doublée et qui intégrera très bientôt d’autres aménagements comme un espace postproduction de 600 m² avec de nombreux monteurs sur site. L’évolution de ce lieu est constante et l’équipe lumière de Philippe Malleck pleinement satisfaite des fos/4 panel ETC.



Plus d’infos relatives à la gamme fos/4 panel sur le site ETC

 

LD Systems présente MAILA au PL+S 2022

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MAILA n’est pas un “seul“ produit, mais un système de sonorisation évolutif qui établit de nouvelles normes en matière de praticité et flexibilité sur le marché de la location professionnelle.
MAILA repose sur quatre éléments de base : le module satellite MAILA SAT, le module colonne MAILA COL, le module amplificateur MAILA SPA et le caisson de basses MAILA SUB.

Avec ces éléments, MAILA permet des configurations de système évolutives et flexibles pour une multitude d’applications : de la sonorisation vocale stéréo précise sans caisson de basses, en passant par les grandes conférences et les concerts en club, jusqu’au système de type line array suspendu pour la sonorisation professionnelle en live lors de festivals avec une exploitation variable des caissons de basses au sol.

Outre la flexibilité du système, MAILA convainc par ses caractéristiques et technologies qui simplifient sensiblement la vie de tout technicien du son. Ainsi, SmartLink+® permet la connexion sans fil apparent (alimentation + signal) ainsi que la reconnaissance automatique des différents modules via des rails robustes en aluminium.
Les antennes sans fil LogoLink® intégrées de manière invisible offrent, quant à elles, une connexion avec une portée allant jusqu’à 30 mètres dans des conditions réelles.

MAILA app

L’application gratuite MAILA App (iPadOS) permet en outre de configurer chaque système MAILA de manière rapide, simple et détaillée – y compris le calcul des angles SAT et les mises à jour du système sans fil.

Le mécanisme breveté EasySplay®, de MAILA permet aux utilisateur de régler très simplement l’inclinaison de chaque satellite quasiment en continu, de 0° à 8°. L’angle peut être réglé d’une seule main à l’aide d’une poignée rotative, même sous charge.

De cette manière, chaque système MAILA offre un concept flexible séduisant, permettant d’adapter à tout moment la couverture sonore à chaque situation. Le résultat est un son puissant adaptable à presque toutes les applications.

Le système MAILA repose sur quatre éléments de base

Le MAILA SAT comporte cinq tweeters à dôme de 1” montés sur un support assurant le couplage avec un HP de 6.5”placé derrière.

MAILA SAT

Le satellite MAILA SAT dans son boîtier monocorps en aluminium est un élément line array qui abrite cinq tweeters 1” devant un haut-parleur médium de 6,5”, disposés de manière coaxiale sur la base de la technologie Advanced WaveAhead®.

Grâce au SonicGuide® (deux guides d’ondes combinés), les haut-parleurs du MAILA SAT sont réunis pratiquement sans interférence. Il en résulte une diffusion classique en line array avec une portée et une densité d’énergie impressionnantes. À l’arrière du boîtier de chaque MAILA SAT se trouve la poignée rotative du mécanisme EasySplay®.

MAILA COL avec ses quatre woofers actifs de 6,5” et un amplificateur DSP à 4 canaux d’une puissance totale de 2,5 kW pour alimenter la colonne elle-même et les satellites MAILA SAT.

MAILA COL

Le module colonne MAILA COL avec ses 4 haut-parleurs de 6,5’”, assure non seulement un renfort efficace de bas-médium, mais comprend également un amplificateur DSP à 4 canaux d’une puissance totale de 2,5 kW, qui alimente aussi bien la colonne elle-même que les satellites MAILA SAT qui y sont raccordés.

De cette manière, les ensembles MAILA avec module colonne peuvent être utilisés non seulement comme variante Ground-Stack, mais aussi comme système accroché composé de MAILA COL et jusqu’à huit MAILA SAT par côté – particulièrement utile pour les festivals et les installations fixes.

Au sol, l’utilisation de MAILA COL offre un avantage supplémentaire : grâce au module colonne intercalé, il est possible de réaliser des montages Ground-Stack nettement plus hauts (jusqu’à 3,2 mètres) que les systèmes traditionnels, ce qui offre une portée plus importante et une couverture plus uniforme, même au lointain.

MAILA SPA

MAILA SPA est le seul module MAILA sans haut-parleurs et pourtant il fait partie intégrante du concept MAILA. C’est un module d’amplification en aluminium monocorps avec un amplificateur intégré de 1,25 kW avec SysCore® DSP pour la commande d’un maximum de huit satellites MAILA SAT.

MAILA SPA, un module ampli et DSP de 1,25 kW.

Le système SmartLink+® permet de relier facilement les satellites et de les alimenter en audio et en secteur sans recourir au moindre câblage volant.
De plus, la technologie SmartLink+® permet de détecter de manière autonome les satellites installés pour le traitement DSP automatique ou manuel au choix.

Comme pour le module à colonne MAILA COL, les utilisateurs peuvent réaliser avec le MAILA SPA aussi bien des configurations Ground-Stack avec une barre (fournie dans le set MAILA S) que des systèmes accrochés avec l’adaptateur de montage EasyMount+®.


Une vue indiscrète du pack ampli et du montage passe-bande avec les deux 15” Lavoce embarqués dans MAILA SUB.

MAILA SUB

Le MAILA SUB constitue la base de tout système MAILA. Le caisson de basses haute performance 2×15 » (2,5 kW) fournit, grâce à son DSP SysCore®, des basses massives et puissantes dans chaque application.
Le concept acoustique du MAILA SUB est basé sur un design passe-bande avec un pavillon accordé au quart de longueur d’onde et une structure de haut-parleurs symétrique.
Grâce à la disposition opposée des deux graves de 15’”, le MAILA SUB permet une excellente réponse impulsionnelle, ce qui se traduit par un rendu puissant et précis des basses fréquences.

MAILA – Les kits

LD Systems propose MAILA en cinq kits, chacun avec une configuration de base et des accessoires adaptés. Alors que le plus petit kit MAILA, dans sa configuration SMALL, fournit un système stéréo actif full range extrêmement puissant avec une puissance totale de 7,5 kW, les grands systèmes accrochés MAILA XL et MAILA XXL couvrent sans problème même les clubs, les grandes conférences et salles ainsi que les festivals de taille moyenne. Certaines prestations nécessitent un gros line array. Pour toutes les autres, il y a MAILA.

MAILA S
MAILA M
MAILA L
MAILA XL
MAILA XXL

Baptiste Languille

Baptiste Languille, Senior Global Brand Marketing Manager LD Systems : « Soyons honnêtes : jusqu’à présent, personne sur le marché de la location professionnelle n’avait envisagé LD Systems.

Maintenant, MAILA est là et offre une flexibilité et une facilité d’utilisation qui n’existaient pas jusqu’à présent. Je suis intimement convaincu que MAILA va s’imposer dans le monde entier comme le complément idéal des grands systèmes line array encombrants.  »

Viktor Wiesner

Viktor Wiesner, chef de produit senior, Pro Audio : « Enfin, le secret est levé. MAILA commence à entrer dans l’histoire. C’est un système qu’il faut avoir vu, entendu et touché pour en apprécier toute la valeur ajoutée.
C’est pourquoi nous invitons cordialement toutes les personnes intéressées à venir chez nous à Neu-Anspach pour une démo détaillée, à se faire une idée par elles-mêmes et à rencontrer l’équipe de développement de LD Systems.  »

D’autres informations sur le site LD Systems

 

A PL+S, en Cobra ou Zonda, Ayrton dépasse ses limites

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Après 3 ans de privation, sous une route de foudre et d’eau, la libération se profile enfin comme un arc-en-ciel au-dessus du Prolight+Sound. Aujourd’hui, en revenant à Franfürt-am-main, souvenirs collés sur le pare-brise, l’excitation démange notre impatience.

A gauche Cobra, puis Zonda9 FX et Zonda 9 Wash.

Les bouleversements technologiques des secteurs de l’éclairage, associés aux promesses d’un été débarrassé des variants avariés, vinifient un cru savoureux. A l’image des autobähnen allemandes, certains constructeurs n’ont plus de limites. De nouvelles sources démentes explosent les lignes. Au bord de l’explosion cérébrale, les éclairagistes s’offrent un pic d’adrénaline.

Premier jour : Wilkommen zu Prolight+Sound

Dès l’aube de l’ouverture du salon nous ingurgitons les premières images du Show Ayrton, encadrés par la puissance des Cobra, hypnotisés par l’œil géant des Zonda 9. Cyril Union, l’homme qui électromécanise les idées d’Yvan Péard, fondateur d’Ayrton, nous récupère pour un tour de piste.


Là-haut, dans nos cœurs et dans nos larmes, l’esprit de notre regretté Valère scintille également. Ce salon lui est dédié, cet article aussi, comme son esprit d’innovation, chaque projecteur habillé de sa passion éternelle.

Un ange passe.

Huracán Wash et Domino LT

Au sommet des projecteurs Ayrton se trouve la série 9 des monstres de puissances et d’inventivité, séparée en deux. Pour les scènes intérieures les Huracán, la gamme standard, et pour l’extérieur les Domino, étanches.

Des lentilles de 180 à 225 millimètres, un moteur de 1000 W de leds blanches, 50 000 lumens minimum et une collection d’effets spectaculaires. Ces deux familles accueillent des spots ultra-versatiles, les Profiles orientés spot et découpe et les LT, des projecteurs longue portée plus concentrés à la mode Beam.

Une place restait vacante pour des hybrides Wash… qui viennent d’être dévoilés lors de ce Prolight. Basés sur les mêmes caractéristiques, les Huracán Wash se parent d’une lentille Fresnel revisitée de 210 mm. Couleurs soustractives en hexachromie, lots de gobos, roue d’animation, effet ‘banane’, couteaux, quasiment rien ne manque. Un frost additionnel permet d’éclater encore plus le faisceau, au cas où le zoom de 7°à 60° ne serait pas suffisant !
Les Huracán Wash entrent bientôt en production pour une commercialisation imminente.

Le Domino LT combine une lentille longue portée à un corps capable de résister à toutes les intempéries, par tous les temps. Véritable char tout-terrain, une lentille de 7 kg et 225 mm au bout du canon, ce spot au rayon longue distance embarque toute la technologie Huracán. Les couteaux, roues de gobos, deux prismes, d’animation, trichromie CMY et CTP sont calibrées pour son zoom de 3,5 – 53°, dont le plein rendement s’exprimera dans les stades.
Déjà disponible, la gamme Domino est un ajout de taille au catalogue Ayrton.



Le système T.C.S

Esprit d’innovation 2019-03 / T.C.S. : The Trillion Colour System. Ce système complexe de couleurs soustractives regroupe six guillotines, trois saturées, trois pastels. Les premières sont en CMY, complétées par les correcteurs CTB, CTO et CTP, une déclinaison de minus green pour augmenter l’IRC. Apparue avec l’Huracán, cette technologie T.C.S. permet de produire 281 billions de couleurs, des teintes les plus franches à tous les degrés de blanc de 2700 à 15000 K.


Fresnel Optimization System.

Esprit d’innovation 2022-04 / F.O.S.: The Fresnel Optimization System. Alors qu’une lentille Fresnel standard est, par sa nature, incompatible avec l’utilisation de gobos, couteaux ou lentille courbe, le F.O.S. permet d’utiliser ces applications dans une source Wash. Structurées autour d’une diffusion subtile de type Fresnel, les 13 lentilles du train optiques adaptent la diffusion aux effets utilisés. Le gain de puissance lumineuse de 10 % favorise les couleurs les plus saturées.


Cobra

Rappel de mémoire. Retour au Prolight, 6 ans auparavant. Un étrange appareil capte l’attention de quelques privilégiés. Le DreamSpot carbure au Phaser, une nouvelle technologie laser aux promesses de bouleversement. De longues années de collaborations furent encore nécessaires pour perfectionner et fiabiliser la source.

2022, en exclusivité avec leur fabricant de leds, Ayrton présente au Prolight+Sound son premier projecteur de série à source laser à conversion de Phosphore : Le Cobra.
Le rideau de plasma en fusion lorsque les deux rangées de Cobra présentées sur le Stand s’allument fait partie de ces rares moments de spectateurs où le souffle manque.

Dans un corps compact de série 3, aux arêtes rectangulaires, se niche un soleil de cobalt. Un laser bleu traverse du phosphore et se transforme en source blanche 6500 K, à la portée démesurée. 386 000 lux à 20 mètres, 6 000 000 à 5 mètres. De quoi allumer une cigarette et cuire du pop-corn d’un coup de dimmer. Ou d’aller projeter un disque de lumière à 12 kilomètres de distance…


les faisceaux Cobra

L’intégration dans une boîte fermée de cette source de 260 W est un défi technologique pour un résultat incroyable. La somme d’énergie sur 4 millimètres impose un refroidissement optimisé, et l’abandon de certains matériaux comme le verre. Mais la conservation du flux, associée à la cohérence du spectre, permet un contraste fabuleux et toutes les fantaisies.

Lentille de 170 mm, dimmer et Strobe électronique, trichromie CMY, 27 couleurs fixes, 92 gobos métal, 2 palettes de 4 prismes, un zoom de 0,6° à 23° et une rotation continue en Pan et en Tilt offrent un appareil prêt à toutes les acrobaties en plein air. Car oui, en plus le Cobra est étanche IP65.
En version définitive le Cobra arrive sur le marché avec une première tournée prévue en Angleterre et un carnet de commandes aux pages noircies.


Esprit d’innovation 2012-03 / I.R.S.: The Infinite Rotation System
Autour d’un Stator fixe s’enroule un Rotor armé de connecteurs rotatifs. Ces derniers alimentent en électricité et contrôlent la partie mobile d’un appareil sans employer de câbles. Utilisés dans le cas où des rotations multiples sont demandées, ils équipent les projecteurs à Pan et Tilt infinis.

Esprit d’innovation 2021-01 / CrowdScan
Pour prévenir le public des éblouissements d’un projecteur, ou protéger les éléments scéniques fragiles, un paramétrage du shutter est possible. En définissant des zones d’exclusion à la programmation, les mouvements de pan et tilt sont analysés. A la restitution la lumière est automatiquement coupée lors du passage du projecteur dans ces zones.

Ayrton XT-Focus

Esprit d’innovation 2022-03 / XT-Focus

Ce système optique est dédié aux sources lasers dont l’angle de projection est inférieur à 1°.
Pour résoudre les problèmes de focalisation sur de très longues distances, lorsque les faisceaux parallèles arrivent aux frontières au ‘point de l’infini’, le XT-Focus permet d’ajuster la forme du rayon en fonction de la distance voulue.



Zonda 9

Alors que le Wash multisources de leds a fait la réputation d’Ayrton depuis son tout premier Eye-Color jusqu’au NandoBean et WildSun, il fut mis un peu de côté ces dernières années.
Son retour décoche un coup de maître avec la gamme des Zonda 9 : Wash et FX.

Ayrton Zonda-9 FX

Ces deux projecteurs partagent une matrice circulaire de 37 lentilles RGBW de 40 W, un fulgurant 25 000 lumens de 4 à 56° d’ouverture. Une puissance qui les place dans le cœur de la série 9 Ayrton. Une future déclinaison miniaturisée en série 6 et 3 ne laisse aucun doute pour les aficionados de la marque française.

Sur la version Wash, les 37 lentilles sont organisées en un point central entouré de 3 couronnes, réparties sur l’immense tête de près de 40 cm de diamètre. Le zoom est obtenu par translation de la lentille frontale. La puissance phénoménale du Zonda Wash s’accompagne d’une grande pureté des couleurs, quelle que soit l’ouverture choisie dans l’immense rapport 14:1 du zoom.

La version FX instaure, à elle seule, une quasi-révolution. La gestion point par point des 37 lentilles ou l’ajout de rotation continue Pan et Tilt ne suffisait pas.

Inspirée tout à la fois des matrices vidéo du MagicPanel Twin de 2016 ou des secondes peaux en leds de concept car, elle coule 600 pixels vidéo RGB entre les lentilles du Zonda. Une technologie géniale, brevetée, qui double le Zonda d’un écran vidéo dans une superposition sans confrontation.

Les 199 canaux DMX lumière cohabitent avec 4 univers vidéo à gérer avec les 80 animations internes et leur dualité de couleurs forme et fond, ou armé d’un média serveur en Kling-Net.
Déjà en production, le démarrage des livraisons est prévu rapidement.



Ayrton Liquid Effect.

Esprit d’innovation 2020-07 / The LiquidEffect.
Utilisation de leds RGB, dérivée de la signalétique, entre les lentilles principales du luminaire. Cet effet liquide est obtenu en forçant le contraste de lumière grâce à des réflecteurs couplés aux boucliers noirs autour des 6 mm de chaque pixel.
Le design particulier des lentilles, trapézoïdales tronquées, aide à l’habillage de ce filet vidéo sans parasiter les sources haute puissance des projecteurs.


Ayrton Slim-21

Esprit d’innovation 2020-11 / Slim-21

Programme de réduction de poids et de miniaturisation des projecteurs. Un résultat obtenu par l’utilisation de matériaux high-tech et la réorganisation interne des composants.
Alimentation réduite de 33 %, refroidissement optimisé, lentilles en verre faible densité, guides lumière redessinés, moteurs ultra-compacts, chaque élément est réduit à l’extrême sans altérer le résultat final.



D’autres informations sur le site Ayrton

 

Les IS et P d’Adamson pour le Marion Palace Theatre

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« Il s’agit d’un système de très haute qualité, et la capacité de l’entreprise à fournir des solutions est énorme », déclare Tom George, ingénieur d’études principal au bureau de Clair Global Integration à Cleveland, citant le son de haute qualité des enceintes et la capacité d’Adamson à fournir une solution qui s’intègre parfaitement au décor spectaculaire du Palace.

Tom George, ingénieur principal de conception au bureau de Clair Global Integration à Cleveland.

Construite en 1928, cette salle de style théâtre d’environ 1500 places est une pierre angulaire de l’activité culturelle du centre-ville de Marion, dans l’Ohio ; une installation résolument polyvalente qui accueille un mélange de concerts, de productions théâtrales, de films et d’événements spéciaux.

Conçu par l’architecte John Eberson, le complexe a été construit pour donner au public l’impression d’assister à un spectacle dans un « palais de la vieille Espagne ». Comme le décrivait le Marion Star juste avant l’ouverture du Palace à l’époque, « Laissez votre imagination vous transporter sur la pente douce d’une colline espagnole éclairée par la lune…

À travers les arcades se répand la douce lumière d’une pleine lune, et la faible lueur projette des ombres sur les murs de couleur sombre. Au-dessus de vous, des myriades d’étoiles scintillent dans un ciel bleu azur, et des nuages doux et cotonneux flottent doucement au gré de la brise. »

Au fil du temps, on a pris soin de s’assurer que le cadre du théâtre reste aussi impressionnant qu’il l’a toujours été. Après l’acquisition du Marion Palace par l’association à but non lucratif Palace Cultural Arts Association, le théâtre a fait l’objet d’une restauration/rénovation complète et a depuis été modernisé grâce à une série d’améliorations structurelles et de rénovations des coulisses et de l’avant-scène.

La scène côté droit avec dix IS7.

Naturellement, les systèmes audio du Palace ont évolué au fur et à mesure des changements apportés au lieu. Mais, jusqu’au remplacement des enceintes point source des années 80 par le système Adamson en janvier 2022, les systèmes installés dans l’espace n’offraient pas une couverture, une pression ou une qualité optimales.

Le nouveau système est composé de trois lignes d’Adamson IS7 dans une configuration LCR, avec deux subs IS219 placés au sol de chaque côté du plateau, et huit Adamson Point 8 pour déboucher des zones d’ombre sous le balcon.

Nous avons essentiellement procédé à un réglage vocal pour la ligne centrale et plus « musical » pour le gauche / droite », explique George. Le calage du système a été effectué dans les processeurs Lake des amplificateurs Lab Gruppen qui alimentent le système (plusieurs amplis D 120 pour les éléments LCR et un D 200 pour les subs).

Un des deux subs IS219, ici celui de Jardin collé au bord de scène et posé sur son petit côté.

Cependant, les ingénieurs accueillis peuvent apporter leur touche personnelle au son grâce à une paire de processeurs Lake LM44 en façade et à la console Yamaha CL5 déjà en place dans la salle. Le système a également été reconfiguré pour fonctionner en Dante.

« Nous utilisons les LM44, puis les amplificateurs (via Dante), et nous disposons d’une interface permettant aux opérateurs de passage d’installer leur console de tournée », ajoute George.
Cela offre un degré de flexibilité appréciable.  » Ça permet aux ingénieurs invités, aux artistes en tournée, à tous ceux qui utilisent la salle, d’utiliser le Dante et de réacheminer les flux facilement « , explique Brian Jester, directeur technique par intérim et responsable de la société audio locale JCR Studio & Sound.

La ligne centrale, parfaitement assortie à la couleur des rideaux.

La taille et le poids des enceintes ont également été bénéfiques. « L’IS7 a un encombrement tellement compact et cela dit suffisant pour pour couvrir la pièce tout en respectant les limites physiques a joué un rôle important dans notre choix », note George.
« Nous avons également de la chance car ils sont à peu près du même poids que ce que nous avons démonté. Nous avons donc pu réutiliser une grande partie des ferrures existantes. »

D’autres problèmes récurrents ont également été réglés, notamment le remplacement d’un système à 70 volts que les enceintes sous le balcon utilisaient auparavant par un système à faible impédance. Un nouveau câblage a également été tirés sur le trajet d’environ 30 mètres entre la scène et la régie son placée au balcon.

Le résultat est une amélioration incroyable. « La couverture de la salle est bien supérieure et la qualité audio est bien meilleure », déclare George. Mais si les personnes impliquées dans le projet voulaient que les spectateurs entendent la différence, il était important qu’ils ne la voient pas.
Par conséquent, la volonté et la capacité d’Adamson à fournir des couleurs personnalisées (pour s’harmoniser avec les murs de la « cour » du Palace de part et d’autre de la scène, et faire disparaître virtuellement le groupe central dans le fond des riches rideaux de velours rouge qui encadrent le proscenium) ont été essentielles à cet effort.

Le CEO d’Adamson Marc Bertrand.

Le choix du RAL correspondant à la couleur et à la texture des rideaux en velours était un défi, mais l’usine d’Adamson à Port Perry, en Ontario, a été conçue pour le relever. « Nous avons intégré le processus complet », explique Marc Bertrand, PDG d’Adamson. « Ainsi, lorsque nous faisons correspondre les numéros RAL, nous sommes en mesure de contrôler le résultat final de façon transparente, depuis l’atelier d’usinage et l’atelier de menuiserie, jusqu’au lavage, au poudrage et à la pulvérisation.

Comme nous n’externalisons pas le travail et n’attendons pas le retour du produit, nous pouvons nous assurer que la finition est parfaite, que le métal est bien assorti, que la poudre correspond à la pulvérisation humide sur le bois, et nous pouvons choisir d’autres éléments de couleur pour la sérigraphie afin d’obtenir une correspondance encore plus étroite.

Vous prenez un risque si vous externalisez », poursuit Bertrand. « Nous savons immédiatement si quelque chose ne va pas. C’est une question de maitrise. Nous perforons également notre propre métal, ce qui nous permet de contrôler non seulement la couleur mais aussi l’ensemble du processus. »
Alors que d’autres fabricants réalisent des contretypes de couleurs personnalisés, pour Adamson, c’est un phénomène courant. « C’est le sixième travail personnalisé que nous avons réalisé au cours des quatre derniers mois, même si je dois dire qu’aucun d’entre eux n’était aussi joli que ce rouge. »

Kirk Detweiler, le directeur exécutif du Marion Palace.

« Adamson a assorti les couleurs des rideaux sans éclipser l’architecture du proscenium, et les deux arrays latéraux s’intègrent également très bien », déclare Kirk Detweiler, directeur exécutif du Marion Palace. « Nous n’avons pas eu de grand spectacle depuis que le système a été installé, mais pour les films, le son est excellent, et nous avons reçu un groupe vocal de quatre personnes qui a eu un son formidable. »

« Comme vous pouvez l’imaginer, dans n’importe quel théâtre ancien, le balcon profond et la couverture à plusieurs niveaux présentent des défis », explique Jester, « mais le système conçu par Clair fait tout ce qu’il doit faire et plus encore. Ma seule expérience avec Adamson date de la fin des années 1990 et du début des années 2000. Donc, entendre l’évolution de leurs enceintes était très encourageant. »


En fin de compte, le nouveau système Adamson permet au Marion Palace de continuer à remplir le rôle qu’il joue dans la communauté depuis près d’un siècle, et ce, d’une manière aussi agréable pour les yeux que pour les oreilles.

« Le son donne presque l’impression de provenir des murs, plutôt que des haut-parleurs », conclut M. Jester. « La façon dont les haut-parleurs ont été placés, accordés et déployés – sur le plan sonore, le système complète l’esthétique visuelle du théâtre. »

D’autres informations sur le site Adamson et sur le site DV2

 

SGM Q.8, le all in one qui regroupe flood, blinder, matrice et strobe

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Comment rebondir et sortir un nouveau produit pour succéder à une source qui a eu beaucoup de succès ? C’est sûrement une question que certaines marques ont, à la fois, le plaisir et la hantise de se poser. Le Q.7 de SGM a été un succès et concevoir un remplaçant n’a pas dû être un projet de tout repos.
Comme le disent si bien les têtes pensantes chez SGM,  » Nous ne pouvons pas réinventer ce qui fonctionne déjà, mais nous pouvons l’amener au niveau supérieur ». C’est un parfait résumé du projet et si vous avez aimé le Q.7, vous allez adorer le Q.8.

Des chiffres et des leds

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Une bonne adresse pour les sources led IP66 et plus, c’est SGM. Aujourd’hui, la marque danoise nous propose un projecteur qui combine les propriétés d’une source flood, d’un blinder, d’un strob et, cerise sur le hareng, optimisé pour la programmation matricielle. Mais la liste ne s’arrête pas là, SGM annonce également 2 sources distinctes de plus de 50 000 lumens chacune avec 1 760 leds d’un côté et 52 de l’autre.
L’équipe de développement semble s’être surpassée, que ce soit en termes de performances, la programmation ou tout simplement pour rendre le Q.8 indispensable dans un maximum de domaines. Il n’en fallait pas plus pour attiser notre curiosité.

Où l’on arrive à allier Q.8 et sobriété

Coté design, le Q.8 garde la sobriété de la marque danoise. Loin d’être du minimalisme, SGM a choisi de ne garder que l’essentiel. Le projecteur est constitué de 3 éléments, le socle où se trouve la majeure partie de l’électronique, la lyre et la tête.
La plupart des lignes sont droites mais le mélange avec les 2 arrondis donne un look très contemporain. Sur l’arrière du socle, on trouve 4 connecteurs IP67. Une alimentation électrique et une recopie pour d’autres sources ainsi que deux prises XLR 5 pour le signal DMX.

Vue arrière du Q.8 avec les ventilateurs et les connecteurs classés IP 67.

Comme SGM nous habitue au luxe, j’aurai bien vu un connecteur RJ45 pour une entrée Art-Net ou sACN puis une redistribution du signal en DMX, mais la solution existe en utilisant les convertisseurs Art-Net / DMX A.4 de la marque (entrée et sortie Art-Net et 4 sorties DMX).

Toujours à l’arrière, mais cette fois-ci sur la tête, on peut voir les 3 ventilateurs qui permettent la circulation d’air et le refroidissement des leds et de l’électronique. Une grande poignée facilite la prise en main des 13,6 kg du Q.8. La face avant, vitrée, laisse apparaître les deux matrices de leds.

Simple, facile et efficace (j’ai failli dire comme moi, mais je me suis aperçu qu’il manquait beau et modeste…)

En haut de la lyre on trouve deux molettes graduées pour régler avec précision l’angle de la tête. Les repères sont rares et pourtant tellement pratique.

De nombreux accessoires peuvent venir se fixer dessus : des diffuseurs magnétiques, des coupe-flux 4 ou 8 volets, un snapbag et le snapgrid. Ces derniers accessoires sont plutôt destinés pour les utilisations vidéo, photos, TV et cinéma.

Un snapgrid DoP Choice optionnel permet de contrôler la diffusion et la direction de la lumière.
Le snapbag DoP Choice diffuse uniformément la lumière.

L’afficheur se trouve sur le dessus de la tête. Il permet de visualiser toutes les options du Q.8 qui sont modifiables en utilisant les boutons ou le RDM.

1 écran, 4 boutons et au moins un doigt (en tout bien tout honneur).

La version POI du Q.8, destinée aux installations pérennes, les connecteurs ont été remplacés par des câbles et l’afficheur a été supprimé. Cette version qui n’offre pas les deux lignes de strobe, dispose d’une finition « Marine » C5M et d’une garantie étendue à 5 ans.

Ceinture et Bretelles

Pour contrôler le projecteur nous disposons de 2 solutions. La première est tout ce qu’il y a de plus classique, le DMX 512. L’autre solution abolit le lien entre la console et la machine, puisqu’il s’agit d’une connexion sans fil. Pour le coup, on est sûr d’avoir le bon émetteur, le Q.8 est compatible avec les protocoles CRMX et W-DMX.
Que ce soit avec ou sans fil, il reste compatible RDM. Il n’y a pas non plus de demi-mesure en ce qui concerne les modes de contrôle, l’opérateur dispose de 9 solutions allant de 6 à 52 canaux.
Fromage et Dessert

Fromage et Dessert

Une des principales nouveautés par apport au Q.7 est que le projecteur est doté de deux matrices de leds. On retrouve une matrice principale composée de 880 leds RGB et 880 leds blanches (5700 K) pour une puissance de 568 watts.

La matrice principale.

Le contrôle des couleurs est vraiment précis. La gamme de blancs varie de 2000 à 10000 K avec des IRC élevés et la palette de couleurs est vraiment complète. Même sans diffuseur, la lumière est homogène avec de très belles nuances. Que l’on travaille sur des teintes saturées ou des pastels très légers, le rendu est excellent.

Le Q.8 offre une large gamme de blancs…
…ainsi qu’une palette de couleurs complète.

Le tableau des couleurs ci-dessous comporte également les valeurs d’IRC et de températures de couleurs de blancs pré-programmés dans la machine.

L’autre matrice, principalement destinée aux effets Strob ou Blinder, comporte deux rangées de 26 Leds blanches (7000 K) pour une puissance de 515 W. Contrairement à l’autre matrice, celle-ci ne fait pas dans la dentelle. Que ce soit en mode strob ou blinder, ça déménage !
La combinaison des deux matrices est vraiment un plus par apport au Q.7. Pour la programmation c’est bien entendu un avantage de pouvoir créer des effets sans avoir à toucher à la partie ambiance déjà en place, mais cela augmente surtout les possibilités. On peut par exemple créer des effets de strobes combinés, soit en les superposant ou en les enchaînant, en utilisant des valeurs identiques ou différentes.

La combinaison des deux matrices apporte une autre dimension au Q.8.

Le strob est une toute petite partie des possibilités. On peut créer des ambiances statiques de couleurs surlignées en blanc. Il est aussi possible d’ajouter à des aplats de couleurs, des pulsations douces ou percutantes ou bien sûr de faire vivre des pixels colorés entre des lignes.
Déjà à ce niveau, les possibilités sont nombreuses mais, bien entendu, l’équipe RD n’allait pas s’en contenter. Afin de donner encore plus de dynamique aux effets, chaque matrice est divisible en 4 parties. Le Q.8 dispose d’un catalogue complet d’effets préprogrammés qui sont très utiles quand le temps de programmation est limité. Je préfère tout de même créer mes propres effets, d’une part pour éviter de me répéter, et aussi pour m’adapter au maximum aux ambiances du spectacle ou de l’évènement.

Mais le plus intéressant dans le fait de programmer ses propres effets est de pouvoir élargir la matrice à la scène entière. Que l’on parle d’ambiance simple, statique ou animée ou d’effet ponctuel, dynamique ou calme, le Q.8 prend toute sa dimension quand il est multiplié dans l’espace scénique.
A l’ère des nouvelles générations de consoles qui intègrent des matrices et de la vidéo, ce projecteur est sans nul doute totalement adapté à ces nouvelles orientations. C’est aussi très intéressant pour sortir des sentiers battus et, par exemple, ajouter un effet volumétrique à un bump ou souligner une intention scénographique en donnant une direction à un effet.

Toutes ces qualités rendent cette source très polyvalente. Elle est bien sûr dans son élément sur une scène pour un concert Pop ou Rock, mais elle trouvera également sa place dans un opéra ou un théâtre pour créer des ambiances, car au-delà des effets, le Q.8 est également une source d’éclairage à part entière.
Avec sa grande ouverture, il est aussi adapté aux éclairages de décors ou aux cyclos. Grâce à ses nombreux accessoires, il peut mettre en valeur la collection d’un grand couturier ou trouver de nombreuses utilités dans un studio vidéo. Toutes ces qualités rendent cette source très polyvalente.

Un super flux sans superflu

Le Q.8 bénéficie d’une innovation développée par SGM, qui a fait l’objet d’un brevet. C’est le système qui permet d’évacuer l’humidité du projecteur. L’appareil étant IP66, l’humidité ne rentre pas, mais elle peut se créer à l’intérieur.
Les ingénieurs de la marque danoise ont donc développé une technologie appelée DRYTECH pour déshumidifier l’espace interne. Le système consiste à faire passer l’air humide à travers une membrane électrolytique positionnée entre une anode et une cathode. De l’humidité peut se créer lorsque l’appareil n’est pas sous tension mais l’air est traité une fois que le système est à nouveau alimenté.

Le système Drytech.

Nous avons bien entendu fait quelques relevés de luminosité, principalement sur la matrice centrale. Afin de pouvoir mesurer l’intégralité de la lumière utile de cette large source, jusqu’au dixième de la valeur de l’éclairement au centre, nous rapprochons le projecteur à 1,5 mètre de notre cible.

Derating

On commence comme toujours par mesurer le derating, pour atteindre le moment où l’éclairement se stabilise.
Nous obtenons un excellent résultat, avec moins de 3 % d’atténuation de l’éclairement après trois minutes de chauffe à pleine puissance.

Mesures photométriques

Nous pouvons donc commencer les mesures d’éclairement tous les 10 cm en partant du centre. 7230 lux au centre à 1,5 m après derating, 7450 lux à froid, deviennent respectivement 670 lux et 690 lux ramenés à 5 m, la distance à laquelle nous effectuons nos mesures de projecteurs habituellement.
Après avoir rentré tous nos relevés dans le tableau Excel, on obtient un flux lumineux de 43 060 lumens après derating et 44 350 lm à froid. Ce qui est un très bon résultat. On n’obtient pas le même flux que SGM et c’est tout à fait normal car nous n’utilisons pas les mêmes méthodologies. Les mesures à l’usine étant faites dans une sphère d’intégration, avec la ventilation en mode boost et avant derating. L’angle d’ouverture à I/10 est de 110°.

Nous avons également fait une mesure en allumant toutes les leds simultanément. On obtient sensiblement le même résultat car, pour préserver l’alimentation du Q.8, lorsque toutes les leds, matrice + strob, sont allumées à full, la puissance du module strob central est automatiquement limitée. Dès que les leds des modules haut et bas sont éteintes, le module strob récupère sa pleine puissance.

Nous avons enfin contrôlé le dimmer et les courbes de 0 à 10 % et de 1 à 100 % sont parfaitement maîtrisées.

Courbe de dimmer de 0 à 10 %.
Courbe de dimmer de 0 à 100 %.


Avec le Q.8, SGM a de belles perspectives…

Le Q.8 classé IP66 bénéficie d’un vide interne donc après un démontage, il faut refaire le vide. Nous avons donc évité d’ouvrir ce projecteur mais quelques photos ont été prises pour nous à l’usine.
Il est tout de même possible d’effectuer une opération de maintenance sans avoir à renvoyer le projecteur à l’usine. SGM a développé une valise appelée  » Vacuum Test Kit » qui permet de tester la pression dans le projecteur et de refaire le vide.

À consommer sans modération

Avec le Q.8, SGM a vraiment conçu un digne successeur au Q.7 qui montrait déjà de grandes qualités de puissance et de couleurs de la source principale. L’ajout de la seconde matrice, principalement dédiée aux effets Strob et Blinder, est un très gros plus. Le Q.8 offre un panel complet de possibilités aussi performantes que si elles étaient chacune dans un projecteur dédié.

L’équipe RD a également su garder une taille et un poids qui permettent au Q.8 de pouvoir s’installer facilement et surtout s’intégrer en restant discret (jusqu’à ce qu’il s’allume !). Les beaux jours arrivent, nul doute que l’on va très rapidement voir briller des Q.8 sur les scènes des festivals et mettre en valeur des monuments, sans oublier les scènes de concerts en salles, les plateaux de TV et autres studios. Un investissement de grande polyvalence.


J’aime :

  • Les deux matrices : couleur + effets
  • Les nombreuses possibilités d’effets
  • l’homogénéité de la lumière
  • La palette de couleurs

Je regrette :

  • L’absence de Art-Net et sACN

Tableau général

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MPM fournit des projecteurs Robe pour la tournée de Stromae

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Stromae en avant-première de sa tournée mondiale est revenu sur scène avec 3 prestations à Bruxelles, Paris (Accor Arena) et Amsterdam pour présenter son nouvel album « Multitude ». Après une si longue attente, ses fans se sont précipités à l’Accor Arena de Paris où il a joué à guichets fermés pour 10 000 privilégiés, la jauge étant réduite.


Photo Lydie Bonhomme

Stromae est resté fidèle à son équipe lumière puisque Paul Chappet revient signer le design lumière avec Cédric Babin au pupitre. Au total, 154 projecteurs motorisés Robe Lighting dont 34 x FORTE et 120 x LEDbeam 350 sont utilisés dans le show. Du matériel fourni et installé par la société de prestation MPM.

Les FORTE ont été utilisés à la face (6), à contre (10) et en latéraux au Sol (18). Les LEDBeam 350 sont positionnés sur des panneaux asservis placés au-dessus et en arrière de scène. Ces panneaux réversibles laissent apparaître en alternance les LEDBeam 350 et des écrans vidéo. Ce décor voyagera avec la production et suivra l’artiste sur toute sa tournée mondiale.

Robe Forte
LEDbeam 350

Concernant le choix de ces machines Paul Chappet et Cédric Babin précisent : « Les projecteurs Robe nous ont paru être (et se sont avérés être) les projecteurs adéquats… Ils ont la puissance nécessaire pour s’harmoniser avec les autres projecteurs du kit lumière et les écrans. ». Sur cette tournée, l’équipe lumière se compose de 7 techniciens – Clément Laurent, Alexandre Schuller, Kevin Leroy, Gary Manson, Steve Madiou, Paul Chappet et Cédric Babin.

Avant de reprendre la route des festivals européens à l’été 2022, Stromae était présent en avril pour deux concerts à Coachella (USA). Suivront ensuite une tournée nord-américaine (USA & Canada) à l’automne 2022, puis la très attendue tournée des Arénas « Multitude Tour » en 2023 avec une série de concerts prévue à Paris La Défense Arena les 16 et 17 juin 2023.

D’autres informations sur le site Robe

 

En immersion avec Cynergie Sonorisation Live à Amiens le 10 mai

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A Amiens, moins de 2 heures de Paris, de Lille, de Reims et du Havre, le prestataire, Cynergie Sonorisation Live organise une journée “En Immersion” pour les designers, régisseurs, techniciens, agences de communication, sociétés de productions.

Le Cirque Jules Verne sera équipé d’un système de spatialisation Soundscape, luminaires IVL Photon, systèmes poursuite RoboSpot et de tracking Zactrack, réseau Agora et écran vidéo Starway : un cocon de spatialisation sonore et visuelle.

Le cirque Jules Verne, lieu d’accueil immersif.

Le futur est déjà en marche pour la société de prestation, location et vente Cynergie Sonorisation Live, fondée en 2014 et dirigée par Laurent Ghys. L’équipe de Cynergie Sonorisation Live se veut résolument tournée vers les nouvelles technologies et les nouveaux dispositifs de créations.

L’équipe de Cynergie Sonorisation Live. De gauche à droite : Maxence Baudouin, Baptiste Thelot, Alison Thierry, Laurent Ghys et Julien Dray.

« Notre première idée tournait autour de d&b suite à une discussion avec Thomas Ebran (d&b France). Cette réflexion a donné l’idée de l’événement. De fil en aiguille, puisque l’immersif concerne aussi le visuel, et que nous avons en parc des produits adaptés, nous avons décidé d’ouvrir cette journée à d’autres marques et de créer un événement live.

On a ajouté en partenaires Agora pour les switches réseau numérique, Axente pour le nouveau luminaire Minuit Une Photon et le système de tracking Zactrack, Best Audio et la console Avid S6L, DPA et ses solutions de captation intéressantes pour l’immersif, Robe et son système de poursuite RoboSpot, et Starway pour l’écran vidéo leds.

La journée sera ponctuée d’ateliers de présentation de formation ces produits. On a prévu notamment de placer sur la piste une régie avec console S6L et ProTools pour permettre aux invités de mixer de façon immersive dans Soundscape.
Toutes les heures, il y aura un enchaînement de deux petits numéros de cirque. Un monocycle pour lequel on va générer du son 3D sera suivi par un projecteur motorisé Robe commandé par le RoboSpot.
L’autre numéro, aérien, avec les problèmes de poursuite que l’on connaît, sera éclairé en suivi par des projecteurs motorisés contrôlés par Zactrack.

Le soir nous organisons deux concerts live qui réuniront également toutes ces technologies On diffusera en divergeant, autrement dit, la scène au centre, sur la piste du cirque et le public autour. Le premier concert, plus acoustique, fera l’objet d’une captation diffusée sur les écrans led Starway. C’est notre dernière acquisition, un écran de 40 m2. Le deuxième groupe sera électro avec un VJ, et l’écran led sera utilisé pour diffuser son contenu. »

Laurent Ghys

SLU : Tu as un gros parc Robe et d&b

Laurent Ghys : Oui, on a investi en mars 2020, dans un parc d’Esprite, de iPointe et de Spiider et dans des systèmes de diffusion d&b, 16 M4 et deux kits AL. C’était juste avant le confinement (rires jaunes !). Mais aujourd’hui nous sommes bien contents car nous les avons pour la reprise, sinon nous serions vraiment démunis.

SLU : Tu la sens bien la reprise des activités ?

Laurent Ghys : Plutôt bien oui. Fin mars – notre exercice fiscal s’arrêtant au 30 septembre – nous avions déjà atteint un chiffre d’affaires que nous n’aurions pu imaginer durant toutes ces vagues de Covid. On va certainement être obligé de refuser des affaires pour juin. Ca part dans tous les sens.

SLU : Manque de techniciens, de matériel ?

Laurent Ghys : Les deux. Manque de matériel car les délais de livraison sont très longs. Si tu commandes aujourd’hui, tu ne peux espérer être livré avant septembre au mieux. Et pour les techniciens, la profession a perdu du monde pendant le confinement. Pour être attractifs, nous avons décidé d’augmenter tous les salaires, intermittents et permanents, de 10 % à partir du janvier dernier.

SLU : Quel est ton secteur d’interventions ?

Laurent Ghys : Les Hauts-de-France. Nous sommes entourés de beaucoup de structures culturelles, comme la Maison de la culture d’Amiens, des SMAC comme la Lune des Pirates, le Cirque Jules Verne, Faienceire de Creil et tant d’autres qui nous assurent du travail toute l’année. L’été nous fournissons les scènes extérieures et quelques festivals.
A la suite du dernier confinement on a ouvert une antenne de back-line pour répondre à toute demande de festival, nous travaillons de plus en plus sur l’intégration et nous avons aussi équipé différents lieux culturels mais aussi des lieux pour de la visio conférence.

SLU : L’intégration représente quel pourcentage de ton CA ?

Laurent Ghys : Vente et intégration c’est 40 %, grâce aux aides pour la transition écologique. Nous avons notamment équipé le Zèbre d’Albert dans la Somme en d&b, console Yamaha et projecteurs Robe. Nous sommes actifs dans la région.

Le Zèbre situé à Albert dans la Somme, la dernière installation signée Cynergie Sonorisation.

En période normale, nous organisons des After Work, mensuels ou bimestriels focalisés sur une marque pour les professionnels du secteur autour d’un pot convivial. Il y a eu DPA avec des essais de leurs micros sur des musiciens, Robe et ses nouveaux projecteurs en décembre dernier, Axente fin janvier.
Et pendant le deuxième confinement, fin novembre 2020, pour éviter de sombrer dans la déprime, nous avons décidé de créer un festival numérique, diffusé sur les réseaux sociaux (Facebook, Youtube) . Nous avons monté une scène dans notre dépôt et chaque vendredi soir nous invitions des musiciens à se produire, des acteurs de la vie culturelle à témoigner de leur “vie arrêtée”. Nous avons même organisé une soirée sur le thème de la langue picarde !
Les marques nous prêtaient du matériel et pendant les changements de plateau on diffusait une pub sur leurs produits. Tu n’imagines pas à quel point ces soirées à thème ont soudé encore un peu plus l’équipe de Cynergie et renforcé nos liens avec les techniciens et régisseurs de notre secteur. Nous avons la chance d’entretenir des relations particulièrement amicales et sereines avec nos clients et fournisseurs et de travailler avec une équipe de permanents et d’intermittents extraordinaire ! »

Le programme du 10 mai

10h00 -12h00 Ateliers produits, en continu

– DPA : Captation avec arbre des solutions immersives et rediffusion immersive
– D&B : Mixage à l’objet et immersif avec multipistes
– Agora : Mise en place et utilisation d’un switch réseau
– Axente : Mise en place du tracker Zactrack avec restitution dans la diffusion immersive
– Robe : Utilisation du RoboSpot
– Best Audio : Utilisation de la console S6L sur un mixage à l’objet
– Minuit Une : Mise en place d’un IVL Photon avec la GranMA2 UL dans un espace au noir avec Unique
– Starway : Utilisation des écrans leds Starway avec la captation
– Axente : Zactrack, utilisation des asservis sur le système et captation vidéo

12h00 -13h30 Cocktail déjeunatoire et musical

13h30 -18h30 Reprise de ateliers produits du matin, en continu

14h15 – DPA : Présentation de la gamme Immersive 5100-Decca-Binaural
15h00 – Axente : Présentation du système de tracking Zactrack et du projecteur IVL Photon
15h45 – Best Audio & Lighting : Présentation de la console de mixage numérique AVID S6L
16h30 – Freevox : Présentation des gammes d’écrans Leds STarway
17h15 – d&b audiotechnik : Présentation du Soundscape
18h00 – Robe : Présentation du RoboSpot


DPA propose un micro autonome pour la capture audio en 5.1.
Soundscape, le système de spatialisation d&b, une nouvelle façon de mixer une œuvre et de la diffuser.

Agora : La gamme de solutions réseaux audiovisuels Ghost.
Zacktrack, système de suivi automatisé par ondes radio en temps réel.

Le système de suivi à distance RoboSpot Robe.
Venue S6L, la nouvelle console live Avid.

Minuit Une IVL Photon à source laser réfléchie à rotation ultra rapide.
Les écrans led VisionGraphik Starway.

19h00 Concert du groupe Kamélectric :

Afro beat, jazz, hip hop, trip hop, funk… Kamélectric nourrit un spécimen musical bien atypique. Le trio distille avec finesse et maîtrise des compositions à la fois aériennes et tribales, où N’Goni, batterie et saxo vous invitent à entrer dans un univers musical résolument immersif !

20H30 – Cocktail dinatoire

21h00 – Concert du groupe Versus :

Un concert audiovisuel fabriqué et interprété par un vidéaste et deux musiciens. Sur scène, la musique et la manipulation d’images en direct sont confrontés, opposés, pour créer une performance à la frontière entre cinéma et concert.


L’accès est gratuit, simplement conditionné par votre inscription ici (pour prévoir les buffets déjeunatoire et dînatoire)


Infos pratiques – Lieu : Cirque Jules Verne – Place Longueville – 80 000 Amiens – Le 10 mai de 10 h à 22 h
Une question ? contactez Laurent au 03-22-46-06-05

Plus d’infos sur le site Cynergie Sonorisation Live

 

Le son du luxe

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Considéré comme l’un des plus beaux hôtels urbains du monde, Cheval Blanc Paris s’installe à La Samaritaine, lieu emblématique de l’histoire parisienne, joyau de l’Art déco.

Avec 72 chambres, des vues absolument imprenables sur la capitale, une offre de restauration exceptionnelle, un jardin-terrasse au-dessus de la célèbre verrière du bâtiment et un mariage de passions avec la maison Dior pour un spa unique et inspirant, Cheval Blanc propose une expérience hôtelière d’exception.

Une vue de Le Plénitude le restaurant gastronomique 3 étoiles au Michelin de Arnaud Donckele intégré à Cheval Blanc.

L’intégralité de l’installation domotique et audiovisuel de l’hôtel a été réalisée par l’intégrateur de technologies Henri.
La sonorisation des parties communes de l’hôtel, du spa Dior et de ses cabines de soins, des salles de sports, de l’espace Limbar, du restaurant gastronomique 3 étoiles Le Plénitude, des restaurants Le Tout-Paris et Le Langosteria en terrasse, affirme de qualité le prestige des lieux avec une signature sonore JBL.


Michael Sherman, Directeur Général de Henri.

La diffusion met en œuvre les standards de la série Control Contractor avec les plafonniers Control 24CT, Control 26CT, Control 47CT et Control 19CST.
Les traitements audio sont pris en charge par BSS avec des processeurs programmables Soundweb London BLU-806 qui reçoivent les signaux à traiter sur un réseau Dante, complétés par des extensions d’entrées analogiques BLU-BIB.
Ils les transfèrent ensuite via un réseau Blu-Link vers les différents systèmes d’amplification multicanaux composés de Crown DCI 8300N, DCI 8600N et DCI 41250N.

« Il s’agit du fruit d’une longue collaboration avec le groupe LVMH : après la rénovation du Palace Cheval Blanc à Courchevel, celle de l’hôtel Cheval Blanc Saint-Tropez, nous mesurons le privilège de travailler avec le groupe LVMH dont nous partageons les valeurs d’innovation et d’excellence.
Le Cheval Blanc Paris est un projet très ambitieux et nous sommes fier d’avoir réalisé cette installation dans ce lieu où tout est exceptionnel !


Le choix de JBL, de Crown et de BSS était pour nous une évidence. Nous maitrisons parfaitement leur programmation et leur installation pour offrir la plus belle signature sonore au plus bel hôtel de Paris », Michael Sherman, Directeur Général de Henri.

Pour plus de renseignements sur les produits installés, visitez le site Freevox

 

Ed Waren s’équipe en GLP pour la tournée britannique d’Idles

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Ed Warren, éclairagiste plusieurs fois primé, a fait appel à la gamme de produits GLP pour éclairer la tournée d’Idles et ce malgré le relatif minimaliste que le groupe de noise-rock basé à Bristol, a toujours préféré en termes d’éclairage scénique.


Ed a travaillé avec eux depuis leur premier album, Brutalism, sorti en 2017 et ce jusqu’au concert historique d’Ally Pally et au live stream de Glastonbury l’été dernier. « Auparavant, ils ne me faisaient venir que pour les plus gros spectacles car ils voulaient rester fidèles à leurs racines DIY », explique-t-il. « Mais maintenant, ils reconnaissent que l’éclairage fait une grande différence et souhaitent passer à la vitesse supérieure. »

Cette fois encore, ils ont joué dans plusieurs salles de la taille de l’O2 Academy, avant de passer plusieurs nuits dans des salles de plus grosse capacité comme la Brixton Academy, le Victoria Warehouse de Manchester et le Motorpoint Arena à Cardiff, où le kit d’accueil a fait place à une installation complète parmi lesquels 20 x GLP JDC Line 500, 28 x X4 Bar 20 et 18 x stroboscopes hybrides JDC1 au sol.

GLP impression-x4-bar-20
GLP JDC Line 500
GLP JDC1

« J’utilise des projecteurs GLP depuis les premières Impressions, car ils produisent une lumière excellente, mais cette fois, je voulais donner un coup de pouce aux JDC Line », poursuit-il. Il a donc contacté la société de location LCR, qui a fourni un kit complet et l’assistance technique.


Poursuivant son raisonnement en matière de conception, Warren explique : « Lorsqu’un groupe joue dans des salles de tailles différentes, je regarde les lieux où nous allons et je constitue un kit qui fonctionnera partout.
En travaillant sur la base, cela permet d’éviter pas mal de casses têtes au tour manager et au directeur de production. »

La dernière tournée était largement basée sur le tungstène, mais le dernier album, Crawler, avec son caractère musical plus clair a nécessité une approche un peu différente : « Je voulais compléter l’ambiance sonore avec des luminaires discrets mais qui soit puissant, comme une grande bande de lumières derrière le groupe pour donner de la couleur et remplacer le mur vidéo de la dernière tournée qui de toute manière n’aurait pas été possible cette fois-ci ».

Le JDC Line a été installé sur une barre transversale derrière le groupe, tandis que le reste des ponts est contrôlé en motion Kinesys.
Les barres GLP X4 Bar 20 sont fixées sur un pont en forme de trapèze, tandis que les 16 stroboscopes JDC1 remplissent une fonction de base au sol.
En outre, huit barres X4 ont été placées horizontalement et utilisées comme éclairage latéral.

« Je ne voulais pas compliquer les choses à l’excès, j’ai donc programmé les JDC du sol en mode normal », explique Warren, « alors que les X4 Bar 20 et les lignes JDC ont été réglées en mode « full pixel ». Ils ont été pixel mappés pour éclairer certains titres plus jazzy comme ce moment où ils recréent un arc-en-ciel. »


Cependant, la tournée ne s’est pas déroulée sans accroc, comme l’explique Ed. « Je devais être présent à Brixton pendant les répétitions et pour les quatre premiers spectacles, mais j’ai été testé positif au Covid-19 quelques jours avant. J’ai donc programmé tout le spectacle à la maison et envoyé le fichier à David McIntyre.

Ca a été un challenge de programmer 32 chansons en trois jours, mais tout s’est bien passé. Comme je suis utilisateur de ChamSys, Dave a accepté d’utiliser un MQ500 en tournée, sinon il aurait dû tout reprogrammer sur place. Tout était fantastique : les projecteurs GLP, brillants, colorés, simples, performants et solides comme le roc ont ravi le groupe et le management.

En conclusion, il donne tout le crédit à LCR. « Ryan et Steve Bliss ont été géniaux, avec de nombreuses suggestions sur le meilleur équipement possible, et ils étaient très impliqués. C’est la première fois que je travaille avec LCR et je suis extrêmement satisfait. »

D’autres informations sur le site GLP

 

La NEXO ID84 comble les églises américaines

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Église épiscopale de St Paul. Regardez en haut à gauche et à droite de la photo, on aperçoit une paire d’ID84 noirs.

Alpha Sound, société de production et d’installation audio basée dans l’Oregon, a signalé deux installations très réussies de la série NEXO ID en ce début d’année dans des églises locales.
Le déploiement d’une paire de colonnes NEXO ID84 en tant que système principal, complété par des ID14 ultra-compactes couvrant les zones plus reculées des deux églises, est à l’origine des niveaux de performance atteints dans la St Paul’s Episcopal Church et la Kingwood Bible Church, toutes deux situées dans la ville natale d’Alpha Sound, Salem dans l’Oregon.

Devin Sheets

Devin Sheets, d’Alpha Sound, nous raconte la suite. « Lorsque nous avons pu disposer pour la première fois de l’ID84, nous avons découvert quelque chose de très différent d’une enceinte colonne classique.
Tout d’abord, les tweeters à dôme souple confèrent ce que je décrirais comme un rendu sonore presque « hi-fi », avec des aigus francs et naturels parfaitement adaptés à la reproduction de la parole, ce qui constitue une grande partie d’un service religieux typique ».

L’ID84. Huit haut-parleurs de 4″ et huit dômes souples de 1” dans un agencement en attente de brevet.

 » Et puis il y a la couverture. Avec une intelligibilité hors axe bas toujours acceptable, nous avons réalisé qu’une paire d’ID84 installés à 6 mètres de haut offraient un SPL et une réponse en fréquence cohérents jusqu’au fond de la salle. Il est légitime de considérer l’ID84 comme un substitut viable à un petit line array dans les applications où le budget est limité ».

Le système de l’église Saint-Paul utilise une paire d’ID84 dans un espace liturgique long, étroit et semi-réverbérant. Avec une signature sonore commune, les ID14 sont utilisés pour couvrir le transept, le chœur et les zones de débordement.

Le ID14 petit et efficace.

Un système similaire est déployé à la Kingwood Bible Church, où l’espace principal est un peu plus réduit à 17 mètres, avec une acoustique relativement saine. Une paire d’ID14 couvre les balcons et un seul sub NEXO L18 étend la réponse dans le bas du spectre.

Un des ID84 de la Kingwood Bible Church.

Le système complet de la Kingwood Bible Church est alimenté par un seul contrôleur amplifié NXAMP4X1MK2, tandis que le système de St Paul utilise un NXAMP4X1MK2, complété par un NEXO DTD/DTDAMP4x0.7 qui alimente les ID14.

« Le NXAMPMK2 est notre solution d’amplification préférée », poursuit Devin. « Le fait de disposer de presets pour chaque enceinte et guide d’onde permet de configurer rapidement et facilement des systèmes combinant différentes enceintes de la gamme NEXO. Et c’est également très avantageux. Nous pouvons même utiliser quelques canaux supplémentaires pour alimenter des enceintes existantes, comme des plafonniers dans d’autres pièces. »

Le Nexo L18, ou comment remplir son bas avec un seul sub.

En plus de ses caractéristiques sonores et de couverture, la forme de la colonne ID84 est également bien adaptée aux espaces liturgiques, avec leurs caractéristiques architecturales typiquement verticales.

« Les gens nous ont dit : « Ouah, le système sonne bien, mais où se trouve-t-il ? « C’est juste un autre exemple de la façon dont la série NEXO ID est si bien adaptée aux applications dans les lieux de culte. »

Plus d’informations sur le site Alpha Sound et sur le site NEXO

 

L-Acoustics présente une nouvelle équipe de directeurs des ventes

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Avec le retour en force de l’industrie audio pro sur tous les marchés – tournées, festivals, théâtres, entreprises, installations, immersif, etc. – L-Acoustics a continué à investir dans ses équipes afin de s’assurer qu’elle répondra de manière fluide et suffisante aux besoins des clients.

De gauche à droite : Laurent Vaissié L-Acoustics CEO, David Cooper Sales Director for Asia Pacific, BJ Shaver Sales Director for the Americas, Jacob Barfoed Sales Director – EMEA et Jochen Frohn Executive Director of Business Development.

Après avoir récemment annoncé la création d’une équipe dédiée à la région Asie-Pacifique, le fabricant de Marcoussis annonce qu’il a créé et pourvu trois postes clés de directeur des ventes pour correspondre à sa structure régionale : BJ Shaver pour les Amériques, David Cooper pour l’Asie-Pacifique (APAC) et Jacob Barfoed pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA).

Tous trois dépendent directement du directeur mondial du développement commercial de L-Acoustics, Jochen Frohn. BJ et David développeront également des stratégies de vente régionales en étroite collaboration avec le PDG des Amériques, Alan Macpherson, et le PDG de l’APAC, Tim Zhou, respectivement.


BJ Shaver

Basé en Arkansas, le directeur des ventes de L-Acoustics pour les Amériques, BJ Shaver, travaille pour la société depuis plus de neuf ans, d’abord en tant que directeur régional des ventes pour le sud-est des États-Unis, puis en tant que directeur du développement commercial des installations pour les Amériques. Avant de rejoindre L-Acoustics, il a passé six ans chez un intégrateur AVL.

David Cooper

Récemment transféré du Royaume-Uni au nouveau bureau APAC de L-Acoustics à Singapour, David Cooper a également été promu à son poste actuel de directeur des ventes APAC de L-Acoustics.
Comme BJ, M. Cooper a passé plus de neuf ans chez le fabricant en tant que directeur commercial et est bien connu dans le secteur pour son association antérieure de 20 ans avec les consoles de mixage Midas.


Jacob Barfoed

Jacob Barfoed, directeur des ventes de L-Acoustics pour la région EMEA, est basé à Copenhague et est une nouvelle recrue pour L-Acoustics.
Barfoed arrive chez le fabricant après avoir travaillé chez Sony Professional, où il a passé près de deux décennies dans diverses fonctions de direction, la dernière étant celle de directeur des ventes européennes.

Jochen Frohn

« Après quelques années de calme bien compréhensible, le monde est avide de spectacles live et, par extension, de la technologie permettant de rendre ces performances plus mémorables que jamais « , déclare Jochen Frohn.

« Selon les premiers indicateurs, 2022 s’annonce comme une année solide pour L-Acoustics. Pour nous assurer que nos clients sont accompagnés au niveau mondial avec le plus haut niveau d’expérience, de sens des affaires et d’intégrité, nous nous sommes tournés vers trois professionnels particulièrement brillants : BJ, David et Jacob.

S’ils dirigeront les équipes de vente avec un accent local, ils contribueront aussi collectivement à une stratégie globale harmonisée, en travaillant en tandem avec nos équipes d’application pour assurer le plus haut niveau de soutien à nos clients dans le monde entier. »

D’autres informations sur le site L-Acoustics

 

Chauvet France renforce son équipe commerciale

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« La société Chauvet, renforce son équipe commerciale. Laurent Ballarin est promu Chef des ventes France. Il est remplacé sur le secteur sud-ouest par Laurent Pinout.

A gauche Laurent Ballarin, Chef des Ventes France, et Laurent Pinout votre nouvel interlocuteur sur le secteur sud-ouest à droite.

Cette nouvelle organisation soutien la volonté de la direction de Chauvet d’être toujours plus à l’écoute des projets de ses clients et appuie la croissance de la filiale française. »